Gérald part en Algérie avec son écrivain préféré qui souhaite écrire une biographie romancée sur le prêtre qui a découvert et en quelque sorte inventé la clémentine.
Le jeune garçon doit servir de doublure à l'écrivain en incarnant les scènes que ce dernier imagine afin de donner du relief ) son écriture.
L'auteur nous offre de découvrir la façon de procéder d'un écrivain. Nous découvrons avec Gérald l'importance de l'incarnation mais aussi de la transposition.
Le métier d'écrivain est bien expliqué et nous commençons nous aussi par sentir et ressentir l'Algérie du début du XXème siècle. Seul bémol, l'histoire manque un peu d'action !
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Je n'ai pas trop aimé ce livre parce que c'est trop long. Je trouve que c'est trop long en Algérie. Il ne se passe rien avant la fin. C'est mon moins préféré des trois.
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La série des Gérald et de l’écrivain Christian Rivage fonctionne toujours sur le même principe : découvrir de l’intérieur le travail d’écriture, ses heurs et malheurs. La méthode présentée ici est finalement assez originale, avec le narrateur Gérald un chouïa gêné de devenir cobaye sous les yeux experts de Christian. Mais ça fonctionne bien, très bien, si bien même que la fin voit arriver toute la famille en tant que futurs « personnages » du roman !
Lire la critique sur le site : Ricochet
J'adorais ! Cette méticulosité de l'écrivain...Toutes ces choses auxquelles il doit penser pour glisser le lecteur dans sa poche et l'entraîner où il veut. Et je me suis dit, pour la deux centième fois, que ce métier était le plus beau métier du monde.
Quand La Muse rencontre Laurent Fuentès.