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EAN : 9782917035511
172 pages
Malpertuis éditions (29/09/2017)
3.31/5   8 notes
Résumé :
C’est souvent au prix d’un coup de dé qu’on peut espérer parvenir à l’accomplissement de ses désirs. Mais ce résultat justifie-t-il le risque ? Pour qui s’est vu couronné de succès, la réponse est évidente. Mais au moindre faux pas, une fois les épreuves passées et les blessures pansées, ne reste que le regret de notre naïveté. Quoi que l’on souhaite – un oiseau perdu, une poupée, un ami, la reconnaissance ou la vengeance – le destin est joueur. Et si la mort est de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Je me suis déjà frotté aux éditions Malpertuis, et l'ouvrage d'Elodie Serrano n'était donc pas mon premier pas aux côt és de cette petite maison d'édition, orientée fermement vers le fantastique (quelle merveilleuse idée !). C'était avec un recueil de nouvelles, sobrement intitulé "Malpertuis VII" et dans lequel, j'ai découvert ceci récemment, j'avais déjà croisé l'écriture d'Elodie Serrano (je ne m'en souvenais malheureusement pas !). Ce recueil m'avait laissé globalement pantois, tant l'agréable côtoyait le mauvais (n'ayons pas peur de l'honnêteté), l'intelligent le ridicule, et même le divertissant l'ennuyant. Alors difficile d'évoquer, avant "Le sort en est jeté", un souvenir tranché de cette maison d'édition.
Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'avec ce recueil, Malpertuis et Elodie Serrano ne me facilitent pas la tâche non plus. Je vais tenter d'évoquer les différents points qui m'ont marqué, au cours de la lecture. Je suis d'ailleurs assez déçu d'avoir loupé la séance de dédicace de l'auteure à Lyon, j'aurais aimé entendre son point de vue sur ses écrits, et surtout comment elle envisageait la suite.

On va commencer par un des points les plus marquants, avec son pendant positif et négatif. C'est la jolie diversité que nous offre Elodie Serrano. Ses nouvelles se suivent et ne se ressemblent finalement que peu. Ce qui est très agréable, c'est qu'on se balade dans les frontières rassurantes du fantastique, mais quelle ballade ! Des références, j'en ai repérées des dizaines et des dizaines ! Evidemment, c'était de mon côté, je ne sais pas si l'auteure s'orientait volontairement sur les terres de certains auteurs. Pour citer quelques auteurs et oeuvres: j'ai pensé à certains écrits "softs" de Sire Cedric ("Au fond du puits"), The Ring ("Muse à vendre, accepte âmes"), Graham Masterton ("Ceci est mon corps"), Daryl Gregory même si Elodie Serrano prend complètement "Nous allons tous très bien, merci" à contrepied ("Créatures Ratées Anonymes"), Black Sheep (« L'attaque des vaches zombies »), Stephen King dans « le Marionnettiste »… Que de belles références, n'est-ce pas ? Mais n'allons pas dire ce que je n'ai pas dit, je cite tous ces auteurs ici pour souligner le côté hétéroclite du recueil qui est extrêmement agréable et montre d'une part, qu'Elodie Serrano est une auteure intéressante, et d'autre part, que l'on ne s'ennuie pas à la lecture de « le Sort en est jeté ». Si l'on rajoute en plus la brièveté de la plupart des histoires, cela fait de ce recueil une lecture agréable et facile.
La où la grande diversité des thèmes et des univers blesse, c'est dans le manque d'achèvement. Finalement, rares seront les nouvelles qui parviendront à installer un univers cohérent et suffisant au lecteur pour s'y plonger pleinement. On croise pas mal d'univers sympathiques, d'idées alléchantes au-travers de ces pages, mais il manque en permanence de la consistance. Les personnages ne se racontent qu'à-travers l'histoire, n'existent globalement pas en-dehors de la nécessité pour eux d'avancer fatalement vers leur destin. Cette remarque, en revanche, n'est pas valable pour l'intégralité des nouvelles (la première, par exemple).
Et c'est quand même très dommage, puisque visiblement Elodie Serrano a de bonnes idées. Mais le fait qu'elle ne les développe pas plus donne à la fois une impression de « cheveu sur la soupe » (c'est notamment le cas lorsqu'elle tente de nous décrire une situation visiblement complexe et longue en quelques pages : « Payer pour ses crimes ») et une impression de scénettes déroulées page après page, sans envergure. On passe d'un univers à l'autre avec joie, mais difficile donc de percer la superficialité. Ce qui m'amène à la remarque que je me suis faite le plus souvent à la lecture du bouquin : j'aimerais franchement lire un roman de l'auteur.
J'aimerais effectivement voire comment Elodie Serrano se débrouillerait avec une certaine profondeur de l'intrigue à gérer, et surtout comment elle combinerait toute cette densité d'univers qu'elle déploie de manière à ce que cela reste agréable et surtout, plausible.
Un autre point positif du recueil, c'est l'ironie déployée par Elodie Serrano. Une ironie bien souvent mordante, assez drôle parfois. N'en témoigne la nouvelle « Ceci est mon corps » qui, si elle possède les défauts que j'ai précédemment cités, reste pour moi l'une des meilleures du recueil. Déjà parce que dans ces pages, l'auteure parvient à nous glacer le sang (jolie réussite, très malsain), et parce que la chute est juste très drôle (mais attention, c'est un drôle dérangeant, tout de même !).
Pour ce qui est du moins bon, j'ai relevé quelques nouvelles qui m'ont passablement agacé. « Belle » m'a fait penser à un récit initiatique adolescent gnangnan et ultra-téléphoné, de même que « Créatures Ratées Anonymes » qui m'a un peu laissé dubitatif, ne sachant pas avec quel ton Elodie Serrano souhaitait raconter son histoire. « le Collectionneur d'Etoiles » est du même acabit que « Belle », extrêmement bateau et dégoulinant d'un bon sentiment un peu vomitif puisque bien peu nuancé. « Un capybara, et que ça saute ! » m'a semblé extrêmement vain, tant j'ai eu du mal à comprendre sa place dans le recueil et à nourrir de l'intérêt pour cette histoire.
Enfin, je souhaitais glisser un paragraphe juste pour me faire mal voir, mais qu'y puis-je ? C'est trop tentant ! Chère Elodie Serrano, je t'en supplie, ne me fais plus jamais ça ! Page 151 : « Tout a commencé il y a dix ans. J'ai rejoint un groupe de militants vegans, « Les Révoltés ». ». Oh la la… Je ne te raconte pas l'impact de cette phrase sur moi : j'ai à la fois perdu la vue à l'oeil gauche suite à un ulcère de cornée foudroyant, ai fait un micro-coma plein de cauchemars, une crise d'angoisse de laquelle je ne me remets pas, j'ai pleuré des heures, et dors depuis en position foetale. Comment, s'il te plait, comment imaginer un monde dominé par des vegans complètement allumés du cigare ? Tu as décidément trouvé la véritable définition de l'horreur.
Mais bref, revenons à des choses plus sérieuses. « le sort en est jeté » est un livre, in fine, plutôt agréable. Véritable voyage sur la multitude de terres du fantastique, on passe de nouvelle en nouvelle avec un enthousiasme globalement conservé. Si le dernier tiers du livre est celui où les défauts de l'auteure se font le plus sentir, il n'enlève rien à l'intérêt que j'aurai par la suite pour Elodie Serrano. D'autant plus si c'est pour lire, cette fois-ci, un roman.
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Cela faisait un moment que je voulais découvrir l'un des ouvrages des éditions Malpertuis, petit éditeur spécialisé dans le fantastique (qu'il soit classique ou moderne), genre que j'apprécie particulièrement. Élodie Serrano ne m'étant pas totalement inconnue, j'étais particulièrement curieux de découvrir son premier recueil de nouvelles publié chez eux. Je remercie du coup Babelio et Malpertuis pour l'envoi de ce livre lors d'une Masse Critique.

Si je lui reconnais des points forts intéressants, la rencontre ne s'est malheureusement pas faite. Et deux semaines passées depuis sa lecture, je n'en garde que bien peu de souvenirs.
Dans ce recueil, l'autrice brasse un large éventail de ce qui peut se faire dans le fantastique. On est parfois en terrain familier, parfois moins, et les histoires se répètent rarement en pourtant 18 nouvelles.
Elle aborde également une diversité des thématiques des plus agréables, certaines d'entre elles pas forcément souvent abordées, notamment dans les littératures de genre(s), et sont donc à plaisir à les voir traitées ici.

Peut-être dû au fait que la plupart des nouvelles s'avèrent plutôt brèves, mais beaucoup de personnages ou d'univers ne sont malheureusement pas assez développés à mon goût, manquent de relief, d'accroche avec le lecteur. de même, certaines fins sont prévisibles, ou anecdotiques. Beaucoup de nouvelles ne poussent pas leur concept jusqu'au bout, si bien qu'aucune ne m'a laissé de souvenir impérissable.

Mais le plus gros point noir aura été pour moi le style de l'autrice, qui sans être désagréable, ne m'a tout simplement pas parlé, ni ne m'a accroché pour me passionner sur ce qu'on me racontait, ou me faire ressentir les ambiances ou émotions posées, me laissant trop souvent indifférent au sort des personnages. J'ai bien conscience que ce n'est qu'un ressenti tout à fait personnel et que certains se retrouveront pleinement dans la plume d'Élodie Serrano.

Du coup, difficile d'en (dé)conseiller la lecture, le mieux étant que chacun le découvre et se fasse son propre avis, même si pour ma part je l'ai trouvé assez moyen, malgré deux-trois nouvelles, qui sans être incroyables, surnagent un peu au-dessus du reste. Je pense notamment au Collectionneur d'étoiles ou à La mort au tournant (malgré une fin décevante).
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« le sort en est jeté » est donc un recueil de dix-neuf nouvelles de taille assez variable, allant de quatre à une quinzaine de pages avec une moyenne d'une dizaine. de manière générale, je dirai qu'entre la couverture, le titre et le résumé de la quatrième, je m'attendais à toute autre chose. Des nouvelles plus effrayantes, plus horrifiques, peut-être plus trash mais aussi plus linéaires, moins éclectiques, finalement, j'ai trouvé que l'auteure balayait différentes thématiques propres à notre société, tout en jouant avec les différents codes du genre fantastique. C'est à dire qu'elle use de créatures, de peurs, du paranormal, de la Mort, du destin, et autre forme d'imaginaire pour raconter de petites histoires qui font réfléchir et viennent parfois remettre en question une société qui pourrait se perdre elle-même dans ses propres vices et sévices. C'est donc très hétéroclites.

Rapidement, pour reprendre les nouvelles, une à une, on a une mise en bouche oppressante et effrayante avec « Communion » et « Au fond du puits », « Muse à vendre, accepte âmes » sombre dans l'absurde et l'enfer, « Belle » et « du coin de l'oeil » jouent sur l'apparence trompeuse, « Ceci est mon corps » résonne de naïveté aux conséquences effroyables, « Créatures ratées anonymes » parle d'handicap et de dépassement de soi, « Buffet à volonté » dresse une satyre du trop manger, « La vengeance dans le feuillage » évoque la destruction massive des forêts, « Querelle de voisinage » voit à l'extrême les relations conflictuelles entre voisins, « le collectionneur d'étoile » une histoire magique et une prise de conscience salutaire, « Un capybara et que ça saute » reflète certainement les demandes incongrues des plus « grands », « Festin nocturne » surfe entre influence des réseaux sociaux et mythe, « L'attaque des vaches zombies » mêle humour et abattoir, « La mort au tournant » parle de destin inaltérable, « Payer pour ses crimes » est une ironie du sort, « le marionnettiste » évoque l'âme et le corps et « le voleur de mot » parle de ce qu'on est prêt à faire pour protéger autrui. On a donc de quoi faire !

On a différents thèmes réalistes abordés, probablement chers à l'auteure, comme le handicap, la sur-consommation alimentaire, la maltraitance animale, l'annihilation téléphage, les désordres psychologiques, l'écologie, etc. s'associant astucieusement à un fond fantastique. Je ne pense pas me tromper en disant que l'auteure est végétarienne vu qu'un des thèmes récurrents est la consommation animale, où le vaudou prend le pas sur la Mort. Dans une autre mesure, il y a aussi de la sorcellerie, du zombie, de la magie, des choses donc moins terre à terre mais qui se rapprochent néanmoins du titre du recueil, on comprend alors ce lien qui existe entre chacune des nouvelles. On a une forme d'oppression développée, généralement les nouvelles montent crescendo en tension avant de retomber sur des fins assez inattendues. On a des conclusions rarement hâtives, toujours réfléchies, même si parfois on les voit arriver, l'auteure ne sombre pas dans le fatalisme, certaines nouvelles recèlent un espoir, une morale, une fin plutôt positive, optimiste, d'autres sont nettement plus horribles.

L'auteure a une qualité d'écriture indéniable, on peut même dire que c'est assez soutenu, les lectures sont fluides, claires et agréables, elle sait aller à l'essentiel, sans pour autant perdre la densité de son texte. Les nouvelles sont bien construites, bien amenées et bien dosées. Si certaines sont peut-être en deçà, l'ensemble est plutôt harmonieux, il n'y a pas de redites, de schémas qui se dessinent. Si certaines se recoupent par leur thème de fond, sur la forme, elles sont différentes. On y trouve de l'ironie, de l'absurde, de l'humour mais aussi de la tension horrifique, un suspens ménagé, de l'horreur.

En bref, un recueil de nouvelles de qualité mené par une écriture et un style travaillé aux multiples thématiques de société où le réalisme est rapidement rejoint par un univers fantastico-horrifique dans une relative mesure. Une très chouette découverte !

Je remercie Thomas Bauduret et les éditions MALPERTUIS pour ce partenariat qui ne manquait pas de piquant !
Lien : https://songesdunewalkyrie.w..
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Le sort en est jeté est le premier recueil composé exclusivement des nouvelles d'Élodie Serrano, jeune et prometteuse auteure lyonnaise et paru aux éditions Malpertuis.

Mon avis sera assez court car je n'ai pas envie de spoiler malencontreusement les nouvelles d'Élodie.

Dans ce recueil de 19 nouvelles axé plutôt fantastique et horreur, on croise nombre de créatures surnaturelles, de coups du sort et de sorts tout courts !
De nombreuses thématiques sont abordées dont la solitude (Communion), la folie (Au fond du puits), le besoin de reconnaissance, le handicap (Festin à volonté, Créatures ratées anonymes), la différence, le rejet, la mort (La Mort au tournant), la violence (Querelle de voisinage) mais aussi le surnaturel et la magie (Belle, le Collectionneur d'étoiles).

Ces 19 récits ont le mérite de faire réfléchir et certains d'entre eux remettent en question une société qui semble parfois à la dérive avec entre autre les problèmes de surconsommation, celui des canons de beauté imposés par la société, le stress/burnout, la destruction de la nature, la maltraitance animale, etc.
Mais attention ! Tout n'est pas noir, glauque et sans espoir ! Certaines histoires sont toutes mignonnes comme celles du Collectionneur d'étoiles, du coin de l'oeil ou drôles et grinçantes comme Un capybara, et que ça saute ! si ce n'est complètement absurdes.
On peut croiser de la sorcellerie, des zombies, de la magie, des choses moins terre à terre, des vieilles qu'il ne faut pas bousculer (exit le tas d'orties !), bref de quoi passer un bon moment.

Le sort, le destin, qu'ils soient imposés, que les personnages luttent contre ou qu'ils cherchent à le réaliser, sont le fil rouge entre les différentes nouvelles. le lecteur éprouvera de multiples sensations, du sentiment d'oppression, de révolte mais aussi de nostalgie et de tristesse. Si certaines nouvelles ont une fin tragique (et parfois méritée), d'autres portent une lueur d'espoir et d'optimisme sur le monde.

Élodie Serrano a une plume très agréable à lire et retransmet particulièrement bien au travers de ses mots, les ambiances et les thématiques qu'elle a souhaité partager.

Comme vous l'aurez compris, le Sort en est jeté est une lecture parfaite pour Halloween, le mois de novembre ou tout simplement à déguster au coin du feu ! (Couette tolérée !)

Pour découvrir l'interview de l'auteure à la suite de la chronique, rendez-vous sur mon site !
Lien : http://lecomptoirdelecureuil..
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Merci à Babelio et aux éditions Malpertuis pour cet ouvrage envoyé lors d'une masse critique!
J'avoue, l'imaginaire et le fantastique, ce n'est pas ma tasse de thé à la base! Et pourtant, ce recueil de nouvelles me réconcilie largement avec ce genre. Pourquoi? Déjà parce que la taille des nouvelles (courtes) offrent une lecture très agréable, facile et légère; le lecteur a le temps, prends le temps. D'autre part, parce que clairement c'est un ouvrage hétéroclite. En effet, on trouve un peu de tout : des gobelins, des revenants, des fantômes, etc. Enfin, parce que - souvent - le ton n'est pas celui qu'on attend dans un livre d'imaginaire !! Ici, pas d'angoisse...
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
"Mon seul tourment est ma solitude, aussi douloureuse que la tienne."
La mort ne te rendra pas moins seule.
"Cette mort-là, oui."
Silence. Compréhension.
Tu ne sais pas ce que tu demandes.
"Si."
Elle n'a pas besoin d'y réfléchir, de peser le pour et le contre et toutes ces choses que les gens raisonnables font. Son instinct lui souffle d'agir, lui crie de d'embrasser son destin. Un regard extérieur compatira à son sort, Marie sait qu'elle choisit la seule chose qui remplira le vide.
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La première fois que j'ai lu à propos de la théorie de la conservation de l'esprit, j'ai entrevu de un espoir pour remédier à l'aridité de mon imagination. J'ai immédiatement contacté ce théoricien. D'après lui, aucune pensée ne se perd totalement, elle s'en va juste ailleurs. La clef pour moi est donc de trouver cet endroit merveilleux, celui où toutes les idées, inconfortables dans leur cerveau maternel, coulent des jours heureux.
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La vengeance n'a de fin que lorsqu'il n'y a plus personne pour la porter. Ils me suivront dans ma chute.
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J'ambitionne de mourir, pas de vivre ma morne existence estropiée.
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