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EAN : 9782213625539
322 pages
Fayard (08/02/2006)
3.75/5   73 notes
Résumé :
Garnick est né en 1900 dans une famille arménienne. Pour son petit-fils, qui le subit avec dégoût, c'est " un clodo, une merde ". Pourtant, quelle vie ! Pour la saisir, il faut remonter à la révolution bolchevique : les Rouges ont massacré sa famille. Resté seul, le jeune Arménien rejoint les " Cosaques bouffeurs de cocos ". Commence alors une cavalcade aventureuse à travers l'Europe, l'Afrique du Nord et la Guyane, à travers un monde où l'innocence finit toujours l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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titre : Grand père
Auteur : Jean-louis Costes
Editeur : Ring
Année : 2019
Résumé : Un clodo, une merde, un parasite. C'est ainsi que le narrateur voit son grand-père, un vieil arménien borgne violent, alcoolique, qui traîne son spleen sur les trottoirs de Paris et bat sa femme quand il n'est pas occupé à cuver sa vinasse devant sa télévision. Et pourtant quel destin. Garnick est né en 1900,  il assiste au massacre de sa famille puis s'enrôle dans une section cosaque qui répand la terreur chez les communistes. Après des années de meurtre, de viol et de folles cavalcades, l'arménien rejoint la légion étrangère française et s'engage dans les conflits coloniaux en Afrique du nord. Dans un dernier baroud d'honneur, Garrick commet un meurtre sur le territoire français, une affaire de moeurs. Il est déporté au bagne, en Guyane, avant de finir les ailes rognées, dans un appartement minable de la capitale française. Ce récit est son histoire.
Mon humble avis : Âmes sensibles s'abstenir, Grand père est clairement un texte à ne pas mettre entre toutes les mains. Scatologie, violence extrême, pornographie, nous sommes ici plus proche d'un Bukowski sous amphétamines que de la production habituelle des écrivains français contemporains. Et alors verdict me direz-vous ? J'ai adoré ce roman, je l'ai lu quasiment d'une traite et je vais tenter de vous expliquer les raisons qui motivent cet enthousiasme. D'abord l'écriture. Costes, qui est une figure de l'art underground, ne s'embarrasse ni d'articles, ni de phrases longues, ni de grandes envolées lyriques sur les massacres et la folle destinée qu'il relate. Ici on est dans le brut, dans le tripes-caca-sang comme il aime à le souligner. Garnick, le héros de ce roman, est un monstre, un pogromeur pogromé, un homme qui ne vit que pour la violence, le sang et le sexe contraint. Evidemment son histoire tragique explique en partie cette fureur, mais l'auteur ne cherche aucune excuse à cet aïeul, il relate les faits, au plus près du sang et des tripes répandues. Certains détesteront ce roman, certains n'y verront qu'une succession de scènes choquantes et je peux les comprendre. D'autres, comme votre humble serviteur, y verront une poésie, un langage particulier qui décrit l'inhumanité brillamment, un chaos d'où la lumière jaillit, une lecture qui réveille, qui bouscule. Déconcertant, hilarant peut-être, Grand père est un bâton de dynamite, un texte infâme qui pourtant, parle admirablement bien de la filiation, des legs familiaux et de la rage. Une rage folle qui habite chaque ligne et fait de ce roman un grand livre, un de ceux qui marque. Oui Grand père est un roman effroyable, l'histoire d'un petit fils embourbé dans un héritage de haine et de sang, l'histoire d'un homme qui a dédié sa vie à l'abjection, l'histoire d'un homme marqué à jamais par le massacre de sa famille. Une curiosité, une claque, un livre différent.
J'achète ? : Oui sans aucune hésitation si tu as le coeur bien accroché. Une vraie découverte et un texte d'une force rare.
Lien : https://francksbooks.wordpre..
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L'auteur s'est enfermé six mois dans une cave pour vomir ce texte au rythme martelant, énurésie verbale d'horreurs scatologiques, diarrhée d'expressions sorties d'une imagination malade, borborygmes d'un esprit agonisant la haine. Il raconte l'histoire de son grand-père, Garnick Sarkissian, un « putain » d'immigré arménien dont l'activité la plus marquante aura été le pogrom et tabasser sa femme. Au cri de guerre, « Ta ma daga ! », ce vieil alcoolique dégénéré assassine, tue, viole, dans le temple de sa vie abominatoire, au frontispice duquel on peut lire : « tripe-caca-sang et sperme ». Il est l'artisan compulsif de la mort, l'ouvrier obséquieux de l'anéantissement de toute humanité.
Garnick Sarkissian est un bel enculé !
« Grand-père » de Jean-Louis Costes est un ovni. A découvrir, bien évidemment, à condition d'avoir la tripe bien accrochée et, sait-on jamais, un sac en papier à portée de gerbe.
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"Tripes-caca-sang" !

"La Mécanique Générale", la collection poche des éditions RING, réédite le roman de Jean-Louis Costes GRAND PERE, et ça cogne fort !

Le grand père en question, c'est Garnick Sarkissian, arménien né avec le siècle dernier.
On génocide son peuple, il en réchappe, et devient le "pogromeur pogromé" en rejoignant les cosaques blancs qui ravagent la steppe au nom de la lutte contre les bolchos.
Ce n'est que le début de sa carrière sanglante, faite de massacres et de viols…

"Un grand roman épique entre Céline et Bukowski" Nous dit Thierry Ardisson.
je suis assez d'accord avec cette formule, il y a en effet un aspect célinien au roman de Costes, ce déferlement imprécatoire rappelle-un peu- l'auteur du Voyage, mais c'est peut-être le parallèle avec Bukowski qui est le plus pertinent : scatologie, crudité, pornographie sont omniprésentes dans ce roman.

Autant le dire ; il faut avoir l'estomac bien accroché pour lire Costes, l'expression "Ames sensibles s'abstenir" s'applique parfaitement à son cas !

Cette litanie de massacres, d'horreurs, de bassesses pourrait être lassante, mais, c'est là que se révèle le talent de l'auteur, nous suivons presque malgré nous ce récit aussi glauque, dérangeant, brutal qu'il soit.

"Tripes-caca-sang"!, oui, mais du beau boulot tout de même !


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« Salouparddddd, faaniant, bon a rrrrien. Ta ma daga!
Ta ma daga? C'est quoi? On comprenait rien de ce qu'il disait. » p.9

À livre particulier, retour un peu particulier.
Je viens de refermer le livre Grand Père de Jean-Louis Costes. Je l'ai acheté par curiosité un peu morbide, un peu malsaine. J'ai entendu parler de son auteur depuis de nombreuses années, par sa musique, ses idées, quelques émissions de télé, des personnes qui ont eu l'occasion de le rencontrer, de discuter un peu avec lui et qui m'avaient raconté. Personnage de la scène underground, c'est un milieu qui m'attire autant qu'il m'effraie. Mais ce livre, j'en ai tellement entendu parler que j'ai voulu me faire mon propre avis. Et puis quand un livre est annoncé comme dans sa version non censurée, ça aiguise mon côté voyeur. J'ai voulu tremper mon sucre quoi. J'étais prévenue…

« Franchement, tu piquais grave de grave, Bon-Papa! » p.36

Comme le titre l'indique, Jean-Louis Costes raconte ici la vie de son grand-père. Né en 1900 en Arménie, Garnick Sarkissian est le fils du maquignon d'un petit village. L'Arménie est depuis la nuit des temps une terre déchirée par les guerres entre ses proches voisins, les turcs et les russes. En 1915 les tsars ont été découronnés, le territoire devient le terrain du conflit entre les communistes soviétiques et les pro-royalistes cosaques. C'est le début des pogroms en Arménie et d'un abominable génocide. le fils du marchand de chevaux, adolescent, échappe miraculeusement à deux massacres qui vont décimer toute sa famille et sa communauté. Il survit de corps, mais son esprit s'emplit d'une haine sans limite et rejoignant les cosaques il ne va avoir de cesse de se venger. Ce qu'il a subi il va le faire subir et n'aura pas assez de toute sa vie pour soigner la violence par la violence.

« Tous, femmes enfants vieillards et salopards, sont volontaires pour faire la révolution. Ils se disputent les plus grosses pierres et lapident le père de mon grand-père à qui mieux mieux. Sous l'oeil attendri satisfait du chef-coco. L'aube d'un jour nouveau…
Toute la nuit, au pied de la vierge empalée au clocher en feu, le chien grogne rogne les os du maquignon… » p. 29

C'est cet aïeul bien loin de l'image d'Épinal du bon « Papi » que Jean-Louis Costes va connaître toute son enfance et jeune adulte. Un homme rustre, ultra violent, alcoolique, vouant du mépris à la terre entière y compris sa famille, et qui malgré tout éveille la curiosité de son petit-fils chez qui il suscite de prime abord honte, écoeurement et crainte. Jean-Louis Costes écrira cette biographie des années après la mort de Garnick, donnant ainsi à ses lecteurs sa vision d'une existence aux antipodes de la vie telle qu'on peut la concevoir dans notre contexte plutôt confortable, une vie aussi bien remplie de guerre que de lassitude du quotidien.

Impossible pour moi de dire si j'ai aimé ou non cette lecture. D'ailleurs ce n'est pas vraiment le propos. Comment peut-on prendre du plaisir à lire un texte exposant de manière tout à fait abrupte les pires violences et tortures, les pires attitudes, tout ce qu'on peut rencontrer de plus vil chez l'être humain? Garnick est devenu un monstre dégueulasse et son petit-fils le dépeint sans aucun édulcorant dans ses propos. Un homme violent, violeur, meurtrier, sans aucun remord de quoi que ce soit, une sorte de psychopathe ayant tout de même réussi une pseudo-insertion sociale puisque malgré tout il n'a pas terminé sa vie dans la rue. Les scènes de barbarie sont très nombreuses, il faut le savoir, et décrites de manière totalement crue.

« Sur la place de l'église, les hommes sont nus. Sexe honteux dans la main, leurs haillons sur le bûcher. Ils n'en auront plus besoin. Derrière, les femmes prient et les enfants pleurent pour le salut des mâles.
Sonne pope! Priez femmes! Pleurez enfants! C'est la musique adéquate pour le supplice!
Le sabre entre les fesses, les femmes savent ce qui les attend. » p. 57

Toutefois, Jean-Louis Costes écrit de manière tellement directe, inventant ses images, ses métaphores, poussant le récit à des extrêmes que je n'avais jamais lu nulle part… et bien chez moi c'est passé crème de chez crème. À n'y rien comprendre. Peut-être que ce qui est raconté est tellement lourd, tellement atroce, que le cerveau le range dans un coin « grosse fiction » et continue son boulot de cerveau-lecteur sans trop vraiment imprimer. Pourtant j'ai bien compris tout ce qui était raconté, que c'était du réel, aucun doute là-dessus.

Mais l'image du monstre sanguinaire n'est pas la seule à retenir de cette histoire de vie. Tout au long de son texte, Jean-Louis Costes revient sur les traumas initiaux, sur ce que Papi a vécu et qui l'a rendu si mauvais. Non pas qu'il cherche des excuses, non, il explique, rappelle, dissèque le cheminement qui amène un être à sombrer dans une folie. À travers ce portrait, c'est une autre version de l'histoire géo-politique du XXè siècle qui est donnée au lecteur et surtout comment les populations ont vécu les événements, au quotidien. Garnick nous emmène aux quatre coins du monde faire face à une réalité terrible, celle des petites gens en temps de guerre, tout ce qui a été infligé et caché. Malgré moi, même si je le trouve abominable, infect, j'ai quand même ressenti de la compréhension pour lui, non pas dans ses actes, mais dans le « pourquoi ».

« Ces zombies me transmettent leur virus de mort. Sens de la défaite et non-sens de la fête. Papi m'inocule le pogrom et Mamie la bonniche. L'Histoire de l'Arménie plus l'Histoire de France. Quel mélange de merde! » p. 107

Jean-Louis Costes questionne beaucoup, à sa manière si spéciale, l'hérédité, le poids de l'histoire familiale et comment vivent les générations suivantes. Ce livre n'est pas une réhabilitation de son aïeul, mais plutôt une manière de cohabiter avec cette légende familiale. Je suis peut-être un peu cinglée mais je trouve que c'est touchant, vraiment.

Pour finir, je dirais que je suis contente d'avoir lu ce livre si dérangeant et particulier. Malgré l'horreur de ce qui est décrit, il m'a apporté beaucoup, ne serait-ce que sur cette question du lien familial qui peut être un poids phénoménal. Et puis on aime ou déteste, mais la plume étrange, hors-norme de Jean-Louis Costes, je l'ai trouvé parfaite. Pour ce récit-là en tout cas. C'est compliqué d'écrire sur tout ça. On en parle plutôt?

« Un Golem échappé de l'Enfer erre sur la Terre… Un Golem à vélo slalome entre les Français morts, sa bonniche sur le porte-bagages… Jouissance du rescapé, revanche du métèque. le Golem qui pédale dans le charnier se sent un peu führer. Alors il fait un « Heil Hitler! » Au premier Panzer venu.
C'est juste un bras d'honneur aux sédentaires, d'un vieux Golem qui erre depuis trop longtemps sur la Terre. » p.221

- Pour lecteur très très averti -
Lien : https://leschroniquesdeminui..
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Aaaaah Papy... Quand tu y penses c'est souvent avec nostalgie. Souvenirs. Bons moments etc....
VIRE CETTE IDÉE, Minou, car ce GRAND PÈRE là,
Comment dire... Il ne ressemble en rien aux autres.
👀 > histoire vraie < 👀
⛔🔞 ⚠️ AMES SENSIBLES TMTC ⚠️⛔🔞

Un conseil : prends ton sac vomito à côté de toi.
Sisi.
Ici papy c'est GARNICK SARKISSIAN. Raconté par son ptit-fils jean-louis C.
Alors jean-loulou !? Ton papy !?

Papy ?
Un clodo. Une merde. Un parasite.
Borgne, violent et alcoolique.
Activité favorite le POGROM & tabasser sa femme (mamie)
Expression favorite : "TA MA DAGA"
Mais avant d 'être grabataire, abruti au rouge, aux clopes devant la télé dans son HLM... C'était qui papy !?

Voici son histoire (et quelle histoire).
TUM-TUM
Sa Devise : tripe-caca- sang & sperme
(le ton est donné nan ? )
Papy c'était une arme de destruction massive.
A cheval. À coup de sabre et de bite.
Né en 1900. En Arménie.
Fils d'un marchand de chevaux. Riche. Son avenir était tout tracé.
Seulement voilà, l'année de ses 17 ans, sa famille est massacrée par les Bolcheviks.
Garnick ne veut que la vengeance et il décide de s'engager dans les Cosaques blancs, tueurs de coco (communistes).
Et ce n'est que le début, papy débarquera ensuite en France, Il ira au Maroc, sa rencontre avec Mamie (❤️💩🙊), puis la Guyane etc...
Ca, c'est la version édulcorée.
💩
GRAND-PÈRE, c'est l'histoire d'un homme qui ne connait que la barbarie.
C'est poisseux de sang. Violent. Ca déborde de partout et de tous les orifices.
Scato & sanglant.
Papy : le POGROMEUR POGROMÉ

J'avoue c'est la curiosité qui m'a poussée à lire ce livre.
Version non censurée. Même pas peur...
C'est parti. Ca annonçait du lourd, vu les avis.
Man dieu.... Me suis pris le livre en pleine tronche.
DÉ-GUEU.

Franchement, je suis rodée de ce côté, mais là .....
Pouah !! j'ai eu ma dose je pense.
GLOUPS 🤮

Le style de l'auteur, par contre, n'est vraiment pas mal. J-L n'a aucune excuse pour son aïeul.
Très imagé, des métaphores avec un certain humour...
Mais le Vocabulaire...Les mots qui reviennent le plus souvent sont :BITE CACA MOULE & SPERME, quoi.
C'est sans filtre, trash et écoeurant. Pis la sexualité de papy-mamie... Heu NAN MERCI.
Malsain.
Donc cash, cru, très cru. Très très très cru et très cul aussi.
C'est une Succession de scènes choquantes et inhumaines que tu vas vivre.
J'espère que ton coeur est VRAIMENT bien accroché minou, sérieux.

les 50 dernières pages ont été beaucoup plus "agréables", forcément ya moins de détails dégueus.
La fin est poétique je trouve, Douce et nostalgique (presque hein)
Ca a redoré le blason de ce livre.

Un livre dérangeant et très particulier sur le lien familial et le passé.
l'héritage que nous laisse nos aînés.

Un livre qui ne plaira pas à tout le monde. Loin de là.
Perso j'ai eu ma dose de dégueu pour 2020 je pense. "j'ai choqué"
Je crois que je n'ai rien lu d'aussi TRASH (et c'est pas peu dire).

Est-ce que je le conseille... Nan.
Est-ce que j'ai aimé... Je ne sais pas.
Jlai subi en tout cas. Sauf les 50 dernières pages.
Mais je l'ai lu.

Un livre dont tu sors souillé.
Forcément.
Envie d'une douche. Même deux.
Un gommage aussi.
Virer la crasse et se verser un litre de parfum pour en enlever cette odeur.

BON CHANCE MINOU
TA MA DAGA !!!

* A TANTÔT ~ BISOUS LES MINOUS *
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Vous avez tué l'amant de votre femme. Très bien.. Mais vous, vous êtes qui ? L'amant n° 37 ?
L'amant n° 37 a tué l'amant n° 38... Quelle légitimité aviez-vous à tuer un autre amant ? Seul le mari a l'exclusivité du vagin garantie par la loi. L'amant cocu, ma foi, n'a qu'à se faire une raison. Si une queue illégitime peut rentrer, pourquoi pas deux ? Pourquoi la queue du Sieur Sarkisian Garnick serait prioritaire sur celle du Sieur Danjean Denis ?
Il y a la loi et il y a le n'importe quoi. La loi, c'est : le mari de Madame tu l'amant de Madame pour défendre l'Honneur de Monsieur et de Madame. Acquitté OK. La loi, c'est pas : l'amant Sarkissian Garnick tue l'amant Danjean Denis pour un lubrique motif priorité de queue. Ca, c'est le n'importe quoi!
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Un petit fils raconte son Grand - Père .... Garnick immigré Arménien va commencer ses exactions dans les troupes cosaques ..meurtres , viol ..
Puis la légion et rebelote , meurtres , viol...
Réformé comme invalide , il rencontre Grand - Mère et se fait entretenir ...Un départ en Guyane au bagne d'ou il s'évade au bout de 10 ans ... Grand - Mère le retrouve ..
Maintenant sa vie c'est télé , gros rouge et mamy malgré les coups l'aime toujours ....
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