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Trilogie Santiago Quiñones tome 1 sur 3
EAN : 9782253179085
168 pages
Le Livre de Poche (03/06/2015)
3.63/5   90 notes
Résumé :
Il fait froid, il est six heures du matin et Santiago n’a pas envie de tuer qui que ce soit. Le problème, c’est qu’il est flic. Qu’il est sur le point d’arrêter une bande de délinquants, dangereux mais peu expérimentés, et que les délinquants inexpérimentés font toujours n’importe quoi...
Après avoir abattu un jeune homme de quinze ans lors d’une arrestation musclée, Santiago Quiñones, flic à Santiago du Chili, erre dans les rues de sa ville en traînant son d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (39) Voir plus Ajouter une critique
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"(...) le fait que chaque femme soit un nouveau monde à explorer, c'est ce qui rend les gens si infidèles. On se demande toujours ce que l'on aurait perdu en ne couchant pas avec celle-ci, ou celle-là, ou cette autre."
Santiago Quiñones, de la Police d'Investigation du Chili, adore les femmes, surtout celles qui ont les dents de travers. Il est autant amoureux d'elles que de l'idée même de la femme. Et cet amour va le mener à sa perte. Quand, au cours d'une mission délicate, il riposte et abat un jeune délinquant, son existence va prendre un nouveau tournant. Il se met à suivre Ema Marin, une courtier en assurances de l'Interamericana de Seguros, dont les formes sous l'uniforme le ravissent. Autour de la mystérieuse Ema gravitent Riquelme, son ancien collègue de la P.D.I., et Alejandro Albano, un avocat véreux. Pressentant que tout cela va mal finir, Quiñones, flic caustique sans vocation, détaché mais pas indifférent, se laisse peu à peu gangréner par une ville ambivalente et corruptrice. Ses déambulations dans la ville de Santiago de Chile le définissent tout autant que ses décisions.
Premier roman réussi du réalisateur Boris Quercia, auteur du beau "Sexo con amor" (2003), Les rues de Santiago est un polar intelligent et mélancolique à l'écriture très cinématographique. Une belle découverte que l'on doit aux Editions Asphalte qui ne cessent d'explorer de nouveaux territoires urbains, et dont on attend avec impatience au mois d'avril la publication de l'excellent No llames a casa (N'appelle pas à la maison) de Carlos Zanon.
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"Les rues de Santiago" ne m'ont pas apportées beaucoup de plaisir.
l'atmosphère, le personnage central ne m'ont pas permis de m'évader comme je le souhaitais . Je n'ai pas retrouvé ce que j'aime dans la litterature sud américaine, mais par honnêteté, je précise que je ne remets en aucun cas en question, la qualité du roman.

Santiago Quinoes est un flic borderline, un peu trop égocentré pour qu'il me plaise.
Le roman est bien plus centré sur lui que sur l'intrigue. Alors oui, le style de Boris Quercia est très visuel, cinématographique, mais c'est justement le style de film que je n'irais pas voir donc il y a une certaine cohérence dans mon ressenti...
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''Il fait froid, il est six heures vingt-trois du matin, on est tout juste mardi et je n'ai pas envie de tuer qui que ce soit''.
Non, Santiago Quiñones de la Police d'Investigation du Chili, n'a pas envie d'ôter la vie à qui que ce soit, et pourtant le jeune Baltasar, 15 ans et membre d'un gang, va tomber sous ses balles. Déprimé, le flic erre dans les rues de la ville dont il porte le nom. Pas envie de rentrer chez lui, pas envie de voir Marina, l'infirmière qui partage parfois ses nuits. Envie d'ailleurs, de nouveautés, peut-être incarnés par Ema Marin, une femme aux formes avantageusement moulées par l'uniforme de la compagnie d'assurances pour laquelle elle travaille, une femme aux dents de travers comme il aime, une femme qu'il va suivre...au péril de sa vie.

Polar à l'ambiance mélancolique, Les rues de Santiago, c'est d'abord un flic atypique et ambigu, loin des héros sans peur et sans reproche, il n'hésite pas à suivre une inconnue dans la rue, a trempé par le passé, dans une magouille financière et ne refuse jamais une ligne de coke. Désabusé,le vague à l'âme, il nous emmène dans les rues de sa ville et c'est bien lui qu'on suit plutôt que l'intrigue policière qui n'est qu'un prétexte pour raconter la dureté de la vie de flics dans une capitale chilienne où se côtoient escrocs, prostituées, flics ripoux et avocats véreux.
Un roman court mais dense, rythmé, à l'écriture incisive, précise, moderne. le début d'une série à suivre.
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Bon d'accord, le roman noir rural. Ok, le polar nature writing. Mais tout de même, quel plaisir de retrouver cet environnement urbain qui sent bon le bitume surchauffé, le gaz d'échappement asphyxiant. Il y a le bruit, la foule et cette ambiance survoltée propice aux intrigues les plus violentes. Bref un bon bol de pollution pour se remettre de toute cette chlorophylle absorbée durant ces pérégrinations campagnardes. C'est d'autant plus agréable lorsque l'on se rend dans un pays comme le Chili pour arpenter Les Rues de Santiago de Boris Quercia qui est certainement l'une des très belles découvertes du polar hardboiled que l'on doit aux Editions Asphalte.

L'inspecteur Santiago Quiñones n'a vraiment pas envie de tuer aujourd'hui. Il planque avec son équipe pour faire tomber des membres du gang des Guateros. Mais à Santiago du Chili les opérations policières ont une fâcheuse tendance à se conclure par une fusillade et c'est un gangster de 15 ans qui est abattu par Quiñones. Un peu de paperasse et une ballade dans les rues de la ville pour décompresser et se changer les idées en suivant une belle jeune femme sans se rendre compte qu'elle est également filée par un ex collègue devenu détective privé. de planques en filatures, le jeu tourne mal, lorsque le détective privé est poignardé en pleine rue, quasiment sous les yeux de Quiñones. Qui pouvait donc en vouloir ainsi à son ex partenaire ?

On est tout d'abord surpris par ce personnage de flic magouilleur, qui tente de se fondre dans ce paysage de corruption institutionnalisée. Amateurs de belles femmes il se lance, parfois à son corps défendant, dans des combines véreuses et ne refuse pas, de temps à autre, un petit rail de coke pour se remonter le moral. Néanmoins derrière cette image peu reluisante, l'homme est souvent en proie au doute et se livre à des introspections d'une acuité saisissante sur son métier, sa relation avec la belle Marina mais également sur tout ce qui concerne sa jeunesse et notamment ses relations avec son père. Au final, Santiago Quiñones est un flic lambda, ni bon, ni mauvais, qui fait son métier du mieux qu'il peut dans un univers brutal et violent. Parfois veule, parfois courageux, souvent absorbé par ses réflexions, Santiago Quiñones incarne toute l'ambivalence d'un personnage profondément humain qui peut se révéler complètement démuni et terrorisé lorsqu'il doit faire face à un gang avide de vengeance.

Avec Les Rues de Santiago le noeud de l'intrigue tourne autour d'une escroquerie immobilière qui illustre parfaitement l'ambiguïté de ces institutions corrompues par le biais de ces flics un peu véreux, mais pas foncièrement malhonnêtes qui vont apporter du soutien à une vieille dame tout en servant leurs propres intérêts lors d'une scène à la fois cocasse et morbide. Entre pragmatisme, débrouillardise et respect du règlement chacun fait rapidement son choix pour tirer son épingle d'un jeu qui est forcément biaisé au sein d'une société en pleine décomposition. Mais forcément, la corruption engendre son lot d'actes déloyaux et de magouilles peu reluisantes qui ne resteront pas sans conséquence et qui altéreront la confiance entre les différents protagonistes.

Même si le fond est désespéré et décourageant, Boris Guerçia ne cède pas à cette noirceur exacerbée propre au genre et l'on est ainsi surpris par la tonalité optimiste et enjouée d'un texte vif qui livre par l'entremise de la voix de son personnage principal le fruit de réflexions et d'observations constamment teintées d'un humour parfois malicieux. L'ouvrage oscille entre la violence assez rude de certaines scènes qui n'épargne pas le lecteur et l'envoûtement des réminiscences d'une jeunesse perdue où l'émotion latente habille un personnage captivant.

Et puis il y a cette ville trépidante, turbulente que l'on arpente à longueur de chapitres dans une déclinaison de petits instants quotidiens où l'auteur dépeint, par petites touches très visuelles, une cité que l'on se prend à apprécier au gré de ses cafés bruyants aux effluves enivrantes et de ses rues animées par une foule bigarrée. C'est dans ce décor urbain que Boris Quercia met en scène des règlements de compte entre avocats véreux et flic douteux qui doivent également faire face à la violence de gangs n'hésitant pas à faire usage de leurs armes. Et puis il y a les femmes qui sont forcément fatales en générant rivalités, jalousies dans un climat à la fois sensuel et malsain. Mais au delà du cliché machiste il y a également cette idylle naissante entre Quiñones et Marina générant de très belles scènes de tendresse qui ne sombrent jamais dans la mièvrerie.

Rudes et fiévreuses Les Rues de Santiago déchaînent leurs lots de violences et de passions sur fond de corruption et de combines douteuses. Un polar percutant dont la force de l'impact n'a pas fini de vous faire frémir. Déroutant et séduisant.
Lien : http://monromannoiretbienser..
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Une fois encore je suis partie à l'aventure . J'ai atterri à Santiago du Chili, empreinte carbone zéro je précise!

Je me suis retrouvée à six heures du matin dans une ruelle, il faisait froid et Santiago Quiñones était planqué sous une voiture, l'arme au poing ... il ne voulait pas tuer quelqu'un mais il a du appuyer sur la gâchette .
Santiago n'arrive pas à accepter son geste même si il est flic il ne veut pas tuer, Il part errer dans les rues de Santiago et croise la route d'une jeune femme ... le sort en est jeté Il a mis le doigt dans un engrenage qui s'avèrera à très haut risque pourtant qu'elle est jolie.

Un roman noir en milieu urbain, un roman noir qui sent le bitume, les combines, les règlements de compte entre bandes rivales, un roman noir où les excès sont permis, drogue, alcool et sexe parce que Santiago vit souvent à cent à l'heure .

Boris Quercia est aussi cinéaste, cela transparait dans son écriture , le rythme est rapide, aucun temps mort entre deux scènes , à quand l'adaptation cinématographique ?
Je vais sans aucun doute aller découvrir les deux autres volets de cette trilogie
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Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
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AH OUI ? LA-BAS AUSSI ?..

« ils sont bizarres, les journalistes. C’est comme s’ils n’étaient pas vraiment là. C’est peut-être à cause de l’oreillette par laquelle on communique avec eux, mais ils donnent l’impression de ne pas t’écouter, de ne pas te regarder, de ne pas comprendre ce que tu leur dis.
(...)
Votre nom est Santiago Quiñones ?
On est mal partis, en plus d’être nain, il est débile, ce qui n’est jamais bon ; il est toujours préférable d’être traqué par quelqu’un de futé. L’intelligence est prévisible, la stupidité te laisse désarmé parce que tu ne sais jamais ce qu’on peut te sortir.


« Et tu es un type chanceux.
— Ah bon ?
— Oui, un type chanceux, les jeunes femmes te remarquent encore. Tu ne sais pas à quel point c’est triste quand elles arrêtent de te regarder et que tu passes pour un pauvre vieux, ça donne envie de se tirer une balle.
(...)
c’est que le sexe n’est pas une chose claire et définie, ce n’est jamais pareil, avec chaque femme c’est différent et c’est là tout le problème. Parce que si la seule chose que l’on recherchait dans le sexe était l’orgasme, une simple branlette suffirait, mais cette variété, le fait que chaque femme soit un nouveau monde à explorer, c’est ce qui rend les gens si infidèles. »


« Quand on est jeune, on ne sait rien de la vie, on ne s’imagine pas que les choses qu’on fait peuvent nous retomber dessus plus tard. Quand on est jeune, on croit qu’on sera toujours jeune et joyeux. Quand on est jeune, on est bête ; ensuite on est moins bête, mais on n’est déjà plus jeune. »



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Elle met sa tête entre mes jambes et me suce comme je l’ai vu seulement dans les films pornos. Elle l’avale entièrement en s’arrêtant aux couilles, retenant ses haut-le-cœur.

On arrive au lit en rampant.

Quand je la pénètre elle pousse quelques petits cris, comme un dauphin, elle porte ses mains à son visage comme pour se protéger et moi j’ai à nouveau l’impression de la violer.

Je ne m’habitue pas, ça me fait peur, j’essaie de sortir mais elle m’attrape et m’attire contre elle.

Elle gémit, le regard perdu, un doigt entre ses dents de travers, et elle gémit comme si c’était une enfant. Je la baise comme un fou. Comme je suis bourré, je suis plus brutal que la dernière fois et j’entre et je sors avec force.

Je l’attrape par le cou d’une main, de l’autre je plaque son bassin contre le matelas et je la pénètre violemment.

Elle me griffe le dos, me frappe le torse, elle finit par arracher la croûte de mon bras, ça me fait mal, je la lâche et pousse un cri. Elle me repousse et me fait sortir.
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Dans la salle de bains, on entend l'eau couler. Ema sort et reprend place à côté de moi. Elle m'embrasse, passe sa jambe sur mon ventre, m'enlève la cigarette des lèvres. Elle fume. Elle me rend la cigarette. Je fais tomber la cendre.
« Avec ça, tiens-toi pour payé, tu m'as défoncé le cul. »
Là, elle est redevenue elle-même.
« Excuse-moi, j'étais très excité, je lui dis.
_ Pas d'excuses, j'aimerais bien t'y voir, si on te prenait par derrière.
_ Je pensais que ça te plairait.
_ Oui, ça m'a plu, mais ça coûte rien de demander. »
C'est vrai, ça ne coûte rien. La vie est pleine de choses gratuites dont personne ne veut.
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IL fait froid, il est six heures vingt-trois du matin, on est tout juste mardi et je n’ai pas envie de tuer qui que ce soit. Quelle connerie. Je suis à plat ventre sur le trottoir, sous une Fiat Fiorino, j’observe mais je ne vois que leurs pieds. Derrière moi, il y a un étroit passage qui traverse tout le pâté de maison et donne dans une autre rue. Le plan, c’est qu’aucun des Guateros ne s’échappe par là. Ils s’appellent comme ça. Les Guateros. On les suit depuis cinq mois, on connaît leurs visages par cœur, leurs voix, les blagues qu’ils répètent et répètent au téléphone. Ils se sont séparés d’une bande plus grande, les Melacomo, mais les Guateros ne savent pas faire attention, ils foirent tout ce qu’ils font et aujourd’hui, c’est leur jour. Le leur et le nôtre. Quand on travaille avec ces gangs inexpérimentés, c’est toujours plus dangereux. Ceux qui connaissent la chanson, ils se rendent tout de suite. Ils ont des avocats compétents, de l’argent pour acheter des procureurs, des gens à eux infiltrés parmi les gardiens de prison. Dans le pire des cas, ils vont passer un moment pas si désagréable en prison. En revanche, ceux qui tentent leur premier coup ne sont qu’adrénaline et ne pensent qu’à faire un carton. Et moi, aujourd’hui, je ne veux tuer personne.
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Je ne sais pas pourquoi je pense à tout ça pendant que je remplis le formulaire, quelle connerie, si j’avais tiré dans les jambes je ne serais pas là à signer ces papiers. García a signé comme témoin. De là où il était, il n’a rien vu, mais c’est un type bien. Ensuite, monter au deuxième étage, remettre le constat, signer le registre, le tampon, le paraphe de l’officiel. « Le juge va vous appeler la semaine prochaine, ou la suivante, vous savez comment ça se passe. » Les papiers vont dans un classeur. Et le classeur dans une pièce pleine de classeurs, et dans quelques années à la poubelle avec des milliers de classeurs. C’était tout, un certificat qui ne m’enlève pas ce goût amer de la bouche mais au moins m’évite le goudron et les plumes. ...
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Videos de Boris Quercia (5) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Boris Quercia
Les 15 et 16 juin 2019 auront lieu la 11ème édition du salon international du livre de poche Place des Marronniers à Saint-Maur-des-Fossés organisée par la librairie La Griffe Noire et la ville. Le libraire Jean-Edgar Casel vous présente quelques informations de l'édition 2019...
La Mort selon Turner de Tim Willocks et Benjamin Legrand aux éditions Sonatine https://www.lagriffenoire.com/128455-nouveautes-polar-la-mort-selon-turner.html
Le Chant de l'assassin de R.J. Ellory, Claude Demanuelli aux éditions Sonatine https://www.lagriffenoire.com/1004285-nouveautes-polar-le-chant-de-l-assassin.html
Seul le silence de R. J. Ellory aux éditions Livre de Poche https://www.lagriffenoire.com/15087-poche-seul-le-silence---prix-choix-des-libraires-2010.html
Ne fais confiance à personne de Paul Cleave et Fabrice Pointeau aux éditions Sonatine https://www.lagriffenoire.com/90266-romans-ne-fais-confiance-a-personne.html
Le Jour de ma mort de Jacques Expert aux éditions Sonatine https://www.lagriffenoire.com/1001084-nouveautes-polar-le-jour-de-ma-mort.html
Ragdoll de Daniel Cole et Natalie Beunat aux éditions Pocket https://www.lagriffenoire.com/104626-polar-livres-de-poche-ragdoll.html
L'Appât de Daniel Cole et Natalie Beunat aux éditions Pocket https://www.lagriffenoire.com/1002758-polar-livres-de-poche-l-appat.html
Les Rues de Santiago de Boris Quercia aux éditions Livre de Poche https://www.lagriffenoire.com/1001515-nouveautes-polar-les-rues-de-santiago.html
Je sais que tu sais de Gilly Macmillan et Séverine Quelet aux éditions Les Escales 9782365694636
Les Détectives du Yorkshire - Tome 4 : Rendez-vous avec le poison (04) de Julia Chapman, Dominique Haas aux éditions Robert Laffont https://www.lagriffenoire.com/1001249-nouveautes-polar-les-detectives-du-yorkshire---tome-4-rendez-vous-avec-le-poison---volume-04.html
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