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Les enquêtes de Miss Merkel tome 2 sur 2
EAN : 9782824622682
304 pages
City Editions (06/09/2023)
3.47/5   31 notes
Résumé :
Le jardinier n'est pas toujours le tueur, parfois c'est le cadavre ! Angela Merkel, retraitée dans un coin de la campagne allemande, s'en rend compte à ses dépens lorsqu'elle tombe nez à nez avec le cadavre du jardinier du cimetière de son village. Le mort a littéralement été « planté » dans le sol, seules ses jambes dépassent de la terre. Les suspects du meurtre ne manquent pas. À commencer parmi les deux familles de croque-morts qui ne supportent pas, entre un dir... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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J'avais pris beaucoup de plaisir à découvrir cette série avec le premier volume et là, au bout du second, je sature déjà !
Il faut dire que la recette est la même, Angela Merkel a pris sa retraite de chancelière et s'ennuie un peu dans le village où ils se sont installés, alors elle s'improvise détective amateur quand des meurtres sont commis, mais en vérité, elle n'est pas très douée et découvre plutôt la vérité par hasard.
Ce volume est en tout point identique à un des romans de la série "Agatha Raisin" de M.C. Beaton, le crime est commis exactement de la même façon et la personne décédée exerçait le même métier.
L'humour est toujours présent mais il n'y a plus le plaisir de la découverte et certains détails sont perturbants comme le chien d'Angela qui s'appelait Poutine dans le premier tome et s'appelle désormais Proutsi.
Je l'ai terminé en diagonale, gagnée par l'ennui.
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David Safier remet Angela dans son rôle de chancelière à la retraite mais surtout en tant qu'enquêtrice. Angela c'est bien sûr Angela Merkel.

Elle s'ennuie tellement dans son petit village, sans son Puffel qui est parti en excursion avec son ami; qu'elle en vient à désirer un nouveau meurtre qui finit par arriver. Son coeur va même battre un peu plus vite.

Malheureusement, je pense que ce tome est de trop.
C'était déjà un peu trop léger sur le premier tome au niveau de l'enquête et de la présentation des suspects. Même chose ici et en plus une grande part de l'humour s'est envolée avec le changement de nom du chien. On passe du chien Poutine à Prousti et ça ne donne pas du tout la même chose. Macron, Hollande et même Sarkozy pour les Présidents Français en prennent toujours quelques unes dans les dents mais ça ne suffit pas à relever le tout.

L'auteur comble son texte comme il peut pour le rallonger, notamment avec trois chapitres qui ne servent à rien : la chanson de Puffel, Mike à la Pole Dance et les commentaires de Prousti.

Il n'oublie pas de rappeler quelques personnages de ses romans précédents avec la vache de "Le fabuleux destin d'une vache qui ne voulait pas finir en steak haché", la fourmi de "Maudit Karma" et Shakespeare dont il parle largement avec "Sors de ce corps, William !"

Un vite fait qui tourne au mal fait.
Une perte de temps pour lui et moi pauvre lectrice.
David Safier ne devrait pas retenter le polar, ça ne lui réussi pas.
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Angela vit sa meilleure vie à Klein Freudenstadt : elle profite de sa retraite, en gâtifiant avec le bébé de sa nouvelle amie Marie, le promenant partout dans le village, même au cimetière.
Un lieu de rencontres, le cimetière : des vaches, des jeunes femmes tristounettes, des satanistes, un croque-mort hyper séduisant, et surtout le cadavre du jardinier assassiné… Et revoilà Miss Merkel en piste pour résoudre ce mystère…

Là où l'auteur s'était appuyé sur l'originalité de son idée, ça ne fonctionne plus sur un tome 2. Il est donc nécessaire de se renouveler, mais là, il n'y parvient pas. Si l'enquête policière reste plaisante, elle est beaucoup plus prévisible que dans « Meurtre d'un Baron Allemand » : en effet, malgré les fausses pistes tendues par l'auteur, on renifle le coupable à plein nez. L'humour s'est également plutôt évaporé, un des seuls éléments vraiment drôles étant d'imaginer Angela Merkel toute émoustillée par un homme… Poutine a disparu, devenant Proutsi, et effaçant ainsi toute l'ironie d'appeler un chien de cette manière (surtout quand on est Angela Merkel). Enfin, j'ai sauté certains passages, qui n'apportaient rien, à mon sens, ni à l'humour, ni à l'enquête… Bref, ça reste sympa, mais sans plus…
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J'avais bien aimé le tome un, cependant, j'ai trouvé ce tome deux moins extravagant, et je ne sais pas encore si je lirai le tome trois...
Pourtant on ne s'ennuie pas dans ce tome, on aime le personnage d'Angela Merkel, ses proches possèdent également ce capital sympathie. L'intrigue serait une bonne idée, mais on se doute assez vite de la solution finale, et c'est peut-être ce qui me laisse un peu sur ma faim dans cette lecture qui ne manque pourtant pas de rebondissements, bien qu'il y ait des longueurs inutiles dont on se passerait volontiers.
Le Carlin d'Angela a été débaptisé pour répondre dans ce tome deux, au nom de Proutsi (il se nommait Poutine dans le tome un).
A Klein-Freudenstadt, l'ancienne chancelière Angela Merkel poursuit sa retraite, sous la protection de Mike, son garde du corps, et en compagnie de son chien et de son époux, Achim Sauer, qui en ce début d'intrigue se trouve en excursion dans les Pyrénées. Pendant ce temps, Angela tombe sous le charme d'un croque-mort amateur de Shakespeare qu'elle surnomme "Aramis"... Et cet "Aramis, Kurt Kunkul de son vrai nom, a une histoire de famille bien compliquée... C'est alors que le jardinier du cimetière de Klein-Freudenstadt est assassiné...
Je ne comprends toujours pas pourquoi on qualifie cette série de "désopilante", l'humour de l'auteur n'est vraiment pas irrésistible, et même un peu enfantin par moments, mais l'ensemble reste sympathique.
Lien : https://lecturesdartlubie.bl..
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Le jardinier n'est pas toujours le tueur, parfois c'est le cadavre ! Angela Merkel, retraitée dans un coin de la campagne allemande, s'en rend compte à ses dépens lorsqu'elle tombe nez à nez avec le cadavre du jardinier du cimetière de son village. le mort a littéralement été « planté » dans le sol, seules ses jambes dépassent de la terre. Les suspects du meurtre ne manquent pas. À commencer parmi les deux familles de croque-morts qui ne supportent pas, entre un directeur général douteux, un comptable véreux, un orateur funéraire sensible, un sataniste et un tailleur de pierre cultivé ! Non seulement Angela partage son amour de Shakespeare avec ce dernier, mais le vieil homme ressemble étrangement à une ancienne star de cinéma française. Angela tombera-t-elle sous le charme brut de cet homme ? Pas sûr que son mari apprécie... Mais pour l'heure, elle décide de prendre les choses en main afin de préserver la tranquillité de son village. Et avec l'aide de son chien Proutsie et de son garde du corps, elle va mener une enquête qui risque bien de la conduire 6 pieds sous terre si elle ne prend pas garde à ses arrières...
Toujours beaucoup d'humour dans ces romans.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
- Vous pouvez attendre dehors, il n'y a pas de problème.
- En la qualité de votre agent de protection rapprochée, je me dois de rester à vos côtés, répliqua-t-il avec bravoure.
- Avez-vous déjà vu Élie l'effilée en action ? demanda Radszinski en souriant.
- Ellie l'effilée ?
- C'est elle, là.
La femme corpulente saisit une scie géante sur une étagère. Elle la présenta à Mike, son mégot arrogamment pendu au lèvres comme Lucky Luke.
- Elle... elle... est rouillée, dégluti Mike.
- Bah, celui-ci, dit la médecin légiste avec un grand sourire en désignant le cadavre, n'attrapera plus le tétanos.
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Achim pouvait faire des plaisanteries exquises, mais pour les comprendre, il fallait souvent s'y connaître en physique quantique, philosophie schopenhauerienne, ou en peinture italienne du début de la période baroque.
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Si l'on voulait, on pouvait se faire enterrer dans un cercueil du FC Bayern. Ou bien dans un modèle Princesse Diana. Et pour une raison obscure, il y avait également un cercueil Modern Talking.
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Angela (...) se dirigea vers un secrétaire qui aurait dû atterrir à la déchetterie depuis vingt ans déjà. Seules quelques feuilles vierges étaient éparpillées dessus. Un peu comme celui de Donald Trump lorsqu'il faisait semblant de travailler dur pour les photographes.
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Angela couvait rarement des fantasmes de violence. Mais elle aurait adoré confier cette brute épaisse de commissaire aux mains d'un manifestant conspirationniste anti-COVID en criant bien fort : "C'est lui qui fabrique les puces pour Bill Gates! "
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