Ce tome 2 se découpe en deux parties très distinctes, la première très aventureuse et la seconde prenant un ton beaucoup plus tragi comique. Il est d'ailleurs délicat de distinguer l'aspect tragique de l'aspect comique, notamment à la lecture du monologue de Elle.
Les deux parties sont donc distinguées par la rencontre avec Elle, Ayesha de son petit nom. La différence de ton peut déstabiliser d'autant que le ton tragique tourne litérralement à la pièce de théâtre. Je ne connais pas l'oeuvre originale dont est tirée cette bd. Peut être est ce là une adaptation fidèle...! mais cela tourne pratiquement à la dérision ou à l'excès et on ne sait sur quel pied danser. Il faudra noter que l'humour lourdingue du premier tome a disparu même si quelques traces persistent dans la première partie. Et ce n'est pas un mal.
Toujours est il que la rencontre tellement attendue se fait longuement attendre ( une demie bd quand même!) alors que le personnage tant attendu en question, Elle donc, apparaît très clairement en fin de tome 1. C'est un comme si celle ci mettait les personnages à l'épreuve, comme si elle testait leur courage et leur volonté. C'est comme si elle cherchait à savoir s'ils sont dignes d'elle. Bref c'est un peu touffu quand même.
La rencontre tant attendu donc est plus que théâtralisée, et ne casse pas trois pattes à un canard puisque tout est prédit. Seulement, Elle promet des révélations fulgurantes sur Léo Vincey, ce qui nous pousse à lire le tome 3... pour en finir...
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Une deuxième partie aventureuse puissante, riche, aux accents fantastiques, dévoilant une rencontre exotique des plus attendues et qui trouvera sa conclusion dans le prochain épisode.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Mais, benêt d'étranger! Ne sais tu pas qu'ici les femmes font ce qui leur plaît?! Que nous cédons à tous leurs désirs puisqu'elles sont la source de la vie!
Personnellement je n'aime pas le goût des étrangers, mon babouin, surout lorsqu'ils se sont perdus dans les marais. Ils ont une saveur de poisson pas frais... Ils sentent la décomposition...
Connais tu le proverbe? Méfie toi des tous les hommes... Quant aux femmes, fuis les car elles sont mauvaises et finissent toujours par détruire.