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EAN : 9782081341494
320 pages
Flammarion (08/02/2017)
3.26/5   29 notes
Résumé :
« Il y avait quand même quelque chose de merveilleux dans l'existence, une part de féérie, au milieu de ces batailles perdues, de ces millions de morts vivants qui prenaient des avions et des trains, c'était que nous nous soyons reconnus, Emma et moi, au-delà de nos différences, peut-être même nous avaient-elles rassurés. De cette manière, chacun aurait sa zone de compétence et aucun des deux ne prendrait le dessus. Ce n'était pas une entreprise de domination, mais ... >Voir plus
Que lire après La meilleure chose qui puisse arriver à un homme, c'est de se perdreVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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"La meilleure chose qui puisse arriver à un homme est de se perdre" nous embarque effectivement sur la perte de contrôle, le lâcher prise qui se produit peu à peu dans la vie de notre personnage principal.µ
Antoine, 42 ans, a une petite vie rythmée et bien rangée dans laquelle aucune remise en doute n'est possible. Oui car Antoine vit sa vie sans passion et sans grande émotion pourtant il chérit son quotidien ainsi et n'attend rien d'autre de son futur. IL fait ce qu'il a à faire sans conviction mais il aime le faire bien et proprement.
Cet homme, consultant dans le cinéma, va être amené par un étrange concours de circonstances à faire des rencontres qui vont remettre en cause cette existence bien paisible. C'est surtout l'histoire d'une rencontre; la jeune Emma. Femme insoumise avec une vie morcelée mais combative et déterminée va amener notre Antoine dans de drôles de rebondissements aussi palpitants pour nos lecteurs que formateur pour notre héro.
A travers des rencontres et des personnages folkloriques, Antoine va aboutir à une réflexion sur sa vie, son passé, ses traumatismes et blocages d'enfance l'ayant mené à brider sa vie de la sorte.
Son périple aussi inattendu que nécessaire à travers la France le poussera sur les cheminements de sa vie afin de faire la paix avec l'enfant qu'il était et avec ses convictions d'antan pour vivre pleinement cette fusion des esprits et cette inévitable attirance pour Emma.

Ce livre est une réflexion servit sous forme de romance, le fond est très intéressant. Il nous démontre les limites et convictions que l'on s'impose à travers notre histoire, grandement influencée par notre enfance et éducation, alors qu'il nous suffirait de s'écouter un peu plus et de faire confiance au destin.
Les personnages sont dans l'ensemble intéressants, cohérents et parfois touchants, bien que de temps en temps un peu caricaturaux. La famille d'Emma et cette dernière sont bien décrits et apportent matière et profondeur à cette histoire car ils nous apprennent que les difficultés et histoires difficiles valent parfois mieux que le paraître et le mensonge.
Il est par contre regrettable que d'autres personnages plus secondaires ne soient pas davantage approfondis afin que leur présence ai plus de sens et que l'on comprenne mieux leurs choix et comportements, je pense notamment à Cécile ou encore Paul.
Le livre est écrit de façon très simple et fluide ce qui en facilite sa lecture et en donne l'accès à tout type de lecteurs. L'histoire étant assez prenante et les héros parfois attachants le lecture se fait rapidement sans perdre le fil. J'ai aimé la lecture de ce roman ainsi que le style d'écriture de l'auteur qui par l'utilisation du "je" semble nous impliqués, nous lecteurs, davantage dans le cours de l'histoire. Je ne connaissait pas Alain Gillot que j'ai appris à découvrir et cette lecture m'a rendu curieuse de lire un autre de ces romans.
Le point négatif selon moi de cette lecture est que la fin semble bien trop prévisible. Dès le début et dès la première apparition d'Emma on s'attend à une fin incluant un rapprochement de notre héro avec cette dernière. J'ai eu parfois la désagréable impression qu'à travers leurs histoires et leurs passés douloureux l'auteur tentait de justifier l'abandon des personnages à leur romance. Leur romance est certes très humaine et pleine de bonnes intentions mais la dualité de leur relation m'a parfois gêné, oscillant entre relation amoureuse et lien père fille. On a donc la sensation que cet écart d'âge gênant dans les débuts entre les deux protagonistes est annihilé par le fait qu'ils s'apportent du bien, j'ai donc vécu la fin comme une justification de cette mise en relation.
Pour le reste je recommande la lecture de ce roman pour cette sensation de légèreté qu'il apporte.
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Le premier roman d'Alain Gillot, "La surface de réparation", avait été un vrai coup de coeur pour moi. Loin de mes lectures habituelles, ce roman avait su me séduire par la grande sensibilité et l'humanité qui s'en dégageaient. C'est avec joie que j'ai appris la parution d'un second roman s'inscrivant dans une veine similaire. Je tiens d'ailleurs à remercier Babelio et Flammarion pour l'envoi de ce livre.

Séduite par le titre du roman, "La meilleure chose qui puisse arriver à un homme est de se perdre", je me suis lancée avec enthousiasme dans la lecture de ce livre. Dès le début, j'ai apprécié le personnage principal, Antoine. Ce dernier n'a pourtant rien d'extraordinaire, il mène sa barque sans heurt, mais c'est ce qui le rend attachant. En apparence plutôt fade, il se révèle être un homme sensible, à l'écoute des autres, qui ne fuit pas ses responsabilités.

J'ai également aimé la manière dont l'auteur développait son intrigue. le récit prend en effet la forme d'un road trip avec Antoine décidant d'emmener Emma jusqu'à Bordeaux. Ce voyage imprévu apporte incontestablement de l'humour au texte étant donné que rien ne se déroule comme prévu.

Malgré une histoire sympathique, je n'ai pas été emballée plus que ça car l'ensemble reste assez prévisible. de plus, la logique des derniers chapitres m'a un peu échappée. Je n'ai pas compris comment le narrateur se retrouvait paumé au milieu de nulle part pour chasser un cochon... le final ne m'a pas vraiment satisfaite.
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«Nous sommes faits pour mourir, par pour être vaincus.»
Ernest Hemingway

Un road movie plutôt cocasse qu'entreprend Antoine, la quarantaine, après une rencontre brève mais claquante avec Emma, la vingtaine, et qui s'apparente très vite à une quête de lui-même, une aventure qui chamboulera ses perceptions de la vie. Confronté à des personnages qui ont une personnalité aux antipodes de la sienne, excessive, alors que lui, est dans la réserve, centré sur lui-même, installé dans une routine préjudiciable, peu enclin finalement à jouir de la vie, à vivre passionnément, il se révélera, s'épanouira en faisant un ultime croché salvateur dans son passé.
Il se fourvoie en se persuadant qu'Emma n'effectuera qu'un passage éclair dans sa vie, qu'ils ne se lieront d'aucune manière que ce soit ... et nous lecteurs, nous ne le comprenons bien trop vite, ce qui enlève un peu de charme à ce roman, bien trop saisissable à mon goût; de même que l'analyse des personnages, peu approfondie, ou que l'écriture, peu limpide. J'ai eu l'impression de lire un scénario avec beaucoup de détails verbalisés, peut-être un clin d'oeil de l'auteur au métier de son héros, "retoucheur" de scenarii, qui est d'ailleurs un des métiers que l'auteur exerce lui -même, puisqu'il est aussi scénariste.
Néanmoins, l'humour et les situations cocasses pimentent cette histoire, et rendent la lecture agréable.
Je remercie Babelio Masse Critique ainsi que les éditions Flammarion pour cette découverte, que je compte poursuivre avec la lecture de "La surface de réparation", roman de ce même auteur, édité chez Flammarion. Je viens d'ailleurs de lire l'article sur le site de Babelio, consacré à la rencontre entre Alain Gillot et les lecteurs de Babelio suite à la sortie du roman.
Lien : https://seriallectrice.blogs..
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Résumé : Antoine, 42 ans, a un métier qui consiste en la retouche de scénarios, surtout dans l'urgence. C'est ainsi qu'il va partir de Paris pour se rendre dans le sud, afin de modifier un scénario. Il va devoir couper des scènes, et c'est à partir de ce moment-là que sa vie va basculer. Emma, une jeune femme qui devait jouer dans une scène supprimée, va le rejoindre sur le court de tennis, pour lui donner une gifle magistrale. Et elle va l'entraîner bien au-delà de ce qu'il aurait pu imaginer…

Mon avis : J'ai lu ce livre dans le cadre d'un « Masse critique » spécial, et j'ai demandé ce roman par curiosité vis-à-vis de son titre et de son résumé. J'en profite d'ailleurs pour remercier Babelio et les éditions Flammarion pour m'avoir permis de le lire.

On se retrouve en compagnie d'Antoine, quarantenaire, qui vit en couple avec Cécile, mais sans passion. Antoine a un métier qui consiste à retoucher des scénarios lorsque des producteurs l'appellent en raison de différentes contraintes, souvent budgétaires. Antoine n'a pas vraiment d'ambition, il est satisfait de la vie qu'il mène, discrète et sans nouveauté. Il part quelque part en France modifier un scénario, va jouer au tennis, et se contente de vivre la vie comme elle vient, sans s'impliquer personnellement et émotionnellement.

Mais toute sa philosophie de vie va être mise en mal, quand il va croiser la route d'Emma, qui va lui mettre une gifle pour avoir enlevé la scène où elle jouait. A partir de ce moment, Antoine ne va plus se reconnaître lui-même.

Mû par la culpabilité, ou par un sentiment qu'il n'ose pas nommer, il va proposer son aide à Emma, et se retrouver embarqué dans une aventure où il va boire la tasse, froisser de la tôle, et croiser des personnes étonnantes qui vont bouleverser sa façon de voir la vie.

Antoine porte une armure pour ne pas être touché par les sentiments, refuse de tomber amoureux d'Emma qui pourrait être sa fille. Mais sa carapace va se fissurer au hasard des endroits et des rencontres, et il va devoir faire face à lui-même et à son passé. Il va devoir chercher au plus profond de lui-même pour arrêter de se cacher la vérité.


J'ai trouvé que les thèmes de l'histoire (rencontre amoureuse, quête de soi) étaient intéressants.

Par-contre, j'ai trouvé que l'auteur les traitait de façon trop conventionnelle, avec trop peu de profondeur, et en utilisant un schéma trop classique, celui de l'homme qui va remettre en cause toutes ses certitudes à partir d'une rencontre. Rencontre d'ailleurs trop annoncée dès le début, comme si l'histoire d'amour était écrite par avance, la mystérieuse inconnue nageant dans la mer étant la jeune femme qui allait le gifler. J'ai trouvé que cela était trop prévisible.

Mais l'ensemble s'améliore à partir du moment où Antoine va commencer à écouter son instinct au lieu de sa raison, et sortir de la routine. Et il est servi avec Emma, qui vit dans une famille avec des problèmes, et qui va l'aider à sortir de sa coquille, tout en le poussant à se plonger en lui-même, en quête d'un passé qui l'empêche vraiment de vivre.

Un avis en demi-teinte, donc.
Lien : http://docbird.over-blog.com..
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Je ne suis pas fan des « histoires d'amour » que je trouve souvent trop mièvres ou complètement irréalistes. D'ailleurs, quand j'ai reçu ce livre « La meilleure chose qui puisse arriver à un homme c'est de se perdre », j'ai été partagée entre deux sentiments.

Le premier a été une légère déception, mais comme je m'étais engagée à jouer le jeu de masse critique, je suis passée outre. le second ressemblait plus à de la curiosité. En effet, le titre m'a « intrigué », voire inspiré. Il est vrai que parfois, il faut se perdre pour mieux se retrouver, même si le chemin est souvent tortueux...

J'ai donc commencé ma lecture en me demandant quels chemins cet homme allait emprunter et vers où cela allait le mener.

La première partie du livre est consacrée à la mise en place du personnage principal, son caractère, sa façon de voir la vie et de l'appréhender. Une fois planté le décor, l'aventure commence réellement pour le personnage et le lecteur. Au détour d'une rencontre fortuite, le chemin si droit et bien tracé dévie, prend des courbes et autres virages serrés, au risque de perdre ceux qui l'arpentent.

Mes sentiments ont évolué au cours de la lecture. D'abord réticente, je me suis laissée gagnée par ce personnage distant et plutôt neutre. J'ai voulu savoir comment il pouvait se perdre, lui qui faisait tout pour ne pas que ça arrive. Et puis, comme tout le monde le sait, la vie se charge souvent de vous surprendre au moment où vous vous y attendez le moins.

Puis j'ai eu un moment de doute… la suite des événements m'a semblée un peu trop rocambolesque à mon goût pour être crédible. J'ai tout de même poursuivi ma lecture en faisant abstraction des faits eux-mêmes pour me concentrer sur l'intention de l'auteur. On peut dire que ça a fonctionné puisque je suis allée au bout de l'histoire avec plaisir, croisant les inévitables questionnements liés à la rencontre de l'amour, les hésitations, les refus de l'évidence, les blocages, les ressentiments…

Bref, l'auteur explore les sentiments amoureux d'un homme qui s'est jusque-là fermé aux sentiments et qui se découvre la possibilité de laisser son coeur parler, au risque de prendre quelques coups et de saigner un peu.

Je vous avouerai que je n'ai pas été totalement convaincue par l'histoire elle-même, mais les émotions et les questionnements du/des personnage(s) sont intéressants et plutôt bien traités.
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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
Chez les Cassenti, les périphéries de l'existence, y compris le malheur, pouvaient se vivre à ciel ouvert, alors que chez moi chaque événement avait été recouvert d'une chape de plomb. Était-ce pour cela qu'ils exprimaient si librement leurs émotions ? Que ce soit avec violence pour le frère, ou fantaisie pour la soeur ? J'étais enclin à le croire. De leur point de vue, on pouvait à tout instant jouer du couteau ou esquisser un pas de danse. Seules comptaient l'intensité, la vérité du moment. Vivre était une improvisation permanente, tandis que pour moi chaque chose se pesait, se préparait avant d'être vécue.
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Il y a quelque chose d'incorrigible en moi. Les années passent, mais je suis toujours ce gamin qui se rendait à l'école par des chemins détournés et ne franchissait la grille qu'au tout dernier moment, quand la sonnerie retentissait. Dont l'unique préoccupation, durant les heures de classe, était d'éviter d'être interrogé, d'échapper au regard du professeur, jusqu'à se rendre invisible, l'oeil porté vers la cour, dans l'attente de la récréation. Rien n'a changé au fond. Et surtout pas avec ce que la vie m'a donné à voir.
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Le mensonge a besoin d'aménagement intérieur et de silence. Si nous avions ouvert ces portes, invité des copains, dansé, chanté, peut-être que dans un moment d'ivresse, par un regard, un geste, tout aurait été découvert, qui sait ? Il valait mieux être triste, c'était plus prudent.
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Un scénariste est un peu comme un visiteur accueilli dans une maison. Il peut avoir un avis sur la décoration, voir aussitôt le gain qu'il y aurait à abattre tel ou tel mur, néanmoins il doit s'assurer de deux choses avant de formuler son point de vue : d'abord qu'il est invité à le faire, ensuite que sa réflexion ne sera pas perçue comme un jugement de valeur de l'existant, mais comme une suggestion que son interlocuteur sera libre de considérer, ou pas.
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Je n'arrive toujours pas à considérer l'entreprise humaine avec sérieux et je ne m'y implique qu'à hauteur d'éviter les inconvénients. Pour être tout à fait sincère, aucun rôle ne me semble indispensable à tenir, et rien n'a réellement d'importance à mes yeux, hormis cette précieuse récréation que je m'efforce de cultiver dès que j'en ai la possibilité.
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Video de Alain Gillot (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Alain Gillot
L'émission intégrale : https://www.web-tv-culture.com/emission/alain-gillot-s-inventer-une-ile-51513.html
Il a été journaliste sportif, grand reporter pour des magazines de voyages mais aussi scénariste pour le cinéma. Alain Gillot a eu mille vies en une, avide de rencontres, d?espaces et d?évasion. Gamin de banlieue élevé dans un milieu aimant mais modeste, Alain Gillot a cherché à concrétiser ses rêves d?enfant. L?enfance, il en est question dans ses romans. C?est en 2015 qu?il publie son premier titre « La surface de réparation », l?histoire d?un entraineur de foot un peu bourru qui se voit confier la garde de son neveu, atteint de la maladie d?Asperger. Joli succès de librairie, le livre est adapté au cinéma sous le titre « M. je sais tout ». Après un second titre « La meilleure chose qui puisse arriver à un homme, c?est de se perdre », nous retrouvons Alain Gillot avec ce nouveau roman « S?inventer une île » paru chez Flammarion. Dani est contremaitre dans le BTP pour des chantiers internationaux. En mission en Chine, il reçoit un coup de fil lui annonçant la mort de son fils, Tom. Agé de 7 ans, le gamin s?est noyé sur une plage de Bretagne, là où il passait ses vacances chez sa grand-mère. Dani rentre en France, retrouve son épouse Nora, vit les premiers jours dans un état second entouré de l?affection maladroite de ses proches. S?inspirant de sa propre vie, Alain Gillot s?interroge ici sur l?impossible deuil, sur la difficulté de rester un couple uni face à l?épreuve, sur la façon d?accepter la bienveillance de l?entourage quand on aurait envie d?hurler. Dani tente alors de se reconstruire en culpabilisant sur le peu de temps qu?il a consacré à son fils. C?est alors que celui-ci lui apparait et lui parle. Incrédule face à cette apparition aussi mystérieuse qu?inexplicable, Dani l?accepte et entraine le petit bonhomme sur une île, pour réinventer leur relation et poursuivre leur histoire au grand dam de Nora, la maman, exclue de ce duo père-fils. Sur un sujet douloureux, la perte d?un enfant, Alain Gillot a su construire un roman délicat, pudique qui ne tombe jamais dans la sensiblerie. Par l?insouciance de Tom et la fragilité de Dani, l?histoire réserve même quelques jolis sourires. Quant à Nora sans oublier les personnages secondaires, ils trouvent aussi leur place. Porté par une belle écriture et une atmosphère maritime salvatrice, le nouveau roman d?Alain Gillot touche au c?ur et on gardera en mémoire ce proverbe tibétain que l?auteur a mis en exergue « Aussi vrai que l?homme est le père de l?enfant, l?enfant est le père de l?homme ». « S?inventer une île » d?Alain Gillot est publié chez Flammarion.
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