Eh bien, figurez-vous que ce livre a été traduit en roumain (en 2009) ce qui est tout à son honneur. J'y ai donc découvert des anecdotes avec d'amusants traits d'esprit, y compris sur le parcours « romanesque » de son auteur. J'ai relevé dans la préface signée par
Maurice Rheims un mot-clé, qui constitue à lui seul et dans l'absolu un drôle de point commun avec la Roumanie : « cassoulet », dans « du danger de transporter du cassoulet », qui coûta la vie à
Ambroise Vollard comme une sorte d'inconvénient d'être né un galant homme.