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Les enquêtes du commissaire Dupin tome 3 sur 11
EAN : 9782258118416
360 pages
Presses de la Cité (07/04/2016)
3.58/5   104 notes
Résumé :
Sur les indications de son amie Lilou Breval, journaliste à Ouest-France, notre "caféinodépendant" commissaire Dupin, en repérage le long des canaux, est la cible d'une fusillade. Le lendemain, un cadavre flotte entre deux eaux : Lilou a payé sa curiosité de sa vie. Dupin enquête alors sur de mystérieux tonneaux en plastique bleu aperçus par la journaliste. Que cachent-ils ? Interrogatoires de témoins et de professionnels se succèdent. Céline Corbier, responsable de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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Son nom d'auteur est Jean-Luc Bannalec mais son véritable nom est Jörg Bong, écrivain d'origine allemande qui nous fait partager dans ses livres son amour de la Bretagne.
Le commissaire Dupin, que nous retrouvons dans ce troisième volet, a quitté Paris pour rejoindre la Bretagne.
Il est alerté par une journaliste locale sur la présence de mystérieux barils bleus dans le "Gwen Ran", le pays blanc, où s'étendent les marais salants de Guérande.
Quels sont les enjeux autour de la production du sel? Comme dans bien d'autres activités, l'heure est au regroupement et une grande entreprise est en passe de racheter les petites entreprises détenues par les paludiers traditionnels.
L'enquête sera menée tambour battant auprès des propriétaires de salines, de la directrice du Centre du Sel, et d'une jeune chimiste.
L'occasion de parcourir avec cette enquête tout ce magnifique pays du Golfe du Morbihan et son arrière-pays. Un plongée dans les magnifiques îles du Golfe dont la célèbre Ile-aux-Moines.
Après une première enquête sur un tableau de Gauguin (« Un été à Pont-Aven« ), puis une seconde dans le milieu des sports nautiques (« Etrange printemps aux Glénan« ), cette troisième aventure est à la hauteur des précédents tomes. Une lecture très agréable et qui donne une belle image d'une de nos plus belles régions.
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Comme pour Ouragan sur Damgan, d'Hervé Huguen, c'est la nostalgie des grandes vacances d'enfance, des heures passées à vélo, le vent de face, à pédaler furieusement dans les marais salants de Guérande en direction du Croisic, qui m'a fait choisir Les marais sanglants de Guérande au rayon Polars de ma librairie préférée de Pointe à Pitre.

Première surprise en ouvrant le livre : "traduit de l'allemand" ; le nom de son auteur - Bannalec - sentait pourtant son Breton pur beurre ! L'explication est vite donnée dans le bref paragraphe concernant l'auteur.

L'ouvrage est plaisant, et j'ai apprécié de retrouver oeillets et étiers, hérons, mouettes et vanneaux.
L'intrigue est bien ficelée : le commissaire Georges Dupin, en poste à Concarneau, se rend dans les marais salants de Gwen Ran - le Pays Blanc - sur la suggestion d'une journaliste de ses amies que la présence de fûts de plastique bleu sur place rend suspicieuse. Et c'est vrai qu'ils font tâche dans le paysage, ces objets indéniablement modernes, dispersés dans une nature quasiment intouchée depuis plus de mille deux cents ans.

Les marais sanglants de Guérande a ceci d'original, comparé à la construction classique de romans policiers, qu'à l'inverse de ceux-ci il n'y a pratiquement pas de suspects au début de l'enquête, et soudain pléthore alors qu'elle touche quasiment à sa sa fin.

Assisté de la commissaire Sylvaine Rose, de Guérande, le commissaire Dupin navigue entre marais salants et golfe du Morbihan, dans une enquête où la découverte de la région et de son patrimoine gastronomique compte autant - sinon plus - que celle visant à retrouver le coupable.

Une promenade à faire avec une carte de la région du golfe sous les yeux - on se repère mieux - et un sachet de caramels au beurre salé à portée de main.
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C'est le soir que Dupin s'aventure imprudemment dans le labyrinthe des salines. Son amie, la journaliste Lilou Bréval lui a demandé de repérer d'étranges barils de plastique bleu qui, à première vue, n'ont rien à faire à cet endroit.Tandis qu'il avance sur l'étroit chemin qui sépare les bassins, le commissaire est pris pour cible par un tireur invisible. Il ne doit son salut qu'à un hangar providentiel dont les collègues de l'endroit viennent le déloger. Une bizarre enquête s'annonce, où Dupin, qui ne sait pas très bien ce qu'il cherche, est obligé de faire équipe avec l'autoritaire Sylvaine Rose.
C'est à la télévision que j'ai découvert Dupin dans une médiocre série allemande tirée des oeuvres de Jean-Luc Bannalec. Mais, si les téléfilms ne m'ont pas convaincue, les romans, eux, me plaisent beaucoup. Après « Un été à Pont-Aven » et « Étrange printemps aux Glénan », je me précipite sur « Les marais sanglants de Guérande ». Il me faut une pause réconfortante après le pensum que je viens de m'infliger, une lecture rebutante que je suis obligée de mener à terme pour mon comité de sélection.
Ces marais ne me sont pas étrangers. Je les ai traversés pendant des vacances, il y a longtemps déjà. Aussi, contrairement aux deux premiers volumes, je peux visualiser les lieux.
Dupin, je l'aime de plus en plus. Si ses journées semblent compter quarante-huit heures au moins, il prend tout de même quelques minutes, de temps en temps, pour profiter du paysage de son pays d'adoption (c'est un Parisien muté en Bretagne). « L'atmosphère particulière des lieux était renforcée par l'opulence presque outrageuse du coucher de soleil, aussi présent dans le ciel que sur l'eau. Une palette extravagante des tons les plus variés, allant du violet au rose, de l'orange au rouge. »
Le plus souvent, au cours d'une enquête, et plus particulièrement dans celle-ci, il n'a pas le temps de manger. Aussi, il est obligé de se rabattre sur quelques maigres caramels au beurre salé pour en tirer un peu d'énergie, lui permettant de ne pas défaillir d'inanition. Et pourtant, Dieu sait s'il est gourmand ! Il se console en se promettant des festins, principalement à « L'Amiral » son restaurant préféré. Il fait alors saliver le lecteur en lui détaillant les plats fort alléchants qu'il a envie de déguster.
Je relève des similitudes entre lui et moi. Ainsi, il a l'habitude de dresser un index des noms des gens qu'il rencontre pendant ses investigations, à la fin des carnets rouges dans lesquels il griffonne ses notes. Pour ma part, j'écris à la dernière page du volume les personnages que je croise au fil de ma lecture. Comme moi, il aime les rituels. Lorsqu'il retourne plusieurs fois dans un établissement, il veut toujours s'installer à la même table. A la mer, il me faut MA place de parking et à l'hôtel, MA table de petit déjeuner. Si un intrus les occupe, je grogne et je suis de mauvaise humeur.
Comme moi, il aime le café et ne peut pas commencer une journée sans en boire quelques tasses.
Comme moi, il est rebuté par les nouvelles technologies. Il a dû se résoudre à accepter un smartphone, puisque l'ensemble du commissariat en a été équipé, mais, à la différence de le Ber et Labat, qui l'ont pris comme un cadeau du ciel, lui le jauge d'un oeil noir et « gardait encore en tête la vision traumatisante du petit écran affichant "erreur système". » On dirait moi et mon fichu ordinateur qui n'en fait qu'à sa tête et en profite pou me jouer mille tours pendables, alors qu'il devient perfidement docile dès que mon mari s'en approche !
Dupin affectionne ce qui sort de l'ordinaire. Il voue une grande affection aux pingouins, manchots et hippocampes.
Comme il vient de Paris, il ne veut pas qu'on le regarde en étranger et met un point d'honneur à se « bretonniser ». Il suit attentivement les « leçons » de Nolwenn, son assistante, qui lui explique coutumes et légendes pour le plus grand profit du lecteur curieux.
L'auteur (de son vrai nom Jörg Bong) a dû suivre le même chemin que son héros. Il est intarissable dans les descriptions d'endroits singuliers et pittoresques. Il explique le sens de certains toponymes et cite volontiers proverbes et expressions celtiques.
Au fil de son enquête, Dupin se passionne, bien évidemment, pour la production de « l'or blanc » et nous apprend énormément de choses qui m'intéressent, car, moi aussi, je ne jure que par le gros sel gris de Guérande ou la précieuse fleur de sel.
De temps en temps, Dupin est distrait de ses préoccupations par un kangourou farceur échappé d'un parc animalier et qu'on s'attend, à tout bout de champ, à voir bondir dans la campagne, qui semble lui convenir et lui rappeler le climat de son Australie natale.
Ce roman m'a donc énormément plu. J'y ai appris une foule de choses étonnantes et je l'ai dévoré.
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Pour ceux qui prendraient cette série en cours, je rappelle, d'une part qu'ils peuvent se reporter à mes recensions concernant les deux tomes précédents (Un été à Pont-Aven et Étrange printemps aux Glénan) et d'autre part qu'elle est écrite par un auteur allemand tombé amoureux de la Bretagne, qui use donc d'un pseudonyme et qui est traduit par Amélie de Maupeou.

En fait quand je dis que JL Bannalec est tombé amoureux de la Bretagne, c'est un euphémisme tant parfois son emballement pour cette région et particulièrement le Golfe du Morbihan frôle la brochure publicitaire. J'aime beaucoup également la Bretagne, je me sens même y appartenir -même si je vis à Nantes et que nous ne sommes toujours pas raccrochés à la Bretagne, mais dans une espèce de région bizarre, hétéroclite, les Pays de la Loire qui peine et peinera sans doute longtemps à se forger une identité forte-, mais sur quelques pages, l'auteur fait plus dans le guide touristique, la description dithyrambique au risque de saouler le lecteur. Il faut qu'il arrête sinon, la Bretagne va être envahie de hordes d'Allemands et de Parisiens tous les étés... Plus sérieusement, ce qui est un peu agaçant, c'est que sur deux ou trois pages, il aligne chiffres de pluviométrie, d'ensoleillement,... histoire de bien montrer que le Golfe du Morbihan c'est la côte d'Azur bretonne, c'est long, assez mal fait, pas subtil. Tout comme dans d'autres domaines, certains dialogues, ou répliques attendus, pas finauds :

"- Oui, nous serions dans un polar, ce serait le moment où...

- Nous ne sommes pas dans un polar, le Ber." (p.271)

De grosses ficelles donc pour un polar qui tourne en rond pendant toute sa première partie autour des paludiers indépendants de Guérande, de la coopérative qui en regroupe d'autres, de la société le Sel qui veut tout racheter et tout contrôler (par contre, vous ressortirez de ce bouquin avec un exposé complet sur le sel de Guérande, le meilleur du monde, évidemment, mais là, il a raison JL Bannalec). Là aussi, où le temps ne s'écoule pas au même rythme que dans les villes, le sel n'étant récolté -et non produit- que grâce à l'action du vent et du soleil, le profit, les magouilles, les jalousies sont parvenues à entrer. Les commissaires Dupin et Rose n'avancent pas, mais la balade est belle, j'aime beaucoup Guérande, le Croisic toute cette côte sauvage et puis aussi le Golfe du Morbihan ; la prochaine fois que j'y vais j'emporte ce livre, il me servira de guide, le commissaire Dupin a de bonnes adresses de restaurants.

Pendant qu'on se balade, l'enquête piétine et Dupin trépigne obligé qu'il est de seconder la commissaire Rose au demeurant fort efficace et au courant de tout. Puis, enfin, lorsque Dupin retrouve sa méthode : "Il passait chaque élément de l'enquête en revue et le combinait avec des informations nouvelles. Cette manière de laisser son esprit former librement des associations d'idées avait toujours porté ses fruits, et il défiait quiconque de trouver meilleure méthode pour arriver à un résultat cohérent. Il suffisait de persévérer, de fouiller chaque détail, partout, sans cesse." (p.285), tout s'emballe et le final prend une autre tournure, une autre dimension. Reste que ce polar est un poil pèpère, que je le conseille parce qu'il est finalement plutôt très agréable mais si vous aimez l'adrénaline, vous faire peur en lisant, les trépidations, les rebondissements, les courses-poursuites, le sang qui gicle, les autopsies en direct, les descriptions de cadavres, le suspens haletant quitte à se faire du mal, eh bien ce polar n'est pas pour vous, ou alors si, pour vous reposer entre deux thrillers éprouvants.
Lien : http://lyvres.fr
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Les enquêtes du Commissaire Dupin sont toujours passionnantes, même si, jusqu'à présent je ne les ai pas lues dans l'ordre de leur parution. Qu'importe, j'adore !
L'auteur, est-il nécessaire de le rappeler, est un auteur et éditeur allemand, tombé amoureux de la Bretagne, il en parle avec son coeur et en sait sur elle tout autant qu'un Breton de naissance, et c'est passionnant.
Dans cette enquête, Dupin se retrouve loin de son secteur et doit partager les investigations avec une collègue commissaire de Guérande. Et pourquoi Georges Dupin se retrouve-t-il à Guérande, et non à Concarneau ? Parce qu'une amie journaliste lui a suggéré d'aller y faire un tour car il se passe des choses louches dans les marais salants. Si étranges, que d'emblée, notre commissaire va être pris pour cible et se faire littéralement canarder dans les premières pages et que la journaliste va disparaître...
Et bien, ça promet ! En effet, car toute l'enquête est menée tambour battant, on ne s'ennuie pas une seconde, même si on se promène pas mal d'un endroit à l'autre, on fait comme Dupin, on y prend plaisir et l'on apprend à apprécier sa collègue, l'autoritaire commissaire Rose autoritaire certes, mais bigrement efficace et perspicace. le Ber et Labat sont là, et Nolwenn est au téléphone, bien sur... que ferait Dupin sans Nolwenn ?
Dupin et Rose ne savent pas ce qu'ils cherchent, mais l'or blanc, le sel, semble au coeur de l'intrigue.
J'ai adoré ce roman, les personnages, la manière dont l'auteur conduit son récit : c'est bien tricoté et pédagogique, on en apprend toujours un peu plus sur la Bretagne, elle est dans chaque roman, quasiment un personnage à part entière des enquêtes de Dupin.

Lien : https://lecturesdartlubie.bl..
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Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
Dans le Gwen Ran, il suffisait de s'élever de quelques mètres pour jouir d'un panorama impressionnant. La visibilité à cent quatre-vingts degrés offrait au regard une véritable plongée dans les paysages étranges et magnifiques des marais salants, dans les prairies alluviales aux teintes verdâtres et dans le lagon turquoise.
Elle montrait également Kervalet, Batz-sur-Mer et Le Croisic, avec son église carrée. Dupin avait du mal à en détacher le regard.
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Il était bien conscient d'enfreindre tous les règlements de sa profession et avait même ressenti une pointe de scrupule en roulant vers la saline, ce qui n'était vraiment pas son genre.
Il n'avait rien à faire ici. D'un point de vue administratif, le département de Loire-Atlantique, où se trouvaient les salines, ne faisait plus partie de la Bretagne.
Dans les années 1960, en effet, il avait été "arraché" aux Bretons au cours de réformes administratives vécues par beaucoup comme de véritables "violences légalisées".
Du point de vue de la culture, de la vie quotidienne et des mentalités, cependant, le département demeurait parfaitement breton.
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Il avait été retenu par d’ennuyeuses tâches administratives, formulaires en tous genres et obligations bureaucratiques – toutes ces contraintes pénibles qui, contrairement à ce qu’on apprenait dans les films et les romans, composaient en grande partie la vie d’un véritable commissaire : déposer une demande de nouveaux véhicules pour ses deux inspecteurs, lire les nouvelles directives d’utilisation de véhicules de fonction au sein de la police – un document de vingt-huit pages en police de caractères 9, avec un interlignage quasi inexistant.
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C'était également la désignation bretonne qui s'était imposée pour nommer la table de pierre que l'on trouvait partout dans le monde : le "dolmen", construction composée d'énormes blocs de pierre brute qui servait généralement de sépulture. On en voyait davantage que de menhirs ou de cromlec'hs, et ils passaient pour être le domicile favori des fées.
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Le soleil était très bas, une large bande jaune brillait à présent au-dessus de l'orange lumineux du fleuve et les baignait de sa clarté dorée. Autour de l'astre, l'horizon était un immense foyer incandescent qui palissait progressivement jusqu'au zénith où le ciel était d'un bleu pâle et tendre que perçaient les premières étoiles.
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Vidéo de Jean-Luc Bannalec
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