Les Fournier ont eu une réussite sociale car à la vente de tableaux dans leur galerie. La famille n'en est pas moins disloquée par les divorces, dispute. La venue d'américains qui souhaitent vendre de leurs tableaux dans la galerie des Fournier, car va créer un remous certain. Elisabeth a un mauvais pressentiment, ses erreurs du passé reviennent la hanter.
Un attrait moyen car les situations sont quand même un peu rocambolesques et par moment trop de personnages.
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- J'aime quand tu as de l'humour. Dommage qu'il est si noir...
- L'existence n'est pas une partie de plaisir, Lily...
- Çà pourrait l'être si tu venais plus souvent dans ma chambre, ajouta-t-elle en s'asseyant sur ses genoux.
- Pas en ce moment, dit-il en la repoussant doucement. J'ai trop de soucis. La tempête m'a abattu autant que les arbres.
- Tu te décides enfin à célébrer la joie de ton fils et la guérison d'Arthur ? s'étonna Elisabeth.
- Non, répondit Marceau, je fête le début de nos ennuis. C'est mieux que de s'apitoyer sur notre sort ou sur la tristesse des événements, n'est-ce pas ? Elisabeth haussa les épaules. Malgré elle, une détestable intuition lui confirmait, hélas, que Marceau avait raison.