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Ils ont fait l'Histoire tome 33 sur 40
EAN : 9782344032572
56 pages
Glénat (05/02/2020)
4.29/5   24 notes
Résumé :
L'un des plus grands hommes d'état français. Baigné de ferveur politique, d'histoire, de philosophie et d'écrits militaires, le jeune Charles de Gaulle embrasse assez naturellement une carrière dans l'armée. Officier pendant la Première Guerre mondiale, il fera preuve d'un courage exemplaire, sera laissé pour mort et capturé par les Allemands. Mais c'est dans l'entre deux guerre qu'il se construira plus encore, voyant avant les autres les périls qui pointent, et les... >Voir plus
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Ils ont fait l'Histoire

Wyctor

3.60★ (2362)

40 tomes

Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Pas facile de s'attaquer à un monstre sacré de l'Histoire de France, et Mathieu Gabella n'a même pas peur : la première planche nous montre l'armée qui annonce à Henri de Gaulle la mort de son fils aîné Charles lors de la Bataille de Verdun… Lecteurs et lectrices se disent WTF ? Effectivement le grand homme fut présumé mort alors qu'il était prisonnier des Allemands. Mais pourquoi commencer par cela ? Parce effectivement peut-être qu'un De Gaulle est mort à Verdun pour que puisse en naître un autre, plus grand et plus noble…
Les auteurs partent du point de vue qu'on ne peut pas comprendre de Gaulle le président sans comprendre de Gaulle le résistant, et qu'on ne pas comprendre de Gaulle le résistant sans comprendre celui qui a été auparavant, d'où un récit en 3 albums qui doivent permettre de bien développer le cheminent su personnage.

Charles appartient à « la Vieille France », terme qui selon la situation peut être aussi mélioratif que péjoratif. Son père est conformément à ses croyances professeur et directeur d'école dans le privé, et sa mère est une bonne fortune catholique. Comme peut le montrer la biographie d'Hergé ce genre de milieu riche, catholique et nationaliste peut cultiver les préjugés les plus nauséabonds, mais Charles a eu la chance de naître dans une famille qui elle cultive l'esprit critique : son père a participé à la guerre franco-prussienne et il a vu les courtisans du Second Empire quitter la France comme des rats, et les prétendus républicains crypto-monarchistes rouler des mécaniques contre la Commune pour ensuite baisser leur froc devant le IIe Reich. « Monarchiste de regret et républicain de raison », au contraire de toute sa classe et de toute sa caste sociale il est anti-dreyfusard parce que la vérité doit l'emporter sur les préjugés. Charles lui veut « protéger et servir », pas comme tous les bourgeois de chez Balzac, Hugo et Zola qui ne pensent qu'à se protéger et se servir, et pour intégrer Saint-Cyr on l'envoie chez les Jésuite en Belgique (comment ceux qui ont été à la pointe de l'éducation et de la pédagogie durant l'époque moderne ont-ils pu être aussi rétrograde et passéiste durant l'époque contemporaine : grandeur et déchéance d'une communauté religieuse qui avait brillé par son intellectualité). Il admire Charles Péguy et Henri Bergson, et on retrouve toute la mythologie militaire dénoncé par tant d'autres auteur à la même époque (genre Jules Vallès). Il est contestataire, il est anticonformiste, et un dénommé Pétain va le prendre sous son aile et l'espace de quelques pages l'un est le crevard et l'autre le héros du livre / film "Les Sentiers de la Gloire"… Car la réalité finit par rattraper De Gaulle : la guerre n'est pas qu'honneur et gloire pour une élite, elle est aussi mort et souffrance pour des millions de gens qui crèvent dans le sang, les larmes et la merde. Pour Charles de Gaulle plus qu'une révélation, c'est une transfiguration . En prison il vit aux côté de la plèbe le malheur où tout les hommes sont frères et entre 5 évasions ratées (private jokes de la part des auteurs à "La Grande Illusion" ou à "La Grande Évasion" ?), il rédige un manifeste politique qui sera celui de la Ve République : à la même époque Benito Mussolini, Adolf Hitler, Lénine, Staline et Mao rédigent également les leurs… Accusé d'autoritarisme et de fascisme, c'est le seul qui reste dans la voie démocratique et tous les actes de sa vie vont le démontrer, avant d'être à son tour rattrapé ce naufrage qu'est la vieillesse qu'il avait dénoncé chez son vieux mentor Philippe Pétain

CDG voit tout de suite que l'âge des nationalismes et des impérialismes a accouché de l'âge des masses et des guerres totales, et que le Traité de Versailles qui est tout sauf un traité de paix n'est qu'un compte à rebours vers une nouvelle apocalypse. Il reprend sa collaboration avec Philippe Pétain, mais pour des raisons que la raison ignore la brouille survient rapidement entre le vainqueur de Verdun et la victime parmi tant d'autres du massacre de Verdun. Qu'importe il défendra ses idées dans la politique contre l'armée, et dans l'armée contre la politique ! A sa plus grande surprise pour celui qui défend des idées de « droite », tous ses soutiens viennent de « gauche » : Léon Blum, Paul Raynaud, Jean Monnet, Émile Mayer… Pendant ce temps Daladier, Pétain Weygand et cie leur crachent dessus : ils servent la soupe à Hitler, ne font rien quand il attaque la Pologne, attendent que les choses se passent et au final sont bien contents de capituler rapidement pour faire du business avec le IIIe Reich plutôt que de continuer à résister pour défendre la liberté, l'égalité et la fraternité qu'ils exècrent au plus haut point (ah quand on fait la sociologie de la Collaboration on retrouve la majorité des notables de France et de Navarre qui aiment tant vilipender la populace engagée dans la Résistance). Alors que les élites françaises baissent leur froc devant le IIIe Reich, CDG multiplie les aller-retour entre la France et l'Angleterre pour sauver ce qui peut encore l'être… L'appel du 21 mai a été un bide, qu'importe il lancera l'appel du 18 juin pour un nouvel à la résistance : l'Histoire est en marche et rien ne l'arrêtera !!!


Le parallèle entre Churchill et De Gaulle est édifiant :
- Churchill pur produit de l'aristocratie était un anticonformiste à la recherche de la gloire avant de côtoyer la plèbe dans un camp de prisonnier lord de la Guerre de Boers dont il finit par s'échapper, ses opinions changèrent pour transformer son anticonformisme sans pour autant oublier les relations entre la politique et la guerre...
- De Gaulle pur produit de la méritocratie un anticonformiste à la recherche de la gloire avant de côtoyer la plèbe dans des camps de prisonniers lors dont il ne réussit jamais à s'échapper, ses opinions changèrent pour transformer son anticonformisme sans pour autant oublier les relations entre la politique et la guerre...
Dès leur première rencontre les deux hommes s'entendent comme larrons en foire, et sans ses efforts répétés CDG n'auraient jamais survécu aux multiples tentatives d'assassinats de la part du gouvernement américain qui voulait faire de Pétain le Franco français. Ce qui les différencie c'est le sens de la famille : Churchill élevé par sa nurse est toujours resté distant de ses parents, CDG aimé par son père et par sa mère a toujours été plus sentimental que le champion anglais de la punchline. Et ce d'autant qu'il a été frappé dans sa chair en acceptant de garder Anne son enfant trisomique à une époque où les élites autoproclamées préféraient s'en débarrasser pour les remplacer par des enfants achetés à des kidnappeurs professionnels...

Et le parallèle en la réalité et la fiction est encore plus édifiant :
Je suis un grand lecteur de manga, et concernant tous les passages et toutes les thématiques militaires je dois plisser les yeux entre Charles de Gaulle pure produit de la méritocratie du XXe siècle français et Bernd Balzar pur produit de la méritocratie du XIXe siècle allemand. Les mêmes causes produisent-elles les même effets ? Un bon chef ne donne jamais d'ordres qu'ils ne soit prêt à effectuer lui-même, un bon chef ne donne jamais d'ordres qui sacrifient ses hommes pour les petits profits des petits intérêts d'un petite minorité, donc un bon commandant défend la liberté, l'égalité, la fraternité où la mort !!! Donc macron est un chef de merde, CQFD !


J'ai envie de dire waouh ! Cela faisait longtemps que je n'avais pas autant appris autant de truc en Histoire : la BD de 48 pages semble interminable tellement elle est rempli de personnages, d'événements, de thématiques, mais on ne s'ennuie pas un seul instant ! Produit de l'Histoire et acteur de l'Histoire qu'il finit par faire presque à lui tout seul en tant que nexus du peuple français, CDG homme d'action et de conviction est notre guide au coeur d'un récit qui finalement s'avère tout simplement humaniste… Je ne sais aucunement si c'est voulu ou pas, si les auteurs se sont concertés ou pas, mais un chose est sûre la philosophie de la collection Ils ont fait l'Histoire est plus que jamais que les Grands Hommes étaient des hommes comme les autres animés par des passions humaines grandes ou petites, avouables ou inavouables, et qu'au final ils étaient des êtres humains comme vous et moi…
Christophe Regnault ne signe que le storyboard et a laissé les dessins à Michaël Malatini : c'est simple sans être simpliste, on reconnaît bien les personnage parfois un petit peu caricaturés pour offrir un touche d'humour dans un album très sérieux, c'est fluide et c'est dynamique, mais surtout les graphismes sont clairs et nets ! Bref sans être extraordinaires c'est très agréable à lire… Pour ne rien gâcher les appendices de Frédérique Neau-Dufour sont de qualités, et même le making off est très inspiré : commencer par la mort finir par l'océan, oui mais ce n'est pas la fin mais le commencement !

PS: comme tout est centré sur notre CDG national on ne peut pas voir le tableau d'ensemble… la brouille entre Charles de Gaulle et Philippe Pétain est inexplicable ; inexplicable est l'évolution des positions de Philippe Pétain lui-même peut-être atteint de boulardise après avoir connu la « gloire » de n'avoir pas perdu le « suicide collectif » de la Bataille de Verdun (dès 1917 ce mec était devenu un connard de compétition) ; inexplicable est la politique des élites françaises de la fin des années 1930 qui crachent sur le juif Léon Blum et le Front Populaire qui a fait en 1 mois ce qu'elles n'avaient pas su faire en 50 ans ; inexplicable est le sabotage délibérée du gouvernement et de l'Etat-major (la Ligne Maginot inachevée, le refus de mettre à niveau l'armée qui fut la plus moderne du monde 20 ans auparavant, y compris par ceux qui défendait une telle politique, un chef interallié viscéralement anglophobe et cerise sur le gâteau Weygand qui déclare « j'ai perdu comme l'Allemagne mais au moins j'ai vaincu la République »… Avec de tels amis la France n'a avait aucunement besoin d'ennemis, mais ce sont les mêmes qui avaient acquitté l'assassin de Jean Jaurès l'empêcheur de faire du business sur le dos des peuples… Après coup je ne m'étonne pas plusieurs macronistes bien en vu viennent de hautes écoles qui ont été frappées par des affaires de réhabilitation et d'apologie de collaborationniste qui ont plus brillé par leurs trahisons que par leurs actions...
Lien : http://www.portesdumultivers..
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Premier tome d'une série consacrée à Charles de Gaulle prévue en 3 tomes dans la collection «ils ont fait l'histoire». Ce premier tome dédié à la «jeunesse» de De Gaulle jusqu'en juin 40 et son départ pour Londres tient toutes ses promesses.

Les auteurs bien inspirés se sont servi des très nombreux écrits laissés par le grand homme.

Les dessins sont réalistes et bien adaptés à une biographie.

J'ai appris des informations nouvelles concernant la jeunesse de de Gaulle période de sa vie méconnue, moins étudié en particulier son éducation et la Première Guerre mondiale.

C'est un homme de l'écrit, conservateur, catholique pratiquant de droite mais ouvert et pragmatique ce qu'il démontrera toute sa vie.

A noter toujours ce petit cahier en fin d'ouvrage permettant de comprendre le cheminement des auteurs.

De Gaulle aujourd'hui est un homme respecter et aimer (à juste titre) par la grande majorité des Français et des politiques même par ses opposants les plus farouches à savoir l'extrême droite et une partie de la gauche qui se réclament de lui.

Le gaullisme est mort avec le général c'est un homme à qui on doit beaucoup mais il serait bon aujourd'hui de vivre avec des idées du 21ème siècle, de se réclamer d'autre chose que du gaullisme surtout l'extrême droite qui ne manque pas d'air après l'avoir combattue avec acharnement, le gaullisme était à l'opposer de l'idéologie mortifère d'extrême droite.



Un homme qui avait une certaine idée de la France et de Sa Grandeur (pas forcément des Français) et qui plaçait l'intérêt général, au-dessus de tout, bien avant les intérêts particuliers.
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Souvent comparée à la collection La sagesse des mythes (qui s'ouvre désormais à la mythologie sumérienne), la saga Ils ont fait l'histoire semble, au fil des années, devenue moins dynamique. Les sorties se font moins nombreuses. Une série concurrente est même disponible chez les marchands de journaux.

Il était grand temps de frapper un grand coup !

Cette trilogie (enfin !) annoncée sera donc consacrée à De Gaulle. Il aura fallu l'attendre pendant quelques années, car elle avait été annoncée dès le lancement de la série qui compte désormais quelques albums à son actif.

L'attente aura été profitable, c'est du moins ce que l'on peut se dire après avoir lu ce premier volume. Comme bien souvent pour cette série, la qualité et la densité sont au rendez-vous. Les deux s'équilibrent ici et le texte, bien que fourni et prenant une certaine place n'entrave pas la lecture et laisse la part belle à l'action. Car oui c'est bien l'action qui est ici au cour de l'album ce qui correspond admirablement avec le sujet.

Nous allons suivre le futur général, depuis son plus jeune âge aux heures les plus dures de la Seconde guerre mondiale. Autant dire que le sujet sera bien occupé : année de formation, entrée dans l'armée, Grande guerre, carrière dans l'entre-deux guerres, rapprochement puis rivalité avec le maréchal Pétain… Certains épisodes sont passés sous silence, pour laisser de la place à des séquences habilement insérées (notamment l'affaire Dreyfus).

Comme si tout cela ne suffisait pas, nous avons le plaisir d'approcher le futur général dans son intimité, tout en laissant de la place pour de belles citations de ses oeuvres : il est impossible de s'ennuyer ici tant il y a de matière. Que l'on apprécie ou non le personnage, c'est tout une époque que l'on approche ici.

La mise en planche est digne d'un film et fait beaucoup dans la réussite de l'album. Quel démarrage ! Osé et efficace ! impossible de rester insensible. A minima il y a ici de quoi susciter la curiosité.

Les dessins sont adaptés au propos et l'on reconnaît aisément les différentes figures historiques (les plus connues ou celles qui le sont moins). le dessinateur parvient en un temps record à entrer dans l'histoire et de faire preuve de précision en étant à l'aise dans les séquences d'actions, comme celles plus intimes et plus statiques. Et il faut dire qu'il n'épargne guère le protagoniste. Assurément nous ne sommes pas ici dans le registre de l'hagiographie.

Le cahier scientifique est intéressant, mais tout est dit, ou presque, dans le reste de l'album. le making-of est en revanche très intéressant.

Ce premier volume est une réussite qui ne peut que donner envie de lire la suite (fort heureusement disponible en librairie).
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De Gaulle, premier tome de la série de 3, s'étend sur 48 pages plus 8 pages de compléments, pour raconter sa jeunesse jusqu'à la fin de la débâcle, juste avant l'appel du 18 juin. le découpage est plutôt efficace et maintient bien l'attention du lecteur.
Le personnage est bien décrit : droit, idéaliste, rétif à la bride, pas "bon élève".. Concernant cette dernière qualité, c'est sans doute ce qui manque à la France aujourd.hui : notre élite, à force de raison et d'obéissance aux intérêts supérieurs qui favorisent leur ascension, tombent dans la servilité la plus crasse, oubliant le peuple (jugé "populiste" ) et la France, tout juste bonne à se cantonner à un espace géographie perdu dans l'Europe... du pragmatisme bas de gamme vécu comme l'alpha et l'oméga de toute politique, avec une absence totale d'une qualité trop rare aujourd'hui : le courage.
La toute première scène, que je ne décris pas volontairement, fait état d'un évènement de sa vie qui m'était inconnu et qui a failli changer le cours de l'histoire de France.
Côte dessin : je n'ai pas forcément accroché même s'il est dans l'ensemble de bonne qualité ; la ouverture est très réussie et résume bien ce tome.
Au final, une BD qui remplit parfaitement son rôle de faire connaître la vie de De Gaulle et d'aller plus loin, en lisant ses mémoires, ce que je programme de faire dans les prochains mois.
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Évidemment, pour un personnage aussi important et qui a eu une vie si remplie, la série « ils ont fait l'histoire » ne pouvait que consacrer au moins 3 albums à ce personnage.
Ce premier tome est consacré à l'enfance (adolescence plus précisément), à la Première Guerre mondiale et surtout aux événements jusqu'à l'armistice de la France lors de la Seconde Guerre mondiale.
La BD dépeins un « de Gaulle », fier de la France, visionnaire, qui est adepte d'une guerre moderne de mouvement, mais qui n'est pas encore décidé à mener la France du point de vue politique.
Un premier album très intéressant pour comprendre l'homme et son destin. On peut trouver que la présentation du personnage est presque « messianique » pour la France, mais je ne pense pas que c'est trop exagéré (le récit lui prête tout de même toutes les visions des erreurs de la France, certes, les auteurs y vont un peu fort) ; De Gaulle avait un profondément esprit de de devoir envers la France et dans cette première partie de sa vie, le récit est plutôt bien construit pour découvrir cet homme d'exception.
Un premier tome prometteur d'une biographie réussie sur ce personnage historique du XXe siècle.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
- Eh bien, Charles… On a une révélation ?
- C’est… c’est tellement beau.
- C’est tout un pan de notre Histoire. Napoléon l’a voulu pour célébrer nos soldats au lendemain d’Austerlitz, Louis Philippe en a fini la construction, mais on y a associé le souvenir des soldats de la Révolution.
- La célébration de la République... et de l’Empire.
- La célébration de la France, au final, Charles. L’une et l’autre en dont partie.
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Il est essentiel que tous ceux qui commandent, du haut en bas, aient une personnalité très marquée, de l’initiative et du caractère. Or ils n’en n’ont pas.
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Un combattant doit choisir son combat.
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