Un voyage dans le passé dans les allées du cimetière du Père-Lachaise, avec les yeux d'une fillette. Tout est art, tout est histoire, et ceci tout en douceur, d'un pas glissé sur le gravillon pour ne pas déranger les hôtes .
De plus, ce livre est tout en beauté avec de superbes photographies qui nous invitent à porter le regard sur les détails et sur des oeuvres plus monumentales de sculpteurs réputés. Une belle promenade ! ...et une invitation à y retourner.
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une belle promenade entre "" un endroit qui est plein de recueillement et de découverte un beau livre
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Un magnifique voyage, simplement.
J'ai adoré ce bel ouvrage.
Merci !
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Nathalie Rheims a souhaité raconter le cimetière du Père Lachaise sous forme de conte fantastique, forme d’Alice au Pays des Merveilles. Merveilles qui ne sont autres que l’âme, l’esprit et le souvenir de ceux qui y reposent à jamais.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Sa balade est un enchantement où l'émotion le dispute à l'érudition. Les prises de vue sélectives de Nicolas Reitzaum, en noir et blanc comme en couleurs, participent de cette incursion originale dans "le jardin des défunts".
Lire la critique sur le site : Lexpress
Nathalie nous entraîne entre vie et mort, entre terre et ciel, entre horreur et flamboyance, dans l'intimité de ces milliers de morts inconnus et célèbres du Père-Lachaise. Les morts se lèvent de leur tombe à son passage pour l'accompagner. Les rats lui font la révérence.
Lire la critique sur le site : LePoint
Bien sûr, il est question de morts dans ce livre, mais c'est une promenade lumineuse que nous proposent l'écrivain et le photographe. N'était-ce le sujet, on dirait une très belle promenade dans ce célèbre cimetière qui ressemble à un village. Les textes de Nathalie Rheims accompagnent les clichés de Nicolas Reitzaum, les uns ne vont pas sans les autres, la plume et le regard se subliment.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
En haut de ces piliers , de chaque côté , à l'intérieur d'un cercle magique rehaussé de flambeaux , deux sabliers ailés apparaissaient comme une invitation à méditer sur la volatilité de nos âmes et le caractère à jamais indéchiffrable de ce qui nous fait vivre et nous fera mourir pour peut-être , un jour renaître.
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Au programme :
• La musique dans la peau
On continue à passer en revue quelques uns des meilleurs moments de l'émission. "T'as beau pas être beau", "La vie de vaut rien", "L'autre Finistère", autant de concerts quasi privés que nous aont offret Louis Chedid, Alain Souchon où Les Innocents. L'occasion également de nous parler de l'histoire de ces tubes, à commencer par les coulisses d'un succès hors norme "Lettre à France" de Michel Polnareff.
• C'est l'histoire d'un amour
La vie de vaut rien sans amour. Bernard Hinault, Manu Payet ou encore Serge Lama et Nathalie Rheims nous l'ont confirmé avec éloquence.
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