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Le journal d'un copiste tome 1 sur 1
Aux forges de Vulcain (12/12/2011)
3.67/5   9 notes
Résumé :
Le tome 1 du "Journal d'un copiste", intitulé "Les femmes n’aiment pas les hommes qui boivent", suit les aventures rocambolesques d’un jeune homme qui, convaincu par les idées de son temps que l’homme n’obtient sa dignité que par le travail, décide de réussir par tous les moyens à décrocher un emploi, aussi abrutissant soit-il. Sa bêtise et sa mesquinerie, doublées d’un art consommé de l’intrigue, provoquent une série de catastrophes qui l’amènent à revoir ses ambit... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Après une période de chômage, le charmant et très motivé François Chabeuf obtient un emploi de copiste au CIRMEP, petite entreprise de sa petite ville de province. Ce n'est pour commencer qu'un CDD mais qui pourrait bien se transformer, à terme, en CDI. Et François ne recule devant aucun sacrifice pour obtenir un poste fixe, allant même jusqu'à travailler la nuit pour être à jour dans son travail. L'avenir lui sourit, d'autant qu'il a trouvé en Michel, son collègue, un ami cher et fidèle. Malheureusement, Clémence, la responsable du service, embauche un deuxième copiste : Auguste, un incapable, fourbe et tire-au-flanc qui joue de sa santé fragile pour s'attirer la sympathie de tous. Bien décidé à évincer ce rival machiavélique, François est contrecarré dans ses plans par l'arrivée d'une photocopieuse au maniement obscur. Auguste maîtrise très vite l'engin et François est licencié. Mais il n'est pas seul dans son malheur. Clémence, dépressive après une sordide liaison avec le responsable informatique, est elle aussi renvoyée. Seule, son mari l'ayant quittée en emmenant ses enfants, Clémence propose à François de la soutenir contre rémunération. La cohabitation est difficile, François devant s'occuper d'une femme très perturbée mentalement, surtout quand ses filles meurent dans un accident, tout en recherchant activement un nouvel emploi. Mais au bout de quelques mois, Clémence va mieux et trouve un travail à Paris. François qui vient de commencer une carrière d'écrivain, la suit à contre coeur dans la capitale. Il faut dire que les épreuves traversées ont eu un effet dévastateur sur sa santé qui s'est grandement détériorée et il rechigne à s'installer dans une ville réputée dangereuse...


Qu'il est touchant ce François Chabeuf ! Même si son zèle maladroit tourne parfois au drame, on ne peut que louer son profond désir de travailler pour ne pas être un fardeau pour la société. Attitude méritoire et trop rare ! Alors oui, il est parfois obligé d'intriguer, d'enjoliver la réalité, d'inventer, mais quand on est un brin naïf, soucieux de bien faire, et qu'on n'a pas eu la chance de bénéficier d'une éducation de nanti, il faut savoir se battre à armes égales avec ceux qui cherchent abuser, à mentir, à se soustraire à leurs responsabilités. Et dans ce monde peuplé d'individualistes égoïstes, la tache est rude ! Tous n'ont pas son courage et son abnégation ! Clémence, par exemple, cumule les défauts. Non contente d'avoir brisé son couple, elle se complaît dans une liaison adultère avec François, s'abrutit d'alcool et de médicaments. Heureusement qu'il veille, qu'il la soutient, même si pour cela il doit quitter son appartement, se priver de sortie et sacrifier ses recherches d'emploi. Mais quand François prend un engagement, il s'y tient et met tout en oeuvre pour réussir.
Evidemment, tout cela est du second degré... François est un manipulateur mythomane qui croit profondément à toutes les fariboles qu'il invente pour se sortir des situations épineuses dans lesquelles il s'est lui-même fourré par sa seule stupidité. Tête à claques à la puissance 1000, il s'arrange avec les faits pour les faire abonder dans son sens et commet parfois les pires atrocités pour se rendre la vie plus agréable. Il est toujours sûr de son bon droit et accuse les autres des pires vices sans même entrapercevoir l'ombre d'un de ses défauts. En bref, François Chabeuf est un crétin dont le deuxième prénom est Mauvaise Foi. Et si bien sûr on a envie de le frapper et de sauver la pauvre Clémence de ses griffes, il n'empêche que son journal scrupuleusement tenu est un concentré d'humour qu'on lit le sourire aux lèvres. Car François est tellement "premier degré" qu'il est inévitablement drôle. Un premier tome très réjouissant qui donne la pêche et se lit avec avidité. Génial !
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J'ai adoré ce roman tout à fait original de par sa forme et son histoire ! En effet, Les Femmes n'aiment pas les hommes qui boivent, également dénommé le Journal du copiste, fut initialement publié sous la forme d'épisodes journaliers que François Szabowski écrivait en s'inspirant d'une expérience professionnelle qui ne devait durer que deux mois. Il s'agissait donc d'une courte fiction, s'inspirant de la réalité tout en la déformant à loisir et qui divertissait agréablement son auteur. Cependant, au terme de son expérience professionnelle, ce dernier a réalisé que le personnage qu'il avait créé lui plaisait beaucoup et a décidé de poursuivre l'écriture de son journal, qui est aujourd'hui devenu un roman enthousiasmant ! Ce roman, respectueux de ses origines, se présente donc sous le forme de courts épisodes qui ensemble composent le journal de François Chabeuf, un homme dans la force de l'âge pour lequel l'expression "le travail, c'est la santé" est, plus qu'une philosophie, un véritable art de vivre ! Ces épisodes sont intitulés avec originalité et intelligence, et plus que de simples repères, ce sont des éléments intrinsèques au récit et qui participent à sa construction, je cite à titre d'illustrations : "Si la porte est fermée, il ne faut pas hésiter à donner un coup d'épaule" ou encore "La vie est un cauchemar dont on se réveille tous les matins en arrivant au travail". Outre ces intitulés pittoresques, le lecteur découvre tous les dix épisodes un rappel des épisodes précédents très savoureux car François Szabowski parvient à se reformuler avec élégance et à résumer brillamment les événements récents. Toutefois, ces derniers sont très souvent exagérés, dramatisés ou interprétés avec une mauvaise foi évidente : ainsi, même ces résumés en apparence anodins et fonctionnels participent au récit et permettent au lecteur de mieux cerner le personnage de François et surtout le cheminement de ses pensées.

Quelle complexité que ce François Chabeuf, qui est à la fois le narrateur et le personnage principal de ce roman. J'ai adoré ce personnage extravaguant et original, tour à tour irritant, sympathique, effrayant, fatiguant et hilarant : il est une caricature particulièrement réussie de l'être humain et, surtout, de ses défauts. Travailleur émérite et d'une assiduité irréprochable, François n'a d'autre but dans la vie que d'accomplir quotidiennement son labeur. Il est copiste et savoure son récent contrat de travail, qu'il espère prolonger par un contrat à durée indéterminée. Hélas, dans la vie rien n'est acquis et très vite il est confronté à un collègue et adversaire, nouveau salarié lui aussi et candidat au poste convoité. Désespéré par la situation, François va se démener pour écarter son rival : c'est le début d'une série d'aventures rocambolesques et pleines d'humour, à la fois absolument incroyable et d'un réalisme inquiétant. Je n'en écris pas plus afin de préserver le mystère du roman et de ne pas gâcher l'humour qui s'en dégage !

J'ai tiré un grand plaisir de ma lecture car, outre l'humour que j'ai vraiment apprécié, le roman mélange différents genres littéraires : à la fois satire sociale, roman d'aventures ainsi qu'oeuvre de fiction ancrée dans la réalité et agrémentée d'un soupçon d'intrigues policières, il s'agit d'un exercice de style très réussi et fort distrayant. Alors que les romans actuels se classent sagement dans des catégories et veillent à ne pas mélanger les genres, Les Femmes n'aiment pas les hommes qui boivent déroge à la règle pour notre plus grand plaisir ! Ainsi, contrairement aux romans très réalistes qui finissent par nous ennuyer tant il rappelle notre quotidien, ce roman distille de la fantaisie et de l'aventure dans le quotidien banal d'un homme ordinaire. La critique est implicite et très amusante, car il est impossible de ne pas se reconnaître au moins une fois dans ce personnage tout à la fois menteur, manipulateur, d'une incroyable mauvaise foi et pourtant très innocent ! Ainsi, alors qu'il ne songe qu'à s'exercer à l'écriture afin d'améliorer sa qualité de travail, et encombre de ce fait l'appartement qu'il partage avec Clémence de détritus et autres immondices, Clémence qui travaille à temps plein lui demande très gentiment s'il veut bien avoir l'amabilité, de temps en temps, de faire le ménage : vexé et humilié, François s'enferme dans son bureau les larmes aux yeux. Quelques jours plus tard, il écrit : "Depuis son rétablissement psychologique et sa réinsertion dans le monde du travail, Clémence est devenue un potentat sans coeur et me réduit à un état de domestique esclave." Dans cette perception exagérée des faits apparaît en réalité l'humiliation vécue par François et son désir inconscient de se justifier à ses propres yeux en accusant Clémence. N'est-ce pas une réaction très humaine ? A ce sujet, François Szabowski explique dans les réponses qu'il donne aux lecteurs que, "...bien qu'il soit un personnage de fiction, François Chabeuf pourrait exister. Peut-être pas sous cette forme si extrême. Mais ses mécanismes mentaux sont, je crois, très répandus, pour ne pas dire présents chez tous. Ce qui m'intéressait dans ce personnage, c'était de montrer la façon dont l'être humain se "reprogramme" en permanence par le langage. Comment, face aux événements qu'il traverse, subit, ou face à ses actes, il produit du langage pour rendre le réel supportable. Cela englobe autant le fait de se "justifier", de rejeter la faute sur l'autre - ou ce qu'on appelle communément la "mauvaise foi" - que la "sagesse". Dire, par exemple, après une séparation, que l'autre est un ****, ou que "de toute façon nous n'étions pas faits pour être ensemble", sont à mon sens deux manières de nous reprogrammer par le langage, pour nous aider à vivre cette situation. Je pense que nous le faisons, à des degrés divers, consciemment ou inconsciemment, plus ou moins en permanence."

Les Femmes n'aiment pas les hommes qui boivent est donc un roman aux multiples facettes et de plus, très bien écrit. L'écriture de François Szabowski, qui devient par le choix narratif de ce dernier l'écriture du personnage principal, est très étudiée et participe pleinement à la construction de celui-ci. Par exemple, le vocabulaire soutenu et parfois désuet s'accorde parfaitement avec le caractère pudibond et moralisateur de ce personnage qui se pense intègre. Par ailleurs, l'ensemble du texte est très fluide et malgré la complexité du personnage, le récit n'est jamais confus mais au contraire pleinement maîtrisé. Si vous n'êtes pas encore convaincu de l'intérêt de lire ce roman, sachez que l'intervention d'un chat dénommé Roger donne au récit une force désopilante irrésistible !

Je vous recommande donc vivement la lecture de ce très bon roman-feuilleton, à la fois ludique et très sérieux, qui permet de se divertir joyeusement grâce à une histoire originale ainsi qu'une écriture de qualité. Je remercie par ailleurs les éditions Aux Forges de Vulcain de prendre le risque de publier des ouvrages innovateurs et des écrivains peu connus, ainsi que de s'attacher à doter la littérature française de plus d'imagination et de liberté.

En juin 2013 sortira le second volume des aventures de François Chabeuf, intitulé Il n'y a pas de sparadraps pour les blessures de coeur. Hâtez-vous donc de lire Les Femmes n'aiment pas les hommes qui boivent afin de ne pas manquer ce second rendez-vous très prometteur si l'on en juge d'après l'enthousiasme de David Meulemans, directeur des éditions Aux Forges de Vulcain !

Je vous invite à retrouver sur mon site internet l'intégralité de cette chronique ainsi que quelques extraits de ce roman !

Je remercie sincèrement l'équipe de Libfly ainsi que les éditions Aux Forges de Vulcain pour cette nouvelle édition de l'opération "Un éditeur se livre", grâce à laquelle j'ai pu découvrir une interview très enrichissante de David Meulemans et qui me permet, ainsi qu'à cinq autres lecteurs, de découvrir une sélection de leurs ouvrages.
Lien : http://reverieslitteraires.fr/
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Mais d'où sort cet hurluberlu ? Il s'appelle François Chabeuf, il a trente ans, travaille comme copiste pour un obscur organisme nommé CIRMEP, il est convaincu de la valeur travail, supérieure à tout autre et s'adonne passionnément à la copie de documents. On aurait pu penser que le statut de copiste avait disparu avec Gutenberg et ne concernait que les moines du Moyen – Age, mais non ! Chabeuf copie, remplit des pages et des pages, copie des dossiers le jour puis la nuit quand il pense qu'il sera viré au profit d'un jeune blanc-bec nommé Auguste, qui pourrait lui piquer le CDI qui lui revient de droit, pense-t-il. Car ce qui fait le charme de ce jeune homme, c'est qu'il est sûr de lui, pour tout et en toute circonstance. Que Clémence résiste à son charme ravageur est insupportable, il la drague via des poèmes inénarrables de niaiserie auxquels il ajoute une pulvérisation de son eau-de-toilette pour agir sur son subconscient. Las ! C'est le chef Daniel, parfumé à la même fragrance qui est accusé de harcèlement et viré illico. Objectif manqué ! Qu'Auguste lui fasse de l'ombre est insupportable, d'autant qu'il saura manier le photocopieur fatal qui mettra fin aux fonctions de copiste et ravira ainsi le poste en CDI à pourvoir. Intolérable !
Car François est persuadé de son bon droit et sa mauvaise foi est sans limite : toujours raison, toujours victime, jamais prêt à se laisser faire. En grand mythomane, il croit à ses mensonges et ne trouve rien à redire à ses petits arrangements avec la conscience. Pour charmer Clémence et se l'attacher, il lui fait croire à la mort de ses jumelles, ainsi elle est tout à lui. Car il a aussi un petit côté exclusif, notre François, un rien gigolo, vivant avec délices aux frais de Clémence à qui il assure une compagnie « indispensable », sauf quand il consent à mettre sa précieuse personne au service de dames âgées comme sa propriétaire. Bénéfices sexuel et financier garantis.
Bref, c'est une tête à claques, un parasite, un ivrogne, un écrivain raté (oui, il veut bien offrir au lecteur le privilège de lire ses souvenirs, égrenés par le menu, comme par exemple un dîner en famille un dimanche), un être cynique et manipulateur, sans une once de regret encore moins de remord. Et drôle avec cela !

Ce drôle de roman se découpe en épisodes hilarants, précédés d'aphorismes ou de pensées profondes (« un vieillard qui meurt c'est un compte en banque qui brûle, chaque pot à son couvercle,  un moineau bien entraîné est plus dangereux qu'un serpent », par exemple!) et un petit résumé est proposé régulièrement, tout aussi désopilant que les épisodes.
Au bout d'un moment on se demande s'il n'y aura pas une « révélation », quelque chose comme une caméra cachée où sortiraient tous les acteurs, collègues de bureau, copains de bistro, gardien, femmes séduites pour se rassembler et crier : Surprise ! Nous sommes tous des soignants d'un HP et François Chabeuf est un de nos patients !
Ben non, le copiste fera l'objet d'une suite, une histoire de sparadrap sur les blessures du coeur. J'y vais de ce pas ! Entre deux livres durs, j'ai bien aimé ce sourire de deux ou trois jours !

J'ai particulièrement apprécié la transformation du nom de François Szabowski en François chat-boeuf, cela me permettra d'arrêter d'estropier son nom !
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Ce roman est écrit à la manière d'un journal tenu par un homme, François.Il y raconte son emploi de copiste jusqu'à son déménagementdans la capitale avec Clémence où il devient écrivain.

François pourrait être un homme d'une cinquantaine d'années tant il paraît dépassé par les nouvelles technologies. Il est surtout attein tde plusieurs défauts psychopathologiques, comme la mythomanie ou la paranoïa. Pour justifier ses propres défaillances intellectuelles ou physiques dans la vie de tous les jours, au travail pour garder un emploi, ou avec ses voisins par exemple, il invente des histoires le faisan tpasser tantôt pour une victime tantôt le mettant en valeur, et surtout, il y croit, ce qui est le propre de la mythomanie. François se sent constamment persécuté et met tout en oeuvre pour arriver à ses fins, vivre aux crochets des autres et se faire assister, même si d'après lui ,et avec ses mots, il abat un travail titanesque méritant compensation financière.

Il faut avouer qu'au bout d'une centaine de pages, le personnage devient sérieusemen tagaçant mais les rebondissements dans sa vie, et comment il aborde les événements, comment il s'y adapte, et surtout comment il arrive à ses fins, font que la lecture devient prenante. Passé ce sentiment, le personnage devient comique, surtout lorsqu'ils arrivent à Paris avec ses nouveaux projets dont celui de son financement deviennent parfois même hilarants.

Bien que tourné à la façon d'un journal intime, ce roman est bien écrit et use d'un vocabulaire relevé, mais accessible. Ce qui est assez paradoxal avec le personnage qui avoue ne pas avoir eu une éducation élevée, mais pour le lecteur, c'est appréciable.

Le thème est original, mettant en scène un personnage atypique, souvent considéré comme un paria, loin du héros anodin ou magnifique, il est tout le contraire. C'est le journal intime d'un personnage complètement inintéressant, rendu attrayant par une écriture favorable au plaisir de lire et à ses délires.

Le roman est d'autant plus original que les différents chapitres ont déjà été publiés sur le blog de l'auteur, même si quelques romans publiés ont déjà suivis cette démarche.

Finalement, l'originalité du thème et de la forme font de ce roman un moment de lecture apprécié. L'auteur a continué la vie de François dans de nouveaux chapitres. Espérons qu'il ne lui arrivera que du bien...
Lien : http://skritt.over-blog.fr/a..
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
la direction tient à ce que les stores soient baissés à la fin de chaque journée, c'est un bâtiment en préfabriqué qui donne sur la rue et il y a souvent eu des vols par le passé. Madame Plouchon, elle, qui occupe le bureau de l'autre côté du couloir, a peur d'oublier et préfère les laisser fermés en permanence.
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Ravi de vous retrouver pour ce 2e épisode de la Voix des libraires, consacré aux derniers coups de coeur de nos équipes !    Les livres chroniqués, disponibles en librairie, sur decitre.fr (https://www.decitre.fr/) et furet.com (https://www.furet.com/) :  
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Musique : Joakim Karud - Longing
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