L'incipit court pose d'emblée la trame de cette histoire subrepticement romancée, « Les Hommes sont arrivés en Jeep vers midi. » L'image accélère ce que « le carnaval moche »peut foudroyer dans le coeur d'une femme, ici en l'occurrence la belle Maria Salaün . Rousse, donc diabolisée, pècheresse, et toute d'aprioris, Maria, manichéen symbole est paraboliquement la rédemption.
Fabienne Juhel écrit ce récit réaliste en écartant le rideau, afin de fusionner le beau avec le pardon. Les mots poétiques, la trame solaire féminise l'encre pour un retournement des actions au préalable condamnables. «
La chaise numéro 14 » est l'emblème de ce que la guerre peut abolir de juste. La fraternité n'a plus sa feuille de route, reste les jugements hâtifs, représentatifs de ce que le mal faire plausible pour certains, peut engendrer comme contradictions implacables. Ce roman est un acte citoyen, mémoriel, digne. Maria sait que la route du vrai est l'ouverture vers la liberté. Cette dernière est pure, amoureuse, loyale et authentique. Ce « Carnaval moche » est une odieuse page de l'histoire de France. La force de ce récit réside dans l'âme pure de Maria. L'alchimie est constructive. Les cheveux de Maria deviennent lumière et éternité.
Fabienne Juhel délivre par ses mots, le calme de l'après. le pardon change de camp, le lecteur approuve. C'est un pilier qui résiste aux courants d'air, au vent fou et aux affres des hommes en folie. Publié par «
Actes Sud », en Babel Poche, ce roman de feu, de larmes et de convictions s'achève en quintessence d'une couleur magnifiée.
Mémoriel, puissant, digne, majeur, il reste après le point final, dans les mains du lecteur une mèche de cheveux, rousse, magicienne et éclairante.
L'incipit court pose d'emblée la trame de cette histoire subrepticement romancée, « Les Hommes sont arrivés en Jeep vers midi. » L'image accélère ce que « le carnaval moche »peut foudroyer dans le coeur d'une femme, ici en l'occurrence la belle Maria Salaün . Rousse, donc diabolisée, pècheresse, et toute d'aprioris, Maria, manichéen symbole est paraboliquement la rédemption.
Fabienne Juhel écrit ce récit réaliste en écartant le rideau, afin de fusionner le beau avec le pardon. Les mots poétiques, la trame solaire féminise l'encre pour un retournement des actions au préalable condamnables. «
La chaise numéro 14 » est l'emblème de ce que la guerre peut abolir de juste. La fraternité n'a plus sa feuille de route, reste les jugements hâtifs, représentatifs de ce que le mal faire plausible pour certains, peut engendrer comme contradictions implacables. Ce roman est un acte citoyen, mémoriel, digne. Maria sait que la route du vrai est l'ouverture vers la liberté. Cette dernière est pure, amoureuse, loyale et authentique. Ce « Carnaval moche » est une odieuse page de l'histoire de France. La force de ce récit réside dans l'âme pure de Maria. L'alchimie est constructive. Les cheveux de Maria deviennent lumière et éternité.
Fabienne Juhel délivre par ses mots, le calme de l'après. le pardon change de camp, le lecteur approuve. C'est un pilier qui résiste aux courants d'air, au vent fou et aux affres des hommes en folie. Publié par «
Actes Sud », en Babel Poche, ce roman de feu, de larmes et de convictions s'achève en quintessence d'une couleur magnifiée.
Mémoriel, puissant, digne, majeur, il reste après le point final, dans les mains du lecteur une mèche de cheveux, rousse, magicienne et éclairante.
L'incipit court pose d'emblée la trame de cette histoire subrepticement romancée, « Les Hommes sont arrivés en Jeep vers midi. » L'image accélère ce que « le carnaval moche »peut foudroyer dans le coeur d'une femme, ici en l'occurrence la belle Maria Salaün . Rousse, donc diabolisée, pècheresse, et toute d'aprioris, Maria, manichéen symbole est paraboliquement la rédemption.
Fabienne Juhel écrit ce récit réaliste en écartant le rideau, afin de fusionner le beau avec le pardon. Les mots poétiques, la trame solaire féminise l'encre pour un retournement des actions au préalable condamnables. «
La chaise numéro 14 » est l'emblème de ce que la guerre peut abolir de juste. La fraternité n'a plus sa feuille de route, reste les jugements hâtifs, représentatifs de ce que le mal faire plausible pour certains, peut engendrer comme contradictions implacables. Ce roman est un acte citoyen, mémoriel, digne. Maria sait que la route du vrai est l'ouverture vers la liberté. Cette dernière est pure, amoureuse, loyale et authentique. Ce « Carnaval moche » est une odieuse page de l'histoire de France. La force de ce récit réside dans l'âme pure de Maria. L'alchimie est constructive. Les cheveux de Maria deviennent lumière et éternité.
Fabienne Juhel délivre par ses mots, le calme de l'après. le pardon change de camp, le lecteur approuve. C'est un pilier qui résiste aux courants d'air, au vent fou et aux affres des hommes en folie. Publié par «
Actes Sud », en Babel Poche, ce roman de feu, de larmes et de convictions s'achève en quintessence d'une couleur magnifiée.
Mémoriel, puissant, digne, majeur, il reste après le point final, dans les mains du lecteur une mèche de cheveux, rousse, magicienne et éclairante.
L'incipit court pose d'emblée la trame de cette histoire subrepticement romancée, « Les Hommes sont arrivés en Jeep vers midi. » L'image accélère ce que « le carnaval moche »peut foudroyer dans le coeur d'une femme, ici en l'occurrence la belle Maria Salaün . Rousse, donc diabolisée, pècheresse, et toute d'aprioris, Maria, manichéen symbole est paraboliquement la rédemption.
Fabienne Juhel écrit ce récit réaliste en écartant le rideau, afin de fusionner le beau avec le pardon. Les mots poétiques, la trame solaire féminise l'encre pour un retournement des actions au préalable condamnables. «
La chaise numéro 14 » est l'emblème de ce que la guerre peut abolir de juste. La fraternité n'a plus sa feuille de route, reste les jugements hâtifs, représentatifs de ce que le mal faire plausible pour certains, peut engendrer comme contradictions implacables. Ce roman est un acte citoyen, mémoriel, digne. Maria sait que la route du vrai est l'ouverture vers la liberté. Cette dernière est pure, amoureuse, loyale et authentique. Ce « Carnaval moche » est une odieuse page de l'histoire de France. La force de ce récit réside dans l'âme pure de Maria. L'alchimie est constructive. Les cheveux de Maria deviennent lumière et éternité.
Fabienne Juhel délivre par ses mots, le calme de l'après. le pardon change de camp, le lecteur approuve. C'est un pilier qui résiste aux courants d'air, au vent fou et aux affres des hommes en folie. Publié par «
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Mémoriel, puissant, digne, majeur, il reste après le point final, dans les mains du lecteur une mèche de cheveux, rousse, magicienne et éclairante.
L'incipit court pose d'emblée la trame de cette histoire subrepticement romancée, « Les Hommes sont arrivés en Jeep vers midi. » L'image accélère ce que « le carnaval moche »peut foudroyer dans le coeur d'une femme, ici en l'occurrence la belle Maria Salaün . Rousse, donc diabolisée, pècheresse, et toute d'aprioris, Maria, manichéen symbole est paraboliquement la rédemption.
Fabienne Juhel écrit ce récit réaliste en écartant le rideau, afin de fusionner le beau avec le pardon. Les mots poétiques, la trame solaire féminise l'encre pour un retournement des actions au préalable condamnables. «
La chaise numéro 14 » est l'emblème de ce que la guerre peut abolir de juste. La fraternité n'a plus sa feuille de route, reste les jugements hâtifs, représentatifs de ce que le mal faire plausible pour certains, peut engendrer comme contradictions implacables. Ce roman est un acte citoyen, mémoriel, digne. Maria sait que la route du vrai est l'ouverture vers la liberté. Cette dernière est pure, amoureuse, loyale et authentique. Ce « Carnaval moche » est une odieuse page de l'histoire de France. La force de ce récit réside dans l'âme pure de Maria. L'alchimie est constructive. Les cheveux de Maria deviennent lumière et éternité.
Fabienne Juhel délivre par ses mots, le calme de l'après. le pardon change de camp, le lecteur approuve. C'est un pilier qui résiste aux courants d'air, au vent fou et aux affres des hommes en folie. Publié par «
Actes Sud », en Babel Poche, ce roman de feu, de larmes et de convictions s'achève en quintessence d'une couleur magnifiée.
Mémoriel, puissant, digne, majeur, il reste après le point final, dans les mains du lecteur une mèche de cheveux, rousse, magicienne et éclairante.