AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Death or glory tome 1 sur 2
EAN : 9791026825852
160 pages
Urban Comics Editions (05/07/2019)
3.96/5   25 notes
Résumé :
Glory, une jeune américaine élevée dans le monde des routiers américains - les derniers hommes libres - se trouve dans une situation délicate.
Pour payer une opération chirurgicale qui sauverait la vie de son père bien-aimé, elle doit trouver de l'argent, beaucoup d'argent, et une seule solution s'offre à elle... Cinq mille kilomètres, quatre braquages, trois jours, deux psychopathes, et une Glory qui en a déjà marre rien que d'y penser.
Que lire après Death or glory, tome 1Voir plus
Reckless, tome 1 par Brubaker

Reckless (Brubaker)

Ed Brubaker

4.39★ (209)

3 tomes

Criminal, Tome 1 : Lâche ! par Brubaker

Criminal

Ed Brubaker

4.11★ (437)

7 tomes

Southern Bastards, tome 1 : Ici repose un homme par Aaron

Southern Bastards

Jason Aaron

4.09★ (255)

4 tomes

The Magic Order, tome 1 par Millar

The Magic Order

Mark Millar

4.02★ (241)

3 tomes

Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre. Il comprend les épisodes 1 à 5, initialement parus en 2018, écrits par Rick Remender, dessinés et encrés par Bengal qui réalise également la mise en couleurs. Il contient les couvertures alternatives réalisées par Duncan Fegredo, Vanesa R. del Rey, David Lafuente, Koi Pham, Declan Shalvey, Bengal, Juian Totitno Tedesco, Farel Dalrymple, Andrew Robinson, Rafael Alburquerque.

Le soir à Yuma dans l'Arizona, il ne reste que cinq minutes avant la fermeture de l'établissement Burger Boss. L'employé derrière le comptoir est en train de charrier celui qui est en train de passer le balai. Un client rentre et demande 123 cheeseburgers. Celui au comptoir lui indique qu'ils vont bientôt fermer et lui propose de commander en quantité plus raisonnable. Un client balèze s'approche et suggère au demandeur de se montrer conciliant. Ce dernier projette de l'azote liquide sur celui qui lui a saisi le bras, puis sur celui qui allait appeler de l'aide au téléphone. Quelque part non loin de là en Arizona, Glory Owen est en train de finir ses soudures sur sa voiture. Elle prend un chewing-gum, et fait une pause pour dicter un message sur un appareil enregistreur. Peu de temps après, elle est rentrée chez elle, où elle prend un bon bain. Elle écoute d'une oreille distraite les informations en provenance de la télévision dans la pièce voisine où son père est alité. Elle referme violemment la porte, sort de son bain et prend un pistolet dans l'étui posé sur la tablette au-dessus du lavabo. Ça ne lui réussit pas.

Le lendemain, Glory Owen est habillée de pied en cape avec une tenue de conducteur automobile de rallye. Elle dit au revoir à son père, consciente qu'elle dispose d'une semaine pour lui procurer un rein en vue d'une transplantation, faute de quoi il passera l'arme à gauche. Elle passe par le garage pour vérifier l'état de sa voiture. Elle se rend au bar attenant, où elle va parler à Winston, un homme d'une soixantaine d'années, avec une bedaine, une chemise à carreau et une barbe blanche. Elle lui demande de veiller sur son père, le temps de son absence. Il accepte bien volontiers. Puis elle s'adresse à Sandy, la barmaid, à qui elle confie l'enregistreur en lui demandant de ne l'écouter que dans quelques jours si elle n'est pas de retour. Ailleurs Toby (l'ex-mari de Glory) est en train de prendre la commande par téléphone, de son client Korean Joe qui évoque une livraison à effectuer en insistant bien sur le fait qu'il ne peut pas y avoir de raté. Il confie cette mission au shérif Virgil et à son adjoint Darren.

En 2015, Rick Remender décide de quitter l'éditeur Marvel pour ne plus que se consacrer qu'à ses séries indépendantes : Black Science avec Matteo Scalera, Deadly Class avec Wes Craig, Low avec Greg Tocchini, Seven to eternity avec Jerome Opeña, et maintenant cette série avec Bengal. Ce dernier est un dessinateur français qui s'est d'abord fait connaitre comme coloriste, puis comme artiste, par exemple sur la série [ASIN:2505013853 Naja]] de Jean-David Morvan. La couverture propose un dessin avec une contre-plongée très appuyée, des couleurs chaudes et agréables, et une jeune femme dynamique à l'air bien décidé. Dès les premières pages, le lecteur découvre des personnages représentés avec une petite influence manga dans la manière de dessiner les yeux, et d'exagérer les expressions des visages. Il retrouve ce choix de couleurs plutôt claires, avec des dégradés limités, et quelques effets spéciaux assez rares, utilisés à bon escient. Mise à part la densité d'informations visuelles, le lecteur pourrait se croire dans un récit tout public, plutôt jeunesse même. Il entame donc sa lecture en se disant que Remender s'est vraisemblablement offert une récréation par rapport à ses autres séries plus sombres, avec un dessinateur aux planches plus rayonnantes.

Effectivement, le récit commence avec ce qui ressemble fort à un gag : une commande de 123 cheeseburgers, et deux employés de l'établissement de restauration rapide qui se conduisent comme des adolescents attardés, Bengal leur donnant un langage corporel en cohérence. La première apparition de Glory Owen s'inscrit également dans une scène fleurant bon le stéréotype avec un soupçon d'exagération : le belle jeune femme qui caresse la carrosserie dans un geste langoureux. Par la suite, Bengal va pouvoir s'en donner à coeur joie à plusieurs reprises dans des registres divers : la course-poursuite dans le désert (la voiture de police étant attaquée par un bolide), la découverte de la véritable nature de la cargaison contenue dans la semi-remorque volée par Glory, le chassé-croisé dans le sous-sol de détention de la boucherie de Korean Joe, une nouvelle course-poursuite cette fois-ci en milieu urbain dans les rues de Reno au Nevada. le lecteur éprouve l'impression à plusieurs reprises de retrouver la fougue de la mise en page de Sonoda Kenichi. Ce n'est pas tant que Bengal joue sur l'exagération moqueuse ou humoristique, c'est que ses découpages transmettent le mouvement avec une conviction entraînante et irrésistible, et qu'il sait utiliser à bon escient les stéréotypes associés à chacune de ces scènes en leur redonnant du sens. Il se les approprie et les met au service de la narration visuelle, plutôt que de se reposer dessus comme autant de raccourcis prêts à l'emploi.

À l'instar des shonen, les personnages de Bengal semblent frappés de jeunisme, à l'exception de Virgil, Winston et Korean Joe. Néanmoins leur apparence comprend à chaque fois un ou deux détails leur donnant une identité visuelle plus complexe. Au fil des grimaces diverses et variées de Glory, le lecteur finit par se rendre compte qu'elle porte en elle une forme de résignation, à l'opposé d'une héroïne d'action insouciante. de la même manière, le visage du shérif lui indique qu'il s'agit d'un individu conscient d'être contraint d'obéir à Toby, malgré ses propres convictions, sachant pertinemment que sa vie ne vaut pas cher. Pour d'autres personnages, leur unicité provient de leur apparence très marquée : les 2 femmes en habit de religieuse, le chef de gang de Reno avec son masque de catcheur mexicain (Lucha libre). du point de vue visuel, le dessinateur importe des éléments évoquant le genre grindhouse. le lecteur apprécie énormément le choix fait par l'artiste en ce qui concerne la représentation des décors. Là encore, en apparence, les traits de contour utilisés évoquent une influence manga, bien assimilée. Bengal évite de recourir à l'astuce qui consiste à dessiner les personnages de manière à ce qu'ils occupent 90% de la surface de la case, pour pouvoir s'affranchir de dessiner les arrière-plans. Il prend grand soin de montrer où se passe l'action, et comment les personnages interagissent avec les accessoires, comment leurs mouvements se font en fonction de la géométrie et des caractéristiques des lieux. À nouveau le lecteur observe une utilisation des stéréotypes visuels (l'établissement de restauration rapide fonctionnel et sans personnalité, le garage bourré à craquer d'outils et de pièces détachées, les routes sans voiture au milieu du désert, le sous-sol un peu trop grand pour être réaliste, etc.) qui sont asservis au récit, reprenant ainsi de la saveur, retrouvant un sens particulier.

Rick Remender a pris l'habitude de travailler avec des artistes ayant une réelle personnalité graphique, et le lecteur peut supposer qu'il conçoit son histoire en fonction de leurs forces graphiques. Dès le premier épisode, il peut apprécier la qualité de la collaboration entre Remender et Bengal pour les course-poursuites. L'artiste sait insuffler de la vitesse, du mouvement dans le mouvement des véhicules, pour donner l'impression au lecteur d'être sur place et de sentir la texture de la poussière soulevée dans sa bouche, le souffle de l'air déplacé par la course et les manoeuvres soudaines. le découpage des planches privilégie les cases de la largeur de la page, et les plans de prise de vue rendent bien compte de la rapidité de la succession des actions, ainsi que de la succession logique des déplacements. de façon plus discrète, Bengal trouve également le point d'équilibre parfait pour ce qu'il représente et ce qu'il laisse à l'imagination du lecteur. le scénario comprend des situations sadiques et des actes barbares. L'artiste se tient à distance d'un voyeurisme explicite et malsain, en faisant monter la tension par la description des préparatifs, et en évitant le gros plan sur le tranchage brutal, la perforation sadique, ou la plaie béante. Ce choix amplifie encore l'impact de l'acte, qu'il s'agisse de l'action de l'azote liquide sur le corps humain, ou de l'insertion d'un piment ouvert dans un rectum.

Dans la première partie du premier épisode (qui est double, plus de 40 pages), le lecteur acquiert l'impression d'un récit amusant jouant sur les conventions du récit d'action avec des bagnoles. le scénariste a conçu une intrigue rapide et enlevée, démarrant par un vol audacieux, Glory Owen s'en prenant à des trafiquants, pour payer l'opération de son père. Il maintient l'historique des relations des personnages à un minimum, ne nécessitant pas d'effort de mémoire particulier du lecteur. Mais la dernière page de ce premier épisode ramène le récit dans une intrigue bien noire comme les affectionne Remender. Il est rapidement question, entre autres, de trafic d'organes et de prédateurs humains profitant de la vulnérabilité d'immigrants clandestins. La première moitié de l'épisode 3 est consacrée à l'histoire personnelle de Red (le père de Glory). Il a souhaité se soustraire à la vie de salarié, incapable de s'adapter aux valeurs intrinsèques du capitalisme, refusant de participer à cette forme d'exploitation de l'homme par l'homme au nom du dieu du profit. Il a réussi à construire une vie en marge de ce système reposant sur la consommation effrénée des ressources autant matérielles qu'humaines. Mais il a bien fallu payer le prix des points de jonction nécessaires avec la société constituée. le lecteur familier des séries de Rick Remender retrouve là son état d'esprit assez pessimiste, ainsi que son thème de prédilection concernant la famille. Il sait qu'il ne s'agit pas de rebondissements mécaniques pour entretenir l'action, et il en a la preuve dans la sincérité qui se dégage des propos de Glory Owen et Pablo.

Avec ce premier tome, Rick Remender & Bengal ont trouvé un point d'équilibre épatant entre un récit divertissant et spectaculaire, s'inscrivant dans un genre entre road movie et grindhouse (à la fois du point de vue visuel et du point de vue de l'intrigue), et un récit reflétant un mal de vivre généré par l'inadéquation entre les aspirations de l'individu et les exigences matérielles de la vie.
Commenter  J’apprécie          80
Une jolie découverte que ce double album boum-boum-badaboum filmé à 200 à l'heure !
Notre héroïne est une jeune femme élevée dans le monde des routiers américains ; des gens qui n'avaient qu'une seule règle : « vivre libre ou mourir » et dont la seule maison en dehors de la cabine de leur colossal Mack Truck était les nombreux Diners éparpillés tout le long des Interstates ; des lieux où les vapeurs d'asphalte chaud cohabitaient furieusement avec les relents de diesel et les odeurs de friture ; sur les comptoirs, des cacahuètes devenues molles depuis longtemps ; dans la salle, un jukebox qui ne possédait pas un titre postérieur à 1979 ; et puis à la ronde, des routiers, des livreurs, des bikers et des zonards… Sans oublier la gigantesque enseigne Texaco. Joli panorama que tout cela.
Glory est une fille : (a) très débrouillarde, (b) qui possède des talents évident de pilotage, (c) qui n'a pas froid aux yeux, (d) dont le vieux père à qui elle doit beaucoup se trouve en situation d'urgence vitale, et (e) qui a beaucoup de chance… enfin, disons qu'elle a de la chance dans son lot de malchance.

Elle se retrouve donc dans une situation délicate : pour payer l'opération chirurgicale qui pourrait le sauver, elle doit trouver tant et tant d'argent qu'il va lui falloir aller le chercher entre les mains des pires représentants de l'espèce humaine, car oui, dans la vie, il y a deux types d'hommes, les gens gentils, pas forcément bien sapés, mais tout à fait corrects… et les ordures.
Et ce sont bien les ordures qui amassent un bon paquet de pognon, et souvent de la pire des façons qui soient.
Tout redevient moral lorsqu'une gentille fille plutôt sympathique tente de plumer un affreux Jojo.

DEATH or GLORY, c'est la rencontre frontale de deux mondes. La narration est très cinématographique. L'histoire – un spectaculaire road-movie sur fond de chasse à l'homme et de dangereux trafiquants - est racontée par une succession de plans et d'étapes, de flash-back et de retournements de situation. La préférence est accordée au visuel mais le dialogue est excellent et l'ensemble est vraiment chargé d'émotion. Les personnages ont du caractère, l'action est dynamisée en permanence – c'est peu dire que le tempo va crescendo - et l'intrigue possède une force qui se trouve renforcée par le travail du cadrage, des mouvements et de la lumière.
Commenter  J’apprécie          130
Quatre braquages et un enferrement.
Glory Owen aurait préféré se la couler douce loin des compromissions et des mauvais coups mais elle doit en une semaine chrono réussir un braquage lui permettant de financer la transplantation rénale dont son père chéri a cruellement besoin. Passé ce délai, Red Owen ne sera plus de ce monde. Seulement, Glory ne ciblera pas bien sa proie. Elle lèsera un sinistre caïd et déclenchera une vindicte frénétique. Dans une course-poursuite hallucinée, Glory va secouer des nids de frelons et contrarier des appétits féroces, la vie ne pesant plus grand-chose face à la voracité des ogres de barbaque.
Passé une couverture aussi accrocheuse que stéréotypée, le lecteur est immédiatement happé par les premières planches introductives, risquant une syncope des mirettes. En démarrant l'histoire dans un fastfood américain, le scénariste ancre son récit dans un contexte précis et prend immédiatement le lecteur à contrepied en brouillant la représentation du méchant. Rick Remender sait recycler et rénover tous les poncifs du genre en leur insufflant une bonne dose d'humanité saupoudrée d'horreur. Bengal est un dessinateur français disposant d'un potentiel impressionnant. Généreux, il n'hésite pas à peaufiner les décors et les détails. Il a aussi su s'inspirer des mangakas pour les mouvements, les cadrages et les expressions faciales. D'autres volumes doivent suivre et s'ils font autant de tonneaux réussis, caracolant de surprises ébouriffantes en volte-face débridée, montant d'un cran la pression à chaque chapitre, le lecteur n'a plus qu'à ronger son frein en attendant.
Commenter  J’apprécie          60
Rick Remender est un auteur que j'apprécie particulièrement, c'est donc avec plaisir que je me lance dans une de ses oeuvres, où pour le plaisir de nos yeux il est accompagné du dessinateur français Bengal.

Death or Glory, qu'est ce que c'est ?
Nous allons suivre l'histoire de Glory, une jeune femme vivant avec Red, son beau père, et un groupe de routier.
Groupe refusant les règles et vivant en dehors de la société.
Mais quand un jour, Red tombe malade et que sa seule solution est la très onéreuse transplantation d'un foie, comment s'en sortir ?
Pas le choix, voler l'argent de ce qui semble être un trafic de drogue.
Mais cela est-il vraiment aussi simple ?

Série complète en 2 tomes,
Le tome 1 rempli parfaitement son rôle, il nous présente les personnages, héros et antagonistes, l'intrigue et arrive à nous surprendre avec des choses qu'on ne s'attendait pas à voir.
Pour le tome 2, c'est beaucoup plus compliqué... on se retrouve sur une course poursuite simplète, on a juste l'impression de lire une adaptation d'un fast & furious. Dans le scénario plus rien ne nous surprend, pire tout est téléphoné, les personnages ont perdus leur charisme, et on fini par se dire tout ça pour ça ?!
Commenter  J’apprécie          20
Rick Remender et Bengal nous régalent. Dans un univers très orienté "comics" (que ce soit le scénario ou les dessins), ils créent une héroïne forte et faible à la fois. Glory est incroyable.

Forte... Glory l'est. Elle trace dans la vie. Elle choisit son destin. Elle bricole ses caisses comme personne. Elle a l'amitié tout comme la haine... indéfectibles.

Faible... Elle l'est aussi. Son passé, ses amours, la perte de sa mère, le cancer de son père... tout cela l'a minée. Mais elle survit et quand elle décide un truc... elle va jusqu'au bout.

Le bout... c'est la cavale après avoir braqué les personnes "qu'il ne fallait pas"... Elle se retrouve coursée par son ex, la police, des catcheurs...

Heureusement, elle peut compter sur ses amis. Parmi ceux-ci, les conducteurs de trucks qui parcourent les routes.

Le scénario ffile à toute allure. Les dessins très orientés comics sont puissants. le tout provoque parfos la nausée mais le rythme de lecture est rapide, compulsif, pressé... Je suis arrivé au terme du tome avec un clair sentiment de "trop peu"... J'en voulais plus. Tout mon corps, mon esprit criait "encooooooore". Entre Death et Glory, j'ai choisi... Glory...
Commenter  J’apprécie          20

Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Une simple recherche sur internet révèle qu'il y a un marché noir d'organes très vivace et bien glauque sur le Dark Web.
Un rein se vend 200.000 $, un cœur 120.000 $, un foie 150.000 $, et une paire de cornées 1.500 $.
Pensez au genre d'individus capables de prendre part à un tel trafic. Tellement pourris au fond d'eux que l'idée de découper de pauvres innocents pour les vendre en pièces détachées leur semble être un business envisageable.

Red m'a appris qu'il y avait du bon en toute personne, qu'il fallait juste creuser pour le faire sortir... mais creuser assez profond, et vous tomberez en enfer.
(p. 119-120)
Commenter  J’apprécie          30
Il a pris une feuille de papier et a écrit sa lettre de démission.
Ce qu'il a écrit, c'est ce que j'adore le plus au monde, je crois...
Les paroles de "Freebird" de Lynyrd Skynyrd.
(p. 70-71)
Commenter  J’apprécie          10
J'ai fait ce que beaucoup de jeunes filles font... et je suis tombée amoureuse d'un garçon que j'aurais dû fuir comme la peste.
(p. 74)
Commenter  J’apprécie          10

Lire un extrait
Videos de Rick Remender (7) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Rick Remender
the sacrificers trailer image comics
autres livres classés : opération chirurgicaleVoir plus
Les plus populaires : Bande dessinée Voir plus


Lecteurs (43) Voir plus



Quiz Voir plus

Comics : Les héros de Marvel

Elle peut se dématérialiser, et ainsi traverser les objets solides, les murs, les plafonds ... Il s'agit bien sûr de ...

Kate Winslet
Kitty Pryde
Hello Kitty
Katy Perry

10 questions
241 lecteurs ont répondu
Thèmes : comics , super-hérosCréer un quiz sur ce livre

{* *}