Avec l'arrivée d'internet, COURRIER se serait senti un chouïa déconfit. Au tout début il s'était dit: " Je reste au poste, y a pas de raison ! " [...]
Les machines à écrire, quand elles ont débarqué, elles ne m'ont pour autant pas évincé. "
Alors, COURRIER a eu beau se débattre et chanter cocorico, MAIL, très cool, très soft, sans le moindre problème de conscience lui a raflé sa place.
Piqué dans son orgueil...COURRIER, conseillé par des amis, émigra au Québec [...]
Là-bas...on lui octroya une aile [...]. COURRIER devenu à présent COURRIEL retourna en France. MAIL, le voyant se pointer "A mon avis, vous feriez mieux de retourner là-bas. Ici le coup du L ça ne prendra pas."