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EAN : 9782021365085
640 pages
Seuil (19/10/2017)
4.3/5   930 notes
Résumé :
Ils ont tué mon père.
Je les aurai.
Après la Fièvre qui a décimé les neuf dixièmes de la race humaine, mon père, Willem Storm, a fondé Amanzi, une nouvelle colonie, et l’a menée du chaos à l’ordre, de l’obscurité à la lumière, de la famine à l’abondance.
Je suis Nico Storm, formé par Domingo à l’art de tuer.
Je détestais mon père et je le vénérais.
Ils l’ont abattu à Witput, dans notre beau Karoo, en bordure de l’ombre effacée d’un... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (173) Voir plus Ajouter une critique
4,3

sur 930 notes
Ouh la men-teu-se !
Je parle de l'effroyable quatrième de couv' qui, non seulement, spoile d'une force peu commune mais en plus débite d'énormes conneries par paquets de un. C'était un gros paquet...
Bref, n'était un gros panard de lecture malgré tout, je crois que j'aurais eu les nerfs. Faut pas, c'est pas bon pour mon coeur.

Si vous adorez les récits post-apo mais que les zombies commencent à vous courir sur le haricot alors l'année du Lion se pose là comme alternative flamboyante!

La terre est décimée par un méchant virus. Si, lorsque l'on éradique près de 90 % de la population, on peut taxer l'auteur de cette hécatombe de méchant. Vilain eût été excessif, je vous l'accorde.
Le reliquat survit, s'adapte, fuyant les hordes de chiens sauvages et ses semblables non moins violents.
Parmi eux, un père et son fils.
Willem et Nico Storm.
En homme érudit foncièrement optimiste quant à la nature humaine, tendre naïveté va, Willem n'aura dès lors qu'une obsession, créer un monde à son image. Amanzi était né. Et son contingent d'emmerdes y afférant itou.

Le bouquin n'est pas un adepte de Comme j'aime et c'est tant mieux !
Aussi costaud que son récit, L'année du Lion prend le temps de développer et ses personnages et ce monde de cauchemar se parant progressivement, toutefois, d'une jolie teinte d'optimisme.

L'interaction antagoniste entre les diverses forces en présence y est parfaitement dépeinte tout comme les relations conflictuelles entre un père et son jeune fils regrettant que son paternel ne lui prodigue autant d'attention qu'il ne le devrait, bien trop accaparé, à ses yeux d'ado exclusif, par le bon fonctionnement de ce nouvel univers.

Sans réel temps mort, le récit déroule son contingent de tribulations tout en suscitant une certaine réflexion sur l'humain, sa capacité à s'adapter lorsqu'il n'est pas obnubilé par entuber son prochain.
Il démontre également qu'à partir d'une page blanche, l'homme ne reculera devant rien pour répéter les mêmes erreurs, celles-là mêmes qui le conduisirent à sa perte il y a peu.
De là à penser que l'hominidé possède une propension à l'autodestruction, il n'y a qu'un pas habilement franchi par Meyer qui en fera la démonstration éclatante en un peu plus de 700 feuillets expertement torchés.

Non exempte d'amour savamment distillé, cette année du Lion se veut tristement lucide quant à la fin inéluctable d'un monde où surconsommation et égoïsme forcené n'apportent d'autre alternative que la disparition pure et simple de ce mode de vie à plus ou moins brève échéance.
Manque de bol, ce monde, c'est le nôtre...
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Voilà environ 18 mois de ça, mon amie Christine (avec qui je partage depuis 47 ans un amour immodéré de la lecture) me recommandait avec ferveur ce roman. Puis, constatant que je n'avais pas encore suivi son conseil, elle est revenue à la charge il y a quelques mois, avec un argument qu'elle savait des plus convaincant " Deon Meyer est un visionnaire, il raconte ce qui nous arrive en ce moment et comment tout ça pourrait se terminer si on ne trouve pas de parade très vite". C'était avant qu'arrivent les premières promesses de vaccin fiable...
Et puis nous nous sommes croisés à la médiathèque Deon et moi, et j'ai craqué, je l'ai emmené à la maison. Je l'ai déposé sur mon étagère avec une quarantaine de ses congénères, lui promettant de revenir vers lui très vite. Les semaines sont passées, des Masses Critiques sont arrivées, des emprunts à rendre rapidement, un changement de poste...il m'attendait, patient, sachant que son heure viendrait.
Et enfin, en ce début du mois de mai j'ai passé outre mes réticences plus ou moins avouées à l'idée de lire un pavé de 630 pages sur une pandémie si semblable à celle qui nous frappe depuis plus d'un an et je me suis jetée à bras-le-corps dans "L'année du lion".
Pardon pour cette longue introduction, mais ce livre m'a tellement soufflée que j'avais besoin de retracer notre histoire commune. Et je suis si contente d'avoir attendu le bon moment pour concrétiser, l'impact n'aurait pas du tout été le même si nous nous étions rencontrés trop tôt !
Je ne mâcherai pas mes mots : un coup de foudre ! une révélation ! Je l'emporte sur mon île déserte dès que j'aurai pu m'en offrir une !
D'ailleurs, si le futur évoqué dans cette dystopie (mais en est-ce encore une ?) devait se produire, l'île déserte pourrait se révéler une bonne option. Ce n'est pas celle qu'ont choisi Willem Storm et son fils, ils ont préféré s'installer à Vanderkloof, bientôt rebaptisée Amanzi ("Eau"), une ville choisie pour sa situation stratégique en Afrique du Sud. L'idée est d'y recréer une civilisation, ou du moins une communauté regroupant des personnes de bonne volonté prêtes à partager leurs compétences et leurs talents pour redémarrer à zéro. Parce j'ai oublié de vous dire, en passant, que l'humanité a été décimée par un coronavirus né dans ce pays, transmis "par hasard" à l'humain par une chauve-souris malade...ça vous évoque quelque chose, peut-être ?
C'est Nico, le fils de Willem, qui nous raconte l'histoire, où interviennent aussi les témoignages des premiers membres de la communauté. On rencontre au gré des pages toute une kyrielle de personnages plus attachants les uns que les autres : Béryl, l'ancienne golfeuse qui a recueilli 16 petits orphelins, Mélinda, retenue prisonnière par deux affreux, Hennie As le pilote sentinelle, Nero Dlamini le psy-dandy, Cairistine Canary (alias Birdie) l'ingénieure grâce à qui la lumière fut, puis arrivera Okkie qui deviendra un petit frère pour Nico, et Lizette Schoenman, le premier amour, suivis de Sofia Bergman...Sans oublier le fascinant Domingo, dont la personnalité charismatique va subjuguer le jeune garçon de 13 ans. D'autres m'ont été moins sympathiques, notamment le pasteur Nkosi qui va rapidement afficher des convictions opposées à celles de Willem, élu Président d'Amanzi. Bref ce microcosme de société va connaître bien des soubresauts, et les travers de l'humanité referont surface assez rapidement. Les "méchants" n'ont pas tous été anéantis par le virus non plus, et chercheront à s'approprier le fruit du travail de la communauté par des attaques violentes. Et la nature aussi veut reprendre ses droits, les animaux domestiques ne le sont pas restés très longtemps.
C'est ce que nous relatent Nico et les autres, par le biais de ce journal de bord. Nico a quarante-sept ans quand il en commence la rédaction. A ce moment-là son père est mort depuis bien longtemps, assassiné (c'est dit dès le prologue), et la quête de ses assassins est l'une des péripéties de l'histoire. Mais ce n'est pas cet aspect-là qui m'a accrochée, il n'a été qu'une anecdote pour moi. Ce qui m'a fascinée c'est cette volonté de reconstruire, cette faculté d'adaptation, les ressources que ces humains presque tous "ordinaires" puisent en eux pour redonner une chance à l'humanité. Et parallèlement, la noirceur que d'autres laissent exploser dès lors qu'il n'y a plus d'autorité ou de lois pour les brider, les bas instincts qui se déchaînent et la violence qui s'exacerbe.
Dans ce roman, il y a le meilleur comme le pire de l'humanité, mais ce n'est pas trop manichéen : chacun a ses zones d'ombre et ses faiblesses parmi les "bons" et certains "méchants" n'étaient pas forcément mauvais au départ.
Comme bien d'autres lecteurs, je n'ai pas trop compris une partie de la fin, du moins je l'aurais aimé différente. Mais l'auteur est maître de son oeuvre, et ce n'est qu'une toute petite réserve eu égard à l'immense plaisir de lecture que ce roman m'a procuré.
Merci Christine, tu m'as prouvé une fois de plus que tu me connais bien !
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Amanzi, cela signifie « eau » , en Xhosa, la langue de Nelson Mandela.
C'est le nom de la cité-Etat fondée par Willem Storm et quelques autres, après la Fièvre qui a décimé près de 95 % de l'humanité…

Après avoir fait table rase de façon radicale, voici que Deon Meyer reconstruit en RSA, un nouveau monde, réinvente la politique, l’économie, le commerce, convoque Spinoza, Cicéron, Robespierre, et quelques autres.

« Faire société » ça signifie quoi au juste ? ...pour des humains éparpillés et plus forcément en haut de la chaîne alimentaire ?

Et nous voilà partis avec lui et tous ces personnages, Nico, Sofia, Domingo, Nero, Béryl, Birdie…dans les paysages magnifiques d'Afrique du Sud qu'il connaît comme sa poche avec ce récit post apocalyptique surprenant.

Il imagine une communauté vraiment « Arc en ciel », le rêve de Mandela, dans un endroit plutôt réputé ségrégationniste et construit une utopie, alors que le monde est menaçant. Ses personnages sont attachants, humains, complexes. Certes l'environnement est dangereux. La prééminence des militaires, des armes, les batailles et les questions de stratégie, auxquelles on finit par comprendre quelque chose dominent le récit. Ambiance «  Mad  Max »...Une démocratie qui ne se défend pas, a peu de chances de survivre, quand il ne reste rien des institutions du monde ancien.

Toutefois ce que j'aime chez Deon Meyer, c'est l'auteur de polar. Dans ce roman, on est gâté . Il y a des crimes à élucider, sans l’aide de Griessel...on le sait depuis le début, et il faut attendre 600 pages avec plein de suspects potentiels. Une attente maintenue grâce à la technique de récit. Il entremêle le rapport d'enquête de Nico Storm avec les retranscriptions de témoignages des survivants, dans un récit à plusieurs voix. C'est intéressant cette manière de nous faire patienter, alternant moments d'émotions et actions comme tout bon scénariste, avant le coup de théâtre de la fin.

C’est rythmé, dynamique, transgenre, pas de la grande littérature, mais c’est plaisant et efficace.

Monsieur Meyer, je regrette vraiment de vous avoir fait des infidélités littéraires, avec des polars scandinaves, et de vous avoir planté après « 13h ». Je ne recommencerai pas.
Même lorsque vous explorez d'autres horizons, comme dans ce polar post- apocalyptique, vous êtes toujours cet auteur minutieux qui construit une énigme avec le souci du détail et un contexte bien défini.

Alors, merci pour le voyage dans des paysages sublimes….j'aurais juste souhaité une petite carte pour mieux me repérer.

Je remercie les éditions du Seuil et Babelio pour cette agréable proposition de lecture offerte dans le cadre d'une opération Masse Critique .
C'était haletant comme un bon film d’aventures.
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Un bon thriller post-apocalyptique en Afrique du Sud.

La Fièvre a décimé la population, à peine 5 % ont survécu au virus et parmi eux, plusieurs sont morts dans le chaos qui a suivi. Certains sont morts de faim ou de soif, d'autres se sont suicidés et plusieurs ont été tués par des animaux ou des humains redevenus sauvages.

Un homme et son fils sont parmi les rescapés. Mais Willem Storm ne se contente pas de survivre. Il invite les gens à se joindre à lui pour fonder une nouvelle communauté. Avec le groupe qu'il réunit, il devra faire face à de nombreuses difficultés : famine, conflits entre les personnes, attaques de pillards, etc.

Le narrateur du roman, c'est son fils Nico. Il raconte sa vie d'adolescent qui porte un regard sur son père. Des sentiments en montagnes russes : de la vénération devant cet homme hors du commun à la haine lorsqu'il découvre les faiblesses de cet homme ordinaire.

À travers ce thriller, beaucoup de réflexions intéressantes sur l'écologie et la place de l'homme dans la nature, sur la psychologie post-traumatique et l'apprentissage de la vie, sur la rivalité humaine et la guerre.

Un détail intéressant, l'auteur met sa bibliographie en fin de volume. Je trouve que c'est bien de montrer que l'écriture ce n'est pas juste quelque chose qu'on invente dans sa tête, mais c'est aussi de longues recherches minutieuses.

Bonnes lectures!
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Dans ce thriller post-apocalyptique Deon Meyer en conteur redoutable, plus affûté que jamais, nous fait tourner fiévreusement les pages.

Ce roman d'anticipation traite des sujets très actuels, dont le changement climatique, et le côté dystopie devient presque une projection de la réalité de notre monde dans quelques décennies, finalement pas si fantaisiste qu'on pourrait le croire.

Dans un monde devenu hostile la lutte pour la survie de l'espèce est au coeur de l'intrigue.
Disruptif et resserré, ce roman compose un inquiétant tableau d'un monde très proche du notre. A noter les innombrables similitudes avec la série télévisée « The Rain ».

Le récit est sans doute passionnant dans les faits mais certaines longueurs compromettent la fluidité de la lecture.


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critiques presse (5)
Elle
26 juillet 2019
Deon Meyer est mélancolique. « L’Année du lion », son douzième roman, cache, sous des airs de fiction post-apocalyptique, une réflexion sombre sur la politique, la vie en communauté et la part de violence qui hante toute civilisation.
Lire la critique sur le site : Elle
LeJournaldeQuebec
27 novembre 2017
Ayant plus d’une corde à son arc, Deon Meyer délaisse ses deux héros fétiches – l’inspecteur Benny Griessel et l’indescriptible Lemmer – pour nous offrir la meilleure dystopie de l’année.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
LeDevoir
20 novembre 2017
L’écrivain sud-africain invite à réfléchir sur la véritable nature humaine. Le futur de l’humanité est une énorme question qui préoccupe beaucoup Deon Meyer.
Lire la critique sur le site : LeDevoir
LeFigaro
03 novembre 2017
Le romancier sud-africain se lance à son tour dans un récit postapocalypse. Ambitieux et réussi.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LeMonde
20 octobre 2017
Avec « L’Année du Lion », l’auteur sud-africain bâtit les prémices d’une civilisation nouvelle sur les ruines de la nôtre. Rassérénant.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (115) Voir plus Ajouter une citation
Oui, bien sûr il y avait aussi des choses que je détestais. Facebook, plus que tout, si tu veux vraiment savoir. Facebook. Quelle horreur. Pour moi, c'était la quintessence de tout ce qui n'allait pas dans la société. Tu as tous ces amis, mais ce ne sont pas de vrais amis ; ce sont des gens pour qui tu postes des photos de ton déjeuner et ton souper et ton joli petit chat. Comme si ça pouvait les intéresser. Ils allaient voir ça seulement parce qu'ils avaient eux aussi besoin d'un public. Les amis sur Facebook, ce n'était que ça, un public. Et ça me rendait malade de voir à quel point ils en avaient tous besoin. La société était devenue tellement impersonnelle, tellement je-m'en-foutiste qu'il fallait se faire valider par quelque chose comme Facebook, devant un public qui s'en foutait royalement... Enfin, c'était triste. Tragique.
P 323
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Voilà ma philosophie : Nous sommes des animaux, Nico. Des animaux sociaux. Des animaux sociaux domestiqués. Avec une mince couche de civilisation. Des créatures dociles quand tout va bien, quand les conditions sociales demeurent normales et paisibles. Mais si on perturbe ces conditions, la couche s'efface.
Alors, on devient sauvages ; on devient des prédateurs, des tueurs et on chasse en meutes. On devient pareil aux chiens.
D'où mon mantra : L'autre veut me tuer. Si j'hésite, je suis mort.
Parce que c'est la loi de la jungle. Et c'est comme ça chez les animaux.

Seuil - pages 212-213
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Tous les dimanches, je voyais les gens remplir leurs assiettes à ras bord. Mais ils n'en mangeaient même pas la moitié. Des gens riches. Des Noirs, des Blancs, des Indiens, tous. Tous les dimanches, quel gaspillage, dans un pays où les pauvres crèvent de faim. On est comme ça, les êtres humains. Quand on a quelque chose pour rien, on prend toujours plus qu'il ne faut. Qu'on ne fasse pas pareil ici. C'est un nouveau départ. Prenons ce dont on a besoin, ce qui est nécessaire pour notre existence, pour notre avenir et pour le bon ordre ici, pareil pour ce qui est de l'hébergement et des maisons. Nous ne sommes que les premiers arrivants. Nous ne serons pas les derniers.
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N'oublie pas, nous sommes des animaux sociaux. ça veut dire que nous sommes obligés d'avoir un comportement social, de faire de temps en temps de bonnes actions. Mais ça veut dire qu'il faut aussi être un animal de temps en temps.
Tu n'as pas besoin d'adhérer à ma philosophie. Je ne veux pas faire de toi un adepte. Va chercher d'autres opinions. Que le pasteur te parle de Dieu. Ou ton père de ce type, Spinoza (...) Mais rends-toi service et pose-toi une question : quelle philosophie explique tout sur la condition humaine? Sans laisser de détails inexpliqués, des questions difficiles ou sans réponse. une philosophie qui tient debout.
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Ainsi, dit Père, nous sommes unis en tant que contrepoids au mal. Nous constituons le poids qui doit rétablir l’équilibre de l’univers. Nous découvrons notre identité dans notre différence, nous sommes le lieu de la lumière mais nous ne pouvons l’être que si « eux » représentent les ténèbres.

(Points, p. 387)
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En partenariat avec Sciences Po Bordeaux, dans le cadre de la semaine "Afrique du Sud : 30 ans de démocratie libre et multiraciale", découvrez un échange passionnant entre Deon Meyer et Georges Lory, traducteur autour de "cupidité" paru aux éditions Folio Policier. Modération assurée par Lionel Destremau. Traduction assurée par Véronique Béghain.
Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2921535/deon-meyer-cupidite
Note de musique : © mollat Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube.
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