J'ai dû abandonner ce livre non pas par manque de qualité rédactionnelle ou par manque d'intérêt, mais à cause de la lourdeur de "l'objet' livre.
Je comprends bien la logique éditoriale de regrouper les tomes 1 et 2 dans un poche "intégral", en revanche, niveau pratique... c'est un flop pour moi !
J'essaierai de trouver les deux tomes séparés, pour une meilleure "expérience de lecture"...
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Javais repéré ce livre il y a quelques années maintenant. La médiathèque l'avait mais il était emprunté. J'ai attendu quelques mois supplémentaires avant de l'avoir entre les mains. Parce que c'est un pavé !
Finalement, j'ai trouvé le tome 1 plus intéressant que le tome 2, surtout parce que ce que j'attendais du second ce sont des exemples concrets, des exercices à mettre en oeuvre. Je partage le point de vue de l'auteur sur l'importance des compétences émotionnelles et la nécessité de leur enseignement. Je n'ai pas l'impression que cela ait beaucoup changé depuis la parution de l'ouvrage.
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Nous imposons à tous nos enfants une éducation qui les prépare à devenir enseignants. Et, pendant toute la scolarité, nous évaluons les résultats de chacun en fonction de cet objectif limité. Nous devrions passer moins de temps à classer nos enfants et davantage de temps à les aider à reconnaître leurs aptitudes et à les cultiver. Une infinité de voies conduisent à la réussite et d'innombrables talents nous permettent de l'atteindre.
Citant Howard Gardner, fondateur du projet Spectrum, p. 63
Le mur du silence est la défense ultime, l'individu se retire de la discussion en répondant par une expression impassible et le silence. Cette stratégie communique une impression forte et troublante, un mélange de froideur, de supériorité et de dégoût....dans 85% des cas, c'est le mari qui s'enferme dans le mutisme en réaction aux critiques méprisantes de son épouse. Quand elle devient habituelle, cette attitude est dévastatrice dans le couple, elle supprime toute possibilité de régler les désaccords.
Bref, des émotions dont nous perdons le contrôle peuvent rendre stupides les gens les plus intelligents.
Se fixer des objectifs, cela signifie aussi échelonner les étapes nécessaires pour les atteindre. Si le but est de devenir plus optimiste - il faut savoir accepter déconvenues et rebuffades sans se laisser abattre -, l'analyse peut être affinée : "Vous pourriez commencer par noter vos points sensibles, les évènements qui déclenchent des réactions contre-productives chez vous et ce que vous ressentez, pensez et faites dans de tels moments, explique Kate Cannon. Vous pouvez identifier des propos pessimistes comme "Je n'y arriverai pas", "Cet échec prouve que je ne suis pas doué pour ça", ou encore un schéma de comportement : d'abord vous vous mettez en colère, puis vous vous rétractez, puis vous adoptez une attitude désagréable. Plus tôt vous interrompez ce schéma, mieux cela vaut."
Tout porte à croire que les personnes qui s’y connaissent en matière de sentiments, qui sont capables de comprendre, et de maîtriser les leurs de déchiffrer ce des autres et de composer efficacement avec eux, sans avantager dans tous les domaines de la vie en amour, comme on travail parce qu’elles auront acquis les a les habitudes de penser qui stimule leurs propres productivité. Les personnes aux aptitudes émotionnelle bien développé ont de meilleures chances de mener leur vie de manière satisfaisante et efficace. Celle qui, en revanche, ne parviennent pas à contrôler leur vie affective subi des conflits intérieur qui s’abonnent, leur aptitude à se concentrer à penser clairement.
P61
DANIEL GOLEMAN, INTELLIGENCE ÉMOTIONNELLE à la NUIT DE l'ENTREPRISE POSITIVE