Chancel, ou l'art de déclarer sa flamme à la télévision après quarante ans d'une union féconde, tout en pointant du doigt ses infidélités de plus en plus manifestes.
Lire la critique sur le site : LePoint
Jacques Chancel, dont on prend souvent la bienveillance pour de la complaisance, se lâche dans ce livre gourmand et espiègle.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Je ne l'ai pas connue à ses débuts mais cela fait tout de même quarante ans que nous nous fréquentons : la télévision aura été - est encore- l'une de mes occupations favorites. J'ai pour elle plus d'amour que de détestation.
Jean d’Ormesson est doué pour ce rôle. Il sait raconter, s’étonner au bon moment, placer une citation au bon endroit, se plaindre – « Je suis hanté par le temps » –, s’épanouir – « J’ai tant aimé la vie que j’aimerai la mort » –, s’accorder aussi au silence en plein programme, et ce n’est pas le moindre de ses bruits.
« Surtout n’emmerde pas les autres avec tes propres emmerdements. »
Monsieur Chancel père
J’admire que la France (Canal Plus) ait su imposer son propre style dans le domaine essentiel de la fiction avec Braquo, Pigalle, Carlos, XIII, Les Borgia.
« Retenez cet avertissement de Mme du Châtelet : La plus grande vengeance que l’on puisse prendre des gens qui nous haïssent c’est d’être heureux. »
Hommage à Jacques Chancel, rediffusion de 'L'Invité' du 30/07/2013 (Patrick Simonin, TV5 Monde).