Le titre évoque un polar florentin, mais aussi le jaune-ocre de la ville de Florence, par une auteure qui situe son roman et son détective privé, perspicace mais nonchalant, dans le cadre de sa belle cité d'art. Il est justement question d'histoire de l'art dans l'intrigue - un chantage qui vise un couple - de chercheurs passionnés, de messages chiffrés sur des parchemins du XVe siècle, d'antiquaires et d'une mystérieuse cassette à secrets. Plus que par le suspense, le roman vaut par son inimitable charme florentin, mi-art de vivre, malgré la cohue touristique, mi-fréquentation quotidienne de la beauté. le ton, est plein de vivacité et d'allusions cultivées, avec une vision en abîme du thème du roman policier. Une lecture agréable et détendante.
Lu en V.O.
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In discesa i diversi piani della città si intravedevano in continuità, l'uno di seguito all'altro, e si perdeva un po' la sorpresa di voltarsi a guardarla, sempre insolita, vista da li, straordinaria ad ogni livello successivo, anche dopo quarant'anni che la guardava, la sua città.
Il colore prevalente di Firenze era senz'altro il giallo. Un giallo tipicamente fiorentino. Da più di vent'anni c'aveva a mente una citazione proustiana, sul odore di Firenze, che forse avrebbe dimenticato soltanto nel momento in cui l'avesse davvero vissuta, sulle orme di Proust, anche lui quell'esperienza.
Dans la descente, on entrevoyait en continuité les divers plans de la ville, l'un à la suite de l'autre, et on perdait un peu la surprise de se retourner à la regarder, toujours différente, vue de là, extraordinaire à chaque étape successive, même depuis quarante ans qu'il la regardait, sa ville.
La couleur dominante de Florence était, indubitablement, le jaune. Un jaune (un polar) typiquement florentin.. Depuis plus de vingt ans il avait en tête une citation proustienne, sur l'odeur de Florence, qu'il n'oublierait peut-être qu'au moment où il la vivrait réellement lui aussi, cette expérience, sur les traces de Proust.