Le Commandeur : King of Ice

Alors qu'au dehors les éléments se déchaînent, pluie, vent, houle marine, le gardien de phare tente désespérément de joindre par téléphone le Centre.
Une tempête non prévue par la météorologie se profile et grossit de seconde en seconde. Trition le chat semble indisposé. Non par les éléments déchaînés, mais par la peur d'une force extérieure. Une peur diffuse.
Soudain deux hommes habillés en moine font irruption dans l'habitacle et s'acharnent à coups de couteaux sur le malheureux gardien.
Rachel, une jeune journaliste qui suit les deux hommes, en profite pour prendre quelques photos. Un reportage exceptionnel et sensationnel, mais qui risque de tomber à l'eau lorsque les assassins découvrent la présence de la jeune femme.
Heureusement, le Commandeur, alias Ebenezer Graymes, professeur de démonologie à l'université de Columbia, intervient à temps pour l'extraire de leurs griffes et lui éviter une plongée mortelle dans l'océan déchaîné.
Sur New-York l'hiver s'installe avant l'heure. Un iceberg à la dérive provoque de nombreux dégâts parmi les pêcheurs et les contrebandiers. Etrange cet iceberg puisqu'il est carnivore.
Le Commandeur se souvient d'une ancienne prophétie concernant le Roi des glaces et ses maléfices.
De nouveau le voici sur le sentier de la guerre contre les forces du Mal, avec à ses basques la belle et importune journaliste.

Deux à trois heures de détente assurées pour tous ceux qui vibrent, et ils sont nombreux, à la lecture d'histoires de terreur, d'angoisse, à la limite du conte de fées, du roman de cape et d'épées et du fantastique, de l'épouvante et du surnaturel, du cauchemar et de la lutte éternelle contre les démons.
A mon avis, King of Ice est le meilleur de la série du Commandeur écrite par Michel Honaker, pour le moment puisqu'il y en aura huit en tout. Cette série a été rééditée, réécrite et adaptée, celui-ci sous le titre de le chant de la reine froide, chez Rageot dans une collection destinée à la jeunesse.

Ce tome 4 de la série commence très étrangement. Graymes est dans un tumulus dont la description semble plus européenne qu'américaine (mais on est bien aux Etats-Unis) et doit s'arracher à son sommeil. Pourquoi était-il là ? Encore une fois beaucoup de questions et peu de réponses.
Pour le moment, c'est le tome que j'aime le moins de la série. Même si l'histoire est bien construite, c'est un peu décevant après Return of Emeth et le début m'a fait douté de l'ordre des tomes : j'ai eu l'impression qu'il m'en manquait un. On a toujours le côté horreur mais c'est mieux passé pour ce tome-ci, peut-être le contexte différent. La scène de sexe par contre, même si elle colle avec l'image de Graymes, m'a vraiment dérangée quant à la vision des personnages féminins...

Alors qu'au dehors les éléments se déchaînent, pluie, vent, houle marine, le gardien de phare tente désespérément de joindre par téléphone le Centre.
Une tempête non prévue par la météorologie se profile et grossit de seconde en seconde. Triton le chat semble indisposé. Non par les éléments déchaînés, mais par la peur d'une force extérieure. Une peur diffuse.
Soudain deux hommes habillés en moine font irruption dans l'habitacle et s'acharnent à coups de couteaux sur le malheureux gardien.
Rachel, une jeune journaliste qui suit les deux hommes, en profite pour prendre quelques photos. Un reportage exceptionnel et sensationnel, mais qui risque de tomber à l'eau lorsque les assassins découvrent la présence de la jeune femme.
Heureusement, le Commandeur, alias Ebenezer Graymes, professeur de démonologie à l'université de Columbia, intervient à temps pour l'extraire de leurs griffes et lui éviter une plongée mortelle dans l'océan déchaîné.
Sur New-York l'hiver s'installe avant l'heure. Un iceberg à la dérive provoque de nombreux dégâts parmi les pêcheurs et les contrebandiers. Etrange cet iceberg puisqu'il est carnivore.
Le Commandeur se souvient d'une ancienne prophétie concernant le Roi des glaces et ses maléfices.
De nouveau le voici sur le sentier de la guerre contre les forces du Mal, avec à ses basques la belle et importune journaliste.

Deux à trois heures de détente assurées pour tous ceux qui vibrent, et ils sont nombreux, à la lecture d'histoires de terreur, d'angoisse, à la limite du conte de fées, du roman de cape et d'épées et du fantastique, de l'épouvante et du surnaturel, du cauchemar et de la lutte éternelle contre les démons.
A mon avis, King of Ice est l'un des meilleurs de la série du Commandeur écrite par Michel Honaker, il y en a huit en tout. Cette série a été rééditée, réécrite et adaptée, celui-ci sous le titre de le chant de la reine froide, chez Rageot dans une collection destinée à la jeunesse.

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