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Jean-Pierre Pedrazzini (Illustrateur)
EAN : 9782221105467
208 pages
Robert Laffont (03/11/2005)
3.7/5   45 notes
Résumé :
4° de couverture :
(Edition Source : Robert Laffont - 10/2005)


Fascinés par les grands raids automobiles du début du XXe siècle, Dominique Lapierre, 25 ans, et Jean-Pierre Pedrazzini, 27 ans, tous deux reporters à Paris Match, arrachent l'autorisation de parcourir l'Union soviétique de Khrouchtchev en voiture, accompagnés de leurs femmes.

A bord d'un break Simca bicolore, les quatre jeunes français vont vivre treize mille... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Grande aventure de Dominique Lapierre dans sa jeunesse à travers l'URSS du temps de Krouchtchev. Des contacts surveillés avec les gens du peuple russe, de nombreuses analyses par l'auteur de chaque instant vécu derrière le rideau de fer, le livre foisonne d'anecdotes sous la belle plume de Lapierre plus connu pour ses best sellers, mais ce livre moins célèbre vaut vraiment le détour.

Ils sont partis, Dominique Lapierre et Jean-Pierre Pedrazzini, accompagnés de leurs épouses, il y a bien longtemps, dans les annnées Krouchtchev, en 1956, pour 13 000 kilomètres en URSS, minis de toutes les autorisations nécessaires, surtout celle du Premier Secrétaire du Parti.

Leur voyage est un tissu de rencontres saisissantes, des plus humbles jusqu'à Krouchtchev lui-même, des jeunes, des vieux, des russes de l'époque, écrasés sous le joug d'un système qui leur donnait à cette époque l'illusion d'une légère émancipation.

Ils ont certainement vu ce que l'on a bien voulu leur laisser voir, ils ont échangé avec les gens, mais n'ont sûrement pas pénétré le coeur du système soviétique.

Leur livre constitue un récit intéressant. Je préfère néanmoins les autres oeuvres de Lapierre, particulièrement lorsqu'il écrivait en partenariat avec Larry Collins.
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Après la magnifique critique de Nadiouchka de ce livre, jai hésité à en produire la mienne. Je ne tenais pas à me contenter uniquement d' une page de pub sur les qualités insoupçonnées d'une Simca Marly, qui, en 1956, a réussi à parcourir 15.000 km sur les mauvaises routes de l'URSS et propulsé par du carburant pas trop raffiné. Sans trop de problèmes, ou comme le note l'auteur : "l'essence soviétique finit par détruire la fougue de notre puissant moteur", mais apparemment pas la bagnole elle-même. Dommage que la production de ces belles sportives françaises, V8, fût arrêtée au début des années 1960.

Si je m'y lance tout de même c'est par nostalgie pour cette épopée par 2 jeunes couples derrière ce fameux rideau de fer, qui nous donnaient, enfants, la chair de poule, rien qu'en y pensant. Un peu comme la BD d'Hergé "Tintin au pays des soviets. Mais surtout pour rendre hommage à Domique Lapierre, et son complice américain Larry Collins (hélas décédé), qui m'ont procuré tant d'heures de lecture fascinante. Non pas qu'ils nous relataient des histoires agréables, mais à cause de leur art de nous présenter des dossiers complexes et parfois tragiques d'une façon captivante.

En effet, le récit de la plus grande catastrophe industrielle de notre histoire, provoquée par le géant chimique américain Union Carbide et faisant, en 1984, dans une ville indienne plusieurs milliers de morts et des centaines de milliers de blessés, sans que le boss de cette multinationale soit jamais inquiété par la justice, n'est pas exactement un sujet plaisant bien sûr, pourtant "Il était minuit cinq à Bhopal" se lit comme un thriller. Il en va de même de la guerre sanglante entre l'Inde et le Pakistan en 1948 dans "Cette nuit la liberté" ; la libération de Paris dans "Paris Brûle-t-il ?" ; le conflit israélo-palestinien dans "O Jérusalem" et la misère dans les slums de Calcutta dans "La Cité de la joie". Tous des ouvrages lus par des millions de lecteurs et certains portés à l'écran avec un succès comparable. Surtout "Paris Brûle-t-il ?" , filmé par René Clément en 1966 avec une distribution singulièrement riche : Alain Delon, Jean-Paul Belmondo, Gert Fröbe, Kirk Douglas, Simone Signoret, Yves Montand, Orson Welles etc.

La 3ème raison de mon enthousiasme pour ce livre est personnelle. Sans vouloir comparer mon expérience modeste avec les prouesses de l'équipe de la Simca, toujours est-il, qu'en 1970, je me trouvais avec mon épouse - en voyage de noces - et ma voiture à la frontière de la Hongrie et de l'URSS (près de la ville d'Uzhhorod, actuellement en Ukraine). Une initiative qui ne pouvait compter sur la joie de nos parents respectifs, ni sur celui de la police locale. Comme Dominique Lapierre, en moins grave certes, j'ai connu des problèmes de manque d'octane dans l'essence et des pannes, mais aussi la curiosité et la grande hospitalité des autochtones. J'allais sur mes 24 ans, ma femme en avait 22.

Le livre relate l'extraordinaire odyssée de 3 couples : notre héros l'auteur (25 ans) et son épouse Aliette, son ami Jean-Pierre Pedrazzini, le photographe de Paris Match (le doyen avec ses 27 printemps) et sa toute récente épouse Annie, ainsi que le couple russe Slava Petoukhov et sa Vera. Les 2 russes avaient sûrement comme mission de veiller à ce que les 4 "Frantzouskï" ne mettent pas en péril la survie de l'URSS.

L'ouvrage contient une kyrielle d'anecdotes, certaines intéressantes, d'autres cocasses ou les deux. En faisant allusion à la qualité du réseau routier par exemple, Nikita Khrouchtchev avait prévenu nos voyageurs : Vos épouses demanderont le divorce au bout de quinze jours". Je m'empresse de rassurer les lecteurs : au moins cette fois-là, le premier secrétaire du parti communiste s'est trompé. Ou l'adolescent à Minsk, tout fier de citer un passage de Victor Hugo en français, sans pour autant parler la langue. Partout où nos voyageurs passaient, ils pouvaient compter sur l'étonnement, la curiosité, la bienvenue et parfois même les bains de foule. À se demander qui avait le plus de succès : la splendide Simca bicolore ou ses 'martiens' à bord ?

Dominique Lapierre se garde bien de faire des exposés sur les bienfaits de notre régime par rapport à celui de l'URSS, ou l'inverse. Au contraire, sur la base de la description de la vie quotidienne du simple citoyen russe, il ouvre une fenêtre sur un monde, qui nous était inconnu en 1956. Un univers colorié et déformé par la propagande et la contre-propagande.

Il y a longtemps que je n'ai pas lu un livre avec autant de plaisir, bien qu'il m'ait valu une nuit blanche et un réveil difficile. Un divertissement sans prétention, agréablement illustré par 32 pages de photos, dans lequel Dominique Lapierre nous offre son grand talent de raconteur-né.
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Je continue mon incursion dans l'histoire de la Russie et cette fois, Dominique Lapierre me fait découvrir l'URSS soviétique. Impatiente, je plonge dans ce petit roman dont le titre sonne comme un conte « Il était une fois l'URSS »
L'auteur nous raconte ce voyage incroyable de 13.000 Km et nous livre son ressenti sur la société russe en 1956. La visite aux « Bisons » à Brest-Litovsk qui marque le point de départ de la grande aventure.
Décrire les paysages, les monuments mais surtout les gens et leur quotidien demeure le vrai objectif de ce travail journalistique. Pour ce faire, cinq personnes sont choisies au hasard et répondront aux « questions » des français.
A Minsk, Victor le cheminot nous fait pénétrer dans son minuscule appartement (32m2) et nous fait découvrir l'hospitalité russe et bien d'autres détails sur le quotidien de travailleurs.
A Moscou, la croisière sur la Moskova et le célèbre magasin Goum font la joie des deux françaises en vadrouille. le second portrait est celui d'une jeune étudiante Genia, l'une des 250 vendeuses du rayon parfumerie qui révélera le charme et la beauté de la femme russe dépourvue de tout artifice (maquillage).
Kharkov, une ville industrielle où la voiture se refait une santé.
Kiev, la célébration d'un mariage religieux orthodoxe de Vladimir et Maria restera un grand moment. Chaque étape est immortalisée par le photographe Jean-Pierre Pedrazzini. Les lecteurs pourront s'attarder sur les plus petits détails et mettre ainsi des visages sur les noms, ce qui rend le récit plus plaisant.
Le 3eme portrait est celui de Gregori, un tractoriste d'un Kolkhoze.
La Crimée, plus connue par la « Riviera soviétique », le « Nice » des anciens Tsars avec ses plages, ville convertie en colonies de vacances puis passage au Palais Livadia, lieu de rencontre des trois géants de l'Histoire, Churchill, Roosevelt et Staline en 1945.
Ce petit livre se lit rapidement et assouvira la curiosité de mes amis Babeliotes.

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En 1956, deux jeunes reporters de Paris-Match, Dominique Lapierre et Jean-Pierre Pedrazzini, rêvant d'égaler les exploits des grands raids automobiles du début du siècle (Croisière jaune, Larigaudie etc...) décident de traverser l'URSS en pleine guerre froide alors que le rideau de fer s'est abattu à l'Est et qu'aucun touriste ne peut y circuler en voiture individuelle hors des circuits prévus et encadré par des agents de l'Intourist. Ils réussissent à arracher une permission exceptionnelle de Nikita Kroutchev qui vient juste de dénoncer les crimes de Staline et souhaite donner une meilleure image de son pays. A bord d'un magnifique break Simca Marly bicolore 8 cylindres en V, ils vont vivre en compagnie de leurs épouses une aventure exceptionnelle qui les mènera de la Pologne à Moscou, à Kiev en Ukraine et jusqu'au fond du Caucase (où ils seront les premiers et uniques campeurs étrangers) et même à Yalta au bord de la mer Noire. Partout l'accueil du peuple russe sera des plus chaleureux. Nos journalistes, accompagnés de Slava, leur alter ego russe et de son épouse, découvriront la misère et la souffrance des gens du paradis soviétique. La Simca, qui fait l'effet d'une soucoupe volante partout où ils passent, souffrira mille morts par manque d'essence convenable. Nos aventuriers rentreront à Paris juste avant le soulèvement de Budapest et la répression sanglante pratiquée par l'armée Rouge dans laquelle le malheureux Pedrazzini trouvera d'ailleurs la mort.
Un beau livre d'aventures passionnant et palpitant qui nous fait revivre une époque difficile, le temps où les communistes russes croyaient qu'ils allaient rattraper leur retard sur les économies capitalistes, celui où les stakhanovistes faisaient des concours de zèle productif pour hâter la venue du socialisme et malheureusement aussi celui de la pénurie, de l'absence de liberté, des appartements collectifs, des salaires de misère et de la répression sauvage par le KGB. Un arménien, né en France et retourné là-bas par naïveté, embrasse devant eux le fanion tricolore de la Simca, le lendemain, il est envoyé au Goulag au delà du cercle polaire. Il mettra des années avant de pouvoir rentrer en France. Slava, leur accompagnateur et traducteur, qui devait faire le voyage parallèle chez nous ne pourra pas emmener sa femme, gardée en otage pour qu'il ne passe pas à l'Ouest. A son retour, il se retrouvera également déporté en Sibérie pour avoir trop laissé de liberté à ses hôtes. Un livre pour se rappeler un régime qui réussissait à persuader tout un peuple enchaîné qu'il était le plus heureux de la terre. Sans information, sans possibilité de comparaison et dans une sorte de prison à ciel ouvert, ce n'était pas trop difficile. On sait comment tout cela s'est terminé. Souhaitons que cela ne se reproduise plus nulle part, quel qu'en soit l'avatar.
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
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Nous ne sommes que onze à l'avoir lu ? Dommage... Ce récit de voyage et traité de géopolitique est riche d'enseignements.
Ceci dit, je reconnais que L Histoire et la vie des pays de l'Est m'intéresse vraiment. Si ce n'est pas le cas, je comprends que l'on passe à côté mais ne serait-ce que pour l'information en elle-même il vaut le coup d'être lu.
Et, Dominique Lapierre est vraiment un "grand Monsieur".
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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Le choc. Le choc d’une odeur. Une odeur qui nous saisit dans les premières toilettes de Pologne où nous faisons halte. Une odeur entêtante de désinfectant qui ne nous abandonnera jamais tout au long des treize mille kilomètres de notre périple. C’est d’abord avec les narines que s’appréhende le monde communiste.
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Notre rêve fou se réalise
Les Russes ! Ici, à Minsk, par centaines, par milliers, ils se précipitent autour du capot de notre voiture. Nous sommes bientôt prisonniers d’une foule stupéfaite et émerveillée par l’apparition des quatre martiens que nous sommes à bord de leur vaisseau « spatial » peint en deux couleurs. Pour ces gens qui n’ont jamais vu une voiture étrangère, le spectacle est à peine croyable. Assiégés au fond de notre habitacle comme des poissons dans un aquarium, nous utiliserons nos quelques mots de russe pour satisfaire la curiosité générale.
Est-ce que cette voiture nous appartient ? Combien de mois de salaire nous a-t-elle couté ? Quelle est sa vitesse maximale ? sont les premières questions dont nous serons assaillis à Minsk et tout au long des treize mille kilomètres de notre parcours.

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Dans trois ou quatre semaines, la route aura disparu sous le matelas blanc du général Hiver, vainqueur de Napoléon et de Hitler.
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Depuis, l’eau chaude n’a jamais cessé de jaillir des entrailles de Tbilissi.
La ville connut au cours des siècles l’histoire tourmentée de ces cités dont la richesse et la beauté n’ont d’égales que les convoitises qu’elles inspirent. Tour a tour pillée par Tamerlan, soumise par les Perses, convoitée par les Turcs, Tiflis devint en février 1921 la capitale de la république de Géorgie.
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Le petit homme au crâne luisant qui vient d’ébranler le communisme mondial en jetant Staline à bas de son piédestal fait aussi partie de la fête. Il colle d’autorité un verre de champagne dans la main d’Auriol, puis dans la foulée dans celle de Jean-Pierre puis dans la mienne et porte un toast vibrant à l’amitié franco-soviétique. Comment croire que nous trinquons avec Nikita Khrouchtchev, le premier secrétaire du parti communiste?
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Videos de Dominique Lapierre (11) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Dominique Lapierre
L'émission complète : https://www.web-tv-culture.com/emission/alexandra-lapierre-belle-greene-52639.html
Fille du journaliste et romancier Dominique Lapierre à qui l'on doit notamment « Paris brûle-t-il » ou « La cité de la joie », Alexandra Lapierre a grandi au milieu des livres. Après ses études à la Sorbonne, elle file aux Etats-Unis où elle ambitionne de travailler dans le milieu du cinéma. Finalement, l'écriture la rattrape et son premier titre, « La lionne du boulevard », publié en 1984, préfigure ce qui fera son succès, raconter la grande Histoire à travers ses personnages et par une écriture romanesque.
Depuis, l'ambition d'Alexandra Lapierre est la même, elle s'empare d'un personnage oublié de l'Histoire dont le destin, pourtant, a un moment, a fait changer le monde. Par la qualité de son écriture et la pertinence de ses recherches, elle est devenue incontournable.
Certes, elle a parfois évoqué des personnages masculins. Mais on se souvient surtout d'Artemisia qui, au début du XVIIème siècle en Italie avait le don de la peinture. Hélas pour elle, étant femme, on attribua ses toiles à Caravage. Evoquons aussi Dona Isabel Berreto qui, un siècle plus tôt, sillonna les mers du monde étant la première et seule femme de la flotte espagnole. Avec ce livre, « Je te vois reine des quatre parties du monde », elle fut plusieurs fois primée.
Dans une époque plus récente, Alexandra Lapierre a rappelé les destins croisés de Nancy et Maud Cunard, mère et fille vivant de la fortune de la compagnie maritime éponyme et se livrèrent une rivalité à mort racontée dans « Avec toute ma colère »
Si je cite volontairement ces livres, c'est bien parce que les femmes oubliées de l'Histoire sont au coeur du travail d'Alexandra Lapierre. Elle en fait encore la preuve avec ce nouveau titre, « Belle Greene ».
Dans l'Amérique puritaine du début du XXème siècle, cette jeune femme dénote. Venue de nulle part, elle parvient à intégrer les milieux artistiques new-yorkais, devenant la bibliothécaire attitrée de la fameuse Morgan library, sanctuaire dans lequel le milliardaire JP Morgan entassent ses acquisitions faites en Europe entre tableaux des maitres de la Renaissance et livres anciens.
Ces deux êtres que tout oppose vont devenir inséparables et ayant la confiance totale de son big chef, la sémillante Belle va dépenser des millions de dollars pour constituer l'une des plus belles collections d'art privée encore visible aujourd'hui.
Mais l'autre facette de Belle Greene, c'est aussi le secret de sa naissance. Issue d'un métissage, la peau de Belle est pratiquement blanche et dans l'Amérique ségrégationniste, mentir sur ses origines sera le seul moyen de se construire un avenir. Jamais Belle da Costa Greene ne révèlera qu'elle est noire, sacrifiant au passage sa vie personnelle et amoureuse.
Le parcours de Belle Greene est passionnant et sous la plume romanesque d'Alexandra Lapierre, il devient une fabuleuse aventure dans laquelle le lecteur embarque avec jubilation. Ouvrez le livre d'Alexandra Lapierre, vous ne pourrez plus le lâcher avant la dernière page. Et quelle femme ! Quel destin !
« Belle Greene » d'Alexandra Lapierre est publié chez Flammarion.
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