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EAN : 9782264069696
416 pages
10-18 (21/09/2017)
3.5/5   57 notes
Résumé :
Aux pires heures de la guerre de Sécessions , une poignée de soldats se reconvertissent en une sinistre fratrie: la Famille Winter. Il y a Quentin le psychopathe, les frères Empire qui rivalisent de cruauté et de bêtises, Fred, l'esclave qui a repris sa liberté à coups de hache et, à leur tête, l'insondable Augustus Winter, dont le regard d'ambre glace le sang.
Parcourant le territoire sauvage des États-Unis du XIX ième siècle , de la campagne livrée au pilla... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Des morts, du sang, de l'action et un soupçon de morale, telle pourrait être la synthèse de ce roman assez déjanté de Clifford Jackman.
Un vrai western comme on n'en fait plus. Héros criblés de balles qui se relèvent. Indiens déchaînés qui ne veulent pas ses laisser déposséder de leurs terres. Marshals fédéraux et détectives de l'agence Pinkerton à la poursuite des justiciers auto-proclamés. Neige d'un hiver omniprésent. Saloons emplis de femmes accortes. Pianos bastringues.

Les personnages se sentent, s'affrontent, se cherchent, se trouvent. La famille Winter omniprésente impose sa Loi, celle des plus forts.

Et à la fin l'agent Pinkerton interroge le lecteur :
«— Croyez-vous vraiment que l'homme brûlé qui a braqué cette banque avec Randolph et Collins était Augustus Winter ?»

«Ils sortirent de cet abattoir obscur pour émerger à la lumière du jour, fumants, empestant le sang des cochons et celui des hommes. le pays tout entier était en proie à la furie, comme les abeilles d'une ruche écrabouillée.»

«Le Nebraska, (...) n'était un État que depuis cinq ans (...)largement dominé par les Sioux, les Pawnees (...) Indiens belliqueux qui refusaient de se soumettre aux hordes venues de l'est.»

«IDeux femmes, une vieille et une entre deux âges, et deux jeunes enfants. Ils avaient tous été ficelés et dépecés de manière assez similaire au poulet sur la table du rez-de-chaussée.»

«Au cours de sa vie, il avait assisté à des centaines de funérailles. À sa mort, des milliers de personnes assistèrent aux siennes.»

«Tom leva la tête et les regarda s'éloigner, enjambant les cadavres qu'ils avaient laissés derrière eux, et un sentiment se leva en lui, un sentiment puissant qui ne pouvait être ignoré.

«Dusty grogna. Matt finit par comprendre.
— Oh, salopard, dit Matt, dégoûté, et il lui tira une balle dans la cervelle.»

«Quand les marshals fédéraux et les agents de la Pinkerton aux trousses de la Famille Winter arriveraient (...) Matt Shakespeare serait parti. (...) Les Quechans leur parleraient de lui.» 

«La chaleur gagnait Winter par vagues. Je ne mourrai pas, songea-t-il, mais tout bougeait tellement, et la douleur était si vive qu'il ne put rester réveillé.»

«— Prenez vos putain de pistolets, gros crétins, dit Winter. Les flics sont à nos basques.
Puis, aux femmes :
— Je ne vous ai pas dit de ficher le camp, salopes ?»

«Après que Winter et son gang eurent quitté la ville à cheval, la neige étendit une couverture sur les cadavres.»
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A priori cette histoire avait tout pour me plaire: j'adore les western et les polars historiques ce livre semblait donc fait pour moi, d'où ma grande déception. Je n'ai jamais réussi à rentrer dans l'histoire. J'ai eu beau m'accrocher j'étais tout le temps perdu entre les différents personnages. Difficile de les différencier car leurs traits de caractères n'étaient pas assez marqués. Ce sont tous des assassins psychopathes dépourvus de morale et qui n'ont aucun code d'honneur. J'ai d'ailleurs trouvé qu'autant de personnalités similaires réunis au même endroit c'était un peu gros comme coïncidence mais surtout «too much» pour une seule histoire. Je n'ai ressenti aucun empathie pour aucun des personnages ni aucun autre sentiment d'ailleurs. Ils m'ont vraiment laissé de marbre. Même pas peur. Et pourtant ç'aurait du être le cas car ces types là sont loin d'être des enfants de choeur. le problème c'est que je n'ai pas cru une seconde qu'ils puissent exister. Pour les plus sensibles attention tout de même: beaucoup de sang et de violence au fil de ces pages, pourtant j'étais loin d'être horrifiée ou indignée car les ficelles étaient trop grosses. C'est comme regarder un film d'horreur et s'apercevoir que le sang n'est rien d'autre que de la sauce tomate. Ça ne marche pas.
Quant à l'histoire je l'ai malheureusement trouvée ennuyeuse : on passe de la guerre de sécession à de vagues complots politiques qui m'ont parus soporifiques. Trop de personnages, de lieux et un manque de fil conducteur et de liens entre tous ces évènements ont mis ma détermination de lectrice à rude épreuve. Même pas un petit suspense pour me tenir en haleine. Et le pire du pire est que l'écriture était moyenne, toutefois je me demande si ce n'est pas la traduction qui est en cause. J'ai un doute. Je suis quand même allée au bout de ma lecture mais sans enthousiasme.
Moi qui pensais lire un western quelle frustration! Où sont les grands espaces, les cow-boys, les chevauchées, les saloons...? Visiblement pas dans ce livre. Je suis déçue.
A lecture tiède... ben critique tiède. Désolée.
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La Famille Winter chevauche à travers le temps de l'Ouest telle une horde sauvage, semant mort et la désolation sur son passage, rejetant toute conception du Bien ou du Mal, s'affranchissant de toute morale, et par là, se retranchant du monde des hommes.

Ce feu dévastateur semble ne jamais devoir s'éteindre, les membres de cette famille, s'ils sont unis, c'est uniquement par les liens du sang, mais par le sang versé, celui des autres. Il n'y a pas d'échappatoire possible, chacun sème la mort et le chaos tout au long d'une existence grise, et ceux qui par malheur partent à la recherche de la conscience qu'ils ont abandonné depuis si longtemps, souffrent bien davantage que les membres les plus sauvages et les plus fous de cette famille maudite.

Celui qui mène ce troupeau sanglant est-il le pire? C'est en tout cas celui qui a enfoui au plus profond toute notion de pardon, tout sentiment, toute émotion, celui qui fait de ce chemin de haine une forme de quête, qui n'a d'autre but que d'aller toujours plus loin sur les sentiers de la mort.

Winter est la froideur absolue, dont l'évocation fige de stupeur et glace le sang.

Fuyez bonnes gens, priez, et fuyez...Winter is comming !
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Quentin Ross vient d'une bonne famille de Chicago, il s'est distingué dans plusieurs batailles importantes pendant la guerre de Sécession, pourtant il n'a jamais dépassé le grade de lieutenant. Mais pourquoi me demanderez-vous ? Tout simplement parce que Ross n'est rien de plus qu'un psychopathe, qui se donne à fond dans la boucherie sous couvert de ses activités militaires !
D'ailleurs, certains de ses simples soldats vint le suivre dans cette démarche sanglante, et contrairement à ce que l'on pourrait penser, il ne sera pas le chef de cette meute de mercenaires, oh non, ce sera Augustus Winter, ce fils de pasteur à l'apparence fantômatique avec ses cheveux quasi blancs et ses yeux couleur or...
Cette bande sera connue aux quatre coins de ce qui va devenir les États-Unis sous le nom de la famille Winter !
Oeuvrant pour le compte du gouvernement lors de la guerre, puis trempant fans les magouilles politiques en plein coeur des élections à Chicago, luttant puis chevauchant avec le KKK, participant à l'éradication des peaux-rouges, pour peu que la récompense soit à la hauteur de l'hémoglobine versée, la famille Winter répond toujours présente !

Hihaaaa ! Quel sanglante traversée dans l'histoire des États-Unis !!
On est bien loin de l'image glamour que nous renvoie Hollywood dans sa grande époque des westerns, mais qu'importe, ces vieux films dont tellement bons 😍
Revenons à nos moutons, ou plutôt nos loups, car la famille Winter a la sauvagerie dans le sang, elle vit en meute, passant d'un petit groupe d'une demi-douzaine à plus de trente.
Mais le clan initial sera le plus soudé, il a le but boss ultra charismatique Augustus Winter, pour moi une sorte de Roland de Gilead avec la noblesse de la cause en moins (cf la sublissime saga "La Tour Sombre" de Stephen King), Quentin Ross le psychopathe, les frères Empire qui n'ont pas inventé la poudre mais qui s'en servent avec allégresse, Fred Johnson l'ancien esclave qui a tué son maître et qui a frôlé le flirt avec la corde, Lukas Shakespeare qui manie aussi bien les armes que son homonyme anglais manie les mots, Jan Müller enrôlé dans l'armée sitôt débarqué de son Allemagne natale et Bill Bread, comme son nom ne l'indique pas, indien alcoolique.
Un roman, tout comme la famille dont il relate l'histoire, des plus sanglants, limite on pourrait se croire à Santa Mondega (la fucking saga de l'auteur Anonyme le plus connu au monde, et ouais, rien que ça) !
Donc un roman sanglant flirtant entre Histoire et fiction, c'est très violent mais empreint malgré tout d'une certaine poésie, brutale certes mais jamais gratuite (si si, je vous assure ?!), un roman addictif de par le charisme de ses personnages, mention spéciale à Auggie, qui a rejoint le Panthéon des personnages que j'affectionne tout particulièrement ! Ceci dit tous les personnages ont leur truc bien spécifique qui fait que l'on a vraiment envie de faire partie de cette famille de brutes épaisses, mais qui malgré tout nous touche et dont les actions nous parlent, ça peut paraître paradoxal de s'attacher à une bande de sauvages telle que celle-ci, mais c'est là un des points forts du roman : l'auteur a réussi à nous faire aimer ces tueurs sanguinaires sans foi ni loi, du grand art ! Bravo !!!
Un livre que je recommande chaudement aux amoureux des grands espaces américains, aux fanatiques de cette époque, aux accros des westerns à l'ancienne, aux curieux qui veulent ce qui se cache sous l'image de carte postale que sont les States.
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La Famille Winter, premier western "romanesque" que j'ai eu le plaisir de lire.
Une lecture plutôt enchantée pour une fiction totalement désenchantée, voire nihiliste. Nous sommes plongés dans une sanglante fresque historique qui émerge des cendres de la Guerre de Sécession dans les années 1860 jusqu'à l'émergence de la civilisation en 1900.
Par ce tableau historique qui dépeint la transition d'une Amérique sauvage et meurtrière vers une Amérique industrialisée et corrompue , ce roman me faisait penser au fameux western Il était une fois dans l'Ouest où l'image du chemin de fer évoquait aussi celui d'un basculement , de l'émergence de cette grosse machine qu'est la civilisation.
La Famille Winter est sur tout les fronts : Guerre de Sécession, élection politique à Chicago, attaque contre les derniers résistants apaches... Ce groupe de mercenaires psychopathes est sur tous les fronts et leur macabre odyssée résonne à coups de fusillades sur les chemins d'une Amérique en plein changement.
Concernant La Famille Winter, nous avons droit à une sévère bande d'allumés, de hors-la-loi dénués de tout romantisme, qui pillent, violent et massacrent. Ce sont des personnes qui ont fait de l'absence de règles leurs mode de vie. Ce roman est donc riche en personnages maudits, en antihéros que les amateurs de bad guys pourront apprécier. Les personnages sont charismatiques et attachants dans leur cruauté sauvage aux relents pourris de liberté.

J'ai beaucoup ce roman par son rythme, par cette narration nihiliste, par cette fusion entre une peinture désabusée de l'Amérique et cette odyssée meurtrière qui peut, en effet, rappeler le western de Peckinpah. Beaucoup d'action, un certain sens de la dramaturgie et un bon background historique bien exploité donnent toute son efficacité à La Famille Winter.
Le seul bémol est que La Famille Winter a du mal à se débarrasser de certaines références. Ainsi, j'y vois du Clint Eastwood à travers l'opacité de son personnage principal, il y a du Tarantino, du Peckinpah, du Leone pour la thématique.

La Famille Winter a du mal à sortir des sentiers battues et la lecture, pour celles et ceux qui aiment les westerns, sera peut-être un peu trop familière mais peu importe car si vous cherchez un excellent divertissement épique sur lequel souffle un jubilatoire désespoir alors n'hésitez pas à vous plonger dans cette funeste odyssée.
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critiques presse (1)
LeJournaldeQuebec
10 avril 2017
Une intense épopée au cœur des États-Unis brisés (...) un roman palpitant, savoureux, mettant en scène une joyeuse bande de truands: la famille Winter.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Les Apaches s'écartèrent et un vieil homme aux longs cheveux s'avança. Il était petit et ressemblait un peu à la grand-mère de Reggie quand elle était en colère. Il parla en langue apache et un Apache de haute taille, l'air sérieux, traduisit.
-Il a dit que vous, les hommes blancs, vous êtes comme fourmis légionnaires.
L'homme parla encore:
-Des essaims, des flots, comme un fleuve, sans vraie maison, vous mangez tout ce que vous voyez, dit le traducteur.
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-Auggie, penses-tu qu'ils vont nous tuer?
-Je ne sais pas.
-On est des prisonniers de guerre, pas vrai? demanda Reggie. Ils peuvent pas simplement nous descendre.
-Ils peuvent nous faire ce qui leur plaît, dit Winter.
-Non, ils peuvent pas, dit Reggie. Il y a des règles quand on est en guerre.
-Ouais, répliqua Winter. Et il arrive souvent qu'elles soient violées.
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En effet, que sont les royaumes quand la justice en est bannie, sinon de grandes assemblées de brigands, puisqu'une assemblée même de brigands n'est autre chose qu'un petit empire? N'est-ce pas véritablement une troupe d'hommes gouvernés par un chef, liés par une espèce de société, et qui partagent ensemble le butin suivant leurs conventions? Que s'il arrive qu'une compagnie de cette sorte grossisse, et que des hommes perdus s'y joignent en si grand nombre qu'elle se saisisse des places où elle établisse le siège de sa domination, qu'elle prenne des villes, subjugue des peuples; alors elle s'attribue ouvertement le nom de royaume non parce que sa cupidité est diminuée mais parce que son impunité est accrue. C'est ce qu'un pirate répondit avec autant de finesse que de raison à Alexandre le Grand qui l'avait pris. Comme ce prince lui eût demandé à qui il en avait de troubler ainsi la mer, il lui répondit fièrement : À qui en avez-vous vous-même de troubler toute la terre? Mais parce que je n'ai qu'un vaisseau on m'appelle corsaire, et parce que vous avez une grande flotte on vous appelle conquérant. (saint Augustin)
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Le sourire de Quentin ne faiblit pas.
-Dommage, dit Quentin. Ça me rappelle l'histoire sur Alexandre et les pirates. Vous la connaissez sûrement. Alexandre le Grand capture un pirate célèbre et lui demande comment il peut justifier le fait de gagner sa vie d'une manière aussi immorale. Le pirate dit: "je vole quelques navires et on m'appelle voleur. Vous volez des nations entières et on vous appelle roi."
-Eh bien, dit Graves. C'est un joli discours. J'imagine qu'ils ont tout de même donné le pirate aux requins.
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Le conducteur serra les dents et laissa l'homme du Klan le propulser en haut de l'échelle et le pousser dans le train.
À l'intérieur, leurs armes pointées sur les passagers, les hommes du Klan parcouraient le premier wagon en ramassant les portefeuilles, les montres et les bijoux. Il y avait une tâche de sang sur un mur du fond. Desous, le chef de train était était assis, tassé sur lui-même, immobile.
-Salopards d'assassins, dit le conducteur.
-Vous voulez tous jouer les héros, dit le grand sorcier. Eh bien, selon mon expérience, voilà ce qui attend les héros.
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Vidéo de Clifford Jackman
La rentrée littéraire d'hiver vue par @Jacques Lindecker 493 romans ont été publiés en janvier/février. Des premiers romans aux têtes d'affiche, suivez le guide pour vous y retrouver. En avant-première la liste des livres présentés :
« Les indésirables », Kiku Hughes, éditions Rue de Sèvres « le smartphone et le balayeur », Emmanuel Guibert, éditions Les Arènes BD
Littérature française « Serge », Yasmina Reza, éd. Flammarion « On était des poissons », Nathalie Kuperman, éditions Flammarion « Les jours voyous », Philippe Mezescaze, éd. du Mercure de France « le dernier enfant », Philippe Besson, éd. Julliard « L'odeur d'un père », Catherine Weinzaepflen, éd. des femmes « Aller aux fraises », Eric Plamondon, éd. Quidam « La brûlure », Christophe Bataille, éd. Grasset « Avant le jour », Madeline Roth, éd. de la fosse aux ours « Les orages », Sylvain Prudhomme, éd. L'arbalète Gallimard « le démon de la colline aux loups », Dimitri Rouchon-Borie, éd. du Tripode « Danse avec la foudre », Jérémy Bracone, éd. de L'Iconoclaste « Des diables et des saints », Jean-Baptiste Andrea, éd. de L'Iconoclaste « Presqu'îles », Yann Lespoux, éd. Agullo « Certains coeurs lâchent pour trois fois rien », Gilles Paris, éd. Flammarion « Un dimanche à Ville-d'Avray » Dominique Barvéris, éd. folio (en poche)
Littérature étrangère (« Ce genre de petites choses », Claire Keegan, éd. Sabine Wespieser) « Jane, un meurtre », Maggie Nelson, éd. du Sous-sol (parution le 4 mars) « Dans la ville provisoire », Bruno Pellegrino, éd. Zoé « Tu auras dû t'en aller », Daniel Kehlmann, éd. Actes sud « C'était le jour des morts », Natalia Sylvester, éd. de L'Aube « Jolies filles », Robert Bryndza, éd. Belfond Noir
Sur les mers « Mauvaise étoile », Christophe Migeon, éd. Paulsen « Tout l'or des braves », Clifford Jackman », éd. Paulsen
Diffusion lundi 22 février 18h30 (durée 40 mn) #colmar #colmarandyou #festivaldulivredecolmar
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