AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9791032908815
296 pages
Éditions de l'Observatoire (08/01/2020)
4.19/5   628 notes
Résumé :
Lorsque Sarah rencontre Théo, l'alchimie est immédiate. Elle, l'écorchée vive, la punkette qui ne s'autorisait ni le romantisme ni la légèreté, se plaisant à prédire que la Faucheuse la rappellerait avant ses 40 ans, va se laisser convaincre de son droit au bonheur par ce fou de Capra et de Fellini. Dans le tintamarre joyeux de leur jeunesse, de leurs amis et de leurs passions naît Simon, le premier fruit de leur amour. Puis, Sarah tombe enceinte d'une petite fille.... >Voir plus
Que lire après Il est juste que les forts soient frappésVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (181) Voir plus Ajouter une critique
4,19

sur 628 notes
5
101 avis
4
58 avis
3
12 avis
2
2 avis
1
0 avis
Cette chronique est tristement à contre-courant des avis élogieux qu'a reçus ce premier roman, de qualité, c'est évident, mais qui n'a pas résonné en moi.

Thibault Bérard a fait un pari audacieux en choisissant de raconter un couple fou d'amour foudroyé par le cancer d'un des ses membres, ici la femme, Sarah. Forcément, on pense au chef d'oeuvre de Boris Vian, l'Ecume des jours, mais à la lecture, c'est plutôt au film La Guerre est déclarée, de Valérie Donzelli , auquel j'ai songé ( même si dans le film c'est un enfant qui est gravement malade ) par le choix d'une certaine légèreté, du rire qui côtoie le tragique.

Autant j'ai apprécié l'univers tragi-comique du film avec ses envolées fantaisistes, autant j'ai trouvé que dans le roman, ça ne fonctionne pas totalement. Les scènes censées être légères et drôles m'ont souvent semblé artificielles et m'ont laissé à la lisière des émotions ... d'autant plus que le procédé consistant, dès la première phrase, à faire parler des morts veillant sur les vivants, m'a quelque peu agacé avec sa façon d'apostropher le lecteur comme témoin de ce qui va être narré. Soit, nous n'avons pas tous la même sensibilité, ni la même expérience émotionnelle lorsqu'il s'agit de parler de mort, de cancer.

Par contre, là où le roman m'a vraiment convaincue, c'est dans les épisodes les plus dramatiquement épurés. Sans artifice, sans décalage léger. Juste des êtres qui s'aiment et qui vont être séparés par la maladie. L'auteur resserre sa focale sur Sarah et Théo, les enfants, la famille sont à peine visible dans ces scènes là, cette fois à la hauteur du magnifique titre à la sonorité biblique. La simplicité et la sobriété que l'auteur réussit à créer sont d'une puissance lacrymogène rare en touchant à l'universel. C'est impossible de ne pas être touché ni emporté par la tragédie que vit ce couple.

Dommage qu'il y ait ce personnage de Cléo qui arrive à la fin. Là, j'avoue, que je n'ai pas apprécié cette irruption, même si j'ai compris les intentions de l'auteur à vouloir conclure son roman sur une note optimiste. Peut-être un manque d'ouverture d'esprit de ma part, mais cela m'a gênée pour finir une lecture que je commençais à apprécier après un démarrage laborieux.

Lu dans le cadre du collectif 68 Premières fois #10
Commenter  J’apprécie          1168
Tu ne sais pas.

Tu ne sais pas avant de te plonger dans un livre ce qu'il va pouvoir bien se passer. Ce qu'il va arriver. Ce qu'il va remuer en toi.

Je ne savais pas donc.

Je ne savais pas que j'allais me retrouver le bide serré et les yeux mouillés. Je ne savais pas que j'allais m'émouvoir, pour de vrai. Je ne savais pas qu'il se passerait quelque chose de fort.

Je ne savais pas.

Ils ne savent pas, Sarah et Théo, que la vie est parfois un peu dégueulasse. Ils ne savent pas qu'on peut s'aimer d'amour. D'amour grand, d'amour fort et voir la tempête débarquer à l'intérieur de son propre corps.

On ne sait pas que les gens qui meurent ne peuvent pas s'envoler tant qu'on pense trop fort à eux sur la Terre. Tant que quelqu'un ne veut pas les laisser partir, ils doivent se retrouver quelque part entre souvenirs et félicité.

C'est le roman de Sarah, qui de ce là-bas nous raconte son histoire d'amour avec ce grand gamin facétieux de Théo.

Il sait, lui qu'il doit tenir le coup pour leurs enfants. Il sait que les super héros peuvent se battre plus fort que le commun des mortels… Et il veut croire qu'ils vont être forts …

Je sais que ce roman, si c'en est bien un, m'a remué.

Je ne sais pas si le personnage de Cléo, qui vient plus tard dans le roman, ne m'a pas semblé faire partie d'une autre histoire, de quelque chose d'autre à raconter … Ce n'est pas à moi d'en juger, évidemment, mais ma lecture s'en est trouvée quelque peu modifiée …

Un roman difficile et lumineux à la fois qui saura peut-être vous toucher au coeur …

Qui sait ?

Lien : https://labibliothequedejuju..
Commenter  J’apprécie          921
Sarah and Théo for ever ! Tel est le ressenti qui se dégage de ce magnifique roman.

Ils s'installent ensemble, jeunes, sans expérience, avec dans la tête, des chansons, des films, des envies de faire la fête, une bonne dose de dynamisme, des moments de douce folie. Puis ils deviennent parents, avancent dans la vie, confiants dans l'avenir... et tout semble s'effondrer, la vie vient souffler le chaud et le froid au sein de cette famille, la maladie s'installe, avec son lot de bonheur et malheur, confiance et désespoir...

Mais ce qui est sans faille, c'est amour toujours présent entre deux êtres, entre Sarah, le moineau de Théo, son lutin pour la vie. Et l'on assiste à un travail de deuil, le deuil d'un avenir prometteur, le deuil du bonheur familial, le deuil qui amène à devoir dire adieu à l'être aimé.

Ce roman merveilleusement écrit, et dont l'auteur manie l'humour alors que son récit raconte une page de vie qui devrait être déprimante, aborde bien des sujets de réflexion : le deuil, la maladie, l'état psychologique de personnes confrontées à la violence de la maladie et son cortège de traitements, de souffrance, d'espoir et de déception. Il est en lui-même l'histoire d'un travail de deuil dont on peut aisément repérer chaque étape.



Chapeau bas à cet auteur capable de faire rire, pleurer, se réjouir, désespérer avec les protagonistes et d'offrir avec justesse, des portraits de personnages variés, jeunes, moins jeunes, personnel médical, amis...



Thibault Bérard aurait pu écrire un roman choral, donnant à chaque personnage sa version des faits, mais il choisit dès le départ de donner la parole à Sarah qui désormais, se situe bien au-delà de l'épreuve qu'elle dut subir, et en semble libérée, ce qui permet de lire une histoire triste certes, mais pas vraiment déprimante, à part quelques larmes versées sur certaines pages.


Lien : https://1001ptitgateau.blogs..
Commenter  J’apprécie          731
Ça bouillonne de vie, et pourtant ça parle de mort. Ça raconte Sarah, aussi. Sa vie son oeuvre, son passé de punkette prompte à se jeter sous les roues d'une voiture, sa vie adulte, son amour de toujours avec Théo. Dès le début on sait. On est rencardé par une autre Sarah, celle qui depuis là-haut nous explique qu'elle n'aspire qu'à se libérer, mais sitôt qu'on pense à elle ici-bas, la voilà ramenée dans sa cellule de glaise.
C'est un peu le paradoxe entre la vie et la mort selon elle, si l'on fait tout pour que l'on se rappelle de nous ici-bas, là-haut on cherchera surtout à se faire oublier pour atteindre la sérénité.
Ici il y a surtout Théo qui pense à elle. C'était quand même sa femme Sarah, la mère de ses enfants, l'amour de sa vie, lui le feu follet décalé de la réalité, qui se croit invincible. On lui doit le titre, « Il est juste que les forts soient frappés », parce qu'ils étaient forts tous les deux, forts forts et forts, extrêmement forts, et si une saloperie de crabe de la pire espèce vient les frapper à eux c'est presque un honneur selon son code à Théo, car eux seuls peuvent le combattre. Sarah tempère pas mal ses ardeurs, elle lui dit souvent qu'il est trop con, ce qui le fait rire. Voilà pour les deux, ils fonctionnent un peu comme ça dans leur couple. Deux personnages magnifiques, attachants c'est peu dire, romantiques à souhait même si modernes en tout. On les aime forcément, on rit et on pleure avec eux et leurs copains, leur petite famille. Même si Sarah nous a prévenus qu'il faudrait pas.
Bon. Un super roman donc. Oui, sans aucun doute. J'ai passé un très bon moment de lecture qui fonctionne à merveille puisque j'ai été embarqué dans l'aventure, j'ai ri, j'ai même pleuré je vous dis. Sauf que voilà. Une impression très subjective (et injuste) de déjà vu aux entournures (« Mon désir le plus ardent », ou un peu plus éloigné « Nos étoiles contraires ») et ce même si l'auteur y ajoute sa patte bien sûr (pour ne pas dire sa propre histoire), par exemple le choix de la narratrice depuis là-bas est top et malin, à ne pas avoir à justifier la vision omnisciente.
N'empêche, quand je serai là-bas justement, c'est à dire dans très longtemps j'espère, à croiser Sarah que je remettrai sans hésiter comme la véritable héroïne de ce livre, parce que de là-haut on se rappelle de tout et on reconnait tout le monde, je la saluerai et la remercierai pour le moment passé ici-bas en sa compagnie le temps d'un livre, mais aussi pour le souffle plein de fougue et de vie.
Commenter  J’apprécie          613
C'est sans doute le roman qui m'a le plus bouleversée dans les dix dernières années !

Théo et Sarah se rencontrent, se séduisent, unissent leur destin, une succession classique d'étapes, auxquelles il est difficile d'échapper. Arrive une première grossesse. Une vie ordinaire, ponctuée de fatigue, de joies et de peines, de moments de bonheur et de contrariétés …Un deuxième enfant s'annonce, pour le plus grand bonheur du couple, jusqu'à la terrible nouvelle…

Rapidement le récit est centré sur cette période odieuse, faite de souffrance, subie de plein fouet ou par procuration, qui fait de la vie de Théo un enfer, tandis que Sarah s'accroche, coûte que coûte.

Thibault Bérard restitue avec un grand talent le ressenti si douloureux des personnages, l'immensité de leur impuissance et le gouffre de douleur dans lequel ils ont plongés. Injustice totale, exceptionnelle mais si dramatique.

Toute la famille est emportée dans ce tourbillon d'horreur créé par la maladie. On admire le courage de Sarah et la détermination un peu folle de Théo. On garde ses larmes pour les deux enfants, pour lesquels l'empathie est si profonde.


C'est dur, cruel et superbement bien écrit.
Lien : https://kittylamouette.blogs..
Commenter  J’apprécie          682

Citations et extraits (73) Voir plus Ajouter une citation
Ne me voyez pas comme une victime ou une malade.
Voyez ça comme ce que c’est, une histoire. Ce n’est pas parce qu’elle est vraie et dure par moments, ni même parce qu’elle finirait mal, que ce n‘en est pas une; toutes les vies sont des aventures extraordinaires, pour qui peut les voir dépliées devant soi.
Ça ne signifie pas qu’on doive applaudir aux grandes scènes ou espérer qu’une musique bizarre vienne souligner les passages drôles ou absurdes; ce que je demande, c'est que vous prêtiez la même attention aux mots qui vont suivre et que vous acceptiez d‘en goûter les couleurs éclatantes, en dépit de ce gris dont le réel granit voudrait tout recouvrir. Je sais que Théo aurait besoin que vous fassiez ça, et moi, en tant que morte, je vous le demande par respect pour les vivants.
Joli paradoxe, non?
C‘est drôle, parce que c’est cela qui m‘importe, qui m'atteint plus que tout le reste, finalement. p. 105
Commenter  J’apprécie          250
Merde, me retrouver la vielle de Noël, dans un service post-réa (on vient de piger que ça voulait dire "réanimation" et, même si Théo s'est fermement accroché au "post", qui selon lui prouve qu'on est pas dans le service le plus lamentable de l'hôpital, ça ne nous a pas réjouis), avec une probabilité immense d'avoir développé un putain de cancer du ris de veau, une tumeur d'une taille apparemment très inquiétante et horriblement mal placée, alors que je suis enceinte de sept mois ?!
Mais bordel, même chez Dickens, ça ne passerait pas !
Commenter  J’apprécie          320
Elle ne dit pas « ma grande », ou «  ma belle », aucun de ces sobriquets débiles qu’une femme mûre se sent parfois obligée de sortir à une gamine de 20 ans. Il y a quelque chose de professionnel dans sa façon de prendre les choses en main. — Montez, je vous emmène à mon bureau. C’est tout près. Encore une chance ! — Votre bureau ? Elle me sourit comme à une éclaircie bienvenue. — Ah, vous parlez. Tant mieux, ça nous facilitera la tâche. Bon, ça suffit. — Attendez, quelle tâche, de quoi vous parlez ? Et lâchez-moi, merde ! J’ai tiré le coude en arrière d’un coup sec et je jette un regard rapide autour de nous, voir dans quelle direction je vais pouvoir me casser d’ici. La rue est déserte, les rideaux sont tirés aux fenêtres des pavillons blanc crème ou grisouille qui la bordent, un dimanche midi c’est particulièrement sinistre – mais ça n’a rien d’étonnant par ici. « Donfran, ville de malheur : arrivé à midi, pendu à une heure »  : une ville qui porte une devise pareille, ça a au moins le mérite d’annoncer la couleur. Basse-Normandie, pas un chat, pas un bruit. Le décor de mon enfance, là où j’ai grandi – entre quatre murs. J’étais venue passer le week-end chez mes parents et ça ne m’avait pas vraiment boosté le moral. — Voilà, vous voyez ? elle dit. Je vous ai lâchée. Je ne vous veux pas de mal, d’accord ? Si vous voulez filer, vous pouvez. C’est ce mot-là, « filer », ce mot un peu canaille, qui m’a fait rester. D’un coup je basculais dans un film de Godard, le genre d’ambiance où les gens se balancent des répliques de ce goût-là comme si rien n’était plus naturel, Il s’agirait de filer en vitesse , ça m’a toujours plu. Si je pouvais vivre dans un film de Godard, je me sentirais sûrement moins dark, moins furieuse tout le temps. J’aurais probablement pas envie de me jeter sous les roues de la première bagnole venue, par un bel après-midi de juin, à l’occasion d’une visite de famille à Donfran, ville de malheur. Mais j’ai beau être jeune et pas mal larguée, je sais bien que la vie n’a rien à voir avec un film de Godard. Les couleurs ne sont jamais aussi éclatantes, il n’y a pas de musique bizarre pour souligner les passages drôles ou absurdes et les gens sont infiniment plus prévisibles. Madame frange cuivrée sourit en désignant Nick Cave, qui tire une tête de croque-mort sur mon tee-shirt. — Je ne suis pas sûre qu’il approuverait. — Hein ? — Nick Cave. Ses chansons sont parfois déprimantes, mais je pense que c’est un homme qui aime la vie. Elle me soûle, je suis à deux doigts de lui dire de me lâcher la grappe, bordel, et à Nick Cave et à tous les groupes que j’aime, parce que j’ai pas besoin d’elle, ni de personne, juste qu’on me laisse me foutre en l’air si c’est ce que je veux… … quand elle fait ce truc complètement dingue, incompréhensible. On pourrait dire ridicule, mais, en revoyant la scène aujourd’hui comme à l’époque, ce n’est pas du tout ce que ça m’a inspiré.
Commenter  J’apprécie          40
Je ne croyais pas que ça m’arriverait, et pourtant si.
Théo, comme souvent, m’a prise par surprise. En un peu plus de trois ans, on a franchi les étapes. Évolué dans nos boulots, mélangé nos amis, trouvé un trois pièces plus grand et lumineux, dans un quartier branché de Paris.
On est devenus un couple « solide » et, avec cette confiance qu'il place en lui et en nous, avec ses facéties de lutin, Théo m'a peu à peu forcée à la douceur. Je pars moins en vrille, c'est un fait. Il est rare à présent que je chope un de mes fameux coups de massue quand j'ai trop bu, ces chutes amères qui me laissaient divagante et en pleurs sur le pavé, à me débattre entre ses bras comme une cinglée, à passer du rire aux larmes pour finir par répéter en boucle : Je veux juste que ça s'arrête, je veux juste que ça s'arrête.
Commenter  J’apprécie          100
Sarah a toujours pensé qu'elle mourrait avant 40 ans. Elle s'est trompée. Elle va mourir à 42 ans, en laissant Théo, l'amoureux, Simon, le petit prince et Camille, la paisible, emportée par un cancer contre lequel elle arrêtera de lutter, à bout de force.
Ce roman dit très justement le tunnel dans lequel entre les malades et leur famille. Ce tunnel qui permet de se concentrer uniquement sur la lumière au bout, comme des oeillères pour les chevaux.
Cette lumière, ça n'est pas l'espoir.
Non, pour eux l'espoir ne sert à rien, l'espoir s'est bon pour les biens portants.
Non, ce dont ils ont besoin, ceux sont des objectifs, des étapes à franchir comme autant de victoires qui viendraient s'additionner dans la colonnes des +.
Et tant pis, si au fil du temps, les étapes se rapprochent de plus en plus, un rendez-vous, des résultats d'examen, un médicament, quelques millimètres de tumeur, et puis finalement juste la minute suivante, la seconde suivante, la respiration suivante...
Toutes ces minuscules victoires comme autant de points qui viennent former une ligne droite que l'on voudrait prolongée vers l'infini.
Et lorsque enfin on comprend, on admet, on se résigne, on oublie les victoires, on oublie les + dans la colonne et épuisé de luttes, de courses et de vertiges, il faut que les choses s’apaisent, s'arrêtent.

Voila ce que raconte le roman de Thibault Bérard avec beaucoup d'humanité et de franchise.

Alors pourquoi ca n'a pas marché avec moi? Pourquoi malgré quelques larmes, bien sûr, je ne suis pas vraiment convaincue en tournant la dernière page ?

Peut être que ces situations sont trop individuelles pour être partagées et que chacun en conserve une vision tellement personnelle que toute autre que la sienne ne pourra lui paraitre que fausse.
Commenter  J’apprécie          40

Videos de Thibault Bérard (7) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Thibault Bérard
Durant l'automne 2023, les élèves de 4eB du collège La Carraire, à Miramas, ont écrit collectivement une nouvelle, accompagnés par Thibault Bérard, auteur. Cette nouvelle est en lice pour la 6e saison du concours littéraire Des nouvelles des collégiens. La remise des prix aura lieu pendant la 8e édition du festival Oh les beaux jours ! (22-26 mai 2024).
Lire les nouvelles du concours 2024 : https://ohlesbeauxjours.fr/des-nouvelles-des-collegiens/ma-classe-vote/ _____________________ le projet Des nouvelles des collégiens mené en collaboration avec l'Académie d'Aix-Marseille reçoit le soutien, en 2023-2024, du département des Bouches-du-Rhône et de la Fondation La Poste.
_____________________ Retrouvez Oh les beaux jours ! sur : acebook https://www.facebook.com/festivalohlesbeauxjours nstagram https://www.instagram.com/oh_les_beaux_jours/ witter https://twitter.com/festival_OLBJ eb http://ohlesbeauxjours.fr
_____________________ Organisation et production : Des livres comme des idées, Marseille Coordination du projet : Maïté Léal, Émilie Ortuno Réalisation vidéo : Manon Gary Graphisme: Dominique Herbert, Manon Sahli © Des livres comme des idées, 2024
_____________________ #OhLesBeauxJours #OLBJ2024 #concourslittéraire #concoursdenouvelles #collège #collégiens #Littérature #littératurejeunesse #EAC #actionsculturelles #festival #Marseille #Istres #booktube #bookstagram #bookstories #livrestagram #lecture #livre #lire
+ Lire la suite
autres livres classés : cancerVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus



Lecteurs (1258) Voir plus



Quiz Voir plus

Les Amants de la Littérature

Grâce à Shakespeare, ils sont certainement les plus célèbres, les plus appréciés et les plus ancrés dans les mémoires depuis des siècles...

Hercule Poirot & Miss Marple
Pyrame & Thisbé
Roméo & Juliette
Sherlock Holmes & John Watson

10 questions
5261 lecteurs ont répondu
Thèmes : amants , amour , littératureCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..