E.L. ToddAlpha (série romance) tome 4 sur 5
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Résumé :
« Tu m’appartiens. Un point c’est tout. » Janet... Indépendante, épanouie dans sa carrière, Janet est une femme autonome qui n’a pas besoin d’un homme dans sa vie. Mais elle n’a pas renoncé à l’amour pour autant. Déçue de ses rencontres ou tout simplement indifférente, Janet commence à se poser des questions. A-t-elle un problème ? Finira-t-elle par trouver le bon ? C’est alors qu’elle croise la route de Scott. Son cœur s’emballe, l’attirance est immédiate, mais pas... >Voir plus
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C’était le fiasco assuré. Un type aussi canon que lui ne pouvait tout simplement pas avoir de bonnes intentions, et son égocentrisme flagrant battait tous les records. Comment pouvais-je sérieusement envisager de vivre quoi que ce soit avec lui, quand l’arrogance, justement, était un trait qui me rebutait foncièrement ?
La robe que j’avais trouvée était de soie, d’un bordeaux profond. Elle avait le double avantage de souligner mes formes tout en affinant ma silhouette, et j’étais très portée sur ce genre de coupes trompe-l’œil. J’agrémentai le tout de boucles d’oreille en or et d’un bracelet assorti. Une mèche rebelle cependant ne cessait de retomber de mon chignon, et je tentai de la fixer avec de la laque, mais rien à faire. Alors tant pis. Je n’allais pas y passer la nuit.
Rapidement, je me suis tournée vers l’alcool, parce que je me sentais plus calme après avoir bu, mais tout foutait le camp dans ma vie. Même avec Hank. Ça faisait longtemps qu’on ne faisait plus l’amour. Un jour, je l’ai surpris en train de se masturber, et je n’ai pas supporté cette idée. Alors je lui ai passé un savon. Mais je n’ai fait qu’empirer les choses.
Mon rêve, c’était de connaître le grand amour, l’amour renversant, fort comme un tremblement de terre, doublé d’un désir dévastateur. Avec Ryan, rien, niet. Peut-être devais-je me laisser le temps ? Était-ce moi, en m’appesantissant sur ses défauts, qui m’empêchais d’éprouver quoi que ce soit pour lui ?
L’eau chaude, en ruisselant sur mon corps, m’aidait à chasser ma colère. Ma sœur avait vraiment le don de me faire péter les plombs. Je l’adorais, sincèrement, mais je ne pouvais pas m’empêcher de la détester en même temps.
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QUEL ROMANCIER A ECRIT CES PHRASES: « Nous disons bien que l’heure de la mort est incertaine, mais quand nous disons cela, nous nous représentons cette heure comme située dans un espace vague et lointain, nous ne pensons pas qu’elle ait un rapport quelconque avec la journée déjà commencée et puisse signifier que la mort — ou sa première prise de possession partielle de nous, après laquelle elle ne nous lâchera plus — pourra se produire dans cet après-midi même, si peu incertain, cet après-midi où l’emploi de toutes les heures est réglé d’avance » ?
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