L'agence Lovecraft, tome 4 : Même la mort peut mourir

Si, pour ce dernier tome, le lecteur s'attend à du spectaculaire, certes, il y en a, mais ce serait mal connaitre l'auteur s'il n'avait pas mêlé beaucoup de subtilité au sensationnel, avec du sentiment, de l'intelligence, de l'espoir, et avec ce sens des valeurs qu'on lui connait à travers ses romans.
Dans cet ultime tome, on a les réponses aux questions qui nous taraudent depuis le tome 1, à savoir pour quelles raisons précises on a recruté nos jeunes héros, quels rôles manifestes ont-ils à jouer dans la partie finale, et quel est le sens de tout cela.
De plus, il n'y a pas que les adolescents qui ont maille à partir avec les partisans de Chtulhu, les adultes se dévoilent eux aussi, et les surprises ne sont pas en reste...
J'ai fait un joli voyage dans les abysses et les tréfonds des quatre coins de la Terre, malgré les tonnerres d'apocalypse, car c'est une belle histoire qui nous est contée, en dehors du fait que nos amis jouent tous leur vie pour sauver l'humanité. L'auteur possède une imagination fourmillante, et parvient à nous surprendre à chaque roman du même genre.
Voila, c'était le dernier tome... Marie, Ryan, Kali, Serguei, Capitaine Cornaline Nemo et Docteur Sauvage, même Robur et son langage fleuri, vous allez me manquer...
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Un grand merci à Gulf stream éditeur pour l'envoi en avant-première de l' “Agence Lovecraft - Même la mort peut mourir”.

Ce quatrième tome est une aventure abyssale. Un certain nombre de développements et de sentiments imprévus sont une source d'émotions fortes. J'attendais de ce quatrième tome qu'il réponde à mes interrogations. En voyant agir les personnages, on comprend que chaque membre de l'équipe joue un rôle spécifique qui correspond à ses points forts, pour réussir ensemble à décupler la productivité du groupe. On cerne le caractère de chacun d'entre eux. Ils en viennent à former une famille.

Cette conclusion est telle que je me l'étais imaginée ! Il y a urgence à ce que de nouveaux lecteurs et de nouvelles lectrices rejoignent le camp de l'Agence Lovecraft ! Cette série est extraordinaire !

Quatrième et ultime volet des aventures de l'Agence Lovecraft, Même la mort peut mourir répond à toutes les questions laissées en suspens depuis le début de l'histoire et nous révèle les mystères qui entourent la bande des quatre adolescents aux pouvoirs particuliers. On comprend enfin quel rôle ils ont à jouer dans la grande bataille qui opposera l'humanité à Chtulhu et sa horde de créatures plus monstrueuses les unes que les autres.
Jean-Luc Marcastel nous promettait une terrible bataille et il nous la livre sur un plateau dans un volume qui enchaine les événements à un rythme soutenu et nous fait passer par toute une palette d'émotions provoquées par des personnages auxquelles on a eu le temps de s'attacher au fil des épisodes. Son récit fantastique aux allures steampunk véhicule au passage de bien jolies valeurs de solidarité, de respect et de tolérance et nous donne une belle leçon de vie.
Ce quatrième volume vient magnifiquement clore une série de qualité qui vaut le détour. Hymne à Lovecraft, à Jules Vernes, L'Agence Lovecraft multiplie les références et clins d'oeil à des univers divers qui s'inscrivent dans la pop culture, quand ils ne font tout simplement pas parti de notre réalité.
Je remercie les éditions Gulf Stream pour l'envoi de ce titre en Service Presse et pour leur confiance renouvelée. Je remercie également Jean-Luc Marcastel pour la qualité de sa série qui a tenue ses promesses d'un bout à l'autre !
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