C'est la première fois que je lis du
Michael Genelin le titre: La complice du magicien semblait plein de promesse que l'auteur n'a pas trop suivi. Comme en ce moment, je réécoute les Veronica Mars. En lisant le roman, j'avais le net impression que l'écrivain voulait faire une série télé dans le genre NCIS ou Castle. Personnage féminin fort, un complot international, un vieux monsieur magicien pour plaire à l'âge d'or et voilà nous avons un roman qui détonne. Les cent première pages sont bonne, c'est la suite qui laisse à désirer.