Il y le conte originel de
Charles Perrault (
Le Petit Poucet) et il y a la version détournée de
Grégoire Solotareff illustrée par Nadja :
le Gros Poucet. Ce dernier a la particularité d'être bête comme ses pieds, en plus d'être l'aîné, et le préféré de sa mère. Si la fratrie s'en sort, ce n'est certes pas grâce à lui ! D'ailleurs, il devient banquier une fois adulte. C'est dire ! Heureusement son cadet est bien plus débrouillard, et avec deux-trois petites différences par rapport au conte dépatouillera toutes ces histoires d'ogre et de parents abandonneurs. Dès 6 ans, pour rigoler un bon coup.