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Derrière le rideau tome 1 sur 1

Aleksi Cavaillez (Autre)
EAN : 9782368464335
115 pages
Steinkis Editions (08/09/2022)
3.5/5   27 notes
Résumé :
En 1952, Simone Signoret et Yves Montand se rencontrent à Saint-Paul-de-Vence. C’est le coup de foudre immédiat. Entre eux, une histoire d'amour est née, mais pas seulement. Séparément, ils sont des stars, ensemble, ils deviennent une conscience politique. En 1956, le couple est au sommet de sa gloire. Ils ont, comme beaucoup d’intellectuels de l’époque, le communisme chevillé au coeur. Une tournée de gala est organisée dans les pays du bloc soviétique, mais l’histo... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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Je trouve que c'est une très bonne idée de nous présenter un couple mythique au regard des positions qu'ils ont prises face à L Histoire. C'est vrai que pris séparément, Simone Signoret et Yves Montand sont des stars populaires mais ensemble, ils deviennent une conscience politique pour le pays.

L'épisode historique qui sera traité sera l'invasion des troupes russes en Hongrie à Budapest en 1956 suite à des manifestations pacifiques réclamant plus de libertés politiques. Les russes n'hésitent pas à envoyer (déjà à l'époque) leurs chars de destruction dans des pays tiers si ces derniers veulent un peu se rapprocher de l'Occident (peut-être pour son modèle de libertés et de richesses).

Il faut savoir que ce couple prenaient des positions en faveur des communistes et étaient plutôt hostiles à ceux qu'ils dénommaient les fascistes ou les réactionnaires. Yves Montand va faire en vers et contre tous une tournée en Russie ainsi que dans les pays de l'Est malgré ce qui s'est passé en Hongrie à savoir une répression terrible contre le peuple. Cela sera l'occasion d'une prise de conscience de ce qu'est véritablement le communisme politique.

J'ai bien aimé les auteurs qui sont loin de dresser un portrait magnifié de ce couple mythique. On verra un Yves Montand, très caractériel, qui refuse d'aider quelqu'un qui voulait fuir la Russie. On verra également que Simone rejette sa cousine tchèque dont le mari est emprisonné. En épilogue, on apercevra le célèbre romancier Louis Aragon dire que ce qui se passe en Hongrie ne le regarde pas au sujet d'un ami poète emprisonné. Bref, ces intellectuels, ces gens du spectacles plein aux as qui se rachètent une bonne conscience et qui finalement dans les faits ne font rien concrètement pour aider le petit peuple qui souffre. Comment peut-on se réclamer communiste quand ils se passent des choses aussi horribles ? Telle est la thématique induite de cette BD aux accents très politiques.

Pour autant, on verra tout de même un Yves Montand apostrophé le dirigeant communiste de l'époque à savoir Khrouchtchev pour lui demander de justifier sa position en Hongrie. Ils n'arriveront pas à être d'accord mais cela se passera bien pour se donner une bonne figure. Et puis, il y a Simone qui sait faire la distinction entre les peuples et les politiques qui les gouvernent.

J'ai aimé cette biographie très spéciale, très originale par son approche différente. J'ai appris des choses même si je connaissais bien le contexte historique. Parfois, on peut avoir des désillusions. Il faut savoir qu'un régime dans lequel une personne ou un groupe de personnes, disposant d'un pouvoir absolu, s'y maintient de manière autoritaire et l'exerce de façon arbitraire est une dictature aussi communiste soit-elle.

Dans les dictatures, les pensées des citoyens sont contrôlées. Si une personne ou un groupe de personnes ne pense pas de la même manière que le dictateur et ses amis, il risque d'avoir de gros problèmes, voire être assassiné. Les dictatures veulent donc empêcher l'apparition de la liberté de pensée. Elles veulent imposer à tous les citoyens un modèle de pensée. En général, ces pays usent de propagande et de censure pour contrôler leurs populations et sont fermés à toute influence étrangère. Encore une fois, la population russe n'était pas vraiment au courant de ce qui s'est passé avec l'insurrection dans un pays frère.

La Hongrie en a payé durement le prix. Il faut dire qu'elle n'a pas bénéficié de l'aide de l'Occident qui n'a pas osé intervenir pour ne pas risquer une troisième guerre mondiale. Cela me rappelle étrangement quelque chose d'actuellement similaire.

Derrière le rideau de fer, ce couple a pu voir réellement ce qui se passait et cela a dû les marquer. Quelques années plus tard, le couple allait partir aux USA pour faire la rencontre avec une certaine Marilyn Monroe.

Enfin, je tiens à remercier l'éditeur Steinkis ainsi que Babélio pour l'acquisition de cette BD au demeurant très intéressante.
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J'ai reçu ce livre il y a 30 jours, j'en ai lu 3 pages à sa réception avant de le refermer ayant déjà quelque peu le bourdon pour ne pas vouloir en lire plus face à une actualité bien assez triste et déprimante avec cette guerre qui dure déjà plus de 8 mois.

Mais bon face à la mention “Vous avez 0 jours de retard sur la publication de votre chronique” il était plus que temps que je me plonge ce matin dans cette BD reçue dans le cadre d'une masse critique privilégiée que j'ai acceptée par pure curiosité. Merci aux éditions Steinkis et à Babelio pour l'envoi de cette dernière.

Je ne regrette pas ma lecture, ce fut à défaut d'être une lecture joyeuse, une BD que j'ai vraiment trouvée très intéressante. On y suit le couple Simone Signoret et Yves Montand en 1956, ces derniers s'apprêtent à quitter Paris pour une tournée de music-hall en URSS quand l'actualité sur place va les rattraper : le 23 octobre 1956 plus de 300 000 Hongrois manifestent dans les rues en réclamant des réformes économiques et plus de liberté politiques. Les chars de l'Armée rouge envahissent Budapest, la répression est sanglante, des milliers de morts…

Une question alors pour le couple alors fervent communiste : annuler la tournée, y aller quand même ? Lui hésite, son frère le pousse à s'y rendre, Simone y est fermement opposée. le choix n'est pas évident pour des raisons de notoriétés, politiques dans un climat tendu, de convictions personnelles.

Finalement la tournée est maintenue, le couple y verra deux tableaux de l'URSS : un accueil inoubliable mais aussi l'inacceptable, de quoi relativiser leur vision du communisme en URSS. La BD se veut neutre dans les faits, j'ai apprécié qu'elle ne présente pas une vision idéalisée que l'on peut avoir de ces artistes. Ils n'étaient pas parfait, pas des monstres non plus.

Concernant les dessins en noir et blanc, j'avoue ne pas avoir été très fan du coup de crayon pour le coup. Dommage mais pas si grave car je retiendrais surtout ici le fond que j'ai trouvé très intéressant par une présentation assez neutre de ces deux artistes dans le cadre de cet épisode historique et du rôle politique que pouvaient avoir les artistes durant la période de la guerre froide. Je jetterai un coup d'oeil curieux aux prochaines sorties de cette collection Dyades de l'éditeur Steinkis.
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Derrière le rideau, Simone Signoret et Yves Montand est le premier ouvrage d'une nouvelle collection, Dyade, qui présentera en BD des « couples ayant marqué les esprits par leur engagement politique, leur créativité, leurs succès et leurs échecs, leurs forces et leurs faiblesses » nous explique-t-on sur le site des éditions Steinkis. On doit ce tome à Xavier Bétaucourt (scénario) et Aleksi Cavaillez (dessin). La mise en situation est brutale puisqu'il s'agit de la sanglante répression de l'Armée rouge contre les Hongrois qui manifestaient pacifiquement à Budapest, entre autres contre les arrestations arbitraires, en octobre 1956. La répression s'étendra rapidement dans tout le pays avec le soutien de l'armée et du nouveau gouvernement hongrois. Montand et Signoret, compagnons de route du PC depuis longtemps, vont maintenir la tournée du chanteur prévue en URSS et dans des pays satellites malgré de nombreuses oppositions et le choc que leur procure ce sanglant coup de force. Plusieurs autres désillusions les attendent…
***
Le communisme a suscité un tel espoir parmi les intellectuels et les artistes français, comme d'ailleurs parmi une importante frange de la population, que beaucoup veulent croire à une erreur de la part des Russes et du Politburo. La BD relate cette tournée qui marquera profondément les deux artistes, tant par ce qu'ils découvrent au fil de leur voyage en URSS et dans les pays frères que par la franche hostilité que leur décision suscite en France avant leur départ et à leur retour. Au cours de son voyage, le couple prendra conscience qu'on le manipule. Signoret se montre à ce sujet plus rapidement lucide que Montand.
***
J'ai apprécié l'histoire que nous présente Xavier Bétaucourt qui n'édulcore pas les événements. le mauvais caractère de Montand et ses infidélités sont abordés sans détour ainsi que les disputes du couple. La condescendance de Signoret la rend franchement antipathique à au moins deux reprises. Les petites lâchetés et les compromissions des uns et des autres, sur place ou en France, ressortent épisodiquement dans la narration ; l'hypocrisie et la duplicité des gouvernements des différents pays parcourus aussi. J'avoue avoir parfois éprouvé des difficultés à mettre un nom sur certains des personnages. Je n'ai pas été séduite par le dessin d'Alexis Cavaillez. Toujours en noir et blanc, dans une mise en page très classique, il insiste assez peu sur les décors et présente essentiellement des personnages, mais j'ai parfois eu du mal à les reconnaître quand ils reviennent d'une case à l'autre.
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Je voudrais remercier Babelio et les éditions Steinkis pour ce livre reçu à l'occasion d'une masse critique privilégiée. D'autres ouvrages de la même collection sont déjà annoncés : Jean Cocteau & Jean Marais, Simone de Beauvoir & Nelson Algren, Albert Camus & Maria Casarès, etc., de belles découvertes en perspective.
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Merci à babelio et aux éditions Steinkis de m'avoir permis la lecture de ce roman graphique.
L'idée de la collection Dyades est excellente : Réunir un couple, ici Simone Signoret et Yves Montand, et mettre en images leurs biographies respectives - mais partielles, le temps de leur idylle - démontrant que leurs choix et leurs actes ont rayonnés et retentis bien au-delà du dipôle amoureux.
De la même façon qu'une dyade est la réunion de deux principes philosophiques se complétant réciproquement de manière à amplifier l'effet cumulatif [1+1>2], la rencontre à Saint-Paul de Vence en 1952 de ces deux géants du showbiz n'a pas été seulement la réunion de deux êtres, mais une fusion capable de former une conscience politique au point d'entrainer avec eux des peuples et d'infléchir certaines décisions de dirigeants politiques.
A l'aube du 4 novembre 1956, une vaste offensive soviétique était lancée pour écraser la révolution hongroise qui avait débuté 15 jours plus tôt ; une horde de chars soviétiques (plus de 1500, dont les funestes T-34) déferlèrent dans Budapest. La répression s'avéra terrible, sanglante, et conduira très rapidement à l'anéantissement des aspirations d'indépendance et de liberté du peuple hongrois.
Au même moment Yves Montant partait faire une tournée de gala derrière le Rideau de Fer…

Tout avait commencé neuf mois plus tôt, le 25 février 1956 alors que le secrétaire général du Parti communiste d'Union soviétique, Nikita Khrouchtchev, dévoilait devant les délégués au XXe congrès du PC, les crimes perpétués par Joseph Staline. L'incrédulité allait peu à peu gagner et gangréner les milieux populaires et les sphères des intellectuels à un tel point que le communisme ne s'en remettra jamais.

Et nos artistes dans tous cela ?

Le dessin, réalisé au crayon et ombré à l'aide de hachures, est parfaitement maîtrisé. le graphite est l'un des médiums les plus simples à utiliser mais aussi l'un de ceux qui se prêtent le mieux aux études de valeurs tonales ; et quoi de mieux pour disserter de société et de politique ?
Une large gamme de tons est produite par les hachures, du gris le plus clair au noir le plus profond ; l'obscurcissement permettant de représenter et d'accentuer les contrastes. Comme pour la photographie, le noir est blanc est souverain et adapté à la période (les années 50) et à un travail relevant du journalisme d'enquête.
Les personnages sont toujours bien reconnaissables et cela permet de vérifier l'adage que : « moins égale plus ! »

J'ai hâte de découvrir les prochaines Dyades de la collection parmi lesquelles : Simone de Beauvoir & Nelson AlgrenSusan Sontag & Annie Leibovitz, Patti Smith & Robert Mapplethorpe

Je terminerai sur la citation d'Isaac Newton choisie par les Editions Steinkis ponctuant le livre, juste à la suite des références de couverture, de réalisation, ISBN et dépôt légal :
« Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts. »
Si ce n'est pas un acte politique…
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Xavier Betaucourt scénariste de « Ils ont tué Léo Frank » ou encore de « Simone Veil ou la force d'une femme » s'associe au dessinateur Aleksi Cavaillez (qui s'est attaqué il y a peu à la bio-graphique de Célestin Freinet) pour nous proposer le tome inaugural de la nouvelle collection Dyade aux éditions Steinkis.

Cette série concept a pour vocation de mêler Histoire et histoires de couples célèbres (hétérosexuels, homosexuels, lesbiens) et de montrer comment ces « duos » par leurs actes et leurs choix ont rayonné bien au-delà de leur relation personnelle devant ainsi une « dyade » (réunion de deux principes philosophiques se complétant et s'amplifiant). Pour ce « pilote » de la collection, ils ont choisi le couple mythique Signoret/Montand qu'ils vont suivre durant quelques mois seulement : lors de la tournée du chanteur « derrière le rideau » de fer. Est-ce un hasard s'il embrasse alors une nouvelle acception du terme : celle d'un segment de tracé frontalier séparant deux états ou plutôt ici deux Europe en pleine guerre froide ? En effet, les deux artistes « compagnons de route » du PCF vont se rendre en URSS pour une tournée planifiée 18 mois plus tôt alors que la volonté d'émancipation de la Hongrie vient juste d'être réprimée dans le sang.

Ce jeu sur la polyphonie met bien en valeur toute la subtilité d'un scénario qui navigue avec bonheur de l'Histoire à l'histoire d'amour de deux vedettes puis leur prise de conscience des failles d'un régime. Xavier Betaucourt ne montre nulle complaisance envers le duo. Il présente Montand comme emporté et sanguin parfois et doté d'oeillères tandis que Signoret apparaît froide et peu compatissante envers sa cousine tchèque. Mais dans le même temps on voit le chanteur apostropher Khrouchtchev pour lui faire part de son indignation et l'on découvre dans un flashback la force de la passion qui lie les deux amants. Nulle hagiographie mais l'exposé des faits. L'auteur stigmatise aussi l'attitude de la gauche caviar de l'époque en soulignant l'attitude égoïste d'Aragon par exemple.

Ce scénario habile m'a donc séduite. Malheureusement il n'en est pas tout à fait de même pour le dessin. Alors que la flamboyante couverture arbore la couleur rouge emblématique du communisme, l'intérieur de l'album est, lui, en noir et blanc. Cela m'a paru un choix judicieux car cela rappelle les films d'actualité de l'époque et permet une distanciation qui sied bien à la bd documentaire : au noir de la répression répond le gris du quotidien de Budapest privé de sa liesse et de son « printemps » et le blanc sied bien également à cette époque de l'année puisque la tournée se déroule en hiver. de façon symbolique, ce choix s'accorde également aux propos du scénariste : il n'a pas de manichéisme puisque le gris abonde. Donc je salue une utilisation très intelligente de la gamme chromatique ; En revanche, les formes des visages sont ultra simplifiées ce qui nuit à l'identification des personnages et ne rend nullement les célébrités ressemblantes. Souvent les arrières plans sont à peine esquissés et la mise en scène est plutôt paresseuse.

Je remercie néanmoins véritablement Steinkis et Babelio pour cette découverte car la série apparait très prometteuse et donne à penser. J'ai particulièrement hâte de découvrir l'album consacré à Cocteau et Jean Marais et celui retraçant l'histoire d'amour De Beauvoir et Algren car ils seront dessinés par deux jeunes femmes très talentueuses : Maurane Mazars et Anne-Perrine Couët.
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critiques presse (4)
ActuaBD
08 novembre 2022
Le récit est notamment organisé autour des souvenirs d’un ancien agent des renseignements généraux (RG), qui suivait de près les activités politiques du couple. C’est là le reflet du travail préparatoire de Xavier Bétaucourt et Aleksi Cavaillez, puisque les rapports des RG sont récemment devenus publics. Cela permet un grande précision dans le déroulement de la tournée, même si certains flash-backs désorganisent quelque peu le récit.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Bedeo
20 octobre 2022
Derrière le rideau est un album réaliste et instructif, qui nous éclaire sur un moment charnière de l’histoire contemporain et du couple Montand-Signoret.
Lire la critique sur le site : Bedeo
BDGest
18 octobre 2022
Excellent témoignage d’une époque révolue pas si lointaine, Derrière le rideau offre un intéressant voyage dans le passé. Dommage que celui-ci soit un peu gâché par une gestion déconcertantes de la temporalité.
Lire la critique sur le site : BDGest
LigneClaire
30 septembre 2022
Ce Derrière le rideau jusqu’à Budapest rétablit une vérité, montre d’Aragon à bien d’autres la stupidité coupable de célèbres intellectuels de l’époque. De Moscou à Hollywood, Montand n’a pas fini ses voyages. Dessin très efficace en noir et blanc.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Les voitures du parti sont prioritaires. Les piétons doivent dégager le passage. C'est leur faute s'il y a un accident.  
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Moi, j’ai préféré venir les voir, leur parler, les écouter et leur chanter mes chansons. Bien que les espoirs de leur octobre aient sombré, avec moi, ils ont pendant deux heures, retrouvé le cœur à rire parce que je fais mon métier qui est de distraire les gens.
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Je ne suis pas un homme politique. Mais j’ai la certitude que les échanges culturels sont plus indispensables que jamais à l’heure présente. Pour la détente … pour la paix !
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Les gens ont souvent du mal à faire la différence entre les peuples et les politiques.
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Simone découvre le café de Flore, ses artistes, ses intellectuels, c’est une révélation : là est son monde !
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