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EAN : 9791025103685
544 pages
French Pulp Éditions (31/05/2018)
3.7/5   111 notes
Résumé :
"Journal d'un marchand de rêves" est une grande aventure au pays des songes !
Une interprétation du marchand de sable époustouflante...
Prix Imaginales 2017
J'ai séjourné en hôpital psychiatrique. Pas de quoi fouetter un chat sauf lorsque, comme moi, vous êtes fils de stars. Par crainte du scandale, mes parents m'ont expédié loin d'Hollywood, dans la vieille Europe.
Les meilleurs spécialistes m'ont déclaré guéri. En vérité, la thérapie a ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (64) Voir plus Ajouter une critique
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Bienvenue au pays des rêves! Attention cependant : on n'est pas au pays des rêves bleus, mais dans l'univers glauque de quelqu'un qui aurait un poids sur la conscience. Walter Krowley intègre le boudoir qui mène dans un monde peuplé d'Outlaws, de Poltrouilles et où les héroïnes ont plus à voir avec Demi More dans A Armes égales, qu'avec Sissi impératrice. Confronté à des hordes de créatures peu amènes, parmi lesquelles il devra faire le tri entre alliés et ennemis, il traine aussi comme un boulet une chimère inquiétante : son Ça. le travail est colossal, décrypter les signes, déjouer les pièges, et trouver la manne qui est à la source de son inspiration créatrice, une substance hautement addictive et convoitée : du sable. Tandis que peu à peu, de révélations en énigmes, un secret sans doute à l'origine de cette épopée onirique sera dévoilé.

Dans un décor steampunk, foisonnant de trouvailles esthétiques mais aussi symboliques, on accomplit un voyage extraordinaire. Très visuel, bourré de références, littéraires, musicales, cinématographiques, l'ensemble est dense. Hormis un passage aux trois quarts du roman où l'on aimerait bien que cela avance un peu plus vite, impossible de s'ennuyer. D'autant que l'écriture est à la hauteur : rythmée, drôle, avec des dialogues percutants, et le sens de la formule. Quel talent!

Et ces décors ne sont pas là que pour faire joli, une vraie histoire, un scénario solide assoit l'édifice, du dramatique accident initial, au dénouement peu prévisible, on est mené pieds et poings lié dans ce récit fantastique qui pour moi, est un modèle du genre.


Merci à Babelio et aux éditions French Pulp pour cette belle découverte.

Lien : https://kittylamouette.blogs..
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« J'ai séjourné en hôpital psychiatrique. Pas de quoi fouetter un chat sauf lorsque, comme moi, vous êtes fils de stars. Par crainte du scandale, mes parents m'ont expédié loin d'Hollywood, dans la vieille Europe.
Les meilleurs spécialistes m'ont déclaré guéri. En vérité, la thérapie a échoué. Les songes ont repris, plus dangereux que jamais."
Une 4ème de couverture alléchante, un défi dans un challenge à relever , ce roman semblait être fait pour moi. Malheureusement , je ne m'y suis pas trouvée à l'aise c'est le moins que l'on puisse dire , j'ai même beaucoup souffert à sa lecture mais cela n'est pas bien grave n'est-ce pas ? Malgré la frustration de la déception, je reconnais à Anthelme Hauchecorne beaucoup de brio, une imagination du feu de Dieu, une écriture fluide, une érudition de bon aloi bref du talent...
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J'ai lu presque tous les romans d'Anthelme Hauchecorne (il me manque juste le premier), je ne pouvais donc pas rater ce tout nouveau livre ! Je découvre par la même occasion la maison d 'édition L'atelier Mosesu et sa collection Pepper dirigée par Sophie Jomain.

Le premier contact avec le livre nous plonge carrément dans l'ambiance, la couverture est magnifique, sombre, mystérieuse. Les engrenages laissent présager un peu de mécanique, de rouages. Il y en aura en fait beaucoup. Deuxième pas dans cette histoire mystérieuse, les premières pages où l'on rencontre notre narrateur et héros Walter Krowley, qui prépare une éloge funèbre, pour une amie et peut-être finalement pour lui... Sacré introduction.

"Par où commencer ?

Peut-être par mon premier séjour en hôpital psychiatrique ?

Ce jour fatidique où j'ai compris que ma vie empruntait la mauvaise pente..."

Il va donc nous narrer ses mémoires...

Et là je dirai bien : je sèche.

En effet, il m'est bien difficile de parler de ce livre tant son atmosphère et son histoire sont spéciales ! Walter Krowley nous fait pénétrer à sa suite dans un monde qu'il ne peut visiter que quand il dort, Brumaire. Un monde étrange, un peu glauque, mais dont le champ des possibles est illimité. Un monde complexe aussi, on a du mal à appréhender ses lois, son fonctionnement. Mais un monde envoûtant, passionnant. Notre héros va y vivre des aventures étonnantes, rencontrer des personnages étranges. Mais ses journées ne seront pas vides et le récit de ses aventures diurnes s'ajoutent aux nocturnes pour nous donner une histoire certes alambiquée, mais passionnante.

Difficile, donc, de vous parler en quelques mots de Brumaire, de ses marais, de ses sables, de sa brume, de ses automates, de ses habitants... Difficile également de vous donner des indices sur l'histoire, il y sera question de survie, d'enquêtes, de drogues, d'inspiration, d'amour...

Il ne vous reste donc qu'une solution : le lire.

Je pourrai bien entendu vous parler aussi de la plume d'Anthelme Hauchecorne, toujours poétique, précise et dans ce récit facile à lire.

Je pourrai vous parler des personnages, des Outlaws déglingués, des héroïnes fortes en mécanique, en cambriole et en bagarre, de Walter Krowley et de son passé qui le hante...

Mais j'ai juste envie de vous dire : faites-vous votre propre idée, laissez-vous envoûter, vous aussi, par Brumaire.
Lien : http://www.leslecturesdemari..
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Journal d'un marchand de rêves inaugure la collection Pepper de l'Atelier Mosésu. Un éditeur qui m'a habitué à du bon, une dir' coll' pas manchote en la personne de Sophie Jomain, un Anthelme Hauchecorne qui cumule les bonnes critiques sur ses autres bouquins. On est en droit d'attendre du lourd.


Premier bon point, l'objet livre ne dépare pas dans les productions Mosésu. De la couverture de Miesis – la madame qui a pondu la superbe affiche des dernières Halliennales – aux en-têtes de chapitre illustrés, Journal d'un marchand de rêves (JMR pour les intimes) ne déroge pas à cette règle de qualité. Un bel objet qui met dans de bonnes dispositions de lecture.

Hollywood constitue un excellent choix de décor. le roman oppose la veille et le sommeil, la réalité et le monde des rêves, l'Eveil et l'Ever, Hollywood et Doowylloh. Ou pas.
Plutôt qu'un choc basique entre deux mondes que tout sépare, Hauchecorne a opté pour une solution intelligente. Par certains côtés, les univers se ressemblent comme deux gouttes d'eau. Pas plus que son jumeau onirique Hollywood ne représente la réalité ni la normalité. Entre paillettes et coke, un monde à part qui vend du rêve à travers ses films et ses stars. Il offre aussi sa part de désillusions. Rêves et cauchemars, dirait Stephen King.
La démarche m'a paru intéressante de renvoyer ainsi dos à dos deux environnements hors norme.

Au chapitre des grandes révélations, entre l'eau mouille et le feu brûle, je n'ai pas peur d'annoncer que Hollywood ne serait pas Hollywood sans le cinéma. JMR abonde en références sans se viander sur l'écueil classique de la surabondance. Certes on en croise beaucoup, mais a) le thème s'y prête et surtout b) Hauchecorne sait s'y prendre pour les caser par une variété de moyens qui évite le catalogue d'auteur qui se la pète en étalant sa culture cinématographique.

Les citations littéraires m'ont moins convaincu. Pas qu'elles soient hors sujet, mais vu qu'il y a déjà de la matière niveau ciné, il n'était peut-être pas utile d'en remettre une couche.
Dans la même veine, les notes de bas de page alourdissent la lecture. On sort du texte à chaque renvoi pour tomber sur des précisions dispensables.
C'est à peu près tout ce que j'ai à reprocher à JMR, autant dire presque rien.


Walter Krowley et sa chaîne argentée rappellent les voyages astraux de l'occultiste Aleister Crowley, sans que le premier soit un clone du second. le Camarilla Mental Hospital évoque Vampire, La Mascarade sans le pillage habituel de l'univers White Wolf. Je pourrais multiplier les exemples à l'infini. Les clins d'oeil, références et allusions s'insèrent dans le texte avec discrétion et raffinement. Ils fonctionnent comme des bonus, pas comme le coeur d'un récit emprunté à d'autres.
La description de l'univers bureaucratique et autoritaire de Doowylloh n'est pas qu'un mélange de 1984, le meilleur des mondes, Twilight Zone ou le Prisonnier. L'exploitation de Brumaire par les Outlaws ne se résume pas à coller Mad Max dans Pale Rider. L'Ever ne fait pas figure de Contrées du Rêve ou de Pays des Merveilles bis. Là encore, je pourrais lister des influences sur des pages. On les sent planer, mais très très haut. Hauchecorne les a assimilées, il sait les utiliser et s'en affranchir.

Grande réussite de JMR, son univers ! A la fois steampunk, SF, fantastique, western, dystopie, conte initiatique… Un cocktail improbable… le gros risque du mélange, c'est le fourre-tout bordélique et indigeste. le docteur FrankenHauchecorne maîtrise sa créature. La cohérence de l'ensemble tend vers celle du Disque-Monde ou de Dune.
Il y aurait des tonnes de choses à raconter sur le monde des rêves et ses habitants… Donc je ne dirai rien. Vaut mieux le découvrir par soi-même à la lecture du bouquin. Pour donner une idée de la richesse et de l'inventivité, la découverte de l'Ever provoque les mêmes sensations qu'une première visite à Ankh-Morpork ou le récit des pérégrinations oniriques d'un Randolph Carter.

L'enrobage de JMR se montre-t-il à la hauteur de son contenu ? La plume hauchecornienne m'a surpris en bien. A cause du label young adult, je craignais l'habituel style qui n'en est pas, pauvre comme une cour des miracles mais pas avare de clichés ni de scories. J'ai cherché vainement en vain les cohortes d'adverbes en -ment, les dialogues scolaires, les lourdeurs sous-lovecraftiennes.
Du “qui se lit bien”, pas du genre plat et simpliste comme un Harlequin, mais parce qu'il est agréable. Propre, fluide, élégant même dans la familiarité. Rythmé comme les meilleurs westerns, spontané comme du Jomain, carré comme du Gillio, avec en plus une note d'humour quelque part entre King et Pratchett. A l'arrivée, ça donne du Hauchecorne.

Depuis tout petit, au gré de mes lectures, j'ai visité des centaines de mondes et de planètes, il faut se lever de bonne heure pour me promener dans des univers inédits. Hauchecorne s'affirme comme un auteur très matinal.
Quand d'autres tournent en rond dans des histoires mille fois lues de vampires et de loups-garous qui se font des papouilles, JMR rappelle que l'inventivité n'est pas une option mais une base.
Un univers original et d'une richesse rare, une plume dynamique et raffinée, une parfaite maîtrise du fond comme de la forme… Je ne vois qu'une chose à reprocher à Hauchecorne : il va me coûter des sous maintenant qu'il m'a donné envie de découvrir ses autres bouquins.
Lien : https://unkapart.fr/journal-..
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Je ne savais pas trop à quoi m'attendre en lisant la quatrième de couverture. Parce que ce qui y est décrit ne laisse en rien préfigurer la moindre touche d'imaginaire, pourtant évidente puisque le livre est lauréat du prix Imaginales 2017... Bref, un mystère, quelque chose d'intrigant. Quelque chose que je devait lire absolument.
Le début nous plonge dans le quotidien ennuyeux et inaccessible d'un gosse de riche, qui fait les 400 coups avec son ami Trevor. Jusqu'au drame, celui qui va le faire basculer dans autre chose. Ses nuits ne seront plus jamais les mêmes.
Il est hors de question d'en dévoiler plus, sinon que l'intrigue nous emmène d'abord dans un univers de science fiction avec un système rigide et technologique. Mais bientôt, vient le chaos, un univers où seule prime la loi du plus fort, un far west onirique rempli de dingues à la gâchette sensible. Notre héros va alors se trouver l'enjeu d'un système qui le dépasse passant d'un camp à l'autre et devenant malgré lui une pièce essentielle de l'aventure.
J'ai adoré ce roman, tellement aimé que j'ai eu du mal à le quitter. J'aurais aimé continuer ma route en Ever, en savoir plus sur ses protagonistes, mais aussi sur le monde de l'Ever en lui-même, tellement riche en possibilités.
Alors maintenant, fermez les yeux et plongez dans l'aventure des marchands de sable.
Merci à Netgalley et à French Pulp éditions pour ce voyage dont on ne ressort pas indemne.
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critiques presse (1)
Elbakin.net
07 novembre 2016
Journal d’un marchand de rêves explore un concept intéressant avec une multitude de bonnes idées et de clins d’œil de l’auteur, et surtout un univers onirique d’une grande richesse.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (49) Voir plus Ajouter une citation
- Parce que j'ai droit à des vacances ?

- Dans les cas énumérés par la loi : arrêt cardiaque, traumatisme crânien majeur, perte d'un ou plusieurs organes... Liste non exhaustive. Le règlement prévoit un congé d'une heure.

- C'est peu.

- C'est trop.
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J'évoluais au milieu d'une profusion de coussins roses, de fourrures roses et de tentures roses. L'épaisse moquette, de la couleur que vous devinez, me donnait l'impression d'être une puce blottie dans le pelage d'un gigantesque animal rose bonbon.
Avant de hurler au mauvais goût, visualisez la baignoire en forme de coeur. Maintenant, vous pouvez crier.
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(...) Elle a soupiré.
- Ne t'es-tu posé aucune question sur ta mission ? D'après toi, pourquoi le Gouverneur est-il si avide d'explorer de nouveaux rêves ?
- Afin de mettre à jour son Atlas des songes ?
- Bien sûr. Tout comme une compagnie de forage pétrolier n'explore l'Arctique que pour recenser la population de pingouins...
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Était-ce ma faute ? Avais-je mal compris ?
Il me semblait pourtant que le terme " associés " était clair, non équivoque et qu'il impliquait des obligations de vérité et de loyauté.
De toute évidence, Banshee fonctionnait différemment. À tel point que j'aurais presque désiré lui ouvrir le crâne, afin de voir de mes yeux quels étranges circuits nourrissaient ses pensées.
Idée qui m'a plusieurs fois démangé.
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Je n'avais personne à qui parler. Meredith, qui me jugeait déjà excentrique, aurait cru que j'avais définitivement perdu la boule. Trevor se serait moqué de moi, puis m'aurait demandé ce que j'avais fumé ainsi que l'adresse de mon dealer.
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Videos de Anthelme Hauchecorne (9) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Anthelme Hauchecorne
Le rendez-vous d'Angérôme de ce mois-ci vous présente les titres Gulf stream éditeur dans lesquels fleurent bon la magie de Noël et les cadeaux sous le sapin. Un lutin malin de la librairie Coiffard s'est glissé dans cette vidéo… Saurez-vous le retrouver ?
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