La verve d'
Ambrose Bierce réunit dans ce recueil sous la houlette de
François Bon. Des histoires de fantômes donc, où l'on croise d'étranges silhouettes dans de parfois saugrenues situations.
Seul regret, le suspense est tué par le titre de l'ouvrage.
Du
Bierce pur jus. Délectable comme souvent (toujours ?).
Le livre inclut les nouvelles du "Club des parenticides" qui sont autant d'acides régalades. Mention spéciale au terrible "Huile de chien", inoubliable concentré d'humour noir.