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Destiny (dystopie) tome 2 sur 2
EAN : 9782013974257
300 pages
Hachette Black Moon (07/02/2018)
3.99/5   70 notes
Résumé :
Celestine North s’est trompée.
Tout ce en quoi elle croyait a été remis en question.
Chaque sceau d’Imperfection sur sa peau marque une nouvelle désillusion.

Forcée de prendre la fuite depuis que le Juge Crevan l’a décrétée ennemi numéro 1,
Celestine doit faire un choix.
Incarner l’idéal des Imparfaits, ou retourner à sa vie parfaite ?
Que lire après Destiny, tome 2 : ParfaiteVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Prise par l'intrigue du premier tome, j'avais enchaîné avec le second dans l'heure qui suivait ma lecture. J'avais vraiment très envie de savoir quels événements allaient se succéder. Cette suite est dans la continuité de son prédécesseur : elle apporte son flot d'action, une bonne tension, une multitude de manipulations ainsi que son lot de révélations. Même si j'ai préféré le premier opus, j'ai passé un très bon moment et recommande chaudement cette duologie tournant autour de la thématique de la perfection. J‘ai particulièrement apprécié le développement des Imparfaits, ces individus marqués comme des bêtes et rejetés par la société. On les découvre sous un nouveau rôle : celui d'esclaves ou de main d'oeuvre de bas étage qui travaillent comme des forcenés pour l'élite. Malgré leur investissement ou le fait qu'ils ne demandent rien à personne, ils sont toujours considérés comme des parias. Or, aider ou n'engager que des Imparfaits est très mal vu, voire punissable par la loi ! Aux côtés d'un grand nombre de personnages secondaires, le lecteur va découvrir que la plupart des Imparfaits sont innocents… Suite à des injustices, de la jalousie, d'une course au pouvoir ou d'une erreur de jeunesse, la majorité des personnes marquées ne méritaient pas leur sort… Et que dire de ces IDN (Imparfaits de Naissance) qui sont séparés de leur famille le plus tôt possible ? J'ai grandement aimé voir la place des Imparfaits se développer au fil de l'intrigue, l'entraide grandir et la tension être toujours présente. On est dans un climat d'injustice, de rancoeur, de douleur et de révolte.

Celestine va rester fidèle à elle-même : courageuse, bonne oratrice, vive, déterminée et impliquée. La seule chose qui m'a énervée, c'est le fait que tout repose trop sur elle, comme dans la plupart des dystopies. Je comprends qu'elle puisse être un symbole ou une porteuse de message et d'espoir… Néanmoins, je ne tolère pas que personne n'agisse réellement et se contente de laisser la demoiselle parler ou agir au nom des autres. Quatre-vingt-dix pour cent des personnages attendent que Celestine prenne des initiatives ou quémandent son plan ! Pourtant, la plupart sont des adultes et doivent avoir la possibilité de faire bouger les choses… C'est un peu pénible de retomber sur le cliché de l'adolescente qui change la face du monde grâce à sa bravoure et à ses alliés. Étant donné le tournant qu'avaient pris les événements ou le fait que l'auteure n'épargne pas son héroïne, je m'attendais à ne pas retomber dans un schéma habituel. Dommage ! Cela dit, j'ai quand même adoré suivre l'évolution de la révolte et le basculement du pouvoir.

Il y a un grand nombre de personnages que l'on va croiser et qui ne seront pas spécialement développés. J'avoue avoir été un peu perdue, notamment lorsque l'on va se retrouver dans un camp rempli d'Imparfaits. Heureusement, la plupart ne joueront qu'un rôle secondaire, ce qui permettra aux protagonistes et aux antagonistes du premier tome de se revenir en jeu et d'être enfin développés ! J'ai par exemple été conquise par le grand-père de Celestine qui va s'avérer être un homme droit, entêté, courageux, affectueux, un peu dément et avec les pieds sur terre. Une fois de plus, la famille de la narratrice va se montrer très investie et protectrice. Les retrouver a été très plaisant ! L'évolution des antagonistes est également intéressante, car ces derniers vont jusqu'au bout des choses et vont dévoiler plusieurs facettes… le jeu du chat et la souris entre les héros et leur nemesis est vraiment prenante. Mais ma plus belle surprise est réellement Carrick ! J'ai été sous le charme pendant la scène où il apprend à Celestine à utiliser ses sens. Certes, la romance est sans surprise et hyper rapidement cependant, elle est compréhensible. C'est un peu comme dans les romans de zombies : l'horreur des événements rapproche aisément les individus. On met d'ailleurs un certain temps avant de parler d'amour. Bien qu'expéditif, leur rapprochement fut donc touchant. Ajoutons à cela que cette romance ne prend pas trop de place sur l'avancée du scénario, ce qui est très appréciable.

L'action est savamment dosée dans ce second et ultime opus. Il y a donc des moments forts et haletants ponctuant régulièrement les chapitres. Cela dit, on n'est pas sur de les rebondissements en continu : le dialogue, les mensonges, les discours et les jeux de pouvoir ont une grande place dans le récit. On va réellement faire avancer la mentalité de cette société et mettre en avant ses forces ou ses faiblesses. D'ailleurs, à ma grande surprise, on n'est pas sur un final explosif comme on en trouve d'habitude dans le genre young adult. Il faut dire que la tension était déjà à son paroxysme pendant la majorité de l'histoire ! le dénouement est assez prévisible et classique… de plus, on constate plusieurs facilités néanmoins, j'ai été satisfaite. C'est une saga qui a quelques défauts, mais qui vaut vraiment le détour si on apprécie les dystopies comme « Hunger Game » ou « Divergente » (pour ne citer que les plus grands du moment).
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J'ai eu peur de ne pas avoir le même coup de coeur que le premier tome. de plus Cecilia Ahern nous fait à plusieurs reprises des petits retours en arrière. Je n'allais pas oublié le tome 1 puisque j'ai enchainé les deux opus tellement le récit était addictif.
Cecilia Ahern m'a offerte des nuits très courtes….
On retrouve Célestine quelques mois après sa fuite. Un jour très important pour elle qui aurait dû la rendre heureuse et indépendante. Mais Célestin est poursuivie car elle représente le symbole d'une grosse révolte. Célestine devra faire des choix pour sa propre liberté. Elle va devoir refaire confiance en l'être humain et compliqué quand tout le monde a quelque chose a caché.
Imparfaite ou Parfaite? Quel est la meilleure des situations?
Un opus qui clôture avec brio la duologie addictive de Cecelia Ahern. Franchement, ce récit prend aux trippes. En arrivant aux dernières chapitres, je me demandais si l'auteure arriverait à nous proposer un semblant d'happy end, un monde serein.
L'auteure met le lecteur à plusieurs reprises mal à l'aise face aux crimes des imparfaits. le lecteur en devient lui même un criminel, un paria de la société. A sa manière, l'auteure pointe du doigt un gouvernement totalitaire qui prône les bonnes valeurs. Mais on en oublie qu'il n'est qu'un homme ou femme. Un être qui a le droit de faire des erreurs.
On a une ambiance qui rappelle la Seconde Guerre Mondiale où l'on voyait certaines populations marquées jugées indigne de la société par Hitler. Comparer Bosco à Hitler est tout à fait plausible.
J'ai une duologie qui monte en puissance et intense sur deux tomes. Beaucoup de messages forts véhiculés.
La plume de Cecelia Ahern est addictive et fluide. On se laisse facilement embarquée par son univers.
Un immense coup de coeur.
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Ayant apprécié ma lecture du premier tome, j'ai voulu découvrir la suite et fin de l'histoire de Celestine dans cette société où sont désignés des Imparfaits.

On replonge dans ses mésaventures quelques temps après les événements de la fin du premier tome, en compagnie de son grand-père. Seulement, dès le début, on comprend que tout ne s'annonce pas simple pour Celestine qui est toujours recherchée pour ce qu'elle a fait, et surtout pour ce qu'elle sait à propos de la guilde et de ses actes.
Ainsi, durant ce tome, on est dans une intrigue où Celestine cherche à leur échapper tout en essayant de peut-être faire changer les choses pour les Imparfaits qui ne sont que des humains qui sont marqués pour avoir eu le malheur d'avoir parfois commis une simple erreur.
On est pris dans le roman, dans ce combat de Celestine, qui est prise entre deux feux : elle aimerait se battre pour les autres, mais en même temps, elle souhaiterait parfois être un peu égoïste pour pouvoir être certaine de s'en sortir. On comprend qu'elle soit parfois tiraillée entre ces deux façons d'agir, de vouloir sauver les autres tout en voulant se sauver elle-même.
Dans le bouquin, on assiste à une révolution, sourde mais bien présente, et pas seulement du côté des Imparfaits. J'ai apprécié suivre Celestine dans son parcours, essayant d'écouter son instinct et son coeur, sans pour autant toujours chercher à se battre contre tout le monde.

Et ce combat ne se fera pas seule, elle pourra compter sur la présence de personnes de confiance, comme Carrick ou sa propre famille. Malheureusement, il y avait aussi des personnages qui abusaient du peu de confiance qu'elle pouvait parfois accorder, mais cela permettait ainsi de voir les différents camps et points de vue qui s'opposent face à la situation. de ce fait, on appréciera certains et moins d'autres, mais cela dépendra aussi des situations. Ainsi, Celestine m'a parfois un peu exaspérée, mais rien qui ne m'aura freiner durant ma lecture du roman.

Ce que j'ai apprécié est également le message sur la perfection et l'imperfection, comme quoi chaque humain fait des erreurs, et qu'il a besoin d'en faire afin d'apprendre de ses dernières et de se construire et s'améliorer. Ainsi, personne n'est parfait, la perfection n'existe pas, et derrière l'apparente perfection se cache également quelques défauts. Je trouve que cela permet de critiquer d'une certaine manière notre société où l'on a de moins en moins le droit à l'erreur, où tout ce qu'on fait ou presque doit être réussi. On le voit notamment en France, même si ce n'est pas exactement ce qu'on voit dans le roman, avec le système d'éducation à l'école où les élèves ont parfois peur de tenter leur chance quand on pose une question, de peur d'être moqué par les autres voire par l'enseignant, avec une grande peur de l'échec et de l'erreur.

Mais on n'a pas seulement cette critique d'un système où tout doit être parfait ou presque, puisque le roman parle aussi d'un système qui utilise la peur pour garder son pouvoir sur la population. Lors d'un passage, on voit ainsi jusqu'où tout cela peut aller quand des gens veulent asseoir leur autorité en faisant pression sur les gens par la peur du rejet. Ce passage, bien que particulier voire choquant lors de sa lecture, nous montre la cruauté de certaines personnes pour garder le pouvoir sur les gens en jouant sur leur peur, la peur de se retrouver rejetés et exclus par la société et de devenir des parias.

Concernant la fin, j'ai apprécié la découvrir bien qu'il y ait un passage concernant Celestine que je n'ai pas forcément compris. En effet, celle-ci choisit une drôle de manière d'affirmer ce qu'elle est, et je pense sans qu'elle n'ait réfléchi aux possibles conséquences que cela pourrait engendrer. Mis à part cela, j'ai plutôt apprécié la conclusion de ce roman sur cette société où l'imperfection et les erreurs sont durement condamnées.


Pour conclure, j'ai apprécié faire cette lecture que j'ai mieux apprécié que le premier tome, que j'avais certainement dû lire à une période qui n'était pas idéale pour ce roman qui est pourtant intéressant. J'ai aimé découvrir le fin mot de l'histoire sur cette société où l'imperfection est rejetée, j'ai apprécié ce que cette duologie soulevait de par les thèmes traités. Ainsi, on comprend derrière l'histoire de Celestine et des autres Imparfaits que la perfection n'existe pas et que c'est justement en faisant des erreurs qu'une personne peut se construire et s'améliorer.
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--- Vite, vite ! ---

J'ai lu ce deuxième tome en moins de 48h, sans prendre le temps de m'arrêter sur les sentiments que cette lecture éveillait en moi. J'étais tout simplement avide de savoir la suite, le premier volet m'ayant enchantée.

Pourtant, ce n'est pas un coup de coeur, même si je suis incapable d'expliquer pourquoi. Trop d'attentes ? Peut-être. Enfin bref, disons qu'il n'y a pas eu la petite étincelle, même si j'ai passé un très, très bon moment en compagnie de Celestine.

--- Des mots, plutôt que des actes ---

Je m'attendais à de l'action en ouvrant ce livre et il y en a eu, c'est certain. Mais n'oublions pas que l'histoire se déroule dans une société où la mise en scène et les discours opportuns ont plus de poids que les agissements.

Il est d'ailleurs facile de faire le parallèle avec la saga Hunger games, où Katniss se trouve, malgré elle, propulsée à la tête de la rébellion. Ici, c'est Celestine qui est un symbole d'espoir pour les Imparfaits et leurs proches, victimes par ricochet. Elle a bien changé depuis l'époque où elle vivait une vie normale de lycéenne ; dans les moments importants, elle est suffisamment inspirée pour dire et faire ce qu'il faut.

C'est peut-être ça qui m'a choquée, au premier abord. Bien qu'elle se sente perdue, notre héroïne finit toujours par savoir quoi faire. Et, malgré mes quelques réserves, c'est parfaitement réussi ! J'ai été embarquée dans un tourbillon d'évènements, exactement comme dans le premier opus. Trahisons, sauvetages désespérés, manipulations : un cocktail explosif et haletant !

--- Un style direct et percutant ---

Je crois que c'est le gros point fort de ce récit. Il n'y a pas de fioritures, pas de demi-mesures dans les dialogues.

--- Une romance dosée à la perfection ---

C'était l'une de mes plus grandes craintes, car le premier tome annonçait déjà les sentiments de Celestine pour Carrick. Heureusement, Cecelia Ahern n'a pas placé cette romance au coeur de l'intrigue, ni idéalisé leur relation. À l'heure où les romans young adult se reposent en grande partie sur les histoires d'amour, je remercie l'auteure d'avoir fait différemment, pour une fois.

--- Et le final ? ---

Il n'est pas si spectaculaire, pour être honnête. Et tant mieux ! Comment achever autrement ce diptyque qui n'a fait qu'aller crescendo ? Faire plus aurait été impossible. Les choses devaient donc s'apaiser, enfin.

Un seul bémol au compteur : j'ai trouvé que cela se terminait un peu trop bien, mais on reste dans du YA, alors…

Lien : https://lesfantasydamanda.wo..
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comme le premier tome, ce final est en demi-teinte.

celestine a fuit la vigilance de sa siffleuse et aussi sa famille pour pouvoir échapper a Crevan qui veut l'empêcher de dévoiler ce qu'elle sait. on approche de la fin, d'un tournant pour le pays. est-ce qu'il restera aux mains d'un gouvernement qui n'accepte aucune erreur ou dans celles de ceux qui veulent être libres ?

globalement, je suis ressortis du livre avec une impression assez positive. encore une fois, j'ai assez aimé celestine, je trouve vraiment que c'est un bon personnage, humain, maladroit et assez réaliste (hors du cadre dystopique je veux dire) mais ça n'a pas suffit a m'emporter.

en fait, tout paraissait assez "facile". bourré d'embûche mais de dénouement évident, ça ne laisse pas le temps d'avoir peur, de stresser, de s'inquiéter que déjà, c'est réglé, on passe a la suite. ça m'a enlevé ce que j'aime le plus dans les dystopies (au-delà de certaines réflexions qu'elle amène): les rebondissements haletants.

au final, ma lecture m'a plutôt laissé de marbre, évidemment j'ai aimé, évidemment j'ai lu jusqu'au bout mais une fois refermé, je me dis que c'était bien. rien de plus. c'était sympa, c'était fluide a lire mais c'est tout.
et c'est dommage parce que le premier tome laissait entrevoir quelque chose de plus fort pour le tome.

ni le début, un peu long, ni le milieu, fait de rebondissement éclairs, ni la fin, presque trop facile et a la fois un peu trop vague ne m'auront totalement convaincu.
une bonne lecture mais qui ne bouscule pas.
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Pour nous, les femmes, les habits sont une source de plaisir, un moyen de masquer nos défauts, d'accentuer nos atouts. Nos vêtements sont une extension de notre être, un reflet de ce que nous pensions et ressentons. C'est tout cela que les Siffleuses viennent de nous arracher, nous n'avons plus rien à cacher ni à montrer, physiquement et moralement. Même les moins complexées d'entre nous sont gênées : ces robes rouges, ces uniformes, sont dégradantes. On nous a arraché notre individualité, ce qui nous rendait uniques. On nous a expliqué que nous ne comptions pour rien, que nous étions insignifiantes. Nous ne sommes qu'une masse, une armée affaiblie d'imperfections.

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J'oubliais... dans la vie, il y a aussi ces gens très spéciaux, qui possèdent la capacité de nous aimer malgré tous nos défauts.

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Il faut parfois une vie entière pour établir une amitié - il faut parfois d’une seconde pour se faire un ennemi.
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Rien d'animal chez nous, affirme Raphael en guettant nos réactions. J'attends vos vannes. Je suis vegan. Je refuse que l'on tue des animaux pour se nourrir, se vêtir ou décorer un logement. Ici, tout est faux, y compris le cow-boy sous nos pieds. Je l'ai baptisé Wayne. (Une pause.) Je sais, je sais... nain et vegan. Pas évident de trouver un bon restau. Mais c'est pire pour ma sœur. Elle est allergique au gluten.

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Si quelqu’un gagne, c’est que quelqu’un d’autre a perdu. Or si une personne a gagné, c’est forcément qu’elle avait perdu quelque chose à la base. La justice a ceci d’ironique que les sentiments qui la précèdent et ceux qui en découlent ne sont jamais justes ni équilibrés.
La justice elle-même n’est pas parfaite.
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