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Divines tome 1 sur 3
EAN : 9782811649487
Pika Edition (12/06/2019)
3.41/5   57 notes
Résumé :
Quand Eniale, l’ange, et Dewiela, la démone, ne sont pas occupées à se livrer bataille, elles s’unissent malgré elles pour toute sorte  d’actions sur notre Terre  ! Retrouver la mère d’un bébé abandonné, arpenter Paris en quête des dernières tendances, échapper à un exorciste fou furieux, répondre à la prière d’une enfant dont la mère est souffrante… Eniale et Dewiela ont fort à faire et lorsqu’elles débarquent, c’est la pagaille assurée. Le monde des mortels va êtr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
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Les éditions Pika surfent sur le succès mérité de "L'Atelier des sorciers" pour publier une autre série de Kamome Shirahama intitulée "Divines" et qui raconte les tribulations de l'ange Eniale qui doit sauver des âmes et de la démone Dewiela qui doit damner des âmes : les deux fashion victims sont rivales depuis tellement longtemps qu'elles sont devenues amis, mais chassez le naturel il revient au galop et leurs affrontement tournent toujours à la catastrophe…

"Chapitre 1 : L'ange, le démon et le cadeau du ciel"
L'ange Eniale et la démone Dewiela font une trêve pour retrouver la mère d'une bébé trouvé sur le lieu de leur dernier affrontement en date. Possession d'artiste, pluie de tracts sataniques, hacking des systèmes de communication du monde entier et invocation d'un kaijû prenant la forme d'un caniche géant de centaines de mètres de haut faisant 200 fois la superficie du Tokyo dôme… Mais ce n'est pas la mère qui se manifeste, mais le père, et là c'est le drame ou la crise de fou rire (avec un humour corrosif pour les athées et blasphématoires pour les christianistes, tel qu'on pouvait le lire dans Charlie Hebdo avant que Philippe Val et Caroline Fourest n'en fasse un journal en voie de disparition spécialisée dans l'islamophobie)

"Chapitre 2 : Paris, les emplettes et l'exorciste"
L'ange Eniale et la démone Dewiela font une nouvelle trêve, cette fois-ci pour renouveler leur garde-robe à Paris, capitale de la mode donc de la décadence. Tout se passait bien avant que l'exorciste Adam Donovan ne tombe par hasard sur Dewiela qu'il pourchasse depuis une éternité, et l'ange prenne bien maladroitement la défense de la démone...

"Chapitre 3 : La prière, la petit fille et les p'âme'potes"
Désespérée, la petite Maria prie Dieu, le Diable et Bouddha se sauver sa mère victime d'un système de inégale, injuste, et aussi inefficace que corrompu qui offre des omelettes aux caviars aux clients fortunés mais qui laisse plus ou moins crever les patients moins fortunés (vous savez, ce genre de saloperies anglo-saxonnes ultralibérales et néoféodales que veut nous imposer à tout prix cette saloperie de Macronie). Dewiela lui propose de vendre son âme en échange de la santé de sa mère, mais Eniale fait très fort en provoquant un tel bordel qu'Azraël l'Ange de la Mort est obligé d'intervenir en personne !

"Chapitre 4 : le spa, le jardin d'Éden et la vengeance"
Suite aux événement du chapitre précédent l'ange cadre supérieur Eniale a bénéficié de la plus grosse prime de l'Histoire du Paradis et pèche par paresse en profitant de vacances bien méritées. La démone cadre supérieure Dewiela qui a elle a été le dindon de la farce desdits événements veut prendre sa revanche : dépouiller sa rivale de son magot en l'obligeant à recourir aux services payants du démons supérieurs Crocell… Eniale qui ne veut pas retourner sur son lieu de travail ne peut que constater l'état déplorable de ce qu'il reste du Jardin d'Eden, et Dewiela lui propose de construire son propre paradis sous la forme d'un inégalable spa de luxe. C'est là qu'Eniale pèche par envie, et de caprices de princesse pourrie-gâtée en catastrophes mondiales Crocell finit par pétér un câble !

Les Grands Anciens parmi vous retrouveront peu ou prou l'univers du jeu de rôle In Nomine "Satanis / Magna Veritas" réalisé par Croc, mais avec un esprit résolument CLAMP (remember "Wish") et un humour irrévérencieux qui n'est pas sa rappeler celui de Kevin Smith dans son film "Dogma" (vous savez, celui qui a été violemment pris pour cible par les christianistes yankees).
Les graphismes sont de haute qualité et la série ne fait que 3 tomes, donc serait hautement recommandable pour les bibliothécaires et les professeurs documentalistes de France et de Navarre, mais comme on joue beaucoup sur le côté glamour voire sexy d'Eniale et Dewiela avec un humour assez osé je suis obligé de signaler qu'elle est beaucoup moins grand public que "L'Atelier des sorciers" (d'ailleurs chez Pika on n'est pas débile donc on l'a classifiée en seinen)...
Lien : http://www.portesdumultivers..
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Ayant adoré l'Atelier des sorciers, difficile de passer à côté de l'autre saga de Kamome Shirahama. Si le genre est totalement, mais alors totalement différent, j'ai tout de même bien accroché à cette série humoristique sans réelle prise de tête. le côté moqueur et plein de dérision, nous entraîne dans la petite vie d'Eniale & Dewiela, respectivement une ange et une démone, qui malgré leurs différences sont les meilleures amies du monde. Étincelles, et situations cocasses en approche.

L'auteur nous embarque directement dans l'univers de nos deux héroïnes sans nous expliquer ce qui en retourne. Comme dans beaucoup d'oeuvres littéraires, cela passe ou casse. Pour moi, une très bonne idée. On évite le côté trop explicatif que la série ne cherche vraiment pas à mettre en avant, et puis, on assiste ainsi à une scène qui nous donne tout de suite la couleur. En quelques pages, le lecteur comprend très vite que le manga ne se veut pas prise de tête, en utilisant des clichés à tout va, et des situations ubuesques. Les deux amies se remontent autant le moral qu'elles se crêpent le chignon. C'est mignon, sexy et drôle. Une suite d'aventures plus dingues les unes que les autres et qui jouent sur tous les aspects de la religion, et d'une amitié entre deux personnalités totalement opposées. Il n'y a pas de fil conducteur, et je ne pense pas qu'il y en aura réellement par la suite, ce qui ne me dérange pas vraiment. Autant dans d'autres sagas, j'aurais trouvé cela étrange, mais avec seulement trois tomes, je trouve que c'est un choix plus prudent. Des scénettes donc, un peu comme les bandes dessinées à la Boule et Bill ou Cédric, pour un public un peu plus averti, mais qui font très bien leur job.

La bienveillance et cette amitié "contre nature" sont aussi deux choses que j'ai beaucoup apprécié. Qu'Eni et Dewi soient amies ne posent pas réellement de problème aux deux camps (du moins pour l'instant) et nous voyons autant interagir les anges et les démons avec l'une ou l'autre. Des rivalités, oui, cela va de soit, mais l'humour général ne laisse pas trop la place à quelque chose de plus grave. du coup, les pages se tournent avec ce sentiment que la religion a bien sa place ici, mais sans ce côté trop moralisateur et oppressant. Au niveau de l'amitié, j'ai trouvé que Dewi était celle qui était le plus impliquée dans cette relation, en un sens. Je pense que c'est surtout dû au fait qu'elle soit un démon, et contrairement à Eni qui est un ange, on ne s'attend pas à cette gentillesse et au fait qu'elle se soucie de son amie. Pour l'une, c'est quelque chose de naturel, mais pas pour l'autre. Et Dewi se retrouve donc à être celle que j'ai trouvé la plus adorable. On sent qu'elle tient à cette relation, et que même si son côté démoniaque fait son apparition de temps à autre, c'est une bonne amie.

Avec deux héroïnes attachantes, Divines est un manga qui ne se prend pas au sérieux, mais qui reste de qualité pour moi, autant graphiquement qu'au niveau du choix du traitement de l'histoire. Ne pas s'attendre à quelque chose se rapprochant de l'Atelier des sorciers, plus complexe et plus abouti, mais une série à suivre, ainsi que sa mangaka.
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Ayant découvert que la saga Divines était en trois tomes je n'ai pas tout de suite sauter sur l'occasion car je pense que j'aurai été déçu, mais j'ai quand même craqué sur la belle Angeles et la jolie démone se crêpant le chignon et tout aussi fashion victim l'une que l'autre.

Se composant d'histoires totalement indépendante séparées en chapitres, nous suivons le quotidien de Eniale l'ange aidant les mortels et Dewiela la démone les aidant également mais en échange de leur âme (classique évidement), à cela s'ajoute un chasseur de démon autant dire que tout ce beau monde offre de belles péripétie

Kamome Shirahama l'auteur de l'excellent L'atelier des sorciers offre un seinen drôle, sexy, émouvant et beau à l'oeil.

On s'attache à nos déesses (bien que d'avoir une préférence pour Dewiela la diablesse) de la mode dans ce premier tome et je continuerai à les suivre dans les deux tomes suivant.

Une valeur sure donc.
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Après l'excellent manga « L'atelier des sorciers » les éditions Pika reviennent nous proposer un autre titre de la talentueuse Kamone Shirahama, avec le premier tome de Divines – Eniale & Dewiela, une série terminée en trois tomes, parue en 2016 au Japon.

« L'atelier des sorciers » reste encore mon coup de coeur de l'année 2018, tant j'ai adoré l'univers et la patte graphique de la mangaka. Il faut dire que Kamone Shirahama est diplômée des Beaux-Arts de Tokyo et ça se voit dans chacune de ses planches. C'est le cas une nouvelle fois avec « Divines – Eniale & Dewiela » même si j'ai trouvé le trait un peu moins fin que dans « L'atelier des sorciers ». Il y a en tout cas beaucoup de travail sur les tenues des personnages et sur les décors, toujours très riches et travaillées.

Mais voilà, « Divines – Eniale & Dewiela » est avant tout un manga d'humour, qui nous présente Eniale, une ange et Dewiela, une démone qui n'est font qu'à leur tête et à qui il arrive des mésaventures lorsqu'elles descendent sur Terre. Tantôt elles vont sa lancer à la recherche des parent d'un bébé égaré dans un parc, tantôt elles vont faire du shopping à Paris, ou encore elles vont vouloir se créer un Spa au style Jardin d'Eden.

Chaque chapitre est indépendant et de fait, il n'y a pas vraiment d'histoire suivie dans ce premier tome. C'est fun à lire, cela pourrait être amusant, mais à titre personnel, je me suis un peu ennuyé. Je pense qu'après l'excellent « L Atelier des sorciers » je ne m'étais pas préparé à lire un titre drôle et sympathique, mais qui, si on lui enlève son style graphique, ne restera pas dans les mémoires. C'est divertissant mais sans plus.

Ce titre fonctionnera très bien si vous adhérez à l'humour mis en place par la mangaka, qui est, avouons-le, assez girly, un peu trop à mon gout. le shopping, les bébés et les crêpages de chignon pour un rouge à levres ou un fond de teint, ce n'est pas vraiment ce qui m'attire. Chacun jugera ce titre suivant ses attentes humoristiques, mais sur moi, ça n'a hélas pas fonctionné.

De fait je ressors un peu déçu de ma lecture, peut-être avais-je placé la barre trop haut étant donné que j'adore « L Atelier des Sorciers » ? Or, il est clair que « Divines – Eniale & Dewiela » n'a rien à voir et ne vise, sans doute pas le même public. Après, j'ai appris avec les titres humoristiques qu'on ne les percevait pas tous de la même manière, donc je vous conseille malgré tout de le tester, surtout si vous aimez le style graphique de la mangaka, qui est toujours aussi bon.
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Avec le succès de l'Atelier des sorciers, son éditeur Pika a eu l'idée de nous proposer l'un des titres précédents de l'autrice : Divines - Eniale & Dewiela, datant de 2014. Si on y retrouve la superbe patte graphique de la mangaka, on est bien loin de l'histoire qui a fait son succès en France, Divines étant surtout un titre humoristique mettant en scène un ange & un démon. Alors si vous cherchez une belle et grande aventure comme dans l'Atelier des sorciers, passez votre chemin, mais si vous voulez un petit titre humoristique assez court, celui-ci pourrait vous plaire.

Après les apprentis sorciers, ce sont donc un ange (Eniale) et un démon (Dewiela) qui nous suivons dans Divines pour des aventures très différentes. Les deux héroïnes, Eniale et Dewiela, sont très différentes et semblables à la fois, c'est pour ça qu'elles s'entendent si bien. le temps de 3 tomes nous allons donc suivre leurs péripéties toutes plus drôles les unes que les autres, mais un peu sans queue ni tête parfois.

En effet, l'autrice nous balance en plein dans leur monde sans rien nous expliquer avant. On découvre rapidement les deux femmes mais leur personnages ne sont pas vraiment creusés par la suite. Elles sont juste prétextes à reprendre les clichés sur les anges et les démons pour parfois y plonger, parfois leur tordre le cou, mais toujours pour nous faire rire à leurs dépends. On les voit donc passer leur temps à se chamailler et se rabibocher, souvent autour de question typiquement féminines dans leur mise en scène (maquillage, vêtements, sources thermales...). C'est fort léger.

Je dois avouer que sur le papier, même si c'est cliché, ça n'a rien pour me déplaire, mais dans les faits j'ai trouvé cela très surfait. Il manque clairement de profondeur dans ce titre même pour un titre humoristique. C'est dommage parce qu'il y a possibilité de faire quelque chose on le sent, que ce soit la question de l'opposition ange/démon, ou encore sur les troubles qu'elles occasionnent sur Terre, mais l'ensemble est vite relégué au second plan malheureusement.

D'un point de vue graphique, rien à dire, c'est encore splendide même si ça n'atteint pas le niveau de l'Atelier des sorciers. Il y a un petit air d'Aki Irie (Le monde de Ran) qui n'est pas pour me déplaire. L'humour est bien rendu, tout comme les phases plus rapides et rythmées. On sent ici les prémices de ce qui rendra sa série en cours si savoureuse.

Au final, je suis contente de l'initiative de Pika de suivre cette autrice et de nous permettre de découvrir ce qu'elle a fait d'autre. Je regrette cependant que la qualité ne soit pas entièrement au rendez-vous et que l'histoire soit si légère même pour un titre humoristique. Heureusement le titre ne fait que 3 tomes, je le poursuivrai donc dans l'espoir d'une amélioration, mais dans le genre, je m'amuse bien plus avec Ranma, Yotsuba ou Amanchu.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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critiques presse (1)
Sceneario
12 août 2019
Même si le principal intérêt de ce premier volume reste le dessin, c'est aussi une bonne occasion pour se laisser emporter dans une suite de petits chapitres bien WTF.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
- Paris !
- L’Avenue des Champs-Élysées, les arcades du marché aux puces…
- Charnel, Louis Bitton…
- Tior, Kermès et j’en passe… C’est vraiment la ville sainte de la mode !
- Oui ! La capitale de la décadence !
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- Style classique… Noir et blanc… Robe de soirée… Tenue de créateur… Ou encore décontractée, voire vintage... La mode est l’une des cultures les plus fabuleuses que les humains aient jamais créées…
- D’ailleurs la mode n’a pas été transmise par Dieu.
- Non ! C’est l’histoire et le travail des hommes qui l’ont façonnée.
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Merci, Eni. Grâce à toi, j’ai compris que dans la vie, il vaut mieux compter sur son ingéniosité que sur un potentiel miracle !
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« Un jour » ? Oui, mais quand ? Quand est-ce que Dieu va me remarquer ? Jusqu’à présent, personne n’a encore vu maman ?!
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Vidéo de Kamome Shirahama
Le tome 10 collector de L'Atelier des Sorciers est disponible depuis le 14 septembre ! Une réimpression de ce collector arrivera en janvier 2023.
Découvre le tuto pour user de votre sceau, signé Kamome Shirahama, comme un.e vrai.e sorcier.e
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