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EAN : 9782344008270
128 pages
Glénat (06/04/2016)
3.79/5   24 notes
Résumé :
Paris, de nos jours. Pierre, la soixantaine, petit prof de dessin aux Beaux-Arts, a rendez-vous dans un café avec Rose Lanobre, la fille de Gilles et Theda, des amis de longue date. Elle voudrait en savoir plus sur ses parents qu’elle n’a jamais connus. L’occasion pour Pierre de se remémorer des souvenirs de jeunesse... Lorsqu’il était lui-même élève aux Beaux-Arts, Theda avait fait irruption dans sa vie et celle des autres étudiants tel un rayon de soleil. Les garç... >Voir plus
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Marzi, Tome 1 : Petite carpe par Sowa

Marzi - BD

Marzena Sowa

3.93★ (535)

7 tomes

Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Il s'agit d'une histoire complète en 1 tome et indépendante de toute autre. Elle est initialement parue en 2016. le scénario en a été coécrit par Maryse et Jean-François Charles. Les dessins et la couleur ont été réalisés par Jean-François Charles. Cet ouvrage se termine avec 6 pages comprenant quelques esquisses et quelques annotations des auteurs sur la genèse du projet. Ce couple est également l'auteur de séries comme India Dreams, War and Dreams, ou encore Ella Mahé.

L'ouvrage s'ouvre sur une pluie battante mouillant les pavés devant la gare de Lyon. À l'abri à l'intérieur, Pierre Cartolina attend l'arrivée d'une jeune anglaise Rose Lanobre. le premier est un homme d'une soixantaine d'années, diplômé des Beaux-Arts qui a bien connu Thelda et Gilles, les parents de la seconde qui souhaite le rencontrer pour en apprendre plus sur eux. Elle n'est que de passage à Paris pour quelques heures ; elle exerce la profession de médecin en hôpital en Angleterre. Pour répondre à ses questions, il se remémore sa jeunesse à la fin des années 1960, et au tout début des années 1970.

Pierre était un élève médiocre au collège, mais excellent en dessin, ce qui lui a valu de suivre des cours aux Beaux-Arts à seulement 15 ans, se liant d'amitié avec Gilles, un autre élève forcément plus âgé. Avec 2 autres élèves surnommés Pied de Poule et Prince de Galles (en référence au tissu de leur veston respectif), ils formaient un petit groupe d'ami. Leur classe fut sous le choc de l'arrivée d'une nouvelle élève : Theda Barrow, une belle anglaise n'ayant pas froid aux yeux. Quelques temps plus tard, Theda et Gilles décident d'aller s'installer en Auvergne pour élever des chèvres. Un été, ils invitent plusieurs de leurs ex-camarades de classe à venir séjourner à la ferme. Theda est plus belle et plus libre que jamais.

Les auteurs proposent un récit s'apparentant à un roman, avec une forte composante autobiographique mais passée par le filtre de personnages fictifs, et l'évocation de l'air du temps d'une autre décennie. La couverture montre une image très baba cool, avec une 2 Chevaux (Citroën 2 CV, surnommée Deuche ou encore Deudeuche), repeinte en rose, avec le symbole Peace & Love), et une magnifique jeune femme gambadant dans la nature. L'image d'ouverture du récit est en total décalage, une peinture en pleine page à la limite de l'abstraction, avec un ciel gris, de l'eau ruisselante et des pavés, c'est-à-dire une substance minérale, à l'opposé de l'organique de l'herbe de couverture. Les pages suivantes montrent plusieurs vues intérieures de la Gare de Lyon, à nouveau réalisées à l'aquarelle. le lecteur s'attarde un peu sur les formes des personnages. Il constate que l'artiste les détoure avec un trait encore crayonné ou peut-être un coup de pinceau un peu irrégulier, ce qui donne une apparence plus douce aux dessins, par comparaison avec un encrage qui leur aurait donné une apparence plus sèche. Il constate aussi que de nombreuses formes ne sont pas détourées, mais réalisées en peinture directe, ce qui leur donne une apparence un peu moins nette.

Le lecteur constate que Jean-François Charles réalise une performance picturale aussi discrète que saisissante. Alors que Pierre Cartolina est assis pour prendre un café, le regard du lecteur assimile immédiatement les caractéristiques de l'endroit dans lequel il se trouve : tables et chaises, comptoir, verres, moulures du plafond, peintures murales, personnages attablés. En un coup d'oeil rapide, il éprouve l'impression de se trouver dans ce lieu. Il peut alors avoir envie de détailler ces cases, et il découvre l'équilibre délicat entre la représentation détaillée, et l'évocation de formes simplifiées, atteint par l'artiste, par le biais de l'aquarelle. Chaque case est à la fois dense en informations visuelles, et très légère à la lecture, un délice visuel.

Tout du long de ces 118 pages de bande dessinée, les auteurs laissent le libre choix au lecteur de rester à l'impression de surface données par les planches, ou de laisser son regard vagabonder sur certaines cases, au gré de ses goûts. Ils n'imposent pas le rythme de lecture, il le laisse au choix de leur lectorat, à chacun de faire comme il lui plaît. Jean-François Charles apporte le même soin à représenter chaque endroit : de la gare de Lyon, aux estives où paissent les bêtes, en passant par les couloirs de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris, le kiosque à musique d'un jardin parisien, la gare ferroviaire de Riom-ès-Montagnes, le bal populaire du village, ou encore la ferme rustique de Theda & Gilles. À chaque fois les dessins combinent un bon niveau de détails et une douceur agréable pour chaque case.

Le lecteur apprécie également la qualité de la reconstitution historique par le biais des images. Les tenues vestimentaires sont d'époque, vintage pour tout dire. Les modèles de voiture correspondent à ceux qui circulaient alors. Au détour d'une page (p. 20), le lecteur remarque une affiche pour un concert de Jimi Hendrix, le slogan inoubliable d'une boisson alors en vogue (Dubo, Dubon, Dubonnet), une affiche de film dans le métro (Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, de Jean Yanne, 1972) et des références plus pointues à des magazines de bandes dessinées (MAD, Creepy, Pilote, Vampirella, le journal de Tintin, Eerie). le lecteur peut aller jusqu'à détailler la forme d'une cafetière ou d'une bouilloire sur la cuisinière de la ferme de Thelda & Gilles, s'il le souhaite. En fonction de son âge, l'effet de nostalgie ou de découverte d'un passé révolu joue à plein sur lui.

Le récit évoque donc une période circonscrite dans la vie d'un jeune étudiant aux Beaux-Arts, 15 ans au début, à peine majeure à la fin. Les dessins de Jean-François Charles font vivre des personnages sympathiques, au physique réaliste, avec des postures naturelles. le lecteur est immédiatement sous le charme de la gracieuse Theda. Les notes en fin de volume permettent d'apprendre que les auteurs se sont inspirés de Theda Bara (1885-1955, actrice, femme fatale, l'une des premières sex-symbol par exemple dans La Vampire) et d'Ali MacGrow (1939-, actrice dans Love Story). Les autres personnages ont des apparences plus banales, mais pas fades pour autant, crédibles et réalistes, cohérentes avec leur âge et leur statut social. En s'arrêtant sur une case de temps à autre, le lecteur a beaucoup de mal à croire que dans certains visages les yeux ne sont représentés que par des points tellement ils sont expressifs et réalistes, une preuve supplémentaire du talent de Jean-François Charles pour leur insuffler un souffle de vie.

Le récit comprend 5 chapitres : (1) le Train Bleu, (2) Les beaux-Arts, (3) Theda, (4) Freytet, (5) Clair de Lune. Il lie le temps présent où Pierre Cartolina est âgé d'une soixantaine d'années et Rose Lanobre a environ 40 ans, avec quelques mois du passé recelant une sorte de secret de famille. Une fois le prologue passé, le lecteur a deviné le fin mot de l'intrigue qui ne sert que de prétexte à raconter une tranche de vie et à apporter une sorte de clôture à cet épisode passé. L'intérêt de cette lecture ne réside pas dans le suspense, mais dans l'évocation d'un moment de la vie, dans un contexte social particulier. le lecteur perçoit le monde par les yeux du jeune Pierre, mais avec quelques observations a posteriori formulées par l'adulte qu'il est devenu. Il peut s'agir de la forme d'agitation manifestée par ces étudiants en goguette dans les rues de Paris, relativisée par le recul de l'expérience, la considération du contexte social que ce soient les aspirations à la paix, les drogues récréatives ou l'utopie des communautés et de l'amour libre, ou encore des réflexions plus subtiles, par exemple sur la nature de l'amour dispensé par Theda (exclusivement physique, sans investissement émotionnel).

Le lecteur s'immerge dans une évocation de cette utopie hippie, vu par des artistes en devenir, avec un regard attendri mais pas naïf. Les époux abordent cette époque sous différents angles. Il y a la reconstitution historique qu'offrent les dessins, ainsi que la mise en scène du décalage de cette jeunesse avec les générations précédentes beaucoup plus rangées. Ces artistes bohèmes n'ont pas peur de se comporter de manière provocante au regard des us et coutumes de la société française du début des années 1970. Cela se manifeste par de petits larcins dans les magasins, par le comportement des étudiants désargentés, des graffitis sur les murs à la craie ou à la peinture. le décalage est tout aussi important à la campagne, avec des moeurs libérées affichées au vu de tout le monde, ce qui détonne dans le Cantal traditionnel. D'un côté, Theda & Gilles produisent un cabécou affiné pendant près d'un mois et élèvent des chèvres ; d'un autre côté ils appartiennent à une autre génération. Il ne s'agit pas simplement d'amour libre et de retour à la nature. Cette génération arrive après des bouleversements de la société pendant les années 1960 : les premiers pas sur la Lune, la mort du Che, l'assassinat de Martin Luther King, ceux de John F. Kennedy et de Bobby Kennedy. La jeunesse commence également à pouvoir s'affranchir du carcan de la société précédente : consommation de haschisch, voyage pour Katmandou, camper, faire la fête lors de grands rassemblements de groupes de rock comme à Woodstock ou sur l'île de Wight. Les auteurs montrent en quoi le début des années 1970 favorise une expression plus libre, une remise en question des valeurs, des modes de vie alternatifs.

Finalement Theda & Gilles n'ont pas l'ambition de réaliser un projet artistique, mais juste de retrouver une vie moins aliénée par la consommation. Il pourrait presque s'agir d'un retour aux valeurs d'une autre époque, à une existence plus vraie plus proche de la nature. Pourtant les chèvres et l'exploitation de la ferme d'élevage leur imposent une routine toute aussi aliénante que celle de la vie urbaine, avec également des moments de liberté. Au travers de ce récit semi-autobiographique, Maryse et Jean-François Charles invitent le lecteur dans une autre époque, à partager une parenthèse enchantée, le temps d'un été, dans des pages exquises et délicates, enchanteresses et débarrassées d'esbroufe, mais avec le temps qui passe et les responsabilités qui demeurent.
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J'ai passé un bon moment avec cette bande-dessinée qui nous ramène dans les années 70, en pleine époque du flower power.
Le narrateur, qui était alors un tout jeune étudiant aux Beaux-Arts, nous raconte comment Theda, une jeune étudiante anglaise très libérée, a bouleversé le quotidien de leur petit groupe.
Le scénario est assez prévisible, mais l'intrigue est bien construite et prenante. J'ai bien aimé aussi le procédé employé pour que le narrateur poursuive le récit sans dévoiler ses secrets à son auditrice, une jeune femme venue le questionner sur ses parents décédés juste après sa naissance.
Même si les personnages ont une attitude un peu figée, les dessins m'ont bien plu : le crayonné, les couleurs douces...
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Pierre, vieux soixante-huitard, attend une jeune femme anglaise à la gare de Lyon. C'est la fille d'un couple d'amis, décédé. Elle vient de Londres et aimerait que Pierre lui conte l'histoire de ses parents, disparus peu après sa naissance. La ressemblance de la jeune femme avec sa mère est troublante. Pierre replonge dans son passé. Il raconte ce qu'il sait, omettant au passage les éléments troublants. Tous les hommes étaient amoureux de Theda, la mère de rose. Quand leur conversation est interrompue, Pierre partage avec nous les événements les plus troublants. Theda se donnant à presque tous les élèves masculins de l'académie des Beaux-arts, Theda qui vit avec le père de Rose mais qui reste libre. Theda devenant la maîtresse de Pierre. ...
Que de nostalgie dans ce roman graphique. L'histoire est romantique à souhait. Les dessins, à l'aquarelle, sont magnifiques. On s'émeut, on voyage dans le temps où l'on croyait encore qu'au nom de la liberté, tout était possible. le scénario est presqu'un monologue. Pierre se raconte, Pierre nous conte le temps de l'amour libre et nous fait rêver à son retour. C'est plein de charme, c'est riche. Evidemment, on pressent la chute mais on est heureux que ce soit celle qu'on a presque deviné. Un livre qui, fermé, nous garde dans le sillage de son charme.
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Pierre Cartolina attend une jeune femme dans un café rétro de la gare de Lyon. Il doit rencontrer la fille d'amis, disparus, qui veut en savoir plus sur ses parents. Il se remémore ces années « Peace and Love » de sa jeunesse. Tout au long de cette rencontre, subjugué par la ressemblance de Rose avec sa mère Theda, Pierre fait le tri dans les informations qu'il peut réellement transmettre à la jeune femme.
Pierre a fait la connaissance des parents de Rose alors qu'il n'était qu'un très jeune étudiant des Beaux-Arts. Théda Barrow, jeune anglaise, arrivera pour une année d'études à Paris et va conquérir un à un « tous les mâles avenants » de l'atelier de dessin. Gilles, le père de Rose, sera le dernier du palmarès. Rapidement, ils auront pour projet de partir élever des chèvres en Auvergne…
Les auteurs ont bien retranscrit l'atmosphère de l'époque (contestations étudiantes contre les injustices politiques et sociales, amours libres et retour à la nature). Cette histoire est en partie autobiographique, d'après les informations mentionnées en fin de BD. Les aquarelles sont très belles et accompagnent magnifiquement le récit, très nostalgique, puisque les auteurs en conclusion, souhaiteraient, en ces temps troublés, « retrouver un peu de ce paradis perdu ».
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Quelle est belle cette BD avec ses dessins à l'aquarelle ! Maryse et Jean-François Charles sont tous les 2 bien connus dans l'univers de la BD mais c'est là l'histoire la plus autobiographique qu'ils nous livrent.


Contrairement à ce qu'annonce la couverture, l'histoire démarre aujourd'hui avec Pierre, un homme d'âge mûr, qui attend une jeune femme, Rose, dans une brasserie près de la gare de Lyon. Elle vient le rencontrer pour en découvrir un peu plus sur ses parents, que Pierre a bien connu quand ils étaient jeunes, et qu'elle n'a quasiment pas connus. C'est alors l'occasion pour Pierre de se replonger dans ses souvenirs, dans cette fin des années 60 début des années 70, époque pleine de révolutions et de naissances de mouvements. Pierre était alors un très jeune élève des Beaux-arts (16 ans) lorsqu'il rencontre Theda, Gilles, Pied de poule et Prince de Galles. Theda est une jeune anglaise qui fait irruption dans la vie du petit groupe de garçons en les fascinant par sa beauté et son esprit libertaire. Elle va jeter son dévolu sur chaque garçon de l'atelier avant de se tourner vers Gilles. Ils vont alors tous les deux décider de partir en Auvergne pour élever des chèvres. Flower power, amour libre, insouciance, contestation sociale, tourments de l'amour...tout y est ! le seul bémol du scénario, l'histoire est un peu cousue de fil blanc, /!\Attention micro-spoiler /!\ Autre bémol très très personnel, j'ai eu l'impression bizarre à partir du milieu de la BD, d'avoir déjà vu cette histoire au cinéma sans pouvoir me rappeler du titre du film ou des acteurs...si quelqu'un à une idée je suis preneuse ;-) !


Le dessin à l'aquarelle est parfait pour accompagner cette histoire. Les tons pastels et les traits parfois flous appuient la douceur de l'histoire et de la période décrite. On est complètement dans l'ambiance des sixties.


La BO de cette bande dessinée, Pink Floyd "Echoes" ♪♫ https://www.youtube.com/watch?v=GhbQGyUK7aI&list=RDGhbQGyUK7aI#t=0 ♪♫
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critiques presse (2)
Auracan
09 mai 2016
Le couple Charles nous livre là sûrement un de ses albums les plus intimistes.
Lire la critique sur le site : Auracan
BDZoom
25 avril 2016
Avec ce touchant petit roman graphique, inspiré de leur propre vécu, les auteurs réussissent, avec douceur et nostalgie, à nous faire revivre l’insouciance du début des années soixante-dix.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
C’était notre vie d’étudiants des Beaux-Arts, une vraie vie de potaches. Mais un vent de liberté soufflait déjà de l’autre côté de la Manche et de l’Atlantique, une brise dont nous ressentions les effluves.
Nos cheveux étaient plus longs, les jupes des filles plus courtes, mais mis à part quelques joints et quelques autres facéties, tout cela restait bien innocent.
Et puis un jour, elle est entrée dans l’atelier.
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On vivait à cette époque un changement radical de société. Depuis mai 68, les jeunes avaient la parole. Ils manifestaient pour la paix, l'abolitionnisme, et l'indépendance de l'Irlande du Nord. Ils contestaient toute forme de violence, le service militaire comme la guerre au Vietnam et les bombes au napalm. Les années 60, c'étaient les premiers pas sur la Lune, la mort du Che, l'assassinat de Martin Luther King, ceux de John F. Kennedy et de Bobby Kennedy. Les hippies avaient leurs gourous, fumaient du haschich, rêvaient d'amour libre et prenaient la route pour Katmandou. La musique aussi avait viré à 180°. On se retrouvait à camper, à faire la fête lors de grands rassemblements de groupes de rock comme à Woodstock ou sur l'île de Wight.
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Et aujourd'hui, que reste-t-il de cette époque "Flower Power", "Peace and Love", "Baba Cool" dont on s'est un peu moqué ? En ces temps troublés, ce serait bien de retrouver un peu de ce paradis perdu.
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J'avais déjà eu quelques petites copines mais l'amour avec Theda n'avait rien à voir avec ça. Elle avait de l'expérience, savait retarder le plaisir.
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L'argent alors n'était pas un dieu et il n'était pas de bon ton d'en avoir trop.
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