AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782848659237
231 pages
Sarbacane (05/10/2016)
4.01/5   200 notes
Résumé :
Turbulents, pas vraiment délinquants, ils cumulent les bêtises plus ou moins graves, les rires et les bleus. Vasco est en CFA BTP, Djib passe en première S. Leur dernière rixe est pourtant celle de trop…
Afin de leur mettre du plomb dans la tête, leurs parents décident d’employer les grands moyens : ils envoient les deux ados dans la Nièvre, le temps d’un été chez un ami du père de Vasco, entrepreneur local qui propose ses services comme famille d’accueil po... >Voir plus
Que lire après Les belles viesVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (78) Voir plus Ajouter une critique
4,01

sur 200 notes
5
43 avis
4
16 avis
3
9 avis
2
0 avis
1
4 avis
Vasco et Djib' habitent la banlieue parisienne et sont inséprables depuis leur enfance. Ensemble, ils font les 400 coups, sans tomber toutefois dans la délinquance jusqu'au jour où, après une bagarre, leurs parents décident de les envoyer dans la Nièvre où un couple accueillant des enfants de la DDASS accepte de les recevoir en échange de leur aide à la réparation d'une grange.

Vasco et Djib découvrent un mode de vie radicalement différent du leur : leur arrivée va provoquer quelques remous dans la petite bourgade campagnarde et dans la maison des Favre. la vie en communauté et le partage des tâches, la confection maison du pain tous les matins..

Un livre formidable plutot axé jeunesse ( à partir de 13 ans) par un auteur dont on avait lu sa seule incursion pour les adultes avec Rural Noir car Minville est un peu comme le spécialiste du roman qui se déroule dans la campagne et particulièrement la Nièvre sa région de coeur.
Un roman juste et sensible qui décrit merveilleusement bien le quotidien et ce qu'il se passe dans la tête de deux adolescents de 17 ans au seuil de leur vie d'adulte, découvrant pour la première fois une expérience et environnement différents du leur.
Benoît Minville a la plume vive et ses personnages sont d'une belle épaisseur. Les belles vies est un roman d'apprentissage juste et sensible .
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
Commenter  J’apprécie          370
Cela faisait six ans que ce roman traînait dans mes biblios, alors que je souhaitais le lire au plus vite et qu'il était même répertorié dans ma PAL « Urgentissime » (vous comprenez pourquoi je refuse les demandes de lecture d'auteurs et les SP !).

Et maintenant, je me demande pourquoi j'ai attendu aussi longtemps pour le lire… Alors que j'avais eu un coup de coeur pour "Rural Noir" (un autre roman de l'auteur).

Registre différent, mais les émotions étaient présentes lors de ma lecture, même si elles ont été moins intenses qu'avec son autre roman.

Néanmoins, j'avais envie d'un peu de douceur dans ce monde de brute, envie d'une lecture plus soft, envie de soleil, de vacances et ce roman est arrivé au bon moment, même si, pour la douceur, on repassera. Nous sommes tout de même avec des mômes ou des ados fracassés par la vie, par leurs parents, déficitaires, violents, aux abonnés absents… et placés en famille d'accueil par la DDASS.

Vasco et Djib sont deux ados qui ont fait une bêtise, rien de trop grave, mais voilà, c'est une de plus et leurs parents ont décidé de les placer dans une famille d'accueil, dans la Nièvre, dans un lieu au milieu des campagnes, des bois, bref, dans le trou du cul de la France.

Croyez-moi, il y a pire comme punition, parce que nos deux amis vont découvrir des émois, des bons moments, du sexe, de l'amusement, bref, ils vont passer de bons moments, même si, ils seront parfois entrecoupés de passages plus forts, plus chahutés.

Non, il ne se passe pas grand-chose dans ce roman, mais il m'a fait du bien au moral, car il se déroulait pendant les grandes vacances et qu'on a tout de même une bande d'amis qui vont s'amuser, découvrir la vie, les charmes de la campagne et que j'ai eu, tout comme eux, la larmiche à l'oeil au moment de se quitter.

Pas de smartphones dans l'histoire (nous sommes un peu après 2001, avant que tous les jeunes se fassent greffer un téléphone au bout de leur main), pas de réseaux sociaux et tant mieux. C'était reposant.

Par contre, impossible d'échapper au racisme, Djibril étant Noir et Vasco, portugais… Bizarrement, Dylan, un jeune déjà présent dans cette famille d'accueil, est d'un racisme crasse, comme celui que l'on trouve plus souvent chez les personnes de la génération au-dessus et rarement chez un jeune de 16 ans.

Il aurait mérité qu'on le recadre un peu plus fort, parce que parler du pain que les étrangers prennent aux français, alors qu'on est placé, avec sa soeur, dans une famille d'accueil, que l'on est nourri, logé et blanchi grâce à l'argent que tous les français, qu'ils soient d'origines, naturalisés ou qu'ils aient gardé leur nationalité, ont donné aux impôts, je la trouve forte de café… Dylan, tu en veux au monde entier, mais tu t'en prends aux mauvaises personnes.

Heureusement qu'au fil des pages, certains personnages vont évoluer et que les yeux vont s'ouvrir, même s'il reste encore du taf à faire sur la gestion de la colère de certains. Bref, ce sont des ados, en bute avec le monde entier, avec leurs hormones qui travaillent, avec les sentiments bouillonnants et l'apprentissage de la vie encore à faire, à peaufiner.

C'est une jolie histoire, mais l'auteur n'enjolive pas les faits : malgré des parents violents, malgré des parents immatures et sans emploi fixe, la justice peut décider à tout moment que ces parents peuvent récupérer leurs enfants, et peu importe que cette décision foute en l'air leur avenir, le travail réalisé par la famille d'accueil. La justice, rouleau compresseur, décide, exécute et se fout royalement des enfants ou de ceux qui les aident à grandir dans le droit chemin.

Pas de morale à cette histoire, juste une histoire racontée, des destinées qui se sont croisées, durant un été et qui repartiront, pour suivre leur propre route, une fois la rentrée arrivée. Que deviendront-ils ? Nous ne le saurons jamais, c'est à nous de leur inventer un futur, pas trop merdique, ou alors, de les laisser figés à jamais dans l'instant X de la fin du roman…

Une jolie découverte, même si, le récit aurait mérité d'être un peu plus approfondi, plus creusé, plus détaillé, notamment avec ce couple qui accueille les jeunes et qui se donne à fond pour eux.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          240
Vasco et Djib quittent leur cité après après une altercation qui a provoqué un dépôt de plainte. Ils vont être hébergés pour l'été dans une famille d'accueil à la campagne, loin de tout, avec pour mission de retaper une grange.

A l'arrivée, ils découvrent un couple soudé qui recueille des enfants cabossés par la vie. Ils vont devoir cohabiter avec le jeune Dylan qui tient des propos raciste et se révèle violent, des jumeaux marqués jusque sur leur visage, un trio de petits et deux adolescentes très différentes.

C'est la personnalité et le savoir faire de Tonton et Tata qui permettent à tous de retrouver une certaine normalité avec notamment une relation proche avec la nature et des activités communes simples et nombreuses.

Mais Vasco repère très vite le corps de Jessica, Dylan s'échauffe et les embrouilles ne sont jamais très loin…

Un beau roman sur les liens qui se tissent entre des gens très différents qui en vivant côte à côte vont nouer entre eux des sentiments forts et marquer leur histoire.

Au kaléidoscope de leur personnalité l'auteur superpose l'obligation de rester souder, de s'épauler. Il dessine une nouvelle famille, celle que l'on peut créer soi-même avec un peu de temps, de tolérance et de don de soi.
Commenter  J’apprécie          220
Benoît Minville est à mes yeux un des plus grands auteurs français de notre temps. Capable de jongler de la littérature jeunesse au country noir. Il est enfin de retour avec Les belles vies !

C'est l'histoire de la vie, de certaines vies, de belles vies. Remplies de casseroles, de joies et de peines, mais surtout riches de sentiments et d'aventures, d'espoirs et d'opiniâtreté. Ici pas question d'enjoliver l'existence, de donner une perception erronée du monde qui nous entoure; nous sommes dans le vrai. le lecteur rencontre des enfants et adolescents au passé difficile, au présent rédempteur et au futur incertain. C'est dans cette joyeuse troupe que débarquent deux jeunes de la banlieue : Vasco et Djib vont passer un été inoubliable.

J'ai lu ce livre alors que j'étais dans une petite période de doute et je dois avouer qu'il m'a fait le plus grand bien, m'a mis du baume au coeur. J'ai adoré suivre les péripéties de cette bande de bras cassés où les adolescents vivent leurs premiers émois et où les enfants veulent rester encore dans cette insouciance si essentielle et dont ils ont été parfois privés trop rapidement. Aux côtés de nos deux héros, il y a Dylan, presque un jeune homme, perturbé, en colère mais tellement humain; Chloé une jeune fille courageuse, passionnée de théâtre et dont le passé restera mystérieux jusqu'à la révélation finale; Jessica la belle adolescente sexy et qui joue de ses charmes mais qui en réalité cache un profond manque de confiance en soi. Tous ensemble pour un été, un été qui changera leur vie. Un été où chaque moment est gravé dans leur marbre, le marbre qui forge ce que l'on deviendra.

Même si le lecteur peut facilement deviner la suite des évènements, en réalité peu lui importe car le plus important dans cette histoire ce sont les destins et les personnages. le plus important repose dans leurs choix. le choix d'avancer, de croire, d'espérer, d'aimer. Ils choisissent de refuser d'abandonner, et même si les larmes coulent à certains moments, il faut surtout retenir qu'ils se relèvent à chaque fois. Ils font le choix d'une belle vie.

Benoît Minville nous livre ainsi un livre d'une tendresse folle, on sent les souvenirs, on sent la sincérité. C'est le genre de récit que j'aimerais mettre entre les mains de tous les adolescents, de tous ceux qui perdent courage, c'est un roman qui fait du bien et qui résonne dans le coeur du lecteur.

En définitive, si vous ne connaissez pas déjà la plume de Benoît Minville il faut lire ce livre et si vous la connaissez déjà je sais que vous l'avez déjà entre vos mains ;)
Lien : http://leatouchbook.blogspot..
Commenter  J’apprécie          190
Il est inutile de présenter la collection "Exprim" de chez Sarbacane, une ligne pour très grands ados, des histoires de vie très fortes qui feront le lien avec les lectures plus adultes et pourront même jouer de passerelle à l'inverse en leur recommandant ces lectures ados pour leur propre plaisir.

La couverture est extrêmement fraîche, positive, insouciante.
Le propos l'est beaucoup moins mais l'aventure va s'y atteler.
Oui, il en sera question de cette vie douce et joyeuse qui passe, parce que les personnages sont jeunes mais hélas pas que. Pour les raisons évoquées en introduction.
Cette belle vie sera là, suspendue au dessus des têtes des jeunes personnages, le petit bonheur à la clé là où on peut le leur donner, les protéger, les soutenir et les aimer avec confiance.

Le concept n'est pas toujours évident pour tout le monde, dans ce petit coeur de la Nièvre presque perdu. Avec ces gamins de la DDASS recueillis par Albert Favre, éleveur retraité de 80 ans, et son épouse Marie, ça n'est que des ennuis en perpsective, même au milieu de "nulle part".
C'est comme ça, eux n'y peuvent rien.

C'est donc sous les appréhensions des habitants et l'autorité ferme et bienveillante du couple Favre, que les enfants déposés chez ses derniers vont passer ensemble l'été, pour mieux rebondir à leur départ de la ferme.
L'auteur ne juge pas, certains gamins sont là par démission parentale et d'autres par responsabilité, parce que justement les parents ont jugés qu'ils devaient être aidés dans des phases d'éducation difficile qui pourraient conduire leurs enfants à gâcher leur avenir.

C'est la démarche des parents de Vasco et Djibril, suite à une oenième bagarre à leur école, qui devant le manque de solutions pour les protéger de la violence de leur cité parisienne dans la fiction, vont les éloigner à la campagne, là où ils pourraient se recentrer, se ressourcer de nouvelles expériences pour leur propre bien.

Devant l'opération de la dernière chance pour les récupérer avant des suites judiciaires plus sérieuses ou l'exclusion scolaire, Djib' et Vasco, bon gars tout de même, jouent le jeu et profitent de la rencontre qui s'offre.

Si le lieu se présente charmant au bout du compte, si le duo prend conscience qu'il a les moyens de souffler, grâce à l'accueil des époux Favre et aussi aux petits plaisirs simples proposés (baignades, réparation de voiture et d'une grange..), le croisement des expériences de vie de tous les gosses va se montrer éprouvant.

Benoît Minville n'en rajoute pas trop, il se concentre surtout sur les ressentis des jeunes héros, du point de vue d'ados, devant les difficultés à gagner cette belle vie déja à leur âge.
Il ne sera pas simple de faire face au doute.
Avec la douceur des Favre, avec leur confiance muette, ils ressentent qu'il y a un terreau du possible pour soutenir le petit travail sur soi, pour se faire confiance et prendre de la distance sur des événements personnels compliqués.

Le temps va s'écouler à la ferme.
Les rires des petits vont résonner dans la maison, Sirine, Farah, Gaëtan, Kamel et Gwen.
Chacun mettra la main à la pâte pour les tâches quotidiennes, Vasco, Djib, Jessica et son frère Dylan, Chloé. Il y aura des temps loisirs ménagés, pour s'éclater tous ensemble et avec les jeunes de Passy, des compétitions de Foot et des spectacles de Théâtre.
Voici de quoi tenter de changer l'image des gamins et les intégrer de façon conviviale.

Le projecteur se posera sur les histoires d'amitiés, les complicités et rivalités amoureuses de ces grands ados.
Le ton peut être parfois un peu cru mais sincère.
Vasco, grand dragueur, ne sera pas insensible au charme provocant de Jessica, avec ses tenues moulantes et ses shorts trop courts. Vasco ne saura pas sur quel pied danser avec une Jessica aguicheuse, sortant de temps à autre avec Lionel un garçon du coin.
Qui est Jessica, quel est son histoire?
L'auteur pose de la sensibilité dans le réalisme, pousse le regard du lecteur plus loin que les apparences.
Nous sourions devant les sourcils froncés des parents des ados qui veillent tout de même et voient venir les premiers objectifs de Vasco à l'arrivée chez les Favre. Il y a une grange à retaper mon garçon, ne l'oublie pas.

Dylan, le frère de Jessica, est un personnage tout aussi marquant.
Jeune écorché des sentiments, pris en apprentissage chez un boucher du coin, Monsieur Moreau, Dylan tente la rédemption, de changer son image de mauvais garçon, de dompter sa rage qui sommeille.
Il en a vu de dur, il se bat au quart de tours aux premières provocations jetées par les jeunes de Passy, son histoire pourrait le pousser à s'exprimer plus dangereusement que souhaité.
Très protecteur de sa soeur, Les lecteurs devraient sans doute être touchés par ce duo qui éclipse parfois Djib et Vasco.

Chloé, du même âge, est une vraie force positive, dynamique et amicale.
Mais elle n'est pas non plus chez les Favre par hasard.
Elle songe à fédérer un peu le groupe avec son idée de spectacle et n'hésite pas à se mettre dans l'équipe de foot de ses nouveaux copains au besoin si il manque un participant.
Djib' est épaté par le tempérament de cette jeune ado aux cheveux courts et le courant passe bien.
Il se montre volontaire pour les différentes idées de Chloé pour occuper joyeusement tout le monde.

Entre quelques heurts avec les jeunes de Passy, qui feront les grandes tensions du romans, et quelques douceurs intimes, le temps passe doucement à la ferme. Les jeunes s'y sentent bien.
L'auteur imagine une belle parenthèse au grand air qu'un lectorat, plutôt masculin à priori, devrait apprécier.
Qu'adviendra t-il lorsqu'ils devront se séparer et être remis dans leur milieu respectifs?
Y aura t-il de la belle vie promise autrement?
A vous de le découvrir.
Commenter  J’apprécie          40


critiques presse (2)
Liberation
09 mars 2017
Ce roman convient très bien aux adolescents à partir de 13 ans. Lumineux et intense, il constitue une ode à l’espoir, à la vie.
Lire la critique sur le site : Liberation
Ricochet
22 décembre 2016
Un roman très fort qui est aussi une belle quête de soi pour deux héros à l’aube de leurs vies d’adultes.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Citations et extraits (32) Voir plus Ajouter une citation
Soudain, la voix de Vasco l'arrache à ses doutes.
- Matez-moi cette vache de killeur !!! Truc de malade, tu lui mets des ailes et elle a un premier rôle dans le Seigneur des Anneaux !
Le bestiau les regarde à quelques mètres, séparé d'eux par l'endroit où la rivière est au plus bas.
Dylan se redresse, crispé :
- Merde... C'est pas une vache, mec. Tu connais peut-être pas ce qu'il a entre les jambes, mais c'est pas une vache...
Chloé se rapproche lentement de Djib ; les jambes faibles, il pose les mains sur ses épaules, sans quitter du regard l'encolure, le front massif et les cornes de la gentille vache qui vient de se transformer sous leurs yeux en bête féroce. Vasco chuchote :
- Oh putain, il vient de gratter par terre.
Commenter  J’apprécie          30
- Ce n'est pas une leçon de morale, ce n'est pas une leçon de vie. ce que je peux humblement vous conseiller, quand le torrent des émotions est trop difficile à endiguer, c'est de peser ce que vous avez comme bonheur et comme malheur, et d'essayer de les faire cohabiter. Il vous faut préserver des petits moments de joie dans le tragique de la vie, ils sont à vous.
Commenter  J’apprécie          61
Le soleil décline, ils ont pris une douche, puis Vasco est vaguement parti en exploration dans les tiroirs des filles, sans savoir ce qu'il cherchait vraiment. A part des produits pour l'acné, des tampons et des serviettes hygiéniques, du maquillage, des crèmes de jour et de nuit, il n'a rien trouvé de très exotique... en tout cas, ni les secrets du corps féminin ni des tiroirs gorgés d'érotisme.
Commenter  J’apprécie          50
Pendant qu’il console sa sœur, blottie contre lui, Dylan s’échappe dans la vision de son reflet en espérant y trouver un remède – et pourquoi pas, de l’aide. Voir s’il peut y lire la confiance que les autres mettent en lui.
Mais non, il ne reçoit que cette lueur qui lui rappelle deux phares peinant à éclairer une route plongée dans l’obscurité, à l’infini.
Alors il ferme les yeux.
Commenter  J’apprécie          40
"Et ils savent que demain, pour la première fois, face au monde qu'on leur impose, ils oseront devenir"
Commenter  J’apprécie          170

Videos de Benoît Minville (17) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Benoît Minville
Pour recréer du lien avec vous en cette période de distanciation sociale, nous avons imaginé en partenariat avec Livres Hebdo une rencontre avec nos auteur•rices. Un webinaire animé par Gwendal Oulès de la librairie Récréalives et Sonia Petit de la librairie Ici. Une présentation du printemps jeunesse chez Sarbacane avec la participation exceptionnelle de : - Bertrand SANTINI auteur de la série le Journal de Gurty - Clémentine BEAUVAIS et Max DUCOS, autrice et illustrateur de Boucles de Pierre - Olivier DAIN-BELMONT, auteur de permacité - Laurent AUDOUIN, illustrateur de la série Les enfants du tonnerre - Benoît MINVILLE, auteur de la série Punkette & Poupoune - Julia THÉVENOT, autrice de Lettre à toi qui m'aimes
+ Lire la suite
autres livres classés : famille d'accueilVoir plus
Les plus populaires : Jeunesse Voir plus


Lecteurs (422) Voir plus



Quiz Voir plus

Les Amants de la Littérature

Grâce à Shakespeare, ils sont certainement les plus célèbres, les plus appréciés et les plus ancrés dans les mémoires depuis des siècles...

Hercule Poirot & Miss Marple
Pyrame & Thisbé
Roméo & Juliette
Sherlock Holmes & John Watson

10 questions
5262 lecteurs ont répondu
Thèmes : amants , amour , littératureCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..