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EAN : 9782841117505
464 pages
Editions Nil (11/02/2016)
2.44/5   44 notes
Résumé :
Après s'être soigneusement évités pendant cinquante ans, deux octogénaires, Lulu Davenport et Gerald Rutledge, se croisent au marché de Cala Marsopa, une petite ville de Majorque. Une rencontre explosive et... fatale. Autrefois, ils étaient pourtant fous amoureux l'un de l'autre. C'était en 1948. L'année de leur mariage et de leur divorce. Que leur est-il arrivé depuis qui justifie une telle hostilité ?
À rebours de la chronologie, Peter Nichols déroule l'his... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
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Un début prometteur puis, une lente succession de faits et de personnages

Étrange... « La villa » de Peter Nichols est un roman étrange. Une histoire qui remonte le temps, ça aurait dû me plaire, et pourtant... non ! Malheureusement, on est loin de l'étrange histoire de Benjamin Button ! Je n'ai pas accroché à ce roman parce que l'histoire de Lulu et Gérald ne m'a procuré aucun plaisir. Si, au début, je mourais d'envie de savoir ce qui avait pu être à l'origine de leur dispute, plus j'avançais dans le roman moins mon intérêt était grand ! Les personnages me laissaient de marbre et même si j'ai trouvé intéressante la façon dont est montée l'intrigue, l'histoire ne tient pas la route. Que c'est compliqué !

Une saga sur 3 générations

La villa est un petit hôtel de Majorque, fréquenté par une clientèle fidèle. Lulu, la patronne est une dame âgée de 80 ans qui tient son établissement avec beaucoup de courage. Un jour arrive Gérald, écrivain de seconde zone. C'est l'histoire de leur vie que nous allons découvrir, et bientôt, la carte postale idyllique de Majorque laisse place à de terribles rancoeurs. C'est une saga qui se joue sur 3 générations, parents, enfants, petits enfants. Lulu et Gérald ont été mariés, puis on vite divorcé avant de refaire leur vie. Et toute leur existance nous est contée sans que nous sachions ce qui a pu les séparer. On sent que c'est lourd, mais nous ne saurons rien avant la fin du roman.

Mon avis

J'ai été déçue, car il y avait une bonne idée de départ, mais ce roman est truffé d'un cocktail de clichés qui rendent la lecture racoleuse. J'adore cette couverture qui invite à la farniente, mais je m'attendais à autre chose, ou à la même chose, mais amenée d'une autre façon. Je trouve dommage qu'un auteur qui écrit bien, car, il faut bien le dire, le style est agréable, invente une histoire si décevante. Malheureusement, une lecture qui m'a déçue.

Lien : http://que-lire.over-blog.co..
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Je remercie Babelio et les éditions Nil de m'avoir proposé ce roman.
Je l'avais choisi, tentée par la première de couverture qui respirait la mer, le soleil et les vacances et par la quatrième de couverture qui promettait secrets de famille, histoires d'amour dramatiques...

J'avoue que j'ai été déçue.
J'ai fini le livre par acquis de conscience (je laisse toujours une chance à un livre jusque dans les dernières pages) mais je me suis vraiment forcée à le finir.

Bon, commençons par le positif : la description de l'ile de Majorque, de son évolution due au tourisme de masse est bien rendue; de même que l'aspect méditerranéen du décor de l'intrigue. On est dépaysé à la lecture du roman. On ressent bien le soleil, la mer, l'atmosphère de vacances perpétuelles.
La description du microcosme cosmopolite qui reste surtout entre eux et qui se croit supérieur aux autochtones est également bien vue.

De plus, j'ai beaucoup apprécié les allusions à Homère et aux voyage d'Ulysse, surtout qu'un marin a bien retenté de refaire le périple du héros "aux mille ruses" comme Gérald.
En outre, j'ai trouvé très intéressant le procédé narratif de la chronologie à rebours.
Au lieu de partir d'un événement et d'en voir ses conséquences à travers le temps, l'auteur part à l'envers. Il commence par la fin, pourrait-on dire, et remonte jusqu'à l'événement fondateur. A côté de ce dernier, d'autres racontés dans les différente parties chronologiques expliquent la situation postérieure des personnages (dans les parties déjà lues); c'est un procédé qui entretient le suspense et garantit normalement l'intérêt du lecteur ou de la lectrice.

Malheureusement, cela n'a pas marché avec moi.
D'abord car les parties chronologiques ne sont pas assez étendues pour poser le lecteur dans le cadre temporel et dans les événements qui sont relatés. On a l'impression d'avoir un aperçu d'un moment de la vie des personnage, d'ailleurs souvent dramatiques et hop... on repart dans le temps.
J'aurais voulu plus de développement pour lire les conséquences des événements alors que mon intérêt était éveillé.
J'ai eu l'impression d'être une voyageuse temporelle qu'on baladait d'un moment à l'autre d'une frise temporelle avec pour mission à chaque fois de déduire ce que j'avais raté. A force, c'est un peu agaçant.

D'autre part, je commençais juste à m'attacher aux personnages tels qu'ils l'étaient à une période donnée (Luc et Aegina adolescents, par exemple) et zou, on me les enlève.
Surtout quand j'aurai voulu comprendre la portée psychologique de certains épisodes (Aegina, par exemple, quand elle a 14 ans et qu'elle croise Dominick). Je ne suis pas arrivée à cerner les personnages avec tous ces fragments de vie. Ils me restent complètement étrangers à la fin du roman et pourtant, je les ai suivis sur 50 ans de leur histoire.
De fait, je n'ai pas réussi à m'attacher aux protagonistes et à ainsi trouver un quelconque intérêt à suivre leurs aventures et mésaventures.
J'ai trouvé la plupart des personnages de ce roman faibles, lâches et infidèles. Il y a beaucoup de drames et de malentendus qui auraient été évités sans cela. Lulu, la protagoniste féminin, si mystérieuse et qui attire tous les autres personnages, je l'ai malheureusement trouvée détestable, surtout après qu'elle a séduit Charlie (son attitude lors de la disparition de Luc n'a pas effacé ce fait).

Bon, mon côté féministe me fait penser que ce n'est pas juste lorsque dans les fictions et dans la vie, on ne trouve rien à redire quand un vieux beau séduit une petite minette mais quand le contraire se produit...
Cependant, j'ai eu beaucoup de mal avec cette femme de 70 ans qui profite d'un gamin de 15 ans, qui se trouve qui plus est, être le petit-fils de son ancien mari. C'est quasiment de l'inceste et du détournement de mineur. Ce schéma d'un personnage d'âge mur qui est attiré, et agit en conséquence, par un adolescent ou une adolescente (14, 15, 16 ans) se répète et un des personnages est même qualifié de pédophile sans que cela inquiète ses amis qui continue de le recevoir comme si de rien n'était. Même si j'ai lu des choses plus horribles ou que je ne cherche pas une morale aux événements d'un roman, cet état d'esprit m'a déplu. Et quand on trouve les personnages d'un roman tous peu dignes de sympathie, cela ne donne pas trop envie de lire.
Les scènes de sexe assez fréquentes dans le roman sont d'ailleurs souvent tristes, rapides et dénuées d'amour. Reflet des personnages?

Les derniers chapitres qui reviennent au présent (2005) éclairent et reprennent certains péripéties du passé. Néanmoins, ils n'expliquent pas tout.
Lulu apparemment a su la vérité pour les événements de 1948 mais alors pourquoi a-t-elle gardé cette distance?
Ces chapitres ont permis d'atténuer ma frustration à la lecture de certains des chapitres antérieurs; cela rattrape mais pas totalement car l'attention du lecteur est comme les événements d'une vie : une fois enfuis, c'est trop tard.

Bref, un gros roman (450 pages) qui promettait de l'exotisme et de l'évasion mais qui m'a assez vite ennuyée par ses personnages qui ne sont restés pour moi que des êtres de papier, pour la plupart superficiels voire détestables.
Ce que je retiendrai dans un mois, ce sera certainement la jolie couverture évocatrice.
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La Feuille Volante n°1018– Février 2016
La villa - Peter Nichols - Éditions Nil.
Traduit de l'américain par Sarah Tardy.

Malgré son récent AVC, Lulu Davenport ne fait pas ses 80 ans et paraît encore jeune. Elle tient encore son petit hôtel, la villa « Les Rochers » à Majorque fréquentée par des habitués. Gérald Rutledge est écrivain, ne fait pas vraiment dans le best-seller et vivote de sa production d'olives. Il est en moins bon état mais leurs différences ne s'arrêtent pas là. Ces deux-là, s'ils se sont évités pendant cinquante ans se retrouvent ici par hasard et vont mourir ensemble, un peu bêtement d'ailleurs : Nous sommes en 2005. Tel est le point de départ de ce roman qui, bien qu'il se passe au soleil de Majorque et évoque la légèreté et farniente, les bougainvilliers et les oliviers, va promener le lecteur dans les lourdes arcanes du temps.
A l'aide de nombreux analepses qui déroutent un peu le lecteur, l'auteur va recomposer la vie de Lulu et de Gérald qui ont jadis été amoureux l'un de l'autre, se sont mariés en 1948 puis ont rapidement mis fin à leur bref mariage tout en demeurant à Majorque. Nous ne saurons qu'à la fin ce qui a motivé une si brève union mais franchement je n'ai pas vraiment ressenti le suspens qui aurait pu être entretenu tout au long de ce roman tant les apartés sont multiples qui diluent un peu l'intérêt tissé a départ.
La 4° de couverture annonce la couleur « Sexe, mensonges et Martini... » C'est à peu près le résumé de ce roman où tout semble être artificiel et superficiel. Ici, les individualités, les désirs, la luxure, l'adultère et le destin s'entrechoquent. Alors qu'entre les autres personnages c'est plutôt une ambiance de légèreté qui prévaut, il y a beaucoup de non-dits, de secrets de famille en suspens depuis un demi-siècle entre Lulu et Gérald, une atmosphère lourde et sombre qui n'a fait qu'enfler avec le temps, cette impression malsaine de quelque chose qu'on regrette, des erreurs ou des malentendus, un abcès qu'on n'a pas crevé et qui ont fait d'eux des ennemis intimes. Tout cela tranche évidemment avec les paysages ensoleillés de l'archipel. Il y a eu leur vie après leur divorce, leur mariage respectif, la personnalité de leur conjoint, le deuxième divorce de Lullu et le veuvage de Gérald, les enfants qu'ils ont eu séparément puis les enfants de ces enfants et les relations qu'ils ont entretenues ensemble. Il y a Luc, le fils de Lullu, un cinéaste un peu rêveur mais bien mal inspiré, un époux pas très fidèle cependant, Aegina, la fille de Gérald, femme d'affaires efficace avec Charlie, son fils adolescent. Pour Luc, Aegina qui est assurément amoureuse de lui est la seule femme qu'il ait jamais aimée, mais il est à la fois maladivement timide et par trop maladroit, à cause peut-être de ce qui s'est passé jadis entre Gérald et Lullu. Ces deux enfants ont un passé commun mais qui n'a rien à voir avec l'histoire de Lullu et de Gérald.
Il y a beaucoup de personnages dont l'histoire nous est racontée ici sur trois générations. Cela pouvait donner l'occasion d'une saga passionnante mais j'ai noté pas mal d'apartés (notamment l'accident de Luc, passé par dessus bord qui, s'il est un peu émouvant au début, n'en est pas mois assez invraisemblable) qui, à mon sens, sont autant de touches inutiles. Cela a rendu ma lecture laborieuse et même carrément ennuyeuse, seulement motivée par l'engagement que j'avais pris de fournir un commentaire à la suite de l'envoi gracieux de Babélio et des éditions du Nil que je remercie de m'avoir sélectionné. Pourtant, vers le milieu du livre (le roman fait quand même près de 500 pages) mon attention a été attirée par le personnage de Gérald. C'est un écrivain fasciné par l'Odyssée d'Homère et dont le livre « Le chemin vers Ithaque » évoque le voyage initiatique d'Ulysse qui met dix années d'épreuves avant de revenir vers son île après la fin de la guerre de Troie. C'est aussi une véritable tragédie qui examine les conséquences d'un instant sur les générations suivantes. Gérald est aussi un marin qui a pas mal bourlingué en Méditerranée et qui a débarqué un jour à Majorque pour ne plus la quitter à cause du magnétisme que cette île opère sur lui. Il reste en effet attaché à ces quelques arpents d'une oliveraie qu'on veut lui faire vendre en vue d'une opération immobilière juteuse où, évidemment il laissera des plumes.
C'est le second roman de Peter Nichols, inconnu de moi jusqu'à ce jour. Il se peut que je sois passé à côté d'un chef-d'oeuvre mais, le livre refermé, je dois dire que j'ai été assez déçu par ma lecture.
© Hervé GAUTIER – Février 2016. [http://hervegautier.e-monsite.com ]
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Comment vous dire ...

Tentée par le quatrième de couverture, je m'attendais à une grande saga avec des secrets, des rebondissements, ... le tout à la sauce Majorquaine. Bref du sea, sex and sun !
Et donc, me voilà embarquée pour presque 500 pages ...
Il vaut mieux vous le dire tout de suite, je n'ai pas vraiment aimé ! Je n'ai pas détesté mais on ne peut pas dire que cela a été la folle ambiance !

Il y a donc le grand secret ! Pourquoi Lulu et Gerald de sont-ils mariés pour se séparer quelques jours plus tard ...
On vous agite la carotte en début de livre mais pas moyen de l'attraper avant la toute fin ! En même temps, vu que je n'ai pas du tout accroché avec Lulu, cela ne m'a pas vraiment manqué ! On commence le livre en 2005 pour un bond en arrière de quelques années à chaque nouvelle partie du livre, pour arriver au dénouement. La boucle est bouclée.

Mais le livre ne parle pas que de ce fameux secret ! Loin de là même, il en presque « accessoire » !
Le livre est un imbroglio de personnages qu'il est parfois difficile à identifier ou à suivre ... le fait du « retour en arrière » n'aidant pas du tout.

Dans les rôles principaux ...
Nous avons donc Lulu. Très difficile à cerner, on ne sait au final pas grand chose d'elle. Je n'ai pas aimé Lulu, trop froide à mon goût, trop « impersonnelle ».
Son fils, Luc. On le suit de la cinquantaine à tout bébé ... Un peu fade à mon goût !
Gerald, alors lui je l'aime ... Lui et sa vie. Il voyage, il navigue, il aime, il écrit, il cultive son jardin, ses oliviers, il est heureux, malheureux, etc ... Là, on a tous les ingrédients d'un personnage attachant !
Sa fille, Aegina. Femme/fille de caractère qui met un peu de vie dans ce bouquin.

En fait, ce livre est plus l'histoire de Luc et Aegina, dans le style « je t'aime, moi non plus » !

Et puis il y a tous ces personnages secondaires, les « clients » de l'hôtel, les (vieux) habitués, les amis, les amants, les « premier mari », les « seconde femme », ... et j'ai eu l'impression qu'ils étaient juste là pour meubler le livre sans vraiment en savoir assez sur eux.

Il y a aussi deux petits chose qui m'ont fait « tiquer » ... Je ne suis pas ce qu'on peut appeler qqun de coincée ou de prude ;) mais je ne vois pas ce que pouvaient apporter certaines scènes de sexe. Peut-être pour nous faire ressentir l'ambiance de l'île ? Et à certains moments (très peu) , nous avons droit à un « language » pas piqué des hannetons ! J'avais été prévenue en lisant je ne sais plus quelle critique mais je me suis dit « ha oui quand même ! » Là non plus, je n'en n'ai pas vu l'intérêt !

Bref, je lui donne 2,5/5 pour Gerald et sa vie à Majorque. Je lui donne la moyenne parce que je dois bien avouer que cela m'a donné envie de découvrir cette île (mais pas sous l'angle « tourisme de masse » of course!). Mais pour le reste ... Déçue !

Ce roman m'a été proposé par Babelio que je remercie ainsi que les Editions Nil.
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Merci à Babelio et aux Editions du Nil pour cette lecture.
Je ressors fort dubitative une fois la dernière page de ce livre tournée.
Après avoir lu une quatrième de couverture assez alléchante il faut le dire, je m'attendais vraiment à autre chose. De plus, je trouvais que la couverture avait un petit charme retro assez sympathique...Mais cela ne suffit pas evidemment pour apprécier un livre....
Même si Peter Nichols a une écriture fluide, l'histoire qu'il raconte est un brin ennuyeuse.
Le début semblait prometteur : Lulu Davenport , octogénaire vivant à Majorque, va se retrouver confrontée à son ex-mari, Gerald. Que s'est-il passé il y a cinquante ans pour expliquer leur animosité mutuelle ?
On retourne progressivement en arrière dans le temps, avec comme personnages principaux les enfants des deux protagonistes.
Les personnages ne sont pas très attachants, excepté peut-être Gerald et sa fille.
Les personnages secondaires qui gravitent autour d'eux frisent un peu la caricature et le cliché ...et j'ai eu de la peine à m'en sortir avec tout ce beau monde par moments.... Je crois que je suis déjà incapable d'en raconter beaucoup plus sur ce livre qui ne me laissera vraiment pas une impression durable...
En résumé : bof et re-bof...
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critiques presse (1)
Elle
05 août 2021
Dans ce roman à la construction ingénieuse, on avance par strates dans le passé pour découvrir comment l’amour mais aussi la trahison et la spéculation immobilière transfigurent des personnages infiniment attachants.
Lire la critique sur le site : Elle
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Gerald posa ses outils, s'essuya les mains et serra Aegina dans ses bras. Il promena une main calleuse sur sa tête, dans ses épais cheveux.
"Il n'y a plus qu'à attendre."
Elle resta raide et immobile dans ses bras. L'un comme l'autre savait qu'aucun mot n'existait face à la douleur d'une mort prématurée.
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Au départ, ses amis furent immensément amusés de discuter avec une personne qu'ils connaissaient si bien, préoccupée par les mêmes sujets et parlant des mêmes choses, mais dans un langage nouveau, et somme toute spectaculaire.
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Quand on perd la confiance de quelqu'un, on ne la retrouve plus, Gerald. Quelque chose se rompt. Tu ne répareras rien avec tes explications. La confiance, ça ne se regagne pas . Elle n'oublieras jamais ce que tu lui a fait. Quelles que soient tes raisons. Ça ne changera rien.
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Il y a huit ans, avant la mort de Franco, toutes les femmes du pays étaient habillées de noir et se baladaient à dos d'âne. Maintenant, victoire des victoires, elles sont toutes à moitié à poil sur les plages, en string, et conduisent des Seat et des Renault. C'était sans doute plus pittoresque à l'époque, mais c'était pareil dans l'Europe entière avant l'industrialisation, quand tout le monde attrapait la peste bubonique.
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Roy Scheider ne prend pas le bus. Vous avez déjà vu quelqu'un prendre le bus dans un film ? Faire la queue à l'arrêt derrière les ménagères qui ramènent le poulet rôti pour le dîner ? Derrière les gosses qui rentrent de l'école ? Non. L'action est stoppée. C'est impossible. Roy Scheider ne peut pas s'arrêter pour attendre le bus.
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