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EAN : 978B00OL0R5Q2
(15/10/2014)
2.88/5   58 notes
Résumé :
Irma en veut beaucoup à Stephen King... Elle va se venger ! Plein de fois !
Un petit roman avec mise en abîme, pour rire, of course.
Que lire après La femme qui tua Stephen KingVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (30) Voir plus Ajouter une critique
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Je ne vais pas y aller par 4 chemins et je vais donner mon avis avec ma franchise et mon objectivité légendaire : passez votre chemin parce que ce roman court (heureusement !) ne tient pas la route.
Il est illogique, parfois mal écrit et le stéréotype de la femme au foyer mère de 4 enfants m'a exaspérée.. j'ai peu vu l'humour dans ces quelques pages et je me suis ennuyée a mourir.

Le début était pourtant prometteur.. et le fait que ça parle d'un auteur comme Stephen plutôt tentant également, mais au final il n'en ressort rien de bon… juste un titre qui fait envie… et qui fini en un gros Flop
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D'Azel Bury, je n'avais lu que le recueil La maison de poupées et autres nouvelles,.qui m'avait vraiment séduite. de courts récits de genres très différents, narrés d'une plume alerte et fluide, un style nickel.
Étant actuellement plongée dans Stephen King, je me suis souvenue que quelque part dans mon pense-nouille, La femme qui tua Stephen King m'attendait encore.
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La narratrice et héroïne de l'histoire, 42 ans et 5 enfants, a bien du mal à joindre les deux bouts.
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Les magazines people la font rêver à un avenir plus rose, où l'argent coulerait à flots... Fan de Stephen King dont elle lit et relit les romans, elle décide de se mettre à écrire.
Et les idées qui lui germent dans la tête sont rapidement couchées sur le papier. Rien de très compliqué, finalement.
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Fière de ses exploits, elle montre ses manuscrits à ses enfants, mais écrit après écrit, ils leur trouvent des ressemblances flagrantes avec les romans de Stephen King, ce qui la rend furieuse.
Comment le célèbre écrivain a-t-il eu le culot d'écrire des histoires bien avant qu'elles ne lui viennent en tête à elle-même ?
Il ne va pas s'en tirer comme ça !
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Le scénario était sympa, plaisant à lire, et j'ai bien accroché au début, mais me suis très vite ennuyée en seconde partie du récit, qui se met à partir un peu dans tous les sens.
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Pour résumer, j'ai été déçue par cette nouvelle qui ne tient pas vraiment la route. le style, s'il n'est pas mauvais, n'a rien de transcendant.
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Je redonnerai une chance à l'auteure en souvenir des moments passés avec le premier recueil que j'ai lu, en espérant retrouver l'enthousiasme d'antan.
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Ce petit roman de 110 pages se lit d'une traite. D'autant plus que nous sommes happés dès les premières pages par l'histoire de cette femme , Irma , qui a du mal à joindre les deux bouts financièrement et qui se met en tête d'écrire pour devenir riche. Mais sa multitude d'idées est systématiquement inspirée de nouvelles ou de romans de Stephen King. Alors elle se met en tête non pas de le tuer , mais de lui demander un million d'euros de dédommagement pour avoir eu l'audace d'avoir eu toutes ses idées avant elle.

Le point de départ est excellent. Qu'on soit fan de l'oeuvre de King ou qu'on le connaisse via les adaptations cinématographiques de ses romans , on remarquera les clins d'oeil à sa bibliographie ainsi qu'à d'autres écrivains ( Bernard Werber , Dan Brown ).

Puis Irma décrit son voyage jusqu'à Bangor et c'est là que commencent les mises en abîme et la lente chute vers la folie. Ce premier voyage qui n'était d'ailleurs sans doute même pas réel. Puis Irma se met à écrire à Tabitha King en se racontant , mélangeant sa réalité avec des interactions imaginaires avec son époux.

D'amusant , le roman devient cependant lourd avec la longue partie "L'homme qui tua tous les fans de Stephen King" où Irma fait une incursion dans le thriller , ratée à mon sens , notamment en raison des commentaires de PetitBison qui alourdissent plus qu'ils n'égaient le récit.
Puis les mises en abîme se poursuivent , Irma devient probablement schizophrène et revêt tour à tour les rôles d'écrivain de fantasy médiévale , de science fiction ou de journaliste ( mention spéciale à l'article de journal page 103 ).
Et au fur et à mesure de sa rédaction naissent des envies de meurtre obsessionnelles et notre Irma perd peu à peu contact avec la réalité.
Stephen King est donc davantage un prétexte à un exercice littéraire périlleux , parsemé d'humour certes mais dont la dimension dramatique est également présente.

Parce qu'à l'instar de Misery ou Carnets noirs , chefs d'oeuvre de Stephen King , Azel Bury relate à son tour l'histoire d'une possessivité envers son écrivain préféré , et des travers qui peuvent en découler , poussés au paroxysme.
Un petit livre fort sympathique donc , à lire également au - delà de son aspect simplement humoristique , qui aurait cependant encore gagné à être un peu raccourci pour ne pas s'essouffler en seconde moitié.
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Gros gros bof concernant cette lecture, je n'avais pas spécialement prévu de le lire, ne le connaissant même pas, mais une amie me l'a prêté ayant essayé de le lire elle-même sans y être parvenu, par contre, j'aurais très bien pu l'acheter dans une librairie, l'histoire étant assez attirante. Nous suivons l'histoire d'Irma, maman au foyer, fauchée, qui fan de Stephen King et s'apercevant que pas mal de "people" gagnent des sommes colossales en écrivant des livres ou en chantant des chansons, décide elle aussi d'écrire des livres et pourquoi pas, de gagner pas mal d'argent. Seulement voilà, dès qu'elle écrit quelques lignes, elle s'aperçoit, avec l'aide de ses enfants, que le début de son livre correspond aux histoires écrites par le grand KING, elle prend donc son auteur favori en grippe et élabore plusieurs scénarios pour l'éliminer. Ce livre est composé de différentes courtes histoires mettant en scène le crime commis par Irma tel qu'elle se l'imagine et c'est là que le bas blesse, car j'aurais préféré une simple histoire bien huilée plutôt que plein de scénarios mal aboutis. Ce livre n'a pas eu beaucoup de sens à mes yeux et j'ai vraiment regretté le fait que malgré son nombre de pages (environ 110 pages), je n'ai jamais réussi à accroché. Je l'ai terminé car je déteste abandonner une lecture et que 110 mauvaises pages restent assez rapide à finir.
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Bon, pas de mystère, je suis fan de Monsieur Stephen King…. Je revendique haut et fort, n'en déplaisent à certains, que c'est un grand et vrai écrivain à part entière. En plus, l'homme est très attachant.
Quand j'ai vu la critique de ce livre par Fred (Lord Arsenik ou Amnezik666 si vous préférez !) je n'ai pas pu résister… en plus le titre est tellement chouette !
Fred était assez enthousiaste donc j'en attendais beaucoup, sans doute trop… le début démarre sur les chapeaux de roues et est très original et rigolo. J'ai accroché.
Par contre, assez rapidement je me suis lassée. L'impression que l'auteure tourne un petit peu en rond. Et bien que ce soit agréable à lire ce n'est pas de la grande littérature. Et puis dans la dernière partie du roman, cela prend une autre tournure. Différentes histoires à tiroirs, qui prennent vraiment un autre niveau… assez fou, décapant… étrange aussi. Bref j'ai plutôt bien aimé la 2e partie de ce polar déjanté. Et j'ai été assez surprise par la fin assez inattendue. Sympa.
Et bien sûr c'est un hymne au grand King du Maine, en sa ville de Bangor. Tout rappelle l'homme, l'écrivain, ses oeuvres, son univers.
A découvrir par curiosité. de plus, pas long, il se lit rapidement.
Et comme de bien entendu, cette lecture m'a donné envie de lire un Stephen King…. Lol oui je sais, je n'ai pas besoin de ça !
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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Tracy me demanda ce que j’aimais chez King. Je lui expliquais qu’il m’apportait non pas la vie, mais une espèce de pouvoir surnaturel, celui d’avoir des émotions réelles en lisant des situations fictives. Elle avait dû mal à capter comment on pouvait à ce point se plonger dans un livre, de King ou de quiconque. Pour elle, la vie n’avait aucun concurrent sérieux pour ce qui était de ressentir les choses.
— Tu comprends, il suffit de regarder autour de soi, de lire le journal, de regarder la télé, ou simplement de se souvenir du passé pour ressentir des choses vraies. La vie, les sentiments, c’est ça, c’est pas les histoires débiles d’un écrivain psychopathe !
— Mais non, mais pour quelqu’un comme moi qui n’a rien vécu d’exceptionnel, ça représente beaucoup, une source de réflexion, un concentré d’émotions pures ! Je commence un livre en me régalant d’avance de tout ce que je vais lire. Parce que je sais d’avance ce que je vais trouver chez King.
— Quelles émotions ? La peur ? La frayeur ? On a vraiment besoin de ça pour se sentir vivant ?
— De ça et du reste, évidemment ! N’oublions pas l’humour. Mais tu as raison, lire ce genre de livre, ce n’est rien d’autre que faire un tour de grand huit, se sentir mourir pendant quinze mètres de chute à pic, et remonter en rigolant. Des sensations presque physiques. C’est devenu une drogue. Je ne peux pas me passer de ce genre d’histoires.
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Stephen King était en train de me bouffer le cerveau, tel un être malfaisant sorti tout droit de ses romans. Je soupçonnais des pouvoirs maléfiques maléfiques. A force de tenter le Diable, ne le devient-on pas un peu soi même ?
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Dans le silence spatial, le vaisseau principal s’immobilisa, assez loin de la Terre pour ne pas être repéré. Le Petit Vaisseau continua sa route, ayant baissé considérablement sa vitesse. Les quarante zuglipans qui accompagnaient le Capitaine avaient été sélectionnés et choisis il y a bien longtemps. Tous connaissaient par cœur la mission, chaque geste à effectuer, chaque mot à dire. En un rien de temps, ils se retrouvèrent au dessus de la Grande Plaine du Grand Continent. Le Petit Vaisseau franchit l’atmosphère terrestre et s’immobilisa au dessus de Bangor, Maine, Usa. Stephen King regarda l’OVNI descendre vers lui.
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Quand j’en eus terminé avec toute la filmographie, j’avais noté que les livres étaient quand même bien plus aboutis que leurs homonymes pelliculaires. On ne retrouvait pas tout le côté psychologique des personnages, leurs pensées et leurs rêves, ce qui semble normal : un film si bien réalisé soit-il ne sera jamais que l’ersatz du roman dont il s’inspire.
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Il m'avait l'air bien bêcheur, tout de même, ce King... Voilà un homme qui avait tout dans la vie : l'amour, la famille, le talent, la richesse, et il ne laissait aucun espoir aux gens qui l'admiraient et dont la seule joie aurait été d'être lu par le Maître.
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