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EAN : 9782754822480
192 pages
Futuropolis (11/10/2018)
4.13/5   488 notes
Résumé :
11 octobre 2009. Marcel Grob, un vieil homme de 83 ans, se retrouve devant un juge qui l'interroge sur sa vie. Et plus particulièrement sur le 28 juin 1944, jour où ce jeune Alsacien rejoint la Waffen SS et est intégré dans la 16e division Reichsführer, trois mois après le débarquement allié en Normandie. Marcel se rappelle avec émotion de ce jour fatidique où, comme 10 000 de ses camarades Alsaciens, il fût embrigadé de force dans la SS. Non, il n'était pas volonta... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (114) Voir plus Ajouter une critique
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Allemande de 1871 à 1918 puis Française entre les deux guerres puis Allemande pendant la Seconde Guerre mondiale et enfin française. L'Alsace et la France c'est une histoire d'amour particulière.

Dans cet ouvrage c'est l'histoire d'un «malgré-nous», un engagé de force dans la Waffen SS, un jeune homme alsacien de 18 ans.
Les dessins en noir et blanc ou teintés de couleurs légères sont superbes. le scénario quant à lui laisse au lecteur le choix d'établir le degré de culpabilité de Marcel Grob (tel est le nom de ce jeune homme).

Pour ma part les «malgré-nous» sont des victimes

Enrichis d'un livret historique en fin d'ouvrages relatant le contexte de cette histoire.
Un livre magnifique qui nous renvoie à une part de notre histoire que je connaissais mal et qui rend hommage à tous ces jeunes hommes que l'on a appelé les «malgré-nous» qui font partie (pour la plupart d'entre eux) des victimes de la Seconde Guerre mondiale.
Un livre pétri d'humanité
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11 octobre 2009. Alors qu'il se trouve dans le bureau d'un juge, Marcel Grob ne comprend pas ce que lui veut cet homme et à quelle affaire il fait allusion. Il n'a qu'une seule envie : rentrer chez lui. Mais le jeune juge ne l'entend pas de cette oreille et compte bien éclaircir le passé douteux, à ses yeux, du vieil homme. Lorsqu'il lui présente son livret militaire de panzer grenadier dans la 16e division SS, Marcel se défend aussitôt, mentionnant les "malgré nous". Face à l'obstination du juge, il replonge dans ses souvenirs...
Le 27 juin 1944, Marcel et son ami, Antoine, ont bien été enrôlés dans l'armée allemande mais dans le seul but d'éviter les représailles faites aux familles des déserteurs. À bord du train qui les emmène loin de chez eux, ils ne se doutent pas un seul instant de ce qui les attend...

Philippe Collin rend un très bel et juste hommage à son grand-oncle, Marcel Grob, en nous dévoilant une partie bien sombre du sort réservé aux jeunes Alsaciens, Lorrains ou Mosellans. Pourtant français, certains n'ont pas eu d'autre choix que de servir pour l'armée allemande, la Waffen SS. Marcel, à seulement dix-sept ans, va se retrouver, bien malgré lui, dans une situation à laquelle il n'aura aucun moyen de s'échapper. Et il assistera, au premier plan, aux horreurs de la guerre. Autour de lui, des camarades dans la même situation mais aussi des gradés, notamment Herr Untersturmführer, qui l'aidera durant cette période et le poussera à réfléchir. Parfaitement complété par un dossier historique de Christian Ingrao, cet album se révèle tout à la fois passionnant et édifiant, éclairant sur le sort de ces jeunes hommes et questionnant sur les notions de culpabilité et de pardon. Graphiquement, les planches au trait un brin désuet et au ton sépia nous immergent parfaitement dans le passé.
Un album tout à la fois intime et universel...
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L'expression « Malgré-nous » désigne les Alsaciens et Mosellans incorporés de force dans la Wehrmacht, l'armée régulière allemande, durant la Seconde Guerre mondiale, que ce soit dans la Heer (armée de terre), dans la Luftwaffe (armée de l'air), dans la Kriegsmarine (marine de guerre), ou encore dans la Waffen-SS. 

Marcel Grob est de ceux-là : jeune alsacien de 17 ans, il a été enrôlé contre sa volonté dans la Waffen-SS en juin 1944, a combattu avec les soldats allemands et a notamment participé au massacre de Marzabotto.

Le 11 octobre 2009, Marcel, alors âgé de 83 ans, est arrêté et placé devant un juge d'instruction. Ce dernier lui tend son livret militaire, c'est-à-dire son livret de solde dans l'armée allemande, preuve de son passé SS. Il est temps pour Marcel de raconter cette période tragique de son passé, afin de démontrer qu'il a été un SS malgré lui...

S'il avait choisi le maquis, le suicide ou la désertion, ce sont ses parents et son petit frère qui auraient été punis de la trahison de Marcel. Alors Marcel se rend à la convocation des Boches, il n'a pas vraiment le choix... Les souvenirs remontent à la surface et il raconte...

Son incorporation. Son affectation à la Reichsfürher. le massacre de Marzabotto. Ses performances au football qui lui ont valu son transfert chez les Sapeurs. La rancune de son camarade Antoine. Son attachement pour son supérieur. Une opération de reconnaissance qui tourne au drame. Son hospitalisation. L'arrivée des Alliés au Lac de Garde...

On est au coeur même des horreurs de la guerre. Marcel se livre comme jamais, avec son coeur, avec ses convictions qui ne l'ont jamais quitté, avec son âme, un peu comme s'il était l'heure du jugement dernier. C'est une histoire qui retourne l'estomac, surtout quand on pense qu'il a à peine 18 ans quand la guerre prend fin. Philippe Collin et Sébastien Goethals ne lésinent pas non plus sur la dimension humaine malgré les horreurs relatées, ce qui rend le récit encore plus poignant.

Les graphismes sont superbes, fins et minutieux, très réalistes, avec une colorisation terne en corrélation avec les circonstances et les faits relatés. La seule chose que je pourrais leur reprocher, c'est qu'on a parfois du mal à distinguer les personnages entre eux qui, par moments, se ressemblent beaucoup.

Ce n'est qu'à la fin qu'on apprend que Marcel Grob était le grand-oncle de Philippe Collin. On comprend mieux pourquoi cette histoire lui tenait à coeur, pourquoi également il prend sa "défense", tout en laissant le choix au lecteur de le condamner ou pas, de prendre la mesure de sa culpabilité dans cette histoire. Pour ma part, je ne le jugerai pas, je ne sais ce que j'aurais fait à sa place. le maquis ou l'enrôlement forcé ? Prendre le risque de voir mes parents arrêtés et déportés en camp de concentration (ou pire, fusillés sur place) ou les savoir en sécurité à la maison pendant qu'on tente de m'endoctriner et qu'on m'oblige à prendre part aux pires atrocités ?

Gros plus pour le dossier historique en fin d'ouvrage qui vient compléter et expliquer certains éléments du récit.

C'est dans l'ensemble un très beau roman graphique, qui nous interroge autant qu'il est instructif. Un récit utile et nécessaire si l'on veut comprendre ce qu'ont pu vivre les "Malgré-nous".
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Je me sens personnellement concernée par ce roman graphique, car mon grand-père maternel était originaire d'Alsace, région que la France et l'Allemagne se sont tour à tour attribuées. D'ailleurs, ma grand-tante , Albertine, a été rebaptisée Alberte par les allemands, comme le personnage , Marcel ,est devenu Marzell... Mon arrière-grand père , travailleur volontaire, est mort loin de chez lui, en tombant d'un arbre. Et sa femme est décédée à la fin de la seconde guerre mondiale, de la grippe espagnole, laissant six orphelins...

Marcel Grob, le personnage principal, est un jeune alsacien de dix sept ans, un " malgré nous", qui se retrouve, comme tant d'autres, enrôlé de force dans l'armée allemande, ici la Waffen SS. Le livre le présente très âgé, subissant un interrogatoire de la part d'un juge poursuivant les criminels de guerre. Il est notamment accusé d'avoir participé à la tuerie d'un village italien, Marzabotto. Et les images sépia rappellent son passé sombre de soldat.

Je n'ai pas été très séduite par les dessins , les visages sont assez grossiers, pas facilement identifiables, les couleurs très neutres. Par contre, l'histoire se lit presque comme une enquête policière, on s'attache aux événements, aux personnages, et le livre présente subtilement, sans manichéisme , les questions que chacun peut se poser, face à de telles situations humaines: quelle est la part de responsabilité d'un être qui tue, même contre son gré? A quel niveau la placer? Comment peut-on vivre ensuite? Comment pardonner? Un dossier historique complète utilement , à la fin, ce destin individuel.

J'ai beaucoup aimé que cette oeuvre soit dédiée à la jeunesse européenne. Que les générations actuelles puissent ne jamais oublier les barbaries guerrières...

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11 octobre 2009.

Un tribunal a nul autre pareil doit juger Marcel Grob.
La question posée est simple : Marcel Grob est-il un « malgré-nous » qui s'est retrouvé engagé dans la SS contre son gré ou est-il un engagé volontaire pour la SS ?

Le juge mène l'instruction… Il apparaît clairement que monsieur Grob n'est pas très coopératif et tente d'échapper aux questions posées par le magistrat. Quand il daigne s'y soumettre, il réfute l'engagement VOLONTAIRE dans la SS, que par ailleurs il prétend détester… Mais alors pourquoi avoir répondu à l'appel et s'être présenté à la caserne SS ? Parce que les parents de ceux qui refusaient de se présenter étaient arrêtés et envoyés en camp de concentration… Pourquoi ne pas avoir déserté ? Parce que les déserteurs étaient rattrapés et exécutés d'une balle dans la tête… Il affirme que sur son livret militaire il manque F.R.W., ce qui signifie Freiwilligen, ou, en français, engagé volontaire… Bref ! Monsieur Grob est-il aussi innocent qu'il le prétend ? A vous d'en juger…


Critique :

Le dessin de Sébastien Goethals n'est pas parfait… Il n'est pas toujours facile de distinguer les différents personnages. le choix des couleurs monochromes me semble excellent pour se replonger dans cette histoire du passé, mais la qualité de ces couleurs est inégale.
Quant au scénario… Il est exceptionnel ! Philippe Collin et Sébastien Goethals ont su donner vie à un personnage réel et reconstituer l'ambiance, les décors et les costumes de cette époque.

Les scénaristes soulèvent la question douloureuse de ces Alsaciens engagés dans la Wermacht et dans la Waffen SS. Dans le cas qui nous occupe, il n'est question que de la SS. Les études historiques démontrent que contrairement aux recrues purement allemandes, les Alsaciens enrôlés dans la SS n'étaient pas forcément des volontaires. Comme Himmler, chef tout puissant de la SS voulait contrôler sa propre armée, il avait un besoin considérable d'hommes, surtout que les pertes enregistrées en Russie étaient colossales. Alors que la SS des débuts se voulait racialement pure, on alla jusqu'à engager dans ses rangs des prisonniers soviétiques venus d'Asie. Les Alsaciens pouvaient donc mieux correspondre aux critères raciaux et il n'était pas nécessaire de leur demander leur avis. Les chefs étaient sans pitié et sans scrupules. Les assassinats de civils, qu'ils avaient déjà largement commis en URSS allaient se poursuivre en France, en Italie, en Belgique. le sort des Alsaciens était très critique puisqu'ils allaient forcément devenir les traîtres de quelqu'un ! Il faut dire qu'il y avait de quoi perdre son latin ou plutôt son alsacien : Français jusqu'à la Guerre de 1870 ; Allemands jusqu'en 1918-19 ; Français jusqu'en 1940, puis, à nouveau Allemands… Y eut-il parmi eux des assassins ? Certainement ! Mais la grosse majorité n'a fait qu'obéir car la moindre forme de désobéissance était on ne peut plus sévèrement réprimée, allant jusqu'à la déportation des proches.

Difficile dans un tel contexte de juger ces hommes, du moins la plupart d'entre eux. Pour certains dont les crimes étaient avérés, il n'y eut guère de sanction digne de ce nom au nom de la « réconciliation nationale ». Ils passèrent au travers des mailles du filet. Ils ne furent pas les seuls : plusieurs officiers SS allemands, responsables de multiples crimes, et n'ayant jamais regretté leurs choix, ne furent que très légèrement inquiétés après la guerre…

S'il y en a qui doutent encore que la bande dessinée est un art complet à part entière, qu'ils lisent « le Voyage de Marcel Grob » !
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critiques presse (5)
Sceneario
20 février 2019
Les auteurs nous livrent ici leur vision du destin de Marcel Grob. Tout est interprétation en fonction de leur ressenti et du parcours qu’ils ont pu reconstituer [...] C’est une aventure terrible qui nous est racontée ici. Terriblement humaine, devrais-je ajouter. En cela, elle rend ce livre marquant et troublant.
Lire la critique sur le site : Sceneario
ActuaBD
05 février 2019
Pour un coup d’essai dans le neuvième art, Philippe Collin réussit un coup de maître. Le récit évite tout didactisme, il aborde avec finesse et refus de tout manichéisme cette question mémorielle délicate en proposant une narration rythmée et fluide.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Bibliobs
17 décembre 2018
Les auteurs appliquent la nuance nécessaire à ce sujet délicat, montrant que la frontière entre victime et bourreau est parfois ténue. Une certaine compassion se dégage, non seulement envers ces «Malgré-nous» au destin tragique, plus particulièrement envers Marcel Grob. Philippe Collin avait coupé les ponts: il pensait son aïeul SS convaincu.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
BoDoi
27 novembre 2018
Le Voyage de Marcel Grob se révèle donc être un énième volume sur la Seconde Guerre mondiale, certes fidèle, mais dont on ne peut pas dire qu’il apporte quoi que ce soit de supplémentaire à l’immense littérature déjà existante.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Culturebox
16 octobre 2018
Cette bande dessinée est une sorte de compensation, d'hommage posthume rendu à celui qui, a-t-il finalement compris, faisait davantage figure de victime que de bourreau.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
Si vous pensez que je suis un traître, vous gênez pas Grob, descendez-moi... Mais il n’y a pas de pire traître que celui qui abat un enfant Grob. Tuer un gamin c’est tuer l’humanité qui est en vous, c’est tuer tout espoir de rédemption au milieu de cet enfer, tuer un gamin c’est se damner pour l’éternité.
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Ouais. Eh ben quoi ? Arrétez de faire la gueule merde, Waffen SS ça veut dire qu'on va aller botter le cul des bolcheviques !
Enfin avec vous deux c'est pas gagné...
- Attends mais moi j'veux pas clamser pour les boches, j'en ai rien à carrer tu comprends, je veux juste rester à la ferme pour aider mes vieux, voilà, c'est tout.
- Moi non plus j'ai pas envie de calancher au front Guebwiller, mais tu préfères quoi ? qu'on devienne tous communistes !?
- C'est pas le problème...
- Si, si c'est ça le problème ! L'Alsace c'est la germanie mon vieux, je me sens plus allemand que russkov tu vois. Mon père dit que s'ils arrivent jusqu'ici, les rouges ils vont tout nous prendre.
En plus ils disent qu'ils veulent partager les richesses mais après ils refilent tout aux juifs ! Les communistes ils sont manipulés par les Rothschild, c'est que de la vermine tout ça !
Je déteste ces putains de bolcheviques, j'suis pas volontaire, mais vu que je suis coincé ici j'préfère me battre pour les boches.
- Tu jactes que d'la merde ! Max Stocker c'est pas un communiste, c'est pas un juif non plus ! Il a pris le maquis, il veut pas aller se battre pour les nazis c'est tout ! C'est un mec courageux. Tu sais que c'matin toute sa famille a été arrêtée par la gestapo ?
- Au lieu de mettre ces vieux dans le pétrin, le Max il aurait dû se pointer à sa convocation et comme ça il serait venu avec nous se battre contre les rouges.
- Les grandes théories de Müller le germain, t'es vraiment très con !
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-toutes les saisons peuvent être blanches Grob! C'est quoi ces conneries!!
-j'vais essayer de vous faire deviner. Pour commencer, facile. Pourquoi l'hiver c'est blanc?
-ben à cause de la neige, c'est facile.
-oui la neige c'est blanc, donc l'hiver c'est blanc. Après plus dur, le printemps, pourquoi c'est blanc?
..... à cause des cerisiers en fleur! Un cerisier en fleur c'est l'arrivée du printemps...... bon maintenant encore plur dur l'été à votre avis, pourquoi c'est blanc?
-franchement là, j'vois pas
-..... eh ben l'été c'est le blanc des ombrelles que promènent les femmes pour se protéger du soleil.
-moi j'abandonne beaucoup trop dur ton jeu!
-hé on n'a pas fini. Il reste l'automne. Comment ça peut être blanc l'automne?.... qu'est ce qu'on fait dans une maison bourgeoise à la fin de l'été quand tout le monde s'en va? Qu'est ce qu'on fait avec les meubles?
-on les recouvre de draps blancs!!
-oui oui Fisher, l'automne c'est le blanc des draps sur les meubles après l'été....
-ben faut vraiment être une bourgeoise de Bavière pour jouer à ton jeu Grob!
-non..... j'ai juste lu la Ceriseraie de Tchekhov.
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-Enfin j'comprends pas comment vous faites pour lire après tout ce qui s'est passé aujourd'hui Herr Untersturmführer, moi ça me suce le sang comme une tique. Je pense qu'à ça...
-Voyez, moi ce qui me surprend, Grob, c'est comment vous faites vous, pour ne pas lire un livre après tout ce qui s'est passé aujourd'hui... Ce livre, Grob, me permet de ne pas y penser justement, ce livre c'est ma survie, sans ça je sombre.... Vous devriez essayer Grob, entretenir un imaginaire lointain c'est salutaire quand on fait la guerre.
-Moi mon imaginaire Herr Untersturmführer, c'est le football.
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Si vous pensez que je suis un traître, vous gênez pas Grob, descendez-moi....
Mais il n’y a pas de pire traître que celui qui abat un enfant Grob. Tuer un gamin c’est tuer l’humanité qui est en vous, c’est tuer tout espoir de rédemption au milieu de cet enfer, tuer un gamin c’est se damner pour l’éternité.
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