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EAN : 9782021419030
320 pages
Seuil (02/05/2019)
4.03/5   247 notes
Résumé :
1942. Héloïse Portevin a tout juste vingt ans lorsqu’un détachement allemand s’installe dans son village. Avides d’exploits, son frère et ses amis déclenchent un terrible conflit. Pour aider ceux qu’elle aime, Héloïse prend alors une décision aux lourdes conséquences...
2012. Loïc Portevin est envoyé par sa mère au fin fond du Berry pour y vider la maison familiale après le décès de sa grand-mère. Loïc tombe sur une importante correspondance entre cette derni... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (95) Voir plus Ajouter une critique
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Les âmes silencieuses - Mélanie Guyard - Éditions du Seuil 2019 - Roman - Lu en janvier/février 2021.

MERCI DJDRI25 pour votre gentillesse et l'envoi de ce livre qui m'a énormément plu.

Lieu : Un petit village dans le Berry
Époques : de 1942 à 1950 et 2012
Personnages principaux :
- Héloïse et Jean son jeune frère
-Amélie et "le père" taiseux et pas tendre, les parents d'Héloïse et Jean
-Lucien, le "promis" d'Héloïse"
-Louis, Fernand, Marius, Félix et Bernard les amis de Lucien.
-Frantz, jeune officier Allemand
-Anaïs, mère de Loïc et fille d'Héloïse, je dis" mère" parce que ce n'était pas une maman
-Loïc, fils d'Anaïs et petit-fils d'Héloïse
-Mathilde, policière dans le village où se déroulent les événements.
Et Salam, la chienne perdue adoptée par Loïc.

Le roman se présente en courts chapitres alternant entre les deux époques,
celle de la seconde guerre mondiale et l'année 2012. Chaque chapitre est une tranche de vie de l'une et de l'autre.

2012
Héloïse est décédée depuis deux ans quand sa fille Anaïs décide de vider la maison dans le but de la vendre. Comme elle ne peut s'y rendre et qu'elle n'a pas du tout envie de s'atteler à cette tâche ingrate, elle demande à son fils Loïc de s'y rendre et d'expédier la besogne vite fait bien fait.
Loïc a très peu de souvenirs de cette grand-mère ne l'ayant pas souvent rencontrée.

Que va-t-il découvrir dans ce village perdu au fond du Berry ?

1942
Héloïse fille de fermier a dix-huit ans, très attachée à son jeune frère qu' elle a sauvé de la noyade quand il était petit, elle n'avait que six ans et s'est toujours sentie coupable de cet accident et depuis, le protège pour tout, Héloïse ira jusqu'à se sacrifier pour lui et en paiera lourdement les conséquences.

Les Allemands envahissent le village et s'installent dans La Meunière, la ferme voisine.
Un drame va se jouer, les "amis" de Jean forts en gueule, veulent montrer aux Allemands qu'ils ne sont pas les bienvenus.

Frantz, jeune officier Allemand va entrer dans la vie d'Héloïse bien malgré elle.
"Il ne faut pas que papa le sache" "Je vais t'aider" dit-elle à son frère.

J'ai découvert bien des secrets de famille avec Loïc qui ne s'attendait pas à entrer ainsi dans la famille de sa mère qu'il connaissait très peu.
J'ai découvert une toute jeune fille en la personne d'Héloïse au caractère fort et son amour inconditionnel pour son frère Jean
J'ai découvert la triste réalité de l'occupation allemande de ce petit village et ses lourdes conséquences.

J'ai découvert la plume de Mélanie Guyard, pleine de sensibilité, directe, qui m'a tenue en haleine tout au long de ma lecture. Je voulais savoir, j'ai su, j'ai compris seulement à la fin l'énorme sacrifice d' Héloïse.

Tous les sentiments et les émotions sont réunis dans ce roman, l'amour sous plusieurs formes, la haine, le pardon, la révolte, l'injustice, les non-dit, la cruauté, la souffrance, le chagrin.

J'ai adoré ce roman que je n'aurais pas lu si djdri25 n'avait pas proposé trois livres à offrir à des babélionautes Belges terriblement déçus de ne pouvoir participer à la Masse Critique du 10 janvier 2021. J'ai choisi celui-ci et je suis enchantée de mon choix. Encore merci djdri25 pour votre générosité.

Continuez à prendre soin de vous.
Au plaisir de vous lire.


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Le prologue donne le ton : 1944 , année d'un drame parmi tant d'autres . Héloise , " la Putain , la chienne , la salope " doit faire face à ses bourreaux , " affronter la meute qui se rue vers elle , la prend , la malmène, l'absorbe et l'emporte comme un trophée " , poussée sans ménagement par un père brutal et une mère simplement gémissante ...quant à son frère Jean .....
Le premier chapitre , lui , nous transporte , en 2012 , dans le cabinet d'un " professionnel des méninges "qui s'efforce de soulager " un trentenaire " de ses problèmes du moment , la perte d'un job , un divorce et une obligation de soins pour avoir tout simplement ...." cassé la gueule à son rival " ...
Le lien entre les deux ? Ou là, il faut bien admettre qu'il n'est pas évident même si , rassurez - vous , ça va se décanter peu à peu .Le lien , pour le trouver , il suffit de se " balader " , tantôt dans les heures sombres de l'occupation , tantôt dans celles , bien complexes aussi , de la période contemporaine .Autant vous le dire , c'est bien , très bien fait , bien mené avec des ficelles évidentes et d'autres bien plus " subtiles " et fines.C'est comme une blessure qui se refermerait très lentement à coups de " points de suture de plus en plus serrés "...
Sauf qu'à la place des aiguilles , il y aura des lettres trouvées dans un grenier qui , au fur et à mesure , vont faire sortir les " squelettes " du placard , dévoiler des vérités , comprendre une histoire familiale cruelle ou .....Thème déjà abordé ? Sûrement, mais Mélanie Guyard sait maîtriser l'art du suspense , et faire éclater une vérité incroyable pour l'époque.
L'écriture est élégante, vivante , efficace et les pages défilent, défilent....
Il y a , dans ce roman , des scènes, des portraits puissants , des actions , des échanges de toute beauté malgré une certaine noirceur.
Pour ma part , j'ai toujours adoré cette interférence du passé et du présent, cette remontée parfois nauséabonde, rarement suave , souvent acide de l'odeur de l'histoire de chacun....
Que les lettres soient le révélateur de ce passé trouble ne peut que réjouir les amoureux de la littérature qui adorent trouver , à travers les mots , la force des sentiments , de l'émotion, de la sincérité.
Voici un livre qui devrait séduire, je le crois vraiment , nombre de lectrices et lecteurs en recherche de " construction et d'évolution " de destins dans la cruauté d'un monde impitoyable , celui des " histoires et secrets de famille et leurs fantômes , vous savez , ceux qui viennent hanter nos nuits et perturber notre sommeil .....Vous n'y croyez pas ? Moi , si ...Et si vous jetiez un coup d'oeil sous votre lit ? .... Ah , vous voyez ... de toute façon, dans toutes les familles .....
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« Des règlements de compte ? Des dizaines par département voire par village ! Votre grand-mère n'a pas été tondue pour faire jolie. Elle l'a été parce qu'on ne noyait pas les femmes dans les sablières, je suppose. Surtout quand elles étaient enceintes ».

Ite missa est.

Les âmes silencieuses auraient énormément de choses à raconter si nous voulions leur prêter un peu plus d'attention avec bienveillance ce qui aurait au moins le mérite d'éviter, à leur descendance, des comportements inexplicables leur occasionnant quelques séances chez le psy.

Non seulement les écouter mais au moins prendre la peine de s'intéresser à elles, ne pas les considérer comme un simple mot, quelque chose d'abstrait dont on se rappelle à peine. Ces âmes silencieuses, elles ont vécu, elles ont aimé, elles ont souffert, elles ont été heureuses, elles ne sont pas factices, alors, accordons leur un peu de reconnaissance. Elles sont précieuses dans cette chaîne éternelle qu'est la vie et elles ont contribué aussi à faire ce que nous sommes.

Pour son premier roman adulte, Mélanie Guyard m'a totalement embarquée dans une fiction addictive qui peut s'apparenter à la psychogénéalogie ou transgénérationnelle : l'impact des secrets de famille sur la destinée de la lignée. Très agréable à lire, d'une construction impeccable, son style fluide est reposant, l'écriture coule comme une eau limpide. Elle intègre parfaitement les analepses pour les besoins du récit qui se situe sur deux périodes à soixante dix ans d'intervalle. L'auteure alterne un chapitre situé en 1943 puis un chapitre situé en 2012, c'est comme un fil rouge pour le lecteur qui suit l'intrigue sans heurt mais avec avidité, tant il a hâte de connaître la suite.

Le style très imagé, très tonique, efficace, permet au lecteur de se fondre dans le récit. L'auteure dépeint parfaitement la campagne berrichonne sous les années d'occupation. Elle dresse un portrait intense voire acéré des agriculteurs en s'attachant plus spécialement à des taiseux. Chaque personnage est consistant même ceux qui sont les plus en retrait. Pour celles et ceux qui aiment la campagne, qui connaissent l'investissement des paysans pour leur terre et leurs bêtes, ce sont les tableaux de Rosa Bonheur qui prennent vie sous nos yeux tout comme les images pleines de douceurs de nos grands parents qui ouvrent les portes de notre mémoire.

La narration s'appuie sur de très beaux portraits de femme dont particulièrement Héloïse, cette jeune femme qui est prête à tout pour son petit frère pour lequel elle éprouve un sens exacerbé de sa responsabilité depuis qu'enfant, il a failli se noyer.

Et aussi sur le personnage de Loïc, homme de notre époque, qui fait preuve de beaucoup d'ironie pour mieux masquer son amertume.

J'ai ressenti une très forte émotion lorsque le dénouement approchait et que les pièces du puzzle se mettaient en place, les larmes me sont montées aux yeux tant je me suis identifiée aux personnages.

Ce livre a été, pour moi, comme un arrêt sur image, un bonheur de lecture simple. Je remercie Marceline et Torpedo pour leurs billets incitatifs.

« Je dédie cette chronique à mon grand-père paternel, Paul, ardéchois, dur au labeur mais homme au grand coeur, parti très tôt rejoindre les étoiles. A la libération, dans mon village qui est devenu la région parisienne, des femmes ont été tondues. Alors qu'elles défilaient dans les rues du village, tête rasée, Paul a ôté sa veste et à couvert les épaules de l'une d'elles avec".




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Un excellent livre à suspense qui renouvelle parfaitement le genre.

Le genre : un aller-retour entre deux générations, celle du petit-fils et celle de la grand-mère, qui a eu vingt ans pendant la seconde guerre mondiale et a été tondue à la libération, on l'apprend très vite et surtout on le comprend dès la première scène. Qu'est-il arrivé, pourquoi a-t-elle été tondue ? le petit-fils enquête après sa mort, un peu par hasard, un peu parce que cela prend tout à coup sens dans sa propre vie, et il résout le mystère soixante-dix ans plus tard.

Un genre renouvelé : sur un sujet et un procédé qui ne sont pas nouveaux, l'auteure réussit à nous surprendre avec un dénouement que, à ma connaissance, je n'ai encore jamais rencontré et auquel, en conséquence, je n'ai absolument jamais pensé avant les dernières pages. Il n'y a pourtant rien de surnaturel, le mystère est tout simple, mais voilà, on n'y pense pas. Bravo !

A vrai dire, j'ai eu la chance d'assister à la rencontre organisée par Babelio avec l'auteure. Je n'avais pas encore lu le livre, et j'ai été enthousiasmée par la manière dont Mélanie Guyard a parlé de son livre et de l'écriture. Elle en a parlé comme si les personnages avaient existé et qu'elle n'avait fait que transcrire leurs aventures ; cela en faisait non pas un objet qui lui appartenait et dont elle nous aurait parlé ex cathedra, mais au contraire un objet partagé auquel tout le monde pouvait se référer et ajouter son décryptage à celui des autres. Comme je comprends cela... il me semble en effet qu'écrire, c'est cela : voir surgir dans sa tête une histoire qui a une vie propre et essayer patiemment de l'écouter, de la comprendre, de manière à la restituer et à permettre aux autres de la faire leur.

L'auteure n'a pas ajouté que si ses personnages ont une telle réalité, c'est parce que chacun d'eux pourrait être un peu elle : Loïc qui ne sait pas pourquoi sa vie lui a échappé et qui retourne à ses racines, est-ce que ce ne serait pas quelque chose d'elle ? Mathilde qui ne sait plus comment rebondir parce qu'un événement a fait effraction dans sa vie et n'arrive pas à y prendre sens, n'est-ce pas quelque chose d'elle aussi ? Et Héloïse qui laisse dicter ses choix par un sentiment de culpabilité ? Ou alors, si rien de tout cela n'est elle, c'est que c'est nous. Nous avons tous en nous une tendance à chercher nos racines, à essayer de donner un sens à ce qui ne semble pas en avoir, à tenter de donner leur juste place à nos émotions…

Un livre que je vous recommande, vraiment : un excellent moment de lecture, avec une vraie histoire captivante, qui se lit d'une traite, surprend... Je ne mettrai qu'un bémol : quand on découvre une auteure qui est au début de son oeuvre, on voudrait pouvoir faire un saut dans le temps pour la retrouver tout de suite dans dix autres livres dans la même veine... bon, pour les amateurs, elle a déjà écrit pour adolescents sous le nom d'Andoryss, mais c'est bien son prochain roman adulte que j'attends avec impatience !
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Septembre 2012 : «    Des règlements de compte?
Des dizaines par département ,voire par village .... » .

Mai 1944 :
«  Ça ne changera rien .
Le passé est inamovible,il n'existe plus.
Il est écrit et hors de sa portée . Elle essaie de ne gérer que les instants ; c'est un piège : elle n'est pas la seule à prendre des décisions , pas la seule à vivre le présent . Pas la seule à choisir demain » ...

Deux extraits de cet ouvrage commandé à la médiathèque il y a quelques mois , suite à la lecture de critiques sur ce site.

Un très bon livre!
J'ai pourtant eu du mal avec le début .
On ne peut raconter le contenu sans dommage ...
Je ne ferai qu'effleurer le récit .

L'auteure , talentueuse, je trouve, recréé , réinvente à sa façon , l'atmosphère de la campagne berrichonne sous les années d'occupation, les agriculteurs taiseux , les non dits , les rancunes tenaces , les drames , la vie d'Heloïse entre 1942 et 1944 ses combats , sa force et ses douleurs , en parallèle l'ironie et l'anxiété de Loïc , ses séances de psychothérapie, petit - fils envoyé par sa mère au fin fond du Berry pour y vider la maison familiale deux ans après la mort de sa grand - mère .

Le lecteur suit la minutieuse enquête de Loïc retournant à ses racines , visant à retrouver l'auteur d'une importante correspondance signée d'un certain J.
Le parallèle entre les deux époques donne une vivacité, de l'épaisseur à l'ouvrage : les personnages principaux sont façonnés de belle manière , l'écriture imagée ,par moments poétique, la construction impeccable, passé et présent s'entremêlent, c'est doux , très dur parfois .

Roman historique et familial, entre secrets de famille et dénouement tout à fait surprenant , le lecteur passe un excellent moment .

Très belle découverte entre le récit d'un petit - fils et l'histoire émouvante de sa courageuse grand - mère !
Moderne et enlevé , original !
Merci aux amis de Babelio qui m'ont fait découvrir «  Les âmes silencieuses »   et sa très belle première de couverture !
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Citations et extraits (38) Voir plus Ajouter une citation
«  Derrière eux , ils ont déchaîné l’enfer, et la lumière est devenue leur ennemie. Ils ne savent pas où sont les autres, ils ne se concentrent que sur eux- mèmes, s’attendant à être fauchés à tout instant et à chuter, la tête la première, au milieu des taillis et des ronces. Ils n’ont pas le temps de s’émerveiller de cet équilibre précaire maintenu malgré le sol inégal ,les fossés, les cailloux qui émergent de la mousse. Ils se griffent aux branches , respirent comme des forges , se coulent dans les ombres et fuient des démons dont les cris leur chauffent les oreilles , dont les tirs sifflent contre le bois des arbres .
Ils ont l’impression d’être en sursis » ....
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...élever un enfant comme une plante en pot, en devenant un tuteur ! Mais il aurait fallu que je sois droit pour ça. Il devrait y avoir un permis parent comme il y a un permis voiture. Je ne suis pas sûr qu'on soit moins dangereux avec un enfant entre les mains qu'avec un volant. Et puis, il ne faut pas laisser les psychotiques se reproduire. Regardez-moi ! A quel môme voudrait-on infliger ça ?
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«  Les champs sont semés d’or. Le long de l’horizon, des nuages couleur de cendre s’amassent. De l’autre côté, le soleil n’en finit plus de sombrer » .
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Ils courent dans la forêt sans rien voir, le corps tendu en avant au risque de se rompre le cou, dans une fuite éperdue en quête d'obscurité. Derrière eux, il y a encore le bruit, le crépitement du feu et des armes, les ordres qui résonnent et l'aboiement des chiens. Derrière eux, ils ont déchainé l'enfer, et la lumière est devenue leur ennemie. Ils ne savent pas où sont les autres, ils ne se concentrent que sur eux-mêmes, s'attendant à être fauchés à tout instant et à chuter, la tête la première, au milieu des taillis et des ronces. Ils n'ont pas le temps de s'émerveiller de cet équilibre précaire maintenu malgré le sol inégal, les fossés, les cailloux qui émergent de la mousse. Ils se griffent aux branches, respirent comme des forges, se coulent dans les ombres et fuient des démons dont les cris leur chauffent les oreilles, dont les tirs sifflent contre le bois des arbres. Ils ont l'impression d'être en sursis.
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Parfois, au creux des heures, elle songe à la façon dont son père réagira quand elle lui dira tout. Souvent, elle chasse cette pensée. Un instant à subir ne devient pas plus facile parce qu'on l'anticipe. La douleur l'attend à quelques encablures, dans le futur. Il ne sert à rien de se jeter dans ses bras avant qu'elle ne soit là.
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Vidéo de Mélanie Guyard
C'est Noël chez les Descroix. Tout le monde s'offre des cadeaux, mais un présent en particulier va déclencher un débat inattendu qui va chambouler le déroulé de la fête. Dans cette vidéo, Mélanie Guyard a choisi les mots Famille, Dîner, Rôle, Cadeau et Peinture pour nous parler de ce roman qui confronte les aspirations individuelles et la pression familiale.
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