Le petit Gus, tome 4 : Le petit Gus au collège

Ce livre raconte l'histoire d'un petit garçon qui s'appelle Gus qui fait sa rentrée en 6ème.

Il a un frère qui s'appelle Romain et une soeur qui s'appelle Delphine.
Romain doit passer le bac mais il dit que bientôt c'est la fin du monde et quand à Delphine elle est en 3ème et adore le « sauciflard ».
Kevin le meilleur ami de Gus est amoureux de Jamila une fille de leur classe.
Yanis, le mariole de la classe,embête Kevin par rapport à Jamila et du coup ils se sont battus.
Yanis a prévenu son frère et son frère lui a répondu qu'il viendrait taper Gus et Kévin à la sortie de l'école.
Gus s'est trouvé un nouveau copain, un petit chaton noir et blanc.
En fin de compte le frère de Yanis à taper Kévin, Yanis a été renvoyé du collège quelques jours et son frère a l'interdiction de s'approcher du collège.
Kevin s'est mit avec Jamila mais ça n'a pas duré longtemps.
Romain a trouvé une amoureuse, elle s'appelle Aliéonord.
Un autre copain à Gus s'appelle Bitman, enfin tout le monde l'appelle comme ça car c'est un gros obsédé.
Gus est tombé amoureux de Zoé mais il se sont séparés, ils étaient trop amis pour sortir ensemble.
A la fin du livre, Gus «se tape l'incruste»grâce à Victor qui a eu trois invitations.
Gus se rend compte que la fin du monde n'est pas prêt d'arriver donc il dit «fuck».

J'aime bien ce livre car on peut tous ressentir cela quand on rentre en 6ème.

Ce livre peut plaire aux jeunes adolescents qui entrent au collège puisqu'ils se reconnaîtront par certains aspects dans le personnage de Gus.

Personnellement, je n'ai pas aimé ce livre puisque ce jeune raconte sa vie de manière décousue. Après la lecture, il ne me reste rien. Les sujets évoqués comme la violence à l'école ou la prévention du tabagisme qui pourraient être intéressants de développer sont juste balayés et franchement vus comme une fatalité. L'écrivaine ne propose pas vraiment de solutions pour ses lecteurs, elle expose simplement. le langage employé est assez vulgaire comme ci tous les jeunes parlaient de cette manière, vision pessimiste à mon goût. Je ne pense pas qu'il soit nécessaire d'écrire à la manière des ados pour leur plaire. On peut leur proposer des oeuvres très drôles avec un vocabulaire correct sans être forcément soutenu. La comparaison avec le Petit Nicolas me paraît bien exagérée.

FAH-Mtcy