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EAN : 9781503953550
AmazonCrossing (24/04/2018)
3.81/5   24 notes
Résumé :
Un thriller psychologique captivant par l'auteur de Parce qu'elle m'aime, Sur tes pas et Le Berceau de la peur.Sophie Greenwood avait rêvé de ce job depuis sa plus tendre enfance. Pourtant, quand dès le premier jour, une rencontre troublante fait remonter à la surface des souvenirs qu'elle aurait préféré laisser enfouis au fond de sa mémoire, Sophie se demande si elle n'a pas commis une erreur en acceptant ce poste. Une erreur fatale.Le doute s'installe. Que manigan... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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L'oeuvre du diable de Mark Edwards m'a été envoyé en avant-première par Amazon Publishing France et net galley.
Sophie a réussie, elle a décroché le job de ses rêves. Elle va intégrer la maison d'édition où elle veut travailler depuis qu'elle est petite fille ! Elle ne sera pas écrivain mais elle aura un bon poste, c'est déjà bien.
Elle est mariée, maman d'une petite fille. Elle était amie avec la petite fille du grand patron de la maison d'édition mais elle lui a cachée car son amie Jasmine a disparue dans de drôles de circonstances..
Dès qu'elle arrive dans sa nouvelle entreprise, Sophie se pose des questions car son assistante est étrange, et rapidement il se déroule de drôles de choses..
Parallèlement au présent, la jeune femme nous emmène du temps de l'université, et nous découvrons son amitié avec Jasmine...
Sophie a l'impression de devenir folle, et c'est pas fini !
L'oeuvre du diable est un thriller psychologique stupéfiant. Il y a énormément de suspense, des rebondissements inattendus tout au long de la lecture. Je ne m'attendait pas du tout à ça en ouvrant ce livre !
Sophie est une femme captivante, elle n'est pas du tout lisse, et par moment on se demande si elle ne bascule pas dans la folie !
J'ai été tenue en haleine de la première à la dernière page, je n'ai rien deviné et je mets un énorme cinq étoiles.
Je suis ravie de l'avoir découvert avant tout le monde, et je vous le recommande chaudement.
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Après quatre ans à s'occuper de sa fille, Sophie décide retourner dans la vie active et se voit étonnamment offrir un poste au sein de Jackdaw, une maison d'édition anglaise réputée qui est selon elle le job de ses rêves. Passionnée par la littérature et par cette maison de livres jeunesse, Sophie fait rapidement face aux joies de son nouveau poste en tant que directrice marketing. En charge de Cassie, Tracey et Matt, elle va malheureusement être également le témoin direct de quelques déconvenues professionnelles et d'un acharnement venant de la jeune et ambitieuse Cassie à tenter de soutirer toute la réussite professionnelle sur elle. Alors que Sophie est de plus en plus dépassée par son travail et par la dégradation de sa vie de couple, nous allons pouvoir en apprendre davantage sur le personnage par le biais d'un parallèle sur ses premières années de faculté. Elle se lie rapidement d'amitié avec une autre étudiante, Jasmine Smith qui n'est qu'autre que la petite-fille du PDG de la maison d'édition où Sophie travaille actuellement. Cependant, elle ne voit aucune raison d'apprendre à Franklin Bird, PDG de Jackdaw et grand-père de Jasmine, le lien qui étrangement les unit.

Après la perte mystérieuse de la jeune fille seize ans auparavant, Sophie ne souhaite aucunement faire raviver au retraité des souvenirs malheureux. Mais celle-ci peine à associer l'image maléfique dépeinte par Jasmine à l'université de cet homme quelque peu particulier à celle de patriarche développant au sein de son entreprise une véritable famille. Mark Edwards offre alors un parallèle entre les jeunes années de Sophie et le début de ses épreuves à surmonter en 2015 au sein de l'entreprise éditoriale. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il va falloir qu'elle s'accroche. Dès les premiers jours, elle devra faire preuve de nerfs d'acier pour ne pas perdre les pédales du jour au lendemain. le plus étonnant est de s'apercevoir de la vitesse avec laquelle les événements vont produire un effet boule de neige jusqu'à tout faire basculer. Cassie Saïd, perçue comme la blanche colombe au sein de l'entreprise, devient immédiatement une source de tensions et de conflits pour la nouvelle directrice marketing. Sophie ne sait comment interpréter ses agissements et ses erreurs dites accidentelles. La jeune femme est-elle prête à tout pour monter les échelons ? En tout cas, Sophie va devenir le témoin direct de ce possible plan d'attaque qui en revient à gâcher sa vie.

Bientôt isolée du reste de ses collègues et de son mari, elle ne sait comment plaider sa cause autrement que de découvrir ce qu'il est advenu de Miranda, l'ancienne employée de Jackdaw à son actuel poste et disparue depuis de manière très curieuse. Mais Sophie ne va-t-elle pas précipiter plus rapidement sa chute à vouloir fouiner là où elle ne le devrait pas ? le lecteur est facilement pris dans ce piège où tout a l'air fait pour entacher la réputation et la santé mentale de Sophie. On se doute de l'identité du coupable sans pouvoir réellement comprendre ses intentions. Parce que plus l'intrigue se déroule, plus ça devient un peu gros pour une simple histoire d'échelon professionnel. Alors, on vient à essayer de trouver un lien avec le passé de Sophie et ce qui la lie intrinsèquement à Jackdaw et qui pourrait alors expliquer cette descente aux enfers.

Malgré une lecture rapide et limpide, je n'arrêtais pas d'espérer me tromper dans mes conjectures. Car très tôt dans le récit, je me suis mise à imaginer la résolution de tout ce mystère en souhaitant me tromper tellement ça ne pouvait être que prévisible. le récit semblait s'en rapprocher dangereusement jusqu'à ce que l'auteur parvienne le tour de force de tout faire basculer. Un retournement de situation majeur fait s'éparpiller entièrement le jeu de cartes jusqu'à nous laisser incertain devant la suite des événements. Mark Edwards a réussi malgré mes craintes à proposer une histoire intéressante et qui réussit à se montrer surprenante. La fin se dévoile comme une succession de péripéties sous tension qui offrent un beau final pour ce thriller dont je n'avais pas encore saisi tout le talent. Je ressors donc de cette lecture agréablement surprise par la tournure des événements et par ce jeu des apparences qui nous pousse à saisir pleinement la psychologie des personnages afin de connaître leur aura profonde. Je remercie Amazon crossing et NetGalley pour cette lecture.
Lien : https://entournantlespages.w..
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Un thriller psychologique captivant
On est en 2015 à Londres.Sophie Greenwood est une femme mariée avec une petite fille. Après être restée auprès de sa fille et de son mari, elle décide de reprendre le travail. Elle trouve le job de ses rêves, directrice marketing dans une grande maison d'édition. Elle était la meilleure amie de la petite fille du patron, qui a disparue de manière étrange.
Mais rien ne va se passer comme elle l'imaginait. Il se passe des choses troublantes. Est-elle en train de sombrer dans la folie ? Qui lui veut du mal ?
Marks Edwards nous entraîne dans un thriller psychologique avec du suspense, des rebondissements, un dénouement final qui m'a surprise. L'intrigue est très bien construite. On va suivre Sophie dans le déroulement de ses journées au travail, à la maison, dans sa quête avec ses questionnements. On ressent ses émotions avec ses doutes.
Un livre que je recommande à tous les passionnés de thriller.
Merci à Amazon Publishing France de m'avoir fait découvrir ce livre en avant première.
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Thriller psychologique qui avait tout pour me plaire, je me suis malgré tout ennuyée par moment, j'ai trouvé certains passages longs et répétitifs. J'aime les livres qui se passent en deux temps, en l'occurrence, en 2015 et en 2000 pour celui-ci, mais j'ai trouvé que l'histoire était un peu trop prévisible.
Nous suivons l'histoire de Sophie, qui vient de se faire embaucher dans la maison d'édition de ses rêves , à un poste de directrice, donc tout devrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes la concernant, oui mais voilà, ce n'est pas sans compter sur les différents aléas qu'elle va rencontrer et qui la concerner tous, en plus.
Je pense que j'aurais plus apprécié cette lecture, si l'auteur avait été un peu plus droit au but, en délaissant peut-être certaines scènes qui ne m'ont pas semblé essentielles pour la compréhension de l'histoire et qui ont donné un peu de lourdeurs là où il aurait mieux valu captiver le lecteur.
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Sophie adore sa fille mais être maman au foyer lui pèse. Décrocher le job de ses rêves dans la maison d'édition qu'elle vénère depuis l'enfance l'enchante et c'est motivée qu'elle reprend le chemin du travail. Mais que d'obstacles, de soucis et de stress et de plus en plus d'agressivité dans les attaques. L'engrenage des problèmes l'entraîne sur une pente folle et le danger ne cesse de grandir quand sa famille se retrouve mêlée à son cauchemar.

J'avais les romans de Mark Edwards dans ma liseuse depuis un moment mais ce n'est qu'avec L'oeuvre du Diable que je découvre cette plume anglaise.

Thriller psychologique dans le monde du travail, un lieu anxiogène tant les conditions d'exercer son métier se détériorent un peu partout ces dernières années. Mais bon, il y a des limites quand même!
Si nous avons certainement tous eu un collègue de bureau aux dents longues, ne reculant devant rien pour une promotion ou une couverture tirée à soi, Sophie doit faire face à des problèmes de plus en plus prégnants et horribles. de questionnements en doutes, sa peur ne fait que polluer davantage son esprit au fil de la persécution dont elle et sa famille sont l'objet, au fil des agressions de plus en plus violentes. 

L'auteur a le chic de nous guider vers une magistrale fausse piste alors qu'au fil des pages, on reste ébahi devant l'ampleur de la situation de Sophie. Et alors qu'elle égrène les souvenirs liés à ses années de fac avec la petite fille de son employeur, l'horizon s'obscurcit jusqu'à ce que l'orage se déchaîne et que les pièces du puzzle se mettent en place. 
La vengeance est un plat qui se mange froid, dit-on... certains le préfèrent glacé!

Ce thriller psychologique maintient le suspens jusqu'au bout mais je déplore un démarrage un peu poussif. Une petite centaine de pages en moins et le rythme aurait été plus trépidant et l'histoire, captivante.
Mais l'auteur a su brosser des portraits intéressants avec, par exemple, Cassie, une collègue de travail des plus antipathiques, ou Sophie, qui ne reculera devant rien pour sauver sa famille du naufrage. 
Une découverte sympa, même si je ne suis pas totalement convaincue donc je vais lire les autres romans qui dorment dans ma PAL pour asseoir un avis plus ferme sur cet auteur. 
Mais une lecture qui remplit le contrat de quelques heures très agréables... et flippantes!
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Citations et extraits (31) Voir plus Ajouter une citation
- Il m'aime bien, oui, je le sais. Mais pas assez, pas pour la vie.
- "Pour la vie", c'est un laps de temps un peu long.
Jasmine fixa son regard sur une vitrine où était exposé un mannequin portant un T-shirt de Sid Vicious et de Nancy Spungen.
D'un signe de tête, elle montra les deux punks décédés et dit:
- Eux, ils sont ensemble pour toujours, même si c'est en enfer.
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Lorsque les professeurs lui demandaient ce qu’elle voulait faire plus tard, alors que ses amis disaient vouloir devenir vedettes de la chanson, médecin ou policier, elle répondait qu’elle avait pour ambition de vivre de sa plume. Et plus précisément, d’écrire des bouquins affichant en couverture le fameux logo violet de Jackdaw en forme de choucas, avec son petit bec qui le distinguait du corbeau. Puis, à l’adolescence, elle s’était rendu compte qu’elle n’avait pas les capacités requises pour devenir écrivain, et elle changea d’objectif. Elle décida qu’elle voulait travailler dans l’édition, que son travail serait en relation avec les livres, qu’elle en vendrait et insufflerait aux enfants l’inspiration nécessaire pour partir à la découverte de nouveaux mondes magiques.
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La vie en résidence était encore pire que ce qu’elle avait imaginé. Les autres filles ne lui adressaient quasiment plus la parole. Becky avait réussi son pari de séduire Lucas, le musicien qu’elle avait bécoté lors de la première soirée, et sa voisine entendait leurs ébats passionnés pratiquement toutes les nuits, notamment parce que leur tête de lit heurtait bruyamment le mur mitoyen ; pour Sophie, les bruits en question évoquaient ceux d’un accouplement de renards sauvages. Elle atténuait ces désagréments à l’aide d’un casque acoustique, et elle n’en voulait pas particulièrement aux deux tourtereaux d’avoir une vie sexuelle aussi palpitante, mais ensuite, ils avaient pour habitude d’écouter de la musique très bruyante jusqu’à trois ou quatre heures du matin. Elle avait tenté d’en parler à sa voisine, qui lui avait ri au nez en lui conseillant de mettre un peu plus de piment dans sa propre vie. À présent, Sophie se retrouvait devant un dilemme. Devait-elle se plaindre auprès des autorités universitaires ? Elle devinait sans peine les commentaires que cela susciterait à son sujet : « C’est la fille qui est jalouse de sa voisine qui s’envoie en l’air ». Ne pouvant s’y résoudre, elle souffrait donc en silence et les cernes se creusaient autour de ses yeux.
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Un aspect du livre sur les psychopathes l’avait particulièrement marquée, le fait que ceux-ci, bien qu’étant incapables d’aimer, nouaient des relations pour leur convenance personnelle : pour le sexe, pour maintenir les apparences parce que cela servait d’une manière ou d’une autre leurs intérêts. Par ses lectures, Sophie avait également appris que parfois, deux psychopathes s’unissaient pour former un couple meurtrier.
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Elle rêva d'un phénix aux ailes multicolores dont la queue s'était enflammée et qui l'emmena loin, par dessus les océans, vers une terre inconnue. Jasmine y était, et elle semblait heureuse. Elle prit la main de son amie et lui dit : " Je suis libre Sophie, je suis enfin libre."
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