De moi-même aurai-je lu ce roman ? Pour cela il aurait fallut connaître l'auteur, ses oeuvres, ou encore influencée par un avis ou un conseil de lecteur. Il n'en est rien.
Il aura fallut la masse critique de cette rentrée. Une découverte littéraire pour laquelle je suis mitigée. La plume est originale, l'histoire peu banale. le genre d'ouvrage qui attise soit l'enthousiasme, soit la désolation.
Fernand, qui peur d'être moqué de son prénom, se protège par un état d'esprit acerbe sur lui-même et son environnement notamment familial. Il s'agit que d'une interprétation de ma part. Oui, c'est vrai ça, qu'est-ce que l'auteur a-t-il voulu interpeller chez son lecteur ?
Donc Fernand, au décès de sa tante, se voit recevoir le calepin de sa tante. Un carnet de contacts qu'il doit arpenter pour informer du décès de sa tante. Un calepin qui recèle de surprises à la hauteur de sa personnalité originale et excentrique. Cet ouvrage est le premier opus d'une trilogie familiale.
La plume est ironique, le mot est tranchant et la critique acerbe. Il en découle une analyse sans concession de la nature humaine, notamment celles des relations familiales. le texte est aéré et le récit fluide. J'ai apprécié un humour flirtant avec le cynisme et un récit moderne.
Je suis curieuse de poursuivre la trilogie pour me faire un avis plus affirmé.
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Bof, rien à dire… Mauvaise pioche lors de la dernière masse critique de Babelio.
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Un roman qui se lit rapidement et facilement . La première partie est assez plombante, la maladie de Didi racontée par Fernand son neveu. Puis vient (enfin) le fameux calepin ; Fernand est chargé d'appeler tous les gens inscrit pour les prévenir de l'enterrement de Didi ....
Si la première partie a failli me faire fermer le bouquin, la seconde avec son humour noir et décalé m'a plutôt plu . Cependant les bonnes ficelles ne sont pas suffisamment exploitées : cela aurait pu être jubilatoire et finir en apothéose mais ça retombe un peu à plat.....C'es
Bref, peut mieux faire...
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C'est en arrivant aux E que ça partit vraiment en couille, et c'est le cas de le dire. Après quelques appels anodins , un asthmatique, un unijambiste, un quincaille et la fondation des orphelins de la ville d'Aubusson, je téléphonais à une certaine Emilie Edouard, ou à un certain Edouard Emilie, vu qu'il n'y avait jamais d'ordre établi dans ce foutu carnet...