Bien
Une très belle histoire d'amour, avec beaucoup d'émotions et de sensibilités de suspenses. le personnage le plus touchant et émouvant n'est pas forcément celui qu'on croit.
J'espère qu'il y aura une suite, pour connaitre l'avenir de ses deux belles familles.
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Une histoire sans grand intérêt qui a beaucoup de mal a ce mettre en place, trop basée sur le handicap et pas assez sur l'amour et l'érotisme, ce qui gâche tous
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une belle histoire émouvante et touchante
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Ce n’était pas la première fois que sa mère se doutait des pratiques solitaires de son fils. Le sachant gay, elle avait même pensé, plus d’une fois, à lui chercher un garçon qui serait monté chez lui, pour de l’argent, lui donner un peu de soulagement, mais elle n’avait jamais eu le courage d’aller en chercher un. Elle savait qu’il y a des garçons qui se vendent pour coucher avec des hommes, mais elle aurait eu trop hante. Elle aurait eu honte aussi d’aller lui chercher une putain, s’il avait aimé les filles. Alors un garçon, vous pensez ! Si au moins il avait eu un ami, des amis comme lui, ils auraient pu s’en charger. Mais il n’avait aucun ami, d’aucun genre. Bien sûr, un garçon qui ne peut pas aller danser, ou à une fête où seul au bar, comment pouvait-il se faire des amis ? Et qui avait envie d’avoir un ami paralysé sur un fauteuil roulant ?
La mère de Jacques éprouvait une profonde tristesse pour son pauvre fils. Mais elle ne savait vraiment pas quoi faire.
Oh, quelle belle bite tu as ! Et comme tu t’en sers bien ! Baise-moi fort, fais-moi sentir le mec que tu es. Allez bélier, pousse-la-moi dedans, fais la moi sortir par la bouche. Encule-moi fort, comme ça, oui. Dis-moi que je suis ton esclave. Dis-moi que je suis ta chose et que tu me remplis de foutre.
Alain, malgré toute sa bonne volonté, n’arrivait pas à dire ça, mais il semblait que l’autre se contente de faire le dialogue pour deux. Dominique continuait, sous ses coups forts et décidés.
Oooh, baise moi, bourre moi, encule-moi, fait moi sentir ton bâton de gendarme. Oooh, comme ça, oui, bravo. Vas-y, martèle ! Tu es un taureau en rut, tu… oui…
Et finalement ils jouirent.