Bien souvent partis de rien, comme Chanel, orpheline à Aubazine, ou Vuitton, jeune analphabète, ces fondateurs de dynasties ou de marques de prestige ont eu la force de croire en eux, avec la capacité de toujours se remettre en selle après un échec, ils ont su saisir les opportunités, car il y a aussi le facteur chance dans leur ascension jusqu'à la réussite, jusqu'au succès. Ce succès qui crée des envieux, pour lequel rien n'est facile, y compris donner l'envie à la génération suivante qui devra se battre à son tour. Coups du sort et renaissances, difficultés embûches, la foi en soi sauve et l'intelligence aussi : devoir se renouveler et innover sans cesse dans leur savoir-faire est le credo de ces marques de luxe.
Sept chapitres, chacun consacré à un destin, ouvrage pour les passionnés de création, de mode...mais aussi simplement pour le plaisir de découvrir ces réussites exceptionnelles.
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Trois critères ont guidé mon choix dans les marques qui, de familiales qu'elles étaient au départ, perdurent à l'identique en ce début de XXIe siècle :
- Leur pérennité dans le monde d'aujourd'hui.
- L'ancienneté de leur histoire, écartant par là même, celles qui n'ont pas réussi à passer le cap de deux générations au poste de commande.
Les métiers : au départ de chaque dynastie, on trouve en effet, un métier ou un savoir-faire particulier : la joaillerie pour Cartier, la couture pour Chanel, la chaussure pour Ferragamo, la maroquinerie pour Gucci, la sellerie pour Hermès, les bagages pour Louis Vuitton, l'automobile pour Rolls-Royce.