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EAN : 9782253078470
288 pages
Le Livre de Poche (07/04/2021)
4.31/5   78 notes
Résumé :
En 1942, Colette a 22 ans et elle est étudiante en médecine à l’hôpital Rothschild de Paris. En fait d'hôpital, c'est plutôt l'antichambre de l'enfer puisque les Juifs qui passent par cet établissement sont ensuite envoyés dans les camps de la mort.
Face à l’atrocité de la situation, Colette intègre un réseau d’évasion qui permet aux enfants de l'hôpital d’échapper à la déportation. Car, si personne ne sait vraiment ce qui les attend, on connaît l’horreur du ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (33) Voir plus Ajouter une critique
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Beaune-la-Rolande (1939), Pithiviers (1941), Drancy (1941), lieux restés dans les mémoires en tant que camps de transit, pudiquement appelés camps de rassemblement des Juifs, avant leur transfert vers la gare du Bourget et la déportation en Pologne durant la Deuxième Guerre mondiale.

L'hôpital Rothschild à Paris (1852 – 12e arrondissement) comporte, outre un établissement de soins, un hospice et un orphelinat initialement destinés aux personnes de confession juive. Durant la Première Guerre mondiale, il devient un hôpital auxiliaire militaire et reçoit des blessés sans distinction philosophique. Il est aussi le seul hôpital juif toléré par les Allemands.

A partir de 1940, il sert d'annexe au camp de Drancy dépourvu d'unités de soins spécialisés. Hommes, femmes et enfants y sont envoyés provisoirement. Rothschild devient alors un hôpital-prison pour les Juifs en traitement, contrôlé méticuleusement et souvent très durement par les Allemands et la police française.

En 1941, la jeune Colette Brull y entre comme étudiante en médecine et côtoie chaque jour la barbarie humaine. Rapidement, elle perçoit la même colère rentrée chez certains de ses collègues. Notamment, la plus que discrète, Claire Heyman, assistante sociale. La rafle du Vel d'hiv' en juillet 1942 la meurtrit plus encore. Elle apprend alors qu'un groupe de résistants s'est formé à l'hôpital afin d'éviter que les enfants soient renvoyés à Drancy et déportés. C'est ainsi que des dossiers de jeunes malades sont escamotés ou maquillés, que certains sont déclarés décédés, que d'autres se voient attribuer des infections graves alors qu'en fait, ils sont évacués de l'hôpital et dirigés vers des institutions de bienfaisance ou des personnes sûres.

Cela représente un risque énorme tant pour les enfants que pour le personnel, d'autant plus que certains médecins collaborent pleinement avec les Allemands. Colette Brull participe à certaines de ces évasions. Mot d'ordre impératif : motus et bouche cousue. Jamais ils n'ont fait évader des enfants dont les parents, prisonniers des camps, n'en acceptaient pas le principe… alors que de toutes façons…Auschwitz… Un drame humain de plus pour Claire Heyman, Colette Brull et leurs collègues.

Après sa fuite de l‘hôpital, Colette entre dans la Résistance aux côtés de son père (croix de guerre de la Première Guerre mondiale) et participe à des repérages de l'artillerie allemande sur les toits de Paris, à la fabrication de faux papiers, etc.

Après la guerre, elle reçoit la croix de guerre avec palmes et devient pédiatre pour soigner un maximum d'enfants et tenter d'oublier tous ceux qui n'ont pu être sauvés… Peine perdue, elle n'a jamais pu oublier, et c'est en se rendant compte qu'elle était le dernier témoin de ces années terrifiantes à l'hôpital Rothschild (et ailleurs) qu'elle a décidé de témoigner, à ses enfants d'abord, puis d'en faire un devoir de mémoire.

Ce livre est dédié au courage et à la ténacité de Claire Heyman, instigatrice du réseau d'évasion de l'hôpital Rothschild. Modeste jusqu'à l'abnégation. Claire Heyman est décédée en 1997 emportant avec elle le secret de son héroïsme et le nombre d'enfants sauvés grâce à ses multiples stratagèmes

En 2011, une plaque commémorative a été apposée sur le mur d'entrée de l'hôpital avec le nom de tous ceux qui ont refusé la collaboration avec l'ennemi et qui, souvent, l‘ont payé de leur vie.

Grand merci à enjie77 qui a écrit un billet très émouvant sur ce livre, seul témoignage, forcément dur et nécessaire, de ce qu'il s'est passé à l'hôpital Rothschild.

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Il y a des gens comme ça qui font que la vie change. Des gens qui redonnent espoir en l'humanité.

Colette Brull-Ulmannen en faisait partie. Une femme impressionnante, qui nous a quitté il y a un mois.

Son témoignage sur la seconde guerre mondiale est poignant. Son investissement, et celui de bien d'autres femmes et hommes est une véritable ode à la liberté, a la générosité et a l'abnégation.

On ne peut sortir indemne d'un tel roman, mais en même temps il permet au lecteur de garder espoir, de se souvenir d'hommes et de femmes exceptionnels.
Des personnes dont L Histoire a oublié les noms. C'est de ces personnes là que nos enseignants devraient parler... Pour qu'on n'oublie pas qu'à côté de l'obscurantisme, il existait des personnes qui se battaient, qui rusaient, qui souffraient pour en sauver d'autres.

Une fois encore je pense que ce type de témoignage devrait être d'utilité publique, devrait être mis dans les listes de lecture de l'éducation nationale.

J'ai une admiration sans bornes pour ces résistants, ces combattants de l'ombre.

Un livre assurément a mettre entre toutes les mains. Un livre qui a pour vocation un devoir de mémoire.
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Les enfants du dernier Salut c'est l'histoire de Colette et de sa famille. Un récit de vie qui percute de plein fouet l'Histoire. Colette est une petite fille enjouée, un peu potelée, toujours échevelée et mal fagotée. Elle vit un peu dans l'ombre de Yoyo, sa grande soeur, qui elle a toujours l'air d'une publicité pour petite fille modèle. Malgré leurs différences elles s'adorent. Leur mère vient d'une famille juive croyante et fortunée, elle est un peu collet montée mais aimante. Leur père vient d'une famille désargentée et athée il a gravit les échelons à force de travail et de persévérance. C'est un homme intelligent et charismatique . Un mentor pour Colette dont les mots trahissent tout l'amour et l'admiration qu'elle lui porte. Elle éprouve beaucoup de tendresse pour chacun des siens mais elle se sent un peu à part. Colette n'est pas Yoyo, elle se cherche , peine trouver sa place, sa voie, elle ignore qui elle est jusqu'à ce qu'une évidence s'impose à elle : elle sera pédiatre, elle est faite pour ça. C'est décidé et rien ni personne ne pourra se mettre en travers de son chemin pas même une guerre mondiale !
Nous accompagnons Colette dans cette lutte acharnée et en cheminant à ses côtés le lecteur se trouve piégé dans un quotidien de plus en plus compliqué, de plus en plus dangereux. Les Allemands calmes et polis du début laissent place aux nazis et la violence va crescendo. Au début Colette peine à y croire elle est optimiste, mais les jours qui passent donnent raison à son père : Pétain n'est pas digne de confiance et c'est un pogrom qui se prépare, ici en France. Cette vérité est d'autant plus insoutenable que Colette se sent Française et voit mal ce qui pourrait bien la différencier des autres. L'administration va s'en charger, athée ou pas elle est classé juive et étiquetée comme telle, sur ses papiers, sur sa poitrine. C'est comme être marquée au fer rouge. Colette se sent humiliée. Elle n'a pas honte d'être juive mais honte d'être stigmatisée. Qu'ont-ils fait à la fin? Sans compter que le port de cette étoile pourrait briser son rêve. Elle ne comprend pas encore que ce qui se prépare est bien pire.
Heureusement il y a l'hôpital Rothschild qui prend soin de ceux qui sont à Drancy, ce lieu affreux d'où les hommes sont déportés pour aller travailler. Mais Colette comprend peu à peu, là aussi on ment à la population. La rafle du Vel d'Hiv, les inspections des responsables de Drancy à l'hôpital, l'état dans lequel les gens arrivent, l'empressement du directeur de Drancy à les voir revenir rapidement et à les entasser dans ces trains direction… direction où ? Pas un camps de travail non Colette n'y crois plus. Direction l'enfer sur terre ! Mais alors les vieillards, les enfants? Non pas les enfants ! Qui oserait !? Des enfants ! Et pourtant Colette comprend l'inimaginable, l'indicible. Alors elle agit. Sans trop savoir, sans avoir de détails elle se laisse porter. Il faut sauver les enfants, c'est tout ce qui compte. Mais tous ne pourront pas l'être et il faudra vivre avec ça. Avec les remords, avec les regrets, avec la colère et la peine immense et indicible. Alors Colette continue, fait ce qu'elle doit faire jusqu'à ce qu'enfin la guerre soit gagnée. Mais la victoire est amère, les fantômes trop présent et pendant longtemps Colette se taira, ravagée de chagrin et hantée par ce qu'elle n'a pas réussi à faire. Oubliant les prouesses réalisées.
Pourtant comme elle a bien fait Colette de raconter son histoire. Elle le fait simplement en toute humilité. C'est une grande dame qui s'ignore. Raconter son histoire aura permis de faire vivre un peu encore ceux qui n'en ont pas réchappé et de faire connaître ce réseau d'exfiltration des enfants de l'hôpital Rothschild, voués, sans cela, à une mort certaine et inhumaine. Raconter son histoire c'est aussi faire connaître ceux qui ont fait vivre ce réseau et qui pour des raison de sécurité n'en ont laissé aucune trace : Maria ERRAZUZIZ, Claire HEYMANN, Marcel LEIBOVICI, Désirée DAMANGOUT, …

Colette offre un bel hommage à ces hommes et ces femmes de l'ombre, à ces enfants mais aussi à sa famille. Un parcours hors du commun qui force l'admiration.
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Connaissiez-vous l'histoire de l'Hôpital Rothschild pendant l'occupation? Connaissiez-vous le nom de Claire Heyman?
Saviez-vous que cet hôpital était le seul établissement où pouvaient encore exercer des médecins juifs sous une direction agréée par l'occupant. Que cet hôpital était devenu une annexe de Drancy.
Ce livre est le témoignage émouvant du Docteur Colette Brull-Ulmann qui à cette époque, étudiante en médecine, s'est retrouvée à participer à un réseau de sauvetage d'enfants juifs.
Claire Heyman, initiatrice de ce réseau, a quitté ce monde sans jamais témoigner. Elle est restée discrète sur sa vie et son formidable courage, bravant tous les interdits, pour sauver des enfants.
Aucun ouvrage d'historien n'est venu lui rendre hommage. Depuis quelques temps, Colette, notre narratrice, libère sa parole, consciente qu'elle est la dernière mémoire de cette extraordinaire sauvetage.
Une plaque commémorative a été apposée à l'entrée de la Fondation, rue de Picpus.
C'est un livre très émouvant, écrit simplement, très facile à lire. Colette nous raconte son enfance et d'où lui vient cette vocation de pédiatre jusqu'à son arrivée au sein de l'Hôpital Rothschild. J'ai beaucoup apprécié son récit sur le quotidien des parisiens pendant l'occupation. Elle porte l'étoile jaune. Elle nous fait part de ses réflexions, de ses révoltes, face à l'humiliation que subissent les juifs. C'est un livre que la jeune génération devrait lire tant elle raconte simplement le quotidien des parisiens. C'est très vivant.
Bien sur, il y a un chapitre difficile, bien sur, on retrouve les salauds!
Mais pour Claire Heyman, je vous recommande ce livre, pour ne pas oublier, pour lui rendre hommage.
"page 251 Colette nous dit "Je suis devenue celle qui soigne pour essayer de repousser ces moments terribles où l'homme ne peut rien contre le mal. Ce combat a duré toute ma vie. Pédiatre, j'ai vu la maladie prendre des enfants, j'ai été impuissante, folle d'impuissance et de rage comme je l'avais été dans la cour de l'Hôpital. Mais j'ai soigné et guéri d'autres enfants. Et lorsque la maladie reculait, qu'elle abdiquait avant de fuir, ils me regardaient, épuisés, fragiles, mais heureux et bien vivants. Et il y avait leur sourire"
C'est beau n'est ce pas! Colette m'a touchée en plein coeur! J'ai les larmes aux yeux!
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Colette Brull est une jeune fille d'origine juive qui se destine à la médecine quand éclate la Seconde Guerre Mondiale. Mais à cause des nouvelles lois édictées par Hitler, Colette ne peut pas s'inscrire pour passer ses examens. Elle fait la rencontre de Jacques Ulmann, un jeune étudiant en médecine comme elle, qui lui apprend que l'hôpital Rothschild, qui soigne les malades du camp d'internement de Drancy, recherche des volontaires pour y travailler. La jeune fille entre donc à Rothschild et très vite comprend que l'hôpital essaie de retarder le retour des malades à Drancy au maximum pour différer leur déportation et fait "disparaître" des enfants pour les mettre en sécurité. Colette s'investit dans ces actions de Résistance. Parallèlement, la situation en France devient de plus en plus difficile, la faim, le froid, la misère gagnent toutes les familles. le père de Colette est arrêté et envoyé à Drancy. A son retour, ce n'est plus que l'ombre de lui-même. Face aux rafles qui se multiplient, le frère et la soeur de Colette sont envoyés loin se mettre en sécurité.

Je lis beaucoup de romans et de témoignages sur la Seconde Guerre Mondiale et je n'avais jamais entendu parler de l'histoire méconnue de l'hôpital Rothschild qui a recueilli et sauvé la vie d'enfants et d'adultes juifs sous l'Occupation. C'est donc avec curiosité que j'ai lu ce roman facilement et rapidement.
Là où j'ai été un peu déçue par contre, c'est que je m'attendais à ce qu'une plus grande place soit donnée au sauvetage des enfants juifs de l'hôpital, comme le laissait penser la quatrième de couverture du livre et finalement, le livre parle beaucoup plus de la vie extrêmement difficile pendant cette période. Ce n'était donc pas une nouveauté pour moi de ce côté là.
La partie que j'ai trouvée la plus émouvante, c'est lors de la rafle de l'orphelinat et quand Colette ne réussit pas à sauver des griffes des nazis Danielle, une petite fille à laquelle elle s'était attachée. IL y a beaucoup d'émotion à ce moment.
Je ne suis pas sûre de conserver longtemps ce livre en mémoire car il y a peu d'éléments vraiment marquants pour moi dans ce livre.
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Elle finit par m’avouer, honteuse, que le maire refuse ces compléments [du lait en poudre] parce qu’ils viennent des Américains. En bon communiste, il obéit aux consignes de ses chefs qui veulent à tout prix faire échouer le plan d’aide américain. Quitte à faire souffrir des enfants.

p. 236
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En 2011, une plaque commémorative a été apposée à l'entrée de la Fondation de Rothschild, rue de Picpus à Paris. En voici le texte intégral : La Fondation de Rothschild
De 1941 à 1944, les établissements de la Fondation de Rothschild : l'hôpital, l'orphelinat, l'asile de vieillards, le sanatorium, dont certains réquisitionnés par la police de Vichy, furent transformés en annexe du camp de Drancy. Au cours de cette période, la plus noire de son existence, un certain nombre de membres du personne de la fondation se sont conduits de façon héroïque.
Ils ont contribué à sauver la vie de nombreux enfants et adultes qui, parce qu'ils étaient nés juifs, étaient promis à une mort certaine dans les camps d'extermination nazis.
Nous leur exprimons ici notre reconnaissance. Ils sont l'honneur de notre fondation.
Suivent le nom et prénom, des personnes concernées...
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En quelques semaines, des liens indéfectibles nous unissent, comme entre compagnons de combat. Il y a ceux qui détournent les yeux et ne font rien, ceux qui ont peur, en qui l'on n'a pas confiance, devant qui l'on ne parle pas. Et les autres, ceux qui agissent et prennent des risques. On ne se dit rien, on ne sait pas ce que font les autres; tout passe par des mots qui nous échappent, par le regard ou par des attitudes.
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Le temps de la sidération passé, certains protestent,mais le ton se durcit aussitôt : pour une lacération d'affiche, c'est la peine de mort. L'emprisonnement pour ceux qui manifestent dans les cinémas pendant les actualités.
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Au fil du temps, je m'étais persuadée que le silence peut effacer les mauvais souvenirs. Mais c'était faux. Les douleurs ne font que tourner en rond, comme des prisonnières dans leurs cellules ; elles frappent aux barreaux, elle piétinent dans le noir et se rappellent à vous dès que vous êtes seul avec vous-même.
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Videos de Colette Brull-Ulmann (6) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Colette Brull-Ulmann
[EMISSION] LES COUPS DE COEUR DES LIBRAIRES 09–04-2021
L'émission "Le coup de coeur des libraires est diffusée sur les Ondes de Sud Radio, chaque vendredi matin à 10h45. Valérie Expert vous donne rendez-vous avec votre libraire Gérard Collard pour vous faire découvrir leurs passions du moment ! • Retrouvez leurs dernières sélections de livres ici ! • • le dernier hiver du Cid de Jérôme Garcin aux éditions Folio https://www.lagriffenoire.com/1077988-romans-le-dernier-hiver-du-cid.html • Les enfants du dernier salut de Brull-Ullmann Colette et Jean-Christophe Portes aux éditions Livre de Poche https://www.lagriffenoire.com/1078634-essais-d-actualites-les-enfants-du-dernier-salut.html • Je ne suis plus inquiet de Scali Delpeyrat aux éditions Actes Sud https://www.lagriffenoire.com/1069145-jeunesse-je-ne-suis-plus-inquiet.html • Ça ne pouvait pas tourner autrement ! de Eliane Saliba Garillon aux éditions de L'Escampette https://www.lagriffenoire.com/1078907-article_recherche-ca-ne-pouvait-pas-tourner-autrement-.html • La Maison aux miroirs de Cristina Caboni et Marie Causse aux éditions Presses de la Cité https://www.lagriffenoire.com/1077795-romans-la-maison-aux-miroirs.html • Cueilleur d'essences: Aux sources des parfums du monde de Dominique Roques aux éditions Grasset https://www.lagriffenoire.com/1075306-essais-d-actualites-cueilleur-d-essences---aux-sources-des-parfums-du-monde.html • Pourquoi rêver les rêves des autres ? : Lettres de mon ailleurs de Fernando Pessoa, Lorenzo Flabbi aux éditions L'orma https://www.lagriffenoire.com/?fond=produit&id_produit=1042689&id_rubrique=12 • le bonheur est au fond du couloir à gauche de J.M. Erre aux éditions Buchet-Chastel https://www.lagriffenoire.com/?fond=produit&id_produit=1068074&id_rubrique=12 • Je n'ai plus le temps d'attendre de Jean-Louis Fournier aux éditions JC Lattès https://www.lagriffenoire.com/1073402-romans-je-n-ai-plus-le-temps-d-attendre.html • Veuf de Jean-Louis Fournier de Jean-Louis Fournier aux éditions Livre de Poche https://www.lagriffenoire.com/6889-poche-veuf.html • Où on va, papa ? de Jean-Louis Fournier aux éditions Livre de Poche https://www.lagriffenoire.com/?fond=produit&id_produit=14902&id_rubrique=21 • • Chinez & découvrez nos livres coups d'coeur dans notre librairie en ligne lagriffenoire.com • Notre chaîne Youtube : Griffenoiretv • Notre Newsletter https://www.lagriffenoire.com/?fond=newsletter • Vos libraires passionnés, Gérard Collard & Jean-Edgar Casel • • • #lagriffenoire #bookish #bookgeek #bookhoard
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