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EAN : 9782330113803
384 pages
Actes Sud (01/10/2018)
2.73/5   15 notes
Résumé :
Si Robert Capa est universellement connu, Gerda Taro, sa compagne – qui connut une fin tragique à vingt-six ans, lors d’un reportage sur la guerre d’Espagne –, l’est beaucoup moins. Celle qui s’appelait en réalité Gerta Pohorylle avait fréquenté, à Leipzig, les milieux de gauche ; arrêtée en 1933 pour ses activités antinazies, elle s’exile à Paris où elle retrouve d’autres jeunes gens “étrangers” qui, comme elle, doivent lutter pour se faire une place, dans un clima... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Lu tant en version originale que dans sa traduction française.

Etant toujours passionné par l'histoire. Sachant que Gerda Taro, l'héroïne de cette histoire était décédée en Espagne durant la guerre d'Espagne, et la sachant compagne de Robert Capa, photographe que j'apprécie, j'ai décidé de lire ce livre.

J'ai bien failli en abandonner la lecture tant celle-ci m'a parue difficile, le livre me paraissait au début très confus...

Cette impression est liée à la structure même du récit : ici, il n'y a pas une ligne claire, avec un début et une fin, l'auteure nous parle de Gerda morte puis de Gerda vive, de Gerda amoureuse et de Gerda qui trahit, l'on saute de ses années à Leipzig vers celles de Paris, de Barcelone puis on y revient...
Cela n'a rien d'une biographie traditionnelle !
Il n'y a ici pas de temporalité !

La fille au Leica est Gerda Taro, Allemande anti-fasciste qui émigrera à Paris pour fuir le nazisme, fera la connaissance de Robert Capa (dont elle inventera le pseudonyme) et mourra écrasée par un char d'assaut à Barcelone durant la guerre d'Espagne.
Cette femme, je ne la connaissait pas, et je l'ai découverte à travers ce récit ; elle fut pourtant très connue à l'époque - se funérailles à Paris ont été suivies par des milliers de personnes. Son rôle majeur dans l'histoire de la photographie est apparu plus tard lors de la découverte de la "valise mexicaine" contenant nombre de ses négatifs.

Son histoire, l'auteure nous la fait revivre de façon originale : un prologue et un épilogue basé sur quelques photos et entre ceux-ci, les souvenirs de trois personnes qui l'ont bien connue, deux hommes qui en ont été amoureux et une femme qui a vécu avec elle : Willy Chardack, Georg Kuritzkes et Ruth Cerf ; ces souvenirs sont ceux de personnes d'âge mur qui revivent des moments de leur jeunesse, souvenirs entrecoupés de pensées ou de préoccupations contemporaines.
La perception qu'ils ont du personnage de Gerda n'est pas la même, la différence la plus fondamentale à mon avis tient à la vision de Ruth qui n'a pas comme les deux autres été amoureuse d'elle.
Ces trois personnages sont intéressants, je ne les connaissais pas et cela m'a donné envie de chercher à en savoir davantage sur eux sur Internet. Ils nous font revivre eux-aussi d'autres personnages.

Au final, nous avons un portrait de Gerda Taro dessiné avec des pinceaux différents,, un portrait d'une femme libre, d'une femme en avance sur son temps, d'une femme indépendante, décidée et courageuse.

Une femme que j'aurais aimé connaître...
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Ouvrage réservé et emprunté à la médiathèque -avril 2019...

"Une photographe est morte, alors qu'elle était venue de loin pour immortaliser la lutte du peuple espagnol : un exemple de valeur tel que le général Enrique Lister s'est incliné devant son cercueil et que le poète Rafael Alberti a dédié les paroles les plus solennelles à la camarade Gerda Taro. "(prologue p. 15)

On connaît quasiment tous...le reporter-photographe, Robert Capa... Ce qu'on sait moins c'est que son vrai nom est André Friedmann et que son nom d'artiste fut choisi par sa compagne,Gerta Taro, exilée à Paris, après avoir été arrêtée en 1933 à Leipzig pour ses activités antinazies...

Helena Janeczek a choisi un astucieux moyen narratif : nous découvrons
la courte existence de cette photographe engagée, à travers le récit de trois
témoins qui ont connu et accompagné la vie et les passions de Gerda Taro
[ de son vrai nom, Gerta Pohorylle ]. Elle fut la première photojournaliste,
et surtout et malheureusement la première reporter de guerre, tuée lors
de ses fonctions !

Heureuse d'avoir découvert l'existence de cette photographe... et d'avoir
parallèlement re-parcouru le "chemin artistique" de son compagnon, Robert Capa ! Toutefois, je ne peux expliquer mes difficultés à rentrer vraiment dans le récit: la forme, le style, la traduction; je ne sais pas... ou ce n'était pas vraiment le moment de faire cette lecture ?!!

C'est juste une appréciation des plus subjectives car cet ouvrage est de
qualité et met à l'honneur une "héroïne" pleine de talent , vivant à fond
ses engagements et ses convictions....

"Et puis cette étrangère qui-tu le comprenais tout de suite- avait été une
senorita aux mains délicates et qui aurait pu rester à Paris pour immortaliser les actrices et les mannequins les plus élégants alors qu'elle est venue les photographier , elles qui apprenaient à tirer sur la plage. En plus, elle les admirait, on aurait presque dit qu'elle les enviait un peu. Et maintenant elle est morte en soldat pendant qu'elles s'éreintent à l'usine, puis se démènent pour chercher à manger, mais elles sont toujours vivantes. Ce n'est pas juste. Qu'ils crèvent en enfer, les fascistes . "(Prologue, p. 17)

*****voir excellent article sur cette artiste-photographe:
https://culture-formations.fr/gerda-taro-photoreporter/
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Paris, années 1930.
Gerda Pohorylle, émigrée juive allemande, venant de Leipzig, découvre la photographie comme mode de subsistance et moyen de lutte contre le fascisme. Elle prend le nom de Gerda Taro. Elle a rencontré André Friedmann, émigré juif hongrois, qui deviendra une des stars du photo-reportage mondial sous le nom de Robert Capa. C'est le fondateur de l'agence Magnum.
Nous découvrons Gerda à travers trois témoignages: ceux de Willy, Ruth et Georg. Ils ont partagé des moments de la vie de Gerda, surtout à Paris, et pour Georg aussi à Naples. Les trois témoignages sont encadrés par un prologue fondé sur deux photos d'un couple, l'une prise par Gerda, l'autre par Robert, et par un épilogue à partir de deux photos de Gerda et Robert.
Une belle construction littéraire et un récit riche. On y découvre le milieu antifasciste parisien, international et communiste souvent. Mais surtout une personnalité libre. Gerda se comporte librement vis-à-vis des pouvoirs, dans tous les milieux, ou avec les hommes. Par les aperçus qu'en donnent les témoins, on perçoit une femme d'une exceptionnelle intelligence des situations dans lesquelles elle se trouve, que ce soit dans les quartiers populaires de Naples ou sur les fronts de la guerre d'Espagne.
Le livre nous apprend aussi une foule de choses concrètes sur ces années qui ont précédé la grande catastrophe (elle avait déjà commencé en Espagne).
Willy et Georg livrent leurs témoignages en 1960. Les réflexions de Georg, médecin allemand travaillant à Rome pour la FAO, ancien résistant et ancien membre des Brigades internationales, sont passionnantes aussi.
Mais curieusement ce livre ne suscite pas une grande empathie pour les personnages, plutôt un intérêt distancié pour leur destin hors du commun. le style est sans doute trop elliptique pour que l'auteure nous emmène dans leur sillage.

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Née à Munich, Helena Janezeck est une romancière italienne dont la mère est une rescapée des camps. Pour La Fille au Leica, elle a reçu en 2018 le prix Strega, aussi prestigieux en Italie que le Goncourt l'est en France.

Le nombre de personnages auxquels l'auteur fait allusion tantôt par leur nom, leur prénom, leur surnom ou leur pseudonyme ne facilite pas la prise de contact avec cette histoire compliquée… le lecteur comprend que certains des protagonistes sont des gens célèbres, mais ne les connaît pas forcément. Pour ma part, j'ai dû faire de petites recherches avant de m'y retrouver !

Le prologue et l'épilogue se répondent. Dans le premier, trois photos prises par Capa et Taro sont décrites par un narrateur convoquant un « tu » qui n'est pas explicité. L'épilogue commente de la même manière deux photos où apparaît le couple Capa et Taro, ainsi que quelques autres images. Mais surtout, il raconte en partie l'histoire de la « valise espagnole » qui a permis de connaître et de mettre enfin en valeur le travail de photographe de Gerda Taro.

Le roman – il s'agit bien d'un roman, pas d'une biographie – raconte la brève histoire de Gerta Pohorylle (Gerda Taro), talentueuse photographe morte à 27 ans, dans un bête accident pendant la guerre civile espagnole, à travers les récits de trois proches témoins. le premier, Willy Chardack (I. Willy Chardack, Buffalo, N.Y., 1960, p. 21) dit le Basset, très amoureux de la jeune femme qui le considère comme un copain, est connu à l'époque de son récit parce qu'il a participé à « l'invention d'un petit moteur pour le coeur » ; mais au milieu des années 30, c'est un étudiant en médecine qui a fui son pays natal pour se réfugier à Paris parce qu'il est juif, comme l'ont fait beaucoup des personnages de cette histoire alors que les persécutions s'intensifient dans plusieurs pays d'Europe. le deuxième témoin (II. Ruth Cerf, Paris, 1938, p. 117), qui pose de temps en temps comme modèle, raconte son amitié et ses brouilles avec Gerda Taro, son admiration tempérée de pointes de jalousie et de jugements moraux, leur cohabitation, etc. C'est le seul des trois récits qui se déroule peu après la mort de Gerda. le troisième témoin (III. Georg Kuritzkes, Rome, 1960, p. 217), l'ami fidèle, l'amant prévenant et généreux, est probablement celui qui connaît le mieux Gerda Taro : il a fréquenté la jeune femme et sa famille avant l'exil et on comprend que c'est lui qui a forgé sa conscience politique de gauche. Il rejoindra les Brigades internationales et rencontrera brièvement Gerda près de la zone des combats.

On croisera au cours des trois récits divers personnages connus ou moins connus. le plus célèbre est sans doute Endre Ernö Friedmann, autrement dit Robert Capa, alias Bandi, talentueux photographe, dont tout le monde a vu le cliché du soldat républicain qui vient d'être frappé par une balle et qui commence à s'écrouler, compagnon de Gerda, son mentor pour ce qui concerne la photographie. Citons encore le photographe David Szymin, alias Chim, alias David Seymour, cofondateur de l'agence Magnum ; sans oublier Fred Stein, photographe lui aussi, qui prête aux autres sa salle de bains transformée en chambre noire. On apercevra aussi Hemingway, Steinbeck, Willy Brandt, Pablo Neruda, Nizan, Aragon et quelques autres… le livre se clôt par des remerciements et les crédits photographiques.

Les trois récits adoptent le même schéma, si j'ose dire : une sorte de fouillis temporel. On suit les pensées du personnage-témoin comme elles viennent, c'est à dire sans adopter une ligne cohérente, au gré des souvenirs et de l'enchaînement des idées : sauts dans le temps, sauts d'un personnage à l'autre, d'un lieu à un autre, etc. Bref, il faut s'abandonner à ce chaos sans chercher à reconstituer la ligne du temps sous peine de se lasser. Par ailleurs, les contradictions entre les témoins se font jour au fil de la lecture. le point sur lequel tous semblent d'accord, c'est le pouvoir de séduction de Gerda, dû à son charme, à sa beauté, à son intelligence et à sa vitalité.

La force du roman, me semble-t-il, c'est de nous faire découvrir Gerda par petites touches, parfois contradictoires, et par les yeux d'autres témoins que Robert Capa. On se rend pourtant compte, une fois le livre refermé, que l'on sait finalement fort peu de choses sur cette photographe. Qui la connaissait le mieux ? Je me dis que c'est en couple que Capa et Taro sont le plus attachants : amoureux, sûrs d'obtenir un jour le succès, déterminés à faire connaître les exactions des fascistes pour « forcer le monde libre à intervenir ». L'ambiance du Paris d'avant-guerre, l'antisémitisme latent ou manifeste, l'enthousiasme de tous ces jeunes gens malgré les difficultés qu'ils rencontrent et leur espoir en un monde plus juste m'ont particulièrement touchée.

J'ai été soulagée de lire ceci dans les remerciements : « Merci à ceux qui ont tenté de calmer ma frénésie de documentation, en me rappelant que j'écrivais un roman. » En effet, on se sent comme dans un documentaire dont l'auteur considère que vous avez en tête tous les éléments pour le comprendre alors que, en ce qui me concerne, c'était loin d'être le cas. Je me suis assez bien repérée dans les deux premiers récits, mais j'ai été complètement perdue dans le troisième malgré des notes de bas de pages plus fréquentes que dans les deux autres...

Merci à Babelio et à Actes Sud de m'avoir permis de découvrir ce roman.
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Voilà un beau thème pour un livre : la vie de Gerda Taro, juive allemande, fuyant l'Allemagne nazie, se réfugiant en France où elle se familiarisera avec l'art photographique, femme libre et engagée, devenant la compagne de Robert Capa (et d'autres), et couvrant la guerre d'Espagne où elle trouvera la mort.
Belle idée : la faire revivre à travers les regards croisés de trois de ses amis.
Mais je défie quiconque ne connaissant pas sa vie, même en étant familier de cette époque, de comprendre le livre. Les personnages apparaissent on ne sait comment, puis disparaissent, sont désignés sous un nom, puis sous un autre (à vous de vous débrouiller), tout cela est bien confus.
Quant au style, j'enrage d'avoir souvent eu à lire deux ou trois fois la même phrase avant d'en saisir le sens. Est-ce la faute de l'auteur ? de la traductrice ? de moi ? Je ne sais
Malgré quelques très beaux moments, j'ai refermé le livre, bien frustré d'avoir pris si peu de plaisir avec un si beau sujet.
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critiques presse (1)
Telerama
27 février 2023
La romancière et journaliste italienne Helena Janeczek publie à son tour un livre sur le destin météorique de la jeune photojournaliste qui couvrit la guerre d’Espagne, fit des milliers de photos de paysans et de soldats, et mourut à Brunete en juillet 1937, écrasée par un char.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Il avait été fasciné par la désinvolture avec laquelle elle savait choisir ses sujets, avait admiré sa rapidité et son instinct de photographe, mais il ne l'avait jamais vue couvrir une bataille ou un bombardement. Autant dire que lui aussi ne connaissait cet aspect de Gerda que par images interposées : les images qu'elle-même lui commentait en étalant ses carnets de planches-contacts à chaque rencontre, et puis le personnage évoqué par le ton de camaraderie avec lequel la saluaient les hommes de tout grade, son courage formidable, la familiarité avec laquelle ils l'appelaient pequena rubia, petite blonde.
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Elle retournait à Madrid, Valence, Barcelone, poursuit Ruth. Elle remettait ses escarpins à talons, son rouge à lèvres et son sourire. Elle rentrait à Paris et apparaissait comme la Gerda de toujours, joyeuse et enthousiaste, et elle parlait de l'Espagne, oui, faisant allusion aux horreurs qu'elle avait vues, dans la fougue de ses comptes-rendus aventureux : les exactions commises par les troupes marocaines, les gens épuisés, le paysage surréel façonné par les bombes. Mais tout cela, c'étaient des mots lancés pour la bonne cause, de même que ses photos. La solidarité internationale devait faire entendre, haut et fort, que la non-intervention était un crime. Voilà ce quelle disait, Gerda Taro, et je la comprends.
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Mais Gerda ne dispensait pas ses faveurs en se fondant uniquement sur les apparences, et elle était bien plus qu'une fille que l'on regardait avec les yeux hors de la tête. Elle était même quelque chose de trop sérieux pour ceux qui l'aimaient (...) (p. 59)
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Et puis cette étrangère qui-tu le comprenais tout de suite- avait été une senorita aux mains délicates et qui aurait pu rester à Paris pour immortaliser les actrices et les mannequins les plus élégants alors qu'elle est venue les photographier , elles qui apprenaient à tirer sur la plage. En plus, elle les admirait, on aurait presque dit qu'elle les enviait un peu. Et maintenant elle est morte en soldat pendant qu'elles s'éreintent à l'usine, puis se démènent pour chercher à manger, mais elles sont toujours vivantes. Ce n'est pas juste. Qu'ils crèvent en enfer, les fascistes . (Prologue, p. 17)
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Elle traînait avec elle l'appareil photo, la caméra, le trépied sur des kilomètres. Ted Allan a raconté que ses derniers mots avaient été pour demander si ses rouleaux étaient intacts. Elle photographiait en rafale au milieu de la confusion, son petit Leica au-dessus de la tête, comme s'il la protégeait des bombardements.
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Video de Helena Janeczek (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Helena Janeczek
Helena Janeczek - Traverser les ténèbres .A l'occasion de la Foire du Livre de Bruxelles 2015, Helena Janeczek vous présente son ouvrage "Traverser les ténèbres" aux éditions Actes Sud. Roman traduit de l'italien par Marguerite Pozzoli. Retrouvez le livre http://www.mollat.com/livres/janeczek-helena-traverser-les-tenebres-9782330030933.html Notes de Musique : ?Balloons Don't Always Fly (Original)? (by Patterns In Plastic). Free Music Archive. www.mollat.com Retrouvez la librairie Mollat sur les réseaux sociaux : https://www.facebook.com/Librairie.mo... https://twitter.com/LibrairieMollat http://www.dailymotion.com/user/Libra... https://vimeo.com/mollat https://instagram.com/librairie_mollat/ https://www.pinterest.com/librairiemo... http://mollat-bordeaux.tumblr.com/ https://soundcloud.com/librairie-mollat http://blogs.mollat.com/
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