J'ai croisé pour la première fois Jean Zay Il y a trèèès longtemps lors de mes études, dans un cours d'histoire contemporaine.
J'ai eu envie de le redécouvrir récemment lorsque les médias présentaient en boucle le nouveau ministre de l'éducation nationale, comme le plus jeune dans ce domaine.
C'est avec plaisir et concentration que je me suis plongée dans la vie de ce grand réformateur qui a démocratisé l'éducation. Une vie de réel engagement au service de la République, tragiquement interrompu par son assassinat par la milice en 44 après les années d'emprisonnement sous Vichy.
Il y a de grands hommes, engagés... et il y a les autres.
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Après avoir assisté à une conférence sur les différents personnages célèbres du front populaire, j'ai voulu approfondir mes connaissances sur Jean Zay, homme formidable au destin tragique et me suis précipitée à la bibliothèque, où j'ai emprunté ce livre.
Mais j'ai été très déçue ! Ce livre n'est pas une vrai biographie du personnage. On y apprend certes des choses, mais le style est rébarbatif, inégal, voir compliqué. L'auteur ne se met absolument pas à la hauteur du lecteur. Il complique tout, complexifie tout. il doit falloir faire "Science Po " ou l'ENA pour y adhérer !!!
Bref, à la moitié du livre, j'ai totalement décrochée : c'est seulement la deuxième fois que cela m'arrive avec un livre !
Que dire d'autre, si ce n'est que je ne le conseillerais pas à mon entourage ....
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A la suite d'une émission de radio (rue des écoles, sur France Culture), j'ai voulu en savoir plus sur Jean Zay, dont la présentation en tant que ministre de l'éducation nationale m'avait interpelée.
Cet ouvrage est intéressant pour le fond historique, mais j'ai eu du mal à avancer en raison de l'écriture pesante. Et finalement, le parcours et les idées de cet homme (qui me semble formidable) sur la formation des écoliers à leur vie citoyenne ne sont que très peu évoqués. J'en suis un peu déçue...
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Il entrait dans le temps. Par cette formule prononcée lors des cérémonies des 40 ans de la mort de Jean Zay en 1984, Roger-Gérard Schwartzenberg nous plonge dans la question du devenir de la mémoire de Jean Zay dès le lendemain de son assassinat. Or, à rebours de son affirmation, l’oubli, partiel mais puissant, de son action est un des traits majeurs de la postérité de l’ancien ministre du Front populaire. On l’a déjà noté, sa mémoire reste durablement diffractée. À qui veut donner à lire et à comprendre son parcours, il faut en passer par là : comment Jean Zay est-il entré dans le temps de l’écriture de son histoire ? En s’inscrivant dans quel Panthéon moral de la République ?
A l'occasion des Rendez-vous de l'histoire 2018 à Blois, Olivier Loubes vous présente son ouvrage "Cannes 1939 : le festival qui n'a pas eu lieu" aux éditions Armand Colin.
Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/1578112/olivier-loubes-cannes-1939-le-festival-qui-n-a-pas-eu-lieu
Notes de Musique : Free Music Archive.
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