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La Femme de ménage tome 1 sur 3

Karine Forestier (Traducteur)
EAN : 9782290391174
416 pages
J'ai lu (04/10/2023)
4.37/5   3014 notes
Résumé :
Chaque jour, Millie fait le ménage dans la belle maison des Winchester, une riche famille new-yorkaise. Elle récupère aussi leur fille à l'école et prépare les repas avant d'aller se coucher dans sa chambre, au grenier. Pour la jeune femme, ce nouveau travail est une chance inespérée. L'occasion de repartir de zéro. Mais, sous des dehors respectables, sa patronne se montre de plus en plus instable et toxique. Et puis il y a aussi cette rumeur dérangeante qui court d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (545) Voir plus Ajouter une critique
4,37

sur 3014 notes
La femme de ménage dont il est question dans le titre de ce thriller psychologique particulièrement addictif et machiavélique se nomme Millie. Obligée de vivre dans sa voiture suite à la perte de son travail et de son logement, Millie est de surcroît en liberté conditionnelle et donc obligée de retrouver un emploi au plus vite sous peine de retourner derrière les barreaux. Lorsqu'elle décroche un poste de gouvernante au sein une famille de riches new-yorkais, elle pense avoir décroché le gros lot…sauf qu'elle va très vite déchanter !

Le premier point fort de ce roman est sa construction qui débute par un prologue qui fait immédiatement comprendre qu'un drame terrible vient de se produire. Une fois hameçonné, le lecteur est ramené trois mois en arrière, au moment où Millie se fait embaucher comme femme de ménage. Puis, en changeant de narratrice en seconde partie de roman, Freida McFadden parvient à nous prendre complètement à contre-pied, offrant un nouveau point de vue aussi surprenant qu'intéressant.

Outre cette construction parfaitement orchestrée, il faut également saluer l'ambiance oppressante qui s'installe dès les premières pages du récit. du comportement étrange de la maîtresse de maison à ce petit logement sous les toits qui ne se ferme que de l'extérieur, le lecteur sent immédiatement que quelque chose ne tourne pas rond. Un sentiment de malaise qui s'accentue au fil des pages de ce huis-clos qui tient en haleine de la première à la dernière page.

Bref, un excellent thriller psychologique… qui se transformera même en coup de coeur si vous parvenez à passer outre ces quelques passages un peu trop capillo-tractés qui ont tendance à faire tanguer la crédibilité de l'ensemble.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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J'ai hésité une fois , deux fois puis ...j'ai cédé , poussé par la curiosité de savoir ce que l'oeil pouvait bien percevoir par le trou de serrure représenté sur la couverture et intrigué par la petite phrase écrite sous le titre ...
J'ai tourné la première page du récit , et là , mes amis et amies , je vous l'assure , j'ai été emporté comme un fétu de paille par la tempête jusqu'à la dernière page ...
Millie a un passé particulier et il lui faut faire ses preuves , ne pas se faire remarquer , ne pas répondre , ne pas ..ne pas ..mais surtout trouver du travail pour ne plus dormir dans sa voiture et pouvoir se nourrir .
Par chance , un portail s'ouvre sur une maison cossue où Nina lui offre une place de " bonne " et de gardienne de la petite Cécélia , sa fille . Son mari , le trés beau et trés sympathique Monsieur Winchester, complète ce trio qui pourrait bien guider Millie vers le bonheur et la paix retrouvés .
Oh , il y a bien ce jardinier énigmatique , Enzo , qui regarde la nouvelle arrivante avec une insistance étrange mais ...
L'état de grâce ne dure pas longtemps pour Millie , la machine s'enraye rapidement mais les dés sont jetés , le piège se referme , les personnages sont en place , le spectacle peut commencer , démarrer " tranquillement " puis passer la seconde , la troisième , la quatrième vitesses pour poursuivre la route à toute allure ....
Vous aimeriez bien en savoir un peu plus , juste un " petit bout " , une miette ? Et bien ,non ! non et non! ce serait vous priver d'un cheminement qui va , j'en suis certain , vous river pour un bon moment dans votre canapé ou dans votre lit (auquel cas j'espère que votre réveil ne sonne pas trop tôt le matin) .Addictif , je vous promets , les pages se tournent avec saveur (!!!) , les " inventions originales "des personnages se multiplient à l'infini .
Peu de personnages , des ficelles , des " trucs " d'écrivain se jouent de vous , usent vos nerfs , jouent avec votre patience , érodent vos certitudes , mystifient vos interrogations et supputations . Ô , bien entendu , certains et certaines d'entre vous s'écrieront , tel le commissaire Bourrel ,son célébrissime " Bon Dieu , mais c'est bien sûr ", mais bon , le " mal " sera fait ".
A la note obtenue sur Babelio sur cet ouvrage , je crois que son accueil a été plutôt sympa et , sans avoir lu les commentaires , ce n'est pas mon nombre d'étoiles qui fera baisser une moyenne bien " dodue ".
Et vous savez quoi ? Il y a une suite ! A en croire les toutes dernières phrases , elle ne devrait pas manquer de piquant .
Ce thriller psychologique est , pour moi , une réussite et m'a fait passer un de ces moments de lecture qui vous évitent de regarder la pluie tomber sans interruption derrière les baies vitrées .C'est vraiment " bon pour le moral ", enfin , façon de parler ...
Allez , entrez donc , vous verrez , monsieur et madame Winchester sont adorables ...Oui , elle est un peu " spéciale" , mais lui est tellement beau , si musclé dans ses tee-shirts moulants , si " sexy " et son parfum .....Ah , ça , y est , intriguées , hein , mesdames ? Curieux et un peu jaloux , messieurs .
Allez , bonne soirée à toutes et tous et bienvenue en ...au .. Oh et puis à vous de lire et vous me direz .

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Un drame s'est produit, une femme qu'on ne connaît pas est assise sur un canapé en cuir, attendant qu'un flic lui passe les menottes après la découverte d'un cadavre à l'étage.
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Ainsi commence ce thriller époustouflant de Freida McFadden, auteure que je découvre grâce à mon ami Yvan_T, que je ne remercie pas, car figurez-vous que son but ultime est de faire grossir outrageusement mon pense-nouille...
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La femme de ménage est le premier roman de Freida, et croyez-moi, j'en ai lu des thrillers, mais celui-ci fera partie des plus marquants.
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Un suspense constant, pas une seconde de répit, absolument aucune phase d'ennui. J'ai maintes fois retenu mon souffle au cours de ma lecture.
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C'est l'histoire de Millie, qui sort de prison -on ignore pourquoi elle était incarcérée jusqu'à la presque fin du roman- et cherche un travail.
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En effet, elle a perdu son précédent emploi ainsi que son studio, dort dans sa voiture, et c'est à ce stade de désespoir que nous faisons sa connaissance, alors qu'elle passe un entretien avec Nina, qui vit dans une luxueuse villa avec son mari beau comme un dieu et leur fille, Cecelia.
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Le paradis pour notre héroïne, qui n'a absolument aucune idée de l'endroit où elle a mis les pieds ni de ce qui l'attend dans cette famille qui semblait pourtant bien sous tous rapports.
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Les personnages sont fort bien décrits, on s'attache -ou pas- à tous, on vibre avec eux. C'est un roman qu'on vit à fond, du moins c'est mon ressenti.
Le style est parfait, très agréable, fluide.
J'attends déjà avec impatience le nouvel opus de Freida McFadden.
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Je savais avant de commencer ce roman qu'il y avait des critiques très positives, et de l'autre côté ,des lecteurs très déçus, je fais partie des deuxièmes, avec tendance indécise. Il y a un bon début, de bonnes idées, puis ça retombe un peu comme un soufflé, avec une légére remontada dans les toutes dernières lignes...


Femme de ménage ? Plutôt employée de maison, l'intulé du job auquel vient de répondre Millie au bord du gouffre .
C'est que cette jeune femme est en liberté conditionnelle, à la moindre erreur , c'est retour à la case prison sans toucher les 20 000. Les prisons américaines, ça ne pardonne pas ! Aussi , n'a t-elle pas signalé à son agent de probation, qu'elle avait été renvoyée de son boulot, qu'elle dormait dans sa voiture. Quand elle est engagée chez les Rochester, un couple très fortuné, Millie est prête à tout pour garder le job. Et si cela implique de supporter la folie de sa patronne, qui dit blanc puis noir la seconde d'après... de fermer les yeux sur l'impolitesse de la fille du couple, de trouver chaque jour, la maison la plus crade possible, Millie est d'accord. Même si sa chambre est tout là haut au grenier, avec un verrou qui ferme de l'extérieur...
En compensation, il y a un jardinier ultra sexy et un patron beau comme un dieu. A se demander ce qu'il trouve à sa femme?

Ça , c'est la version de Millie, vers le milieu , on aura droit à la version de Nina , la patronne, puis, leurs voix alterneront...
C'est quand, on a eu la version de Nina, que j'ai commencé à douter de la qualité de cette intrigue. Un personnage ne peut pas changer de caractère comme cela, afin de satisfaire une direction dans la narration de l'auteure, comme ça l'arrange. Quatre personnages changent, ça fait beaucoup, le personnage de la fillette est complétement raté... J'ai tiqué au niveau psychologie des personnages et comme on est dans un thriller psychologique, c'est ballot.
J'ai tiqué aussi sur les deux personnages masculins, dont l'auteure nous répéte à l'envie qu'ils sont sublimes. on dirait deux fantasmes Chippendales sur le ring !
D'un côté l'homme d'affaire, richissime, si beau en costard et si beau en simple tee shirt /jean : le patron, le mâle dominant.
Et de l'autre, le travailleur manuel, le jardinier aux muscles si saillants (oups !); aux tatouages visibles, italien, transpirant, fort, viril, bronzé par la vie au grand air, les yeux noirs insodables , arghhhh !..
Et au milieu deux donzelles , plus les femmes du quartier , des bourgeoises, qui ne savent plus devant lequel baver le plus !
Les relations sexuelles ( ou absences de relation) ,qu'entretiennent Nina , son mari, Millie, le jardinier ne m'ont pas parues crédibles pour trois sous .
Je n'ai pas, non plus, cru à l'évolution de la relation Nina /Millie à la fin.
Seul, le nouveau job qui attend Millie à la fin, m'a fait sourire. J'aurai aimé qu'on reste dans ce registre un peu cynique et pragmatique.


Une bonne idée de départ qui fait un peu flop. Il aurait fallu une écrivaine de la trempe de Ruth Rendell, jusqu'au boutiste, bien "frappée" . Toutes ces écrivaines qui s'essaient à créer des personnages pervers, mais qui sont trop gentilles, ça donne des histoires un peu fades...








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Rassemblons nos forces. Se remettre à écrire des chroniques, même si en ce moment mon cerveau est occupé à essayer de gérer des douleurs, c'est pénible. Pourtant je ne cesse pas de lire, surtout des thrillers. Et celui-ci est imparable.

Je ne sais plus comment il m'a été recommandé ce livre, probablement un lien sur Rakuten. Je l'ai acheté, dubitative quand même parce que City Editions, on sait bien que ce n'est pas le top. D'ailleurs les premières pages de mon exemplaire portent des trainées d'encre. Pas très soigné. Mais passons.

On rentre direct dans une maison chic d'une banlieue NewYorkaise, avec une femme assise sur un canapé luxueux, entourée de policiers. Et cette femme se dit que sa vie est finie, qu'on va lui passer les menottes et qu'elle finira en prison à vie. Page suivante, on remonte le temps quelques mois plus tôt. Une jeune femme, Millie, se fait embaucher comme femme de ménage dans cette maison cossue, par une mère visiblement parfaite. le « hic » c'est que Millie a embelli son CV, et que visiblement cette femme n'a pas vérifié ses antécédents. Elle a peur de ne pas être embauchée, car ça fait un mois qu'elle dort dans sa voiture…….même si lors de la visite de la maison elle se rend compte que son logement sera au grenier, dans une pièce extrêmement petite, sans confort, sous les toits. Mais bon, elle a besoin de ce boulot. Lorsque la femme, Nina la recontacte pour dire qu'elle est choisie pour le job, c'est la joie. Sauf que lorsqu'elle entre officiellement dans la maison avec ses affaires pour son premier jour de travail, le spectacle qu'elle voit la surprend. Cette maison ultra clean et décorée luxueusement est un vrai dépotoir. La cuisine est sale, même Nina n'est pas sur son trente-et-un comme la semaine précédente. Tant pis, Millie se met au travail. Et le soir elle fait connaissance avec Cecelia, la petite fille de neuf ans, habillée d'une robe à frous frous comme au siècle dernier, et l'expression de cette petite blonde lorsqu'elle la regarde est glaciale. Millie, avec son humour noir, se dit que ce serait le genre d'enfant qui viendrait l'assassiner la nuit. Arrive le mari, grand, séduisant, adorable avec sa femme, sa fille, et avec la nouvelle employée. Mais l'ambiance glaciale entre l'enfant et elle, et les crises de nerfs de Nina la terrifient, mais elle a besoin de cet argent. Elle reste. Même si elle se rend compte que sa chambre ne se ferme que de l'extérieur. Et qu'elle n'a pas la clé.

C'est extrêmement bien écrit, et c'est important de le dire, pour un thriller, et pour une auteure inconnue. L'humour noir de Millie rend la lecture encore plus agréable, et la tension est extrêmement bien amenée, je n'ai pas lâché ce bouquin de la nuit. le suspense est intense, les frissons aussi. Et quand on est aux trois quarts du livre un changement de narrateur nous file une grande baffe, si j'ose dire, dans tout ce qu'on s'était imaginé. C'est machiavélique. C'est captivant. C'est une réussite absolue. D'ailleurs voyez, j'ai brisé mon silence pour ce livre…
Lien : https://melieetleslivres.fr/..
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critiques presse (1)
SudOuestPresse
20 mars 2023
L’Américaine Freida McFadden est également médecin spécialisée dans les lésions cérébrales et sa fréquentation des fêlures de notre humanité la pousse à s’inspirer davantage de Ruth Rendell que de la comtesse de Ségur.
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse
Citations et extraits (61) Voir plus Ajouter une citation
Si je quitte cette maison, ce sera menottes aux poignets.
J'aurais dû m'enfuir quand j'en ai eu l'occasion.
À présent, ma chance est passée. Maintenant que les policiers sont dans la maison et qu'ils ont découvert ce qu'il y a en haut, il n'y a plus de retour en arrière possible.
Ils sont à environ cinq secondes de me lire mes droits. Je ne sais pas trop pourquoi ils ne l'ont pas encore fait. Peut-être qu'ils espèrent me piéger, que je leur dise quelque chose que je ne devrais pas.
Bonne chance, les gars !
Le flic aux cheveux noirs parsemés de gris est assis sur le canapé à côté de moi. Il déplace sa carcasse trapue sur le cuir italien caramel brûlé.
Je me demande quel genre de canapé il a chez lui.
C'est sûr que le sien ne coûte pas autant que celui-ci.
Probablement un truc d'une couleur naze, genre orange, couvert de peaux de bête, et plein de petites déchirures au niveau des coutures. Je me demande s'il pense au canapé qui l'attend chez lui et s'il se dit qu'il aimerait en avoir un comme ça.
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Honnêtement, nous ne mangeons presque jamais un bon repas fait maison, pouffe-t-elle. Qui a le temps ?
Je ravale toute forme de réponse qui pourrait passer pour un jugement. Nina Winchester ne travaille pas, elle n'a qu'une enfant, qui est à l'école toute la journée, et elle embauche quelqu'un pour faire le ménage à sa place. J'ai même vu dans son immense jardin devant la maison un homme en train de s'ocuper du jardinage. Comment est-il possible qu'elle n'ait pas le temps de ciuisiner un repas pour sa petite famille ?
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Honnêtement, je n'ai jamais vu de femmes plus obsédées par le gluten. Chaque fois que j'apporte un hors-d'oeuvre, elles m'interrogent sur la quantité de gluten qu'il contient. Comme si j'en avais la moindre idée. Je ne sais même pas ce que c'est, le gluten.
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- Je suis d'accord, renchérit Jillianne. Et même s'il y a une proposition végane, elle n'est pas végane et sans gluten. Alors que vont manger ceux qui sont à la fois véganes et intolérants au gluten ?

Je ne sais pas. De l'herbe ? Honnêtemnent, je n'ai jamais vu de femmes plus obsédées par le gluten. Chaque fois que j'apporte un hors-d'oeuvre, elles m'interrogent sur la quantité de gluten qu'il contient. Comme si j'en avais la moindre idée. Je ne sais même pas ce que cest, le gluten.
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Si je quitte cette maison, ce sera menottes aux poignets. J'aurais dû m'enfuir quand j'en ai eu l'occasion. À présent, ma chance est passée. Maintenant que les policiers sont dans la maison et qu'ils ont découvert ce qu'il y a en haut, il n'y a plus de retour en arrière possible. [...]
- Eh, Connors !
C'est la voix d'un autre policier. Le contact visuel est rompu, je lève les yeux vers le sommet de l'escalier. L'autre flic, beaucoup plus jeune, se tient là-haut, ses longues mains agrippés à la rampe. Son visage lisse est blême.
- Connors, répète le plus jeune. Faut que tu montes ici... maintenant. Faut que tu vois ça. (Même d'en bas, je vois bouger sa pomme d'Adam.) Tu ne vas pas le croire.
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Videos de Freida McFadden (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Freida McFadden
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