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EAN : 9782258138407
395 pages
Presses de la Cité (02/03/2017)
3.33/5   265 notes
Résumé :
Quand Rachel épouse David Kerthen, un bel et brillant avocat, elle n'en croit pas sa chance. Loin de Londres et des années de vache maigre, elle découvre les joies de la vie de famille auprès de l'affectueux petit garçon de son mari, Jamie. Au coeur des Cornouailles, dans un manoir surplombant les déchirures de la côte et l'Océan impétueux, elle joue déjà à la châtelaine.
Mais le conte de fées se ternit vite : le souvenir de Nina, la première épouse de David,... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (95) Voir plus Ajouter une critique
3,33

sur 265 notes
Très loin de tout, à l'extrême pointe de l'Angleterre, la péninsule de Cornouailles où l'Angleterre devient une terre plus étrange et plus minérale, un rude pays granitique et druidique qui reluit après la pluie, où des forêts profondent cachent des ruisseaux poétiques, où des falaises vertigineuses dissimulent des criques délicates, des demeures magnifiques se nichent au creux des vallons.
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Comme Carnhallow, où Rachel est venue s'installer avec son tout nouveau mari David, la mère et le fils de celui-ci.
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La famille Kerthen possède tout ce qui entoure le gigantesque domaine.
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Les aïeux de David ont amassé des fortunes en exploitant les mines de cuivre et d'étain, surtout en y envoyant des jeunes gens, voire des enfants, au fond des galeries qui s'étendent en d'immenses ramifications sous la mer.
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Quatre mille ans d'exploitation avant que les mines ne périclitent, remplacées par celles d'Australie et de Malaisie.
Le début du roman et l'ambiance rappellent fortement Rebecca, Rachel ayant épousé un homme richissime et plus âgé sur un coup de tête, très souvent absent, mais la comparaison s'arrête là.
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Déjà au niveau du personnel, pas de gouvernante ou domestiques de toutes catégories, nous avons juste Cassie, la bonne Thaïe, qui assure l'intendance et les repas, la famille se chargeant du reste.
Après tout, 78 chambres c'est trois fois rien.
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Toujours est-il que Rachel adore la maison, que son mari lui demande de restaurer, prenant en cela la suite de Nina, sa femme décédée.
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En tombant amoureuse de David, Rachel s'est entichée de son fils, Jamie, un très beau gamin aux cheveux noir corbeau et aux yeux bleu intense, tirant sur le violet.
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Elle apprécie aussi sa belle-mère, Juliet, qui aurait apparemment un début d'Alzeimer.
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David ne rentre que le week-end, son travail à Londres lui prenant tout le reste de son temps et Rachel commence à fouiner dans la maison, essayant de gérer le mal-être de Jaimie, pas encore remis de l'accident qui a coûté la vie à sa maman.
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J'ai dit qu'en plus la défunte se baladait un peu partout et parlait à son fils ?
Pas encore, mais voilà qui est fait.
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C'est un livre très riche en détails sur l'environnement et bien que n'y étant jamais allée, j'ai très bien visualisé le cadre du récit.
Grandiose, sauvage, parfois oppressant quand les éléments se déchaînent.
L'océan juste devant, les forêts alentour, les petites routes parfois impraticables qui serpentent.
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La plume de l'auteur est fluide et très agréable.
Je l'avais déjà remarquée en lisant le doute, qui m'avait cependant laissé un sentiment plus mitigé.
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S.K. Tremayne maîtrise parfaitement le suspense et j'ai retenu mon souffle plus d'une fois, me demandant sans cesse que croire ou pas, qui croire ou pas, parce que les secrets bien dissimulés refont surface par bribes, mais contradictoires selon le personnage qui les livre.
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Et je n'ai su le fin mot de l'histoire qu'à la chute ou presque.
Les amateurs de bons thrillers y trouveront leur compte, en faisant toutefois abstraction de quelques menues incohérences.
Mais bon, c'est aussi un livre fantastique, donc la crédibilité n'est pas toujours assurée à 200 %.
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Il tient la route, on s'immerge, on s'attache à tous les personnages.
Quelques petites longueurs dans les états d'âme et questionnements de Rachel, la narratrice, mais rien de rédhibitoire, même pour moi.
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Le roman commence sur un air de déjà vu actualisé.
En effet, on se croirait revenu dans Rebecca de Daphné du Maurier.
L'héroïne se nomme Rachel, elle épouse un veuf séduisant qui habite une grande demeure mystérieuse. Son épouse est morte noyée dans de mystérieuses circonstances qu'il ne veut pas dévoiler. Il est souvent absent.
La comparaison s'arrêtera là. L'auteur a su adapter le suspense à sa sauce.
David, le mari a un petit garçon, Jamie, traumatisé par la disparition de sa mère. Il semble voir l'avenir comme un de ses ancêtres. Il est persuadé que sa mère n'est pas morte et croit l'entendre, même mieux, la voir. Cela se communique à Rachel qui a un passé fort trouble.
Son mari travaille la semaine comme avocat à Londres pour relever le niveau financier de sa famille installée depuis des générations en Cornouailles , région d'anciennes mines d'étain et de cuivre qu'exploitaient ses ancêtres.
Dans son immense maison, Rachel est accompagnée de Juliet, sa belle-mère qui est atteinte d'un Alzheimer débutant, de Cassie , la gouvernante et du petit Jamie.
Le livre est riche en surprises, surtout dans le dernier tiers du volume, l'écriture est très belle, mise en valeur par la traduction de Valérie Malfoy.
J'ai beaucoup apprécié le suspense, l'emprunt de base à l'ancien roman célèbre.
J'ai moins apprécié la relation de soumission que vivait Rachel par rapport à son mari mais on comprend mieux quand on connaît l'histoire de la jeune femme.
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J'ai rêvé où ça commence un petit peu comme dans Rebecca de Daphné du Maurier ? ...
Une jeune femme pauvre, épouse un veuf un peu plus âgé qu'elle et se retrouve maitresse d'une magnifique demeure dans laquelle elle se sent perdue. Elle perd peu à peu la raison et se compare à la première épouse qui est inégalable ...
On est en 2017 , alors certaines choses ont changé ..
Rachel, la jeune femme, est photographe et le jeune veuf a un petit garçon dont la nouvelle épousée est sensée s'occuper . Elle est aidée pour cela (mais peut-on vraiment parler d'aide...) par la grand-mère qui est très malade et perd la mémoire , et par une domestique thaïlandaise plus que discrète .
Le mari , David, ne rentre que le week-end de Londres où il est avocat .
il est donc normal que la jeune femme se sente un peu seule , surtout si on ajoute le comportement étrange du petit garçon qui prédit à Rachel qu'elle mourra à Noël...

J' ai vraiment eu du mal à finir ce roman , car aucun des personnages n'est stable psychologiquement , aucun n'est sympathique,( même le gamin est complétement bizarre) . Evidemment, c'est fait exprès , pour instaurer un puissant suspens , mais pour ma part , j'ai trouvé que c'était un handicap à l'immersion et que trop , c'était trop ...
Là où la narratrice de Rebecca était écrasée , intimidée par la splendeur de Manderley, Rachel se frotte les mains de convoitise d'avoir mis la main sur cette somptueuse demeure , d'être devenue riche . J'ai trouvé son obsession à ne pas quitter cette maison, à se l'accaparer, malsaine et lourde . J'ai été agacée par le personnage jusqu'au 3/4 du roman, jusqu'à une révélation finale qui fait dire :" Ah d'accord ! C'est cela que l'auteur avait en tête depuis le début , je n'avais rien vu venir..".
Mais pour y arriver, il faut passer sur des détails, des lois et procédures administratives , qui m'ont parues invraisemblables, (en même temps, je n'ai aucune notion de droit Anglais ...;-) .
S.K. Tremayne réussit cependant à rendre parfaitement, les paysages de Cornouailles, les mines qui entourent le manoir, l'océan et ses falaises, , le temps, la neige, le brouillard , le crachin, l'obscurité de la nuit qui contribuent beaucoup au suspens et à cette atmosphère d'hostilité que rencontre Rachel.
Je pense que l'auteur s'est compliqué la vie en entremêlant plusieurs histoires et ambiances, afin de ne pas trop "coller" à Rebecca , et qu'il y a perdu en puissance, suspens et véracité .
Sur la 4° de couverture , est évoqué plusieurs influences : Rebecca ," le Sixième sens" , je rajouterai , le film " Firelight "avec Sophie Marceau .

L'autre nuit , après avoir fini ce roman , j'ai rêvé que je retournais à Manderley ( cette œuvre était tellement parfaite ) ...
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Rachel, l'héroïne de la menace, est une grande lectrice.
"- Mais je ne lis pas la presse ! Des romans oui. La presse, jamais !"
Mais elle aurait mieux fait à mon avis de lire davantage de thrillers psychologiques, elle se serait alors douté qu'il y avait anguille sous roche. En effet, si elle avait daigné s'intéresser aux oeuvres de B.A. Paris, Gillian Flynn ou Paula Hawkins, alors elle se serait douté que son idyllique situation allait virer au cauchemar.
Jugez vous même : alors qu'elle est d'origine plus que modeste, elle rencontre le richissime avocat David Kerthen, tous les deux tombent éperdument amoureux, se marient quelques semaines après leur coup de foudre et elle rejoint alors la gigantesque ( et totalement isolée ) demeure de son conjoint : le manoir Carnhallow.
Déjà, ça lui aurait mis la puce à l'oreille.
Mais ajoutez à cela que Nina, la première épouse de David, est morte deux ans plus tôt noyée dans les galeries d'une mine condamnée, qui plus est dans d'étranges circonstances, et le doute ne sera plus permis : Rachel a mis le doigt dans l'engrenage. Elle aurait mieux fait de prendre les jambes à son cou. C'était un peu trop beau pour être vrai, non ?
Et ça ne va pas louper.
"Comment le conte de fées a-t-il pu se muer en un tel cauchemar ?"
 
La menace est un titre très bien choisi, que je préfère à celui de la version anglaise "The fire child". Très vite, le rêve de Rachel va virer au cauchemar. Cette menace va prendre différentes formes pour maintenir un climat d'oppression, la principale étant le compte à rebours qui chapitre le roman. 178 jours avant noël, 162 jours avant noël, 73 jours avant noël ...
Une sinistre prédiction a été prononcée et la tension monte au fur et à mesure qu'on se rapproche du vingt-cinq décembre. Un destin funeste est en marche, et le lecteur est bien obligé de l'envisager puisque tout semble converger en ce sens. Par ailleurs, cela permet à SK Tremayne de faire des bonds dans le temps de plusieurs semaines parfois d'un chapitre à l'autre.

Mais cette menace n'est pas qu'un avertissement c'est avant tout une ambiance.
- D'abord, à l'instar d'autres thrillers de ce genre, les personnages ont des secrets, la folie n'est pas loin, il faut savoir distinguer semi-vérités et mensonges.
Dans cette gigantesque demeure à restaurer, David ne revient que le week-end. Ne cohabitent donc en semaine que Rachel et Jamie, le fils de David et de sa première femme, un enfant aussi attachant qu'inquiétant. Par hasard d'abord puis en fouillant, Rachel va se poser de plus en plus de questions sur la mort accidentelle de Nina. Mais qui croire ? Juliet, la mère de David, qui occupe une autre aile, est atteinte d'un Alzheimer encore récent : ses souvenirs sont-ils fiables ?
Et puis ni David ni Rachel ne sont honnêtes. Alors le lecteur doit se méfier de chaque nouvelle information, souvent incomplète.
"Elle sait que je leur ai dit l'amère vérité, mais aussi un énorme mensonge."
"Tu ne dois jamais, au grand jamais, parler de ce qui s'est passé cette nuit-là, de ce que tu as vu."
- Ensuite, les lieux eux-mêmes sont menaçants. L'auteur a choisi de situer son intrigue dans les Cornouailles, au sud-ouest de l'Angleterre. En cette terre isolée, voire abandonnée, tout respire l'hostilité : Les falaises, le vent, la neige, la mer déchaînée. Et toutes ces mines souterraines qui constituent un labyrinthe de galeries inondées.
Les Kerthen ont en effet fait fortune en exploitant les minerais de ces contrées hostiles ( cuivre, étain, tourmaline, jaspe, grenat, fer ) et en semant la mort parmi les mineurs et parfois même leurs enfants, victimes d'intoxication à l'arsenic.
"Ces gens-là mouraient en l'espace de six mois, et c'est ainsi que les Kerthen ont fait fortune."
- Enfin, et c'est ce qui en fait l'originalité en plus de sa particularité celtique : l'ambiance, servie déjà par le contexte géographique, y est surnaturelle.
D'une part, nous avons l'impression que l'immense manoir est hanté.
"Etranges craquements, portes qui claquent sans raison, fenêtres dégondée qui grince sous la pluie."
Un fantôme ? Ils sont deux en tout cas à ressentir une présence indésirable régulièrement au sein des murs.
Et puis surtout il y a cette légende selon laquelle les Kerthen auraient un sixième sens, un don de double-vue pour trouver les gisements. Et le petit Jamie a hérité semble-t-il de ce cette faculté puisqu'il semble capable de prédire l'avenir. Sa première vision, pourtant improbable, va se réaliser.
Quant à la seconde, elle est tragique. Et concerne ce drame qui aura lieu au plus tard à Noël, d'où cette tension qui monte au fur et à mesure qu'approche la date fatidique.
 
Il n'est pas question ici de dévoiler si ces éléments surnaturels trouveront une explication rationnelle, mais en tout cas au niveau de l'ambiance on est vraiment à la croisée des chemins entre le thriller psychologique classique avec ses secrets de famille et le roman fantastique de type maison hantée.

J'ai eu du mal à entrer dans le roman. Les descriptions y sont nombreuses et même si certaines sont poétiques ( "Seules les falaises apportent de la couleur, là où les brisants bleu-vert éclatent en dentelle argentée contre les rochers, avant de battre dans une bouillonante et stupéfiante retraite." ), d'autres sont une succession de noms celtes et pour ma part, faire le tour de la propriété s'est avéré souvent trop long ( "J'ai dépassé Zawn Reeth, "la crique rouge", Nanjizal "la grotte près de la baie". Donc ici c'est Cairn les Boel, "le cairn sinistre" ).
Autre petit défaut, l'attitude des personnages change assez brusquement et même si ça peut être expliqué en partie par les ellipses temporelles, il manque une étape pour rendre plus subtile la déchirure du couple.
Mais l'écriture est soignée, les deux derniers tiers se lisent sans quasiment pouvoir s'arrêter, et en terme d'ambiance lugubre ( ou même paranoïaque ) le livre est vraiment une réussite. Il parvient à nous emmener très loin dans l'esprit parfois mentalement perturbé des personnages et à maintenir tout au long cette impression d'inéluctabilité des évènements.
Tic-tac,
Tic-tac ...

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Avec ce titre, je découvre S.K. Tremayne, auteur britannique, spécialiste, d'après les critiques, du thriller psychologique. Plutôt fan du genre, j'attendais donc beaucoup de cette lecture et ce fut une cruelle déception.

Dès les premières pages du livre, l'atmosphère dépeinte par l'auteur m'a fait croire à une romance très "Angleterre victorienne" : la jeune fille pauvre qui épouse le beau et riche veuf. Que nenni ! L'histoire est tout à fait contemporaine mais mon cerveau pré-programmé faisait un blocage chaque fois que le héros se servait de son portable ou que l'héroïne allait sur Skype. J'imaginais le fantôme de Nina courant en longue robe et chapeau dans la lande. Bref, j'ai souffert d'anachronisme aigu...
Mais le pire est que j'ai trouvé l'intrigue complétement tirée par les cheveux et le style d'écriture très plat (peut-être est-ce la faute de la traduction ?) ne m'a pas aidée à me transporter dans ce coin de Cornouailles battu par les flots.
Avec les personnages, la mayonnaise n'a pas pris non plus. Aucune sympathie évidemment pour le machiavélique David mais pas plus d'empathie pour l'ambitieuse Rachel prête à tout pour conserver la position sociale qu'elle a acquise. Seul, le petit Jamie bénéficie à mes yeux de circonstances atténuantes mais l'auteur a fait de cet enfant et de Rachel des personnages si tourmentés et hantés par leurs fantômes, qu'il est difficile de les comprendre.

Un roman qui m'a fait penser à "Derrière les portes" de B.A. Paris que je n'avais pas apprécié non plus. J'accorde un petit 8/20 pour le décor et l'histoire des mines de la région en toile de fond.

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Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
Nous sommes deux individus perdus dans ce bois silencieux qui paraît aussi vaste que la forêt bavaroise, ce soir. Tout est royal, auguste, lugubre. Des arbres noirs bordent le chemin comme le feraient des croque-morts. Des stalactites, pendues à des branches moussues, scintillent sous le faisceau lumineux tels des crocs de dragon. La neige fraîche que nous foulons est phosphorescente.
Côte à côte, nous avançons. Et nous ne disons rien.
Là-haut, la lune s'élève - une grande dame dédaigneuse ; les bijoux que sont les étoiles sont semés au hasard, comme si Carnhallow avait été pillé par des anges et que les bijoux de famille se retrouvaient éparpillés sur le velours du ciel.
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Un lapin est couché dans l'herbe, éclairé par mes phares. Son corps palpitant est désarticulé, il a des entailles rouges aux flancs, montrant des muscles à nu, et ce sang. Tout ce sang...
Le pire, c'est la tête. Le crâne est à moitié broyé, et pourtant un oeil brille encore dans l'orbite, avec comme une expression de regret. Je prends cette chose flasque au creux de mes bras. Une larme laiteuse en roule, l'animal frémit et, tandis que je m'accroupis dans l'herbe, il meurt dans mes bras.
Pleine de remords, je lâche doucement le cadavre, qui va rouler sur le sol, sans vie. Puis je contemple mes mains. Rouges de sang.
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Quoi qu'il puisse nous arriver, à moi, Jamie, David, et à notre bébé, je sais que je ne peux pas revenir à Londres. À mon enfance, à son univers de moquettes crasseuses, de squares jonchés d'immondices et de violences verbales.
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(...); j'ai suivi des cours de photographie et décroché mon diplôme. Diplôme parfaitement inutile, à vrai dire, puisqu'une professionnelle ne peut plus vivre de son métier de nos jours, et c'est pourquoi "j'enseignais" il n'y a pas si longtemps ma spécialité... à des élèves qui ne deviendront jamais photographes.
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" Votre cœur en est merveilleusement déchiré".
C'était une vérité douloureuse. Quand on avait un enfant, l'inquiétude entrait dans votre cœur pour ne plus jamais en sortir, (...)
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Videos de S. K. Tremayne (17) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de S. K. Tremayne
Cette année encore, Gérard Collard et les libraires de la Griffe Noire vous proposent à l'apporche des fêtes de fin d'année, plusieurs idées cadeaux sous forme de coffrets :
COFFRET DE NOEL
Coffret Polar poche
Le syndrome de Croyde de Marc Welinski aux éditions Pocket https://www.lagriffenoire.com/77357-divers-litterature-le-syndrome-de-croyde.html
La nuit n'est jamais complète de Niko Tackian aux éditions Pocket https://www.lagriffenoire.com/78126-poche-la-nuit-n-est-jamais-complete.html
L'Affaire Léon Sadorski de Romain Slocombe aux éditions Points https://www.lagriffenoire.com/89329-divers-polar-l-affaire-leon-sadorski.html
Coffret détente poche
Lettres à Stella de Iona Grey et Alice Delabre aux éditions Pocket https://www.lagriffenoire.com/81414-divers-litterature-lettres-a-stella.html
La pâtissière de Long Island de Sylvia Lott et Lorraine Cocquelin aux éditions J'ai Lu https://www.lagriffenoire.com/?fond=produit&id_produit=91491&id_rubrique=338
Nora Webster de Colm Toibin et Anna Gibson aux éditions 10-18 https://www.lagriffenoire.com/88187-divers-litterature-nora-webster.html
Coffret littérature poche
Magic Time Magic Time de Doug Marlette et Karine Lalechere aux éditions 10-18 https://www.lagriffenoire.com/76601-divers-polar-magic-time.html
Le chagrin des vivants de Anna Hope et Élodie Leplat aux éditions Folio https://www.lagriffenoire.com/87463-divers-litterature-le-chagrin-des-vivants.html
Churchill m'a menti de Caroline Grimm aux éditions Livre de Poche https://www.lagriffenoire.com/63342-romans-churchill-m-a-menti.html
Coffret Histoire
Speer de Martin Kitchen et Martine Devillers-Argouarc'h aux éditions Perrin https://www.lagriffenoire.com/94858-encyclopedie-speer--l-architecte-d-hitler.html Je suis Jeanne Hebuterne de Olivia Elkaim aux éditions Stock https://www.lagriffenoire.com/89143-divers-litterature-je-suis-jeanne-hebuterne.html
Liberia de Christophe Naigeon aux éditions Tallandier
https://www.lagriffenoire.com/79515-romans-liberia.html
Coffret histoire poche
Le secret du docteur Barry de Sylvie Ouellette aux éditions de Borée https://www.lagriffenoire.com/86135-romans-le-secret-du-docteur-barry.html
L'impératrice cixi de jung chang aux éditions Tallandier
https://www.lagriffenoire.com/82501-poche-l-imperatrice-cixi-la-concubine-qui-fit-entrer-la-chine-dans-la-modernite.html
L'Aviatrice de Paula McLain aux éditions Livre de Poche
https://www.lagriffenoire.com/76336-divers-li
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