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EAN : 9782330030230
372 pages
Actes Sud (05/03/2014)
3.67/5   682 notes
Résumé :
Quand un notaire de province lui annonce qu’elle hérite d’une masure au milieu de nulle part dans l’isolement d’une forêt, décidée dans l’instant à s’en débarrasser, Gabrielle (Parisienne, quarante ans), s’élance sur les routes de France pour rejoindre l’inattendu lieu-dit, signer sans état d’âme actes de propriété et autres mandats de mise en vente, agir avec rigueur et efficacité.
Un paysage, un enchevêtrement d’arbres et de ronces à l’abandon, où se trouve... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (156) Voir plus Ajouter une critique
3,67

sur 682 notes
Des preuves ? Je n'en ai pas besoin pour convaincre les humains de continuer à nier l'évidence. C'est parce que nous ne relions pas les choses qu'elles nous semblent dénuées de sens. Les dimensions subtiles de l'être humain sont corrélées aux bleus de l'âme, à ce que ses douleurs infligent au corps dont on l'a affublée. Étrange de voir que ce mot, "être humain", définit en deux parties ce que nous ne voulons voir qu'en une seule. Humain, un corps, une présence physique incarnée, et être, qui serait l'âme, l'identité de ce corps qui a fini par se laisser absorber par l'enveloppe et son cerveau, d'où émane la pensée. Et pourtant, être ce n'est pas rien, mais où est-ce ?
P329
Ce livre déjà lu en septembre 2015, sur les chemins de Stevenson m'aura permis de découvrir un autre livre "Siddhartha aujourd'hui" découvert en bout de gondole dans une petite épicerie au fin fond des Cevennes. Je me sentais investi de vous retrouver ce passage du Siddhartha, aussi je recommençais une lecture minutieuse. Toujours sur les traces de l'arborescence de notre existence, c'est avec délectation que j'ai reouvert ce livre de F. DEGHELT. Quoi de mieux que ce pas de côté et pouvoir penser différemment, pouvoir envisager la vie sous un autre angle !?
Nous avons une image sous les yeux, c'est notre réalité. Maintenant il est temps d'enlever les cadres et d'essayer de voir "au-delà" de cette image....!
Si ce qui se conçoit bien s'énonce clairement, et les mots pour le dire vous viennent aisément... Alors mission accomplie avec brio pour cette auteur qui nous fait là, un très beau cadeau.
Comble de la coïncidence ou éternel recommencement, je me retrouve à la fin de ma deuxième lecture sur le départ ou j'avais entamé la première. Le Monastier sur Gazeille !!!!
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Ah que je suis mitigée sur ce roman tant tout et rien se mélangent tout du long.

Gabrielle a déjà un prénom d'ange, elle n'est pourtant qu'une femme proche de la quarantaine qui vit d'apparences en apparences dans une vie réglée à l'image d'une vie idéale à laquelle aspire surtout son mari, chirurgien esthétique. Quand Gabrielle hérite d'une maison au fin fond de la campagne, elle ne s'attendait pas à y découvrir la vie cachée d'entre ses murs ainsi que sa vraie nature. Elle se découvre médium. Un sujet vaste qui avait le mérite de m'intéresser.

La première partie m'a semblé longue, très longue, avec des citations pertinentes certes mais tellement omniprésentes qu'elles m'ont semblé desservir totalement l'histoire. Une histoire qui se passe en plein mois de juillet sous une chaleur torride mais les descriptions ressemblaient davantage à un décor d'halloween de novembre. Parce que la forêt est lugubre, désertique, aucune âme qui vive, la brume s'élevant de la rivière, une maison hantée. J'ai donc souvent été étonnée et dérangée par cette opposition juillet-soleil-chaleur et forêt obscure. Un cadre plus ancré et mieux en accord, mieux travaillé aurait été un grand plus je trouve.

La deuxième partie est enfin plus prenante quand Gabrielle commence à accepter ses dons. Et puis, flop de nouveau dans des citations qui n'en finissent plus, des débats spirituels à gogo, le tout sous des airs de maison hantée qui saigne et fait surgir des vers de terre de ses murs.

Trop de tout dans ce roman que j'ai certes terminé avec un plaisir mitigé mais qui ne me laissera pas un souvenir impérissable. le sujet était pourtant intéressant et aurait pu être traité de manière bien plus pertinente et plus accessible aussi.
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Les brumes de l'apparence a été dès le départ un grand coup de coeur. Jusqu'au 3/4 de ma lecture… puis le soufflet est un peu retombé !! Surtout à partir du passage de la rencontre avec le "côté obscur de la force" !!
Dès le départ, j'ai beaucoup aimé cette vision de la vie, de la mort, des "âmes", des possibilités spirituelles en dehors de toutes croyances religieuses. Juste une nouvelle ouverture sur les autres, sur l'après, sur une éternité…
Puis le côté torturé m'a embrouillé. Je n'ai pas vu où l'auteur voulait nous amener. (contrairement à l'héroïne, je ne suis pas médium !!)
Quant à la fin, je l'ai trouvée un peu bâclée et un peu trop terre à terre.( pas mal pour une histoire qui finit sur l'océan !!)
Le coup de coeur ne s'est donc pas confirmé mais je garderai en moi le côté lumière et ouverture d'âme.
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Gabrielle, Parisienne qui fêtera bientôt ses quarante ans, hérite d'un domaine forestier situé dans la France profonde. Sur le domaine, une petite masure en mauvais état et dans le coin le plus reculé, une maison hantée par l'arrière-arrière grand-père de Gabrielle qui était un sorcier tueur d'enfants, c'est la partie sombre de la forêt. du côté positif, un lac dans lequel Gabrielle aime se baigner, baignades qui lui procurent un sentiment d'agréable détente.
Au départ, elle n'a qu'une idée en tête, rénover les masures et vendre le domaine, ce qui s'avèrera impossible à cause de sa réputation de forêt des sorciers.
Gabrielle va prendre conscience des qualités de medium, qu'en plus de la forêt, elle a hérité de sa tante, soeur de sa maman décédée, cela va chambouler sa vie. Elle va découvrir que sa vie avec son mari chirurgien esthétique n'est qu'une façade, l'amour qu'il éprouve pour elle est égoïste, il aime la beauté de sa femme.
À partir de la découverte des dons de medium de Gabrielle, l'auteure va exploiter le sujet d'une possible vie après la mort, des âmes, de l'expérience vécue par les accidentés dans le coma ...

Citation : Découvrir qu'on peut être encore là quand on n'y est plus va changer toute notre vision de la vie et de la mort. Je le sens. L'évolution a commencé, mais elle est longue et lente, à la mesure de notre grande peur. L'après-vie appartient aux religions et notre vie corporelle aux médecins. Deux colossales maisons se partagent ainsi un pouvoir indiscutable et jamais remis en jeu sur la totalité de notre vie, et elles ont intérêt à ne jamais laisser passer des informations déstabilisantes, fussent-elles extraordinaires pour leurs disciplines. Entre les deux propriétaires, pas de lien, une hostilité même. Pour les religions, un corps impur, un fardeau qui doit disparaître ou nous perdre, pour les médecins, pas d'âme, des organes qui pensent !

Les brumes de l'apparence, un très beau roman qui incite à la réflexion, une histoire contée avec talent par Frédérique Deghelt dont j'apprécie beaucoup l'écriture. Un coup de coeur !
À lire !
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On reconnaît une lecture exceptionnelle à la tristesse ressentie lorsqu'on approche de sa fin, que l'on voudrait tant retarder !
C'est le cas pour ce roman captivant, enveloppant de Frédérique Deghelt, que je souhaitais lire depuis fort longtemps... Un ami a relancé ma curiosité ancienne, en le rapprochant à juste titre d'un premier roman dont je lui parlais avec enthousiasme : "Avant que naisse la forêt" de Jérôme Chantreau [ éd. Les Escales]. Il existe en effet un certain nombre de convergences, et de parallèles, entre les deux fictions...

De fort nombreuses critiques , de qualité, des plus élogieuses, à juste titre !
Je ne reviendrai pas sur les détails de l'intrigue... d'autres camarades l'ont déjà fait précédemment avec précision et talent.

Une quarantenaire, Gabrielle, à qui la vie semble sourire de toutes parts, tant professionnellement que sentimentalement, est contactée par un notaire, l'informant d'un héritage provenant du côté maternel, et plus exactement d'une tante... Elle se rend sur place , dans le but de vendre au plus vite... Elle fait connaissance avec un agent immobilier, pas comme les autres, Jean-Philippe, qui va lui faire prendre connaissance de son nouveau domaine, au milieu de nulle part...

Elle passe une nuit dans son nouveau territoire... n'ayant pu trouver à se loger... et son sommeil est traversé de rêves et de présences... Cela sera le début d'une relation fascination-répulsion- frayeur avec un espace, à la réputation sulfureuse: sa tante et sa grand-mère étaient des guérisseuses, et l'héritage de Gabrielle a été nommée "La terre des sorcières"....
La rencontre avec sa tante va être un vrai cataclysme d'informations sur son histoire familiale,les secrets, l'histoire de sa mère qui veut fuir ce monde parallèle, paranormal...

De plus , un accident de voiture va être le révélateur pour notre narratrice .... qui va constater la confirmation de ses dons de medium, révélés par sa tante...

Sa vie va basculer... tout ce qui faisait son existence: mari, chirurgien esthétique, brillant, aimant, (un brin "sexiste"), sa réussite dans une profession dans l'organisation d'événementiels, un bel appartement, des amis du même milieu...et puis cet héritage insolite, l'apprentissage de la nature, du silence des bois, vont enclencher une totale remise en question des valeurs qui construisaient son existence, mais dans une sorte de superficialité... Au lieu de se presser de vendre, elle va grâce à son nouvel ami, Jean-Philippe, l'agent immobilier (au parcours également atypique),
restaurer les deux "masures" délabrées...

Un roman qui parle de l'indicible,de l'incroyable: la présence des morts et nos dialogues ou non -dialogues avec avec nos disparus.

Un roman extraordinaire..."chamboulant", qui m'a appris simultanément une abondance de choses sur le surnaturel...les médiums... et surtout une histoire poignante offrant un regard différent sur le réel, sur nos vies souvent trop rationnelles, prises dans des rails invisibles mais combien rigides, formatant à l'extrême nos existences !
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Citations et extraits (406) Voir plus Ajouter une citation
"Vous les voyez, vous ?
- Qui ?
- Les morts.
- Les âmes, vous voulez dire ? Je les entends. Je les sens parfois, si elles ne disent rien et ne désirent pas communiquer.
- Alors je ne serai plus jamais normale ?
- L'étiez-vous ? Vivre sans savoir ce qu'on fout là, où on va se retrouver après, pourquoi on est venu, ça vous paraît normal comme postulat ? Voyez-vous, nous sommes en 2012, et nous avons un énorme problème. Tout est écrit partout, depuis longtemps, nos âmes s'expriment, notre intériorité se rebiffe. Nous inventons des petits cachets calmants pour apaiser cette sensation puissante d'être au monde d'une autre manière que celle d'avoir seulement un corps, une intelligence, une pensée. Bref, nous essayons. Mais tout ça ne marche pas. Alors nous avons inventé des maladies afin de nous obliger à nous regarder autrement. Mais ça ne suffit pas non plus. En résumé, nous sommes très occupés par ce qui ne compte pas, ce qui ne génère pas d'amour, ce qui ne coûte que de l'argent, ce qui matérialise et mécanise tout ce qui pourrait nous déranger. Et même la matière, nous la pervertissons. Je vais vous donner un exemple très concret. Même en allant au bout de la Terre, vous n'empêcherez jamais quelqu'un de penser à vous et de vous aimer. Cette puissance-là, nous n'en faisons rien. Nous ne savons même pas la reconnaître comme une puissance. Nous ne savons pas à quoi ça sert, un être qui est à l'autre bout de la Terre, qui pense à vous et dont la force d'amour a des conséquences.
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"A quoi est-ce que cela te sert, à toi, de croire qu'il y a une vie après ? C'est plus rassurant à l'approche de la mort ? Le paradis, l'enfer, c'est ça ?
- Je vais répondre à ta question par une autre question : "A quoi cela sert-il de penser que tout s'arrête et qu'il n'y a pas de suite?" C'est un discours lucide et moderne, loin des croyances ridicules de la religion et sur ce point je te suis. Par une sorte de prétention dont l'origine est impossible à retrouver, nous sommes partis sur une route où ce qui n'est pas explicable est indigne d'être cru. Nous avons lié comprendre et croire, savoir et choisir, expliquer et agir. Ce n'était pas nécessaire. Vois-tu, je suis ce que je sens, même si je ne peux pas l'expliquer. Je choisis la voie qui donne de la cohérence à mon existence, même si je ne sais pas tout, j'admets sans comprendre et, si je me suis trompée, je ne le saurai jamais. Mais si j'ai raison, parce que ma flamme intérieure brûle d'un feu immense que je relie à ce mystère, alors je serai comblée. A tout prendre, je préfère penser que tout à un sens, une direction, que la mort est une voie d'accès, la souffrance, une étape, et l'imcompréhension, un plan qui m'échappe. Et alort tout ce qui jalonne ma vie devient une évolution qui me donne des ailes et qui, c 'est vrai, me laisse entrevoir maintenant qu'un jour toute cette profondeur mystérieuse sera à ma portée. Ainsi je suis mieux, je me comporte mieux et surtout, l'amour que je porte aux autres me fait avancer. J'aime m'abandonner à l'idée bienfaisante qu'il y a un après qui ne ressemble pas à la colossale illusion que nous offre la religion pour nous faire marcher droit. Nous sommes aujourd'hui dans la problématique inverse à celle d'autrefois. Il n'était pas besoin d'expliquer pour croire. Aujourd'hui il ne suffit plus de croire, il faudrait comprendre. Pourtant, là où on ne peut éprouver des intuitions, tout est simple et profond. Il existe peu de choses à savoir réellement, mais chacune d'elles a une immense valeur. Tu le comprendras, on ne risque rien à devenir ce que l'on est déjà. On connaît la valeur de la vie et ce que ça peut apporter d'être au monde. Il ne faut mettre de l'énergie qu'à être soi-même. Se trouver reste la clé. Le corps est en quelque sorte le prédateur de l'âme. Comme la plante à laquelle s'accroche le visiteur parasite, il ne peut vivre qu'en sa compagnie. Une fois accroché à elle, il lui ôte toute liberté de penser que, sans lui, elle vivrait. C'est sa plus grande prédation : tuer en nous l'idée de l'immortalité. Il est important de clarifier ces priorités. Il n'y a que l'amour qui compte. Il y a bien longtemps que la peur qui te cloue au sol m'a quittée.
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Hier nos ancêtres tenaient pour fariboles et magie notre réalité d'aujourd'hui. Nous les traitons d'arriérés, nous rions de ces hommes qui ont cru que la Terre était plate, et nous faisons la même erreur.Dans un autre système vibratoire qui ne nous permet pas de les voir spontanément, les âmes sont des énergies qui peuvent se tenir près de nous. Vous verrez ou vous ne verrez pas, suivant l'époque de cette découverte,que dès que les hommes sauront cela, avec preuves indiscutables et scientifiques, ils considéreront avec mépris les pauvres arriérés que nous sommes de ne pas l'avoir compris et découvert assez vite.
p176
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Est-ce que çà veut dire que la vie a un sens ? Un sens unique ou un sens pour chacun ? Oui, mais lequel ? J'entrevois ce que pourrait être notre existence si nous étions soudainement informés de cette énormité sans doute possible. Par une sorte de révélation scientifique sous une forme indiscutable, nous pourrions savoir et prouver que mourir, c'est passer ailleurs. Avant même de savoir où, nous saurions que la mort est une porte et qu'en quelque sorte nous sommes éternels, immortels. Vertigineux mais pas si étonnant quand on y réfléchit bien. Ça ne choque personne qu'après l'hiver il y ait un printemps et que tout ce qui meurt se mette à renaître...
P194
Commenter  J’apprécie          361
Tout se déroule en pleine conscience. Et parallèlement à cet étrange exercice durant lequel je sens ces êtres partir vers un ailleurs où je ne peux pas aller pour l'instant, je me dis que cette question que chacun se pose :" Où allons-nous après la mort ?" n'est absolument pas la bonne. La question serait plutôt : " Qu'avons-nous à faire tant que nous sommes là ?". Malgré tout ce qui se passe devant et en moi, la question suit son chemin, mes pensées accélèrent leur rythme, comme si j'allais enfin savoir.
P303
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Vidéo de Frédérique Deghelt
Peut-être avons-nous tendance à l'oublier aujourd'hui, mais longtemps, la lecture est restée le privilège des hommes. Les femmes, elles, assignées au monde domestique, en étaient privées. Jusqu'au jour où les livres sont enfin devenus, pour la moitié de l'humanité, un précieux compagnon, un moyen de s'évader, de comprendre, d'oser, de découvrir, de rêver...
C'est cette relation singulière qui lie les femmes et la lecture que nous allons évoquer dans cet épisode, avec notre invitée, l'écrivaine Laure Adler.
Vous pourrez aussi entendre la bibliographie des libraires de Dialogues, proposée par Catherine.
Et nous donnerons la parole au réseau des médiathèques de Brest, au cours d'un entretien avec la bibliothécaire Aude Escudié.
Bibliographie
- Les femmes qui lisent sont dangereuses de Laure Adler (Éd. Flammarion) https://www.librairiedialogues.fr/livre/8167455-les-femmes-qui-lisent-sont-dangereuses-laure-adler-stefan-bollmann-flammarion - Les Vilaines, de Camila S osa Villada (Éd. Métailié) https://www.librairiedialogues.fr/livre/17913959-les-vilaines-camila-sosa-villada-anne-marie-metailie - Matilda de Roa ld Dahl (Éd. Gallimard jeunesse) https://www.librairiedialogues.fr/livre/15297024-matilda-le-texte-original-roald-dahl-gallimard-jeunesse - La Grand-mère de Jade de Frédérique Deghelt (Éd. Babel) https://www.librairiedialogues.fr/livre/2300087-la-grand-mere-de-jade-frederique-deghelt-actes-sud - Grâce et dénuement d'Alice Ferney (É d. Flammarion) https://www.librairiedialogues.fr/livre/5387469-grace-et-denuement-alice-ferney-actes-sud - le Livre de deux chemins de Jodi Picoult (Éd. Ac tes Sud) https://www.librairiedialogues.fr/livre/18050624-le-livre-des-deux-chemins-jodi-picoult-actes-sud - le Livre du rien de Rémi Courgeo n (Éd. Seuil Jeunesse) https://www.librairiedialogues.fr/livre/18050624-le-livre-des-deux-chemins-jodi-picoult-actes-sud - Les Passeurs de livres de Daraya de Delphine Minoui (Éd. Points) https://www.librairiedialogues.fr/livre/18050624-le-livre-des-deux-chemins-jodi-picoult-actes-sud - Ici les femmes ne rêvent pas de Rana Ahmad (Pocket) https://www.librairiedialogues.fr/livre/18431677-ici-les-femmes-ne-revent-pas-recit-d-une-evasion-rana-ahmad-pocket - Dysfonctionnelle d'Axl Cendres ( Éd. Sarbacane) https://www.librairiedialogues.fr/livre/8347130-dysfonctionnelle-axl-cendres-sarbacane
Générique : Sara Petit.
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